Chroniques des lecteurs
Chronique par
Aline R, Rédacteur
Ma première incursion chez Nicolas Lebel avec La Capture…
Un ile bretonne au nom à la consonnance mortifère : Morguélen…
Divers personnages vont s’y croiser, venus là pour des raisons pas toujours bonnes, quoique cela dépende du point de vue.
Un prêtre, un chiffonnier, la nièce du chiffonnier, des policiers très spéciaux, une lieutenante de police lancée dans la traque obsessionnelle des meurtriers de son coéquipier, un gangs de tueurs au nom prédestiné, Les Furies…
Une ambiance de huis-clos insulaire, très théâtrale. Les personnages se croisent, se lient, se poursuivent, se trahissent… Les péripéties s’enchainent, redistribuant les rôles dans un constant jeu de miroirs et de chausse-trapes.
C’est rythmé, très visuel, plein d’humour et de cynisme, sans le moindre temps mort du début à l’ultime dénouement, renversant.
Dans la version audio, chez Audible, le narrateur, Michelangelo Marchese, sert vraiment le récit avec des intonations à la fois impliquées et fatalistes. Il en fait juste assez pour ne pas en faire trop ; je me comprends.
Polyphonique, alambiqué, déjanté…
Ma première incursion chez Nicolas Lebel, surement pas la dernière.
#LaCapture #NetGalleyFrance
Un ile bretonne au nom à la consonnance mortifère : Morguélen…
Divers personnages vont s’y croiser, venus là pour des raisons pas toujours bonnes, quoique cela dépende du point de vue.
Un prêtre, un chiffonnier, la nièce du chiffonnier, des policiers très spéciaux, une lieutenante de police lancée dans la traque obsessionnelle des meurtriers de son coéquipier, un gangs de tueurs au nom prédestiné, Les Furies…
Une ambiance de huis-clos insulaire, très théâtrale. Les personnages se croisent, se lient, se poursuivent, se trahissent… Les péripéties s’enchainent, redistribuant les rôles dans un constant jeu de miroirs et de chausse-trapes.
C’est rythmé, très visuel, plein d’humour et de cynisme, sans le moindre temps mort du début à l’ultime dénouement, renversant.
Dans la version audio, chez Audible, le narrateur, Michelangelo Marchese, sert vraiment le récit avec des intonations à la fois impliquées et fatalistes. Il en fait juste assez pour ne pas en faire trop ; je me comprends.
Polyphonique, alambiqué, déjanté…
Ma première incursion chez Nicolas Lebel, surement pas la dernière.
#LaCapture #NetGalleyFrance