Danser, encore

En ouvrant ce livre, je suis entrée en terre inconnu. Je n’avais pas lu la quatrième de couverture et ne savais donc pas qu’il faisait suite à « Hier encore c’était l’été », que je n’ai d’ailleurs pas lu.
J’ai découvert au fil des pages des personnages, sympas, touchants dans leurs doutes ou leurs certitudes, mais, surtout animés d’un formidable amour de la vie.
Alex, Marco et les autres ont des existences simples, qui souvent ressemblent aux nôtres.
La maladie d’une enfant, une rupture amoureuse ou la perte accidentelle d’un frère sont traités avec pudeur et délicatesse. L’auteure sait trouver les mots pour raconter la peur ou le chagrin sans jamais tomber dans le larmoyant.
« Danser, encore », est triste, drôle, réaliste et surtout empreint d’une formidable humanité.
L’écriture simple et élégante est un atout supplémentaire à ce très joli roman.
Loin de mes lectures habituelles, ce livre m’a fait passer un excellent moment pour lequel je remercie NetGalley et les Editions Mazarine.

Tout d'abord, je dois vous dire que ce roman se lit très bien, même sans avoir lu Hier encore, c'était l'été.
C’est donc dans leur vie d’adulte que je fais la connaissance d’Alexandre, Sophie, Marco, d’Anouk et des autres. On partage la vie de ces protagonistes ainsi que leurs joies et leurs peines. Un drame viendra bouleverser le cours de leurs existences, qui affectera de près ou de loin certains d’entre eux. Un coup du sort, qui entrainera beaucoup de remises en question sur la manière d’appréhender la vie de chacun…
L’auteur nous peint en toile de fond un portrait de la société actuelle. Elle évoque certains événements, dramatiques qui ont fait l’actualité. Le message à retenir est de faire triompher la vie malgré la mort ! Profiter, aimer, danser, rire… Quoi de plus authentique et de plus fort que cela ?
On s’attache inévitablement à cette bande d’amis. Le personnage de Marco est celui qui m’a le plus touchée, son chemin chaotique m’a émue et bouleversée. Et s’il doit y avoir un troisième volet comme le laisse présager la façon dont l’histoire se termine, j’espère qu’il saura trouver le bonheur….
Je vous conseille donc ce livre magnifiquement écrit et tellement empreint de vérité et de sensibilité ...

Quand net galley et les éditions Mazarine ont accédés à ma demande et permis de lire ce roman gracieusement j'ai sauté de joie à l'idée de retrouver Marco, Alexandre, Sophie, Anouk et les autres, découverts dans Hier encore, c'était l'été.
Ayant beaucoup aimé ce premier opus, je pensais bien aimer Danser, encore et je n'ai pas été déçue. Au contraire, je suis ravie de ma lecture et, je l'avoue, je suis vraiment triste de devoir les quitter de nouveau.
J'ai eu l'impression de retrouver de vieux copains que j'avais quitté il y a trois mois.
Danser encore, c'est... la vie, tout simplement ! Avec ses bons et ses mauvais moments, comme dans la vie.
L'auteure a écrit un excellent roman, presque meilleur à mon sens que le premier. Moins long, recentré sur les émotions des personnages, leurs craintes, leurs bons et leurs mauvais cotés... Aucuns temps morts, des passages forts.
Quand j'ai lu un des passages j'ai tout de suite pensé à l'excellente chanson de Patrick Bruel : Dans ces moments là. Et ensuite à l'excellente chanson de Calogéro, qui est présente dans ce livre et a donné son nom à ce roman : Danser, encore.
C'est un très joli livre très touchant, qui m'a fait monter les larmes aux yeux à plusieurs reprises.
J'ai adoré ce roman, le mot adorer n'est pas trop fort, et cette suite est vraiment très très réussie. Souvent je suis déçue avec une suite, car il est rare qu'elle soit de même qualité que le premier tome or là c'est le contraire, je trouve ce tome meilleur. du coup, j'espère que l'auteure aura la bonne idée de faire un troisième opus pour nous permettre de retrouver une dernière fois Alexandre, Marco, Sophie, Anouk...
Je mets évidemment cinq étoiles à ce roman, je suis ravie de ma lecture et je vous invite évidemment à le lire à votre tour.
Quel bon moment de lecture :)

Avant de parler de Danser, encore, je dois vous dire que ce roman se lit très bien, même sans avoir rencontrer les protagonistes dans Hier encore, c'était l'été.

Dans ce roman, Julie de Lestrange nous parle de la vie avec ses immenses joies et ses terribles peines. Alors, le lecteur passe alors du rire aux larmes au même rythme que les personnages. Avec un style jeune et dynamique, l'auteur nous entraîne dans son roman avec une aisance déconcertante. Cependant, dommage que les chapitres s’enchaînent aussi rapidement car on survole, parfois, certains passages alors qu'on s'attendait à s'attarder dessus.

Quant aux personnages, on ne peut que s'y attacher tant ils paraissent vrais et ils deviennent comme des amis. J'ai vraiment aimé la façon dont ils gèrent les situations,chacun de manière bien différente mais réaliste.


La fin sonne comme un véritable message d'espoir qui ne peut que toucher.

Unique, à lire si vous aimez les romans qui vous empêchent de fermer ses pages.