Chroniques des lecteurs
Chronique par
Aurore B, Rédacteur
Après avoir servi et combattu lors de la guerre d’Algérie qui le hante toujours, Claude Scheider, inspecteur de police, retourne dans sa ville d’origine. Le quotidien est plutôt tranquille dans cette petite ville de province, sauf qu’à son arrivée, le nouveau chef du groupe criminel reçoit une affaire sordide : la disparition de Betty, une adolescente de quinze ans. Touché par les origines modestes de la jeune fille, Schneider s’entête plus que de raison dans l’enquête, n’acceptant pas le sombre destin de Betty.
Hugues Pagan dépeint parfaitement la France des années 70, les violences post-traumatiques laissés par la guerre d’Algérie, les déchirements que ces combats ont provoqué. Sans prendre parti, l’auteur explique, tantôt avec tendresse, tantôt avec violence. Son protagoniste, Claude Schneider, a tout de l’antihéros, traumatisé, fonctionnaire désenchanté mais toujours empli d’une grande humanité.
La plume de l’auteur est précise et captivante. Ses descriptions qui paraissent longues au premier abord, deviennent indispensable pour décrire avec minutie les décors, les personnages et leur psychologie.
La voix de Cyril Romoli correspond parfaitement à l’image que l’on peut se faire de Schneider. Grave, réservée, comme le personnage qu’il incarne. Je n’ai pas vu défiler les plus de 13 heures d’écoute, bercée que j’étais par la voix de ce comédien.
Hugues Pagan dépeint parfaitement la France des années 70, les violences post-traumatiques laissés par la guerre d’Algérie, les déchirements que ces combats ont provoqué. Sans prendre parti, l’auteur explique, tantôt avec tendresse, tantôt avec violence. Son protagoniste, Claude Schneider, a tout de l’antihéros, traumatisé, fonctionnaire désenchanté mais toujours empli d’une grande humanité.
La plume de l’auteur est précise et captivante. Ses descriptions qui paraissent longues au premier abord, deviennent indispensable pour décrire avec minutie les décors, les personnages et leur psychologie.
La voix de Cyril Romoli correspond parfaitement à l’image que l’on peut se faire de Schneider. Grave, réservée, comme le personnage qu’il incarne. Je n’ai pas vu défiler les plus de 13 heures d’écoute, bercée que j’étais par la voix de ce comédien.