Chroniques des lecteurs
Chronique par
Mi-Hi T, Rédacteur
𝘓𝘦𝘴 𝘚𝘦𝘱𝘵 𝘴𝘰𝘦𝘶𝘳𝘴 de Lucinda Riley est une saga que j'avais très envie de découvrir, surtout après en avoir beaucoup entendu parler.
Et il y a plusieurs mois, l'occasion s'est présentée quand j'ai vu sa version en livre audio proposée par NetGalley et Audiolib, que je remercie au passage.
Je ne suis pas habituée à ce format, mais j'ai décidé de sauter le pas. D'autant plus que j'avais du mal à lire à la période où j'ai sollicité ce livre audio.
Et je l'ai sa-vou-ré.
Quand je l'ai terminé, j'étais conquise et nostalgique de l'avoir déjà fini. J'adore la manière de raconter qu'avait Lucinda Riley. Et c'est vraiment triste qu'elle soit morte à l'âge de 56 ans (2021).
Pour ce qui concerne le format, avec la lecture d'Ariane Brousse, j'ai trouvé que l'immersion dans cette expérience audio était très facile et agréable.
Sinon, le roman en soi est très bien travaillé.
On plonge dans différentes histoires familiales, à travers le temps et l'espace.
(Dit comme ça, on dirait que je parle de science-fiction, mais pas du tout !)
Pour l'aspect temporel, dans ce premier tome on découvre avec Maïa un pan de son histoire familiale. Ce qui va l'amener dans le passé d'une de ses aïeules, à l'époque de la construction de la fameuse statue O Cristo Redentor, au Brésil. Et nous allons marcher aux côtés de cette aïeule sur un certain nombre de chapitres, en alternance avec le présent de Maïa.
Jongler entre les deux a parfois été frustrant pour moi. C'était comme lire deux livres différents en même temps, une fiction historique et une fiction contemporaine, sans pouvoir choisir quand on passe d'une histoire à l'autre. Même si cet aspect m'a parfois frustrée, j'ai globalement adoré le premier volume de la saga.
Pour l'aspect spatial, c'est parce qu'il y a divers déplacements et voyages à travers le monde. A différentes périodes. Mais je n'en dirai pas plus pour ceux qui n'ont pas encore lu 𝘓𝘦𝘴 𝘚𝘦𝘱𝘵 𝘴𝘰𝘦𝘶𝘳𝘴.
Maïa est l'aînée d'une famille atypique de 6 soeurs toutes adoptées et dont les noms évoquent la constellation des Pléiades. Dans la mythologie grecque, les Pléiades seraient sept sœurs, filles du Titan Atlas et de l'Océanide Pléioné.
Mais en commençant la série, on voit qu'il n'y a que six soeurs car leur père n'a pas visiblement pas trouvé la septième. Ce dernier, aussi riche que mystérieux, a été surnomé Pa Salt par ses filles et vient tout juste de décéder. En laissant derrière lui un lot de questions et d'énigmes.
Chaque tome suivant correspond à une des soeurs, à ce moment fatidique de la mort de leur père. Jusqu'au dernier tome, 𝘈𝘵𝘭𝘢𝘴, 𝘭'𝘩𝘪𝘴𝘵𝘰𝘪𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘗𝘢 𝘚𝘢𝘭𝘵, écrit par Harry Whittaker (le fils de Lucinda et à la demande de sa mère) qui vient de paraître en mai (2023).
Par curiosité j'ai commencé le deuxième tome chez Audiolib, via un abonnement Audible. Cette expérience d'écoute m'avait captivée et le deuxième volume est tout aussi bien lu que le premier.
Et il y a plusieurs mois, l'occasion s'est présentée quand j'ai vu sa version en livre audio proposée par NetGalley et Audiolib, que je remercie au passage.
Je ne suis pas habituée à ce format, mais j'ai décidé de sauter le pas. D'autant plus que j'avais du mal à lire à la période où j'ai sollicité ce livre audio.
Et je l'ai sa-vou-ré.
Quand je l'ai terminé, j'étais conquise et nostalgique de l'avoir déjà fini. J'adore la manière de raconter qu'avait Lucinda Riley. Et c'est vraiment triste qu'elle soit morte à l'âge de 56 ans (2021).
Pour ce qui concerne le format, avec la lecture d'Ariane Brousse, j'ai trouvé que l'immersion dans cette expérience audio était très facile et agréable.
Sinon, le roman en soi est très bien travaillé.
On plonge dans différentes histoires familiales, à travers le temps et l'espace.
(Dit comme ça, on dirait que je parle de science-fiction, mais pas du tout !)
Pour l'aspect temporel, dans ce premier tome on découvre avec Maïa un pan de son histoire familiale. Ce qui va l'amener dans le passé d'une de ses aïeules, à l'époque de la construction de la fameuse statue O Cristo Redentor, au Brésil. Et nous allons marcher aux côtés de cette aïeule sur un certain nombre de chapitres, en alternance avec le présent de Maïa.
Jongler entre les deux a parfois été frustrant pour moi. C'était comme lire deux livres différents en même temps, une fiction historique et une fiction contemporaine, sans pouvoir choisir quand on passe d'une histoire à l'autre. Même si cet aspect m'a parfois frustrée, j'ai globalement adoré le premier volume de la saga.
Pour l'aspect spatial, c'est parce qu'il y a divers déplacements et voyages à travers le monde. A différentes périodes. Mais je n'en dirai pas plus pour ceux qui n'ont pas encore lu 𝘓𝘦𝘴 𝘚𝘦𝘱𝘵 𝘴𝘰𝘦𝘶𝘳𝘴.
Maïa est l'aînée d'une famille atypique de 6 soeurs toutes adoptées et dont les noms évoquent la constellation des Pléiades. Dans la mythologie grecque, les Pléiades seraient sept sœurs, filles du Titan Atlas et de l'Océanide Pléioné.
Mais en commençant la série, on voit qu'il n'y a que six soeurs car leur père n'a pas visiblement pas trouvé la septième. Ce dernier, aussi riche que mystérieux, a été surnomé Pa Salt par ses filles et vient tout juste de décéder. En laissant derrière lui un lot de questions et d'énigmes.
Chaque tome suivant correspond à une des soeurs, à ce moment fatidique de la mort de leur père. Jusqu'au dernier tome, 𝘈𝘵𝘭𝘢𝘴, 𝘭'𝘩𝘪𝘴𝘵𝘰𝘪𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘗𝘢 𝘚𝘢𝘭𝘵, écrit par Harry Whittaker (le fils de Lucinda et à la demande de sa mère) qui vient de paraître en mai (2023).
Par curiosité j'ai commencé le deuxième tome chez Audiolib, via un abonnement Audible. Cette expérience d'écoute m'avait captivée et le deuxième volume est tout aussi bien lu que le premier.