A Girl utopia
par Oderu Chan
Ce titre a été archivé. Il est désormais indisponible sur NetGalley.
Commandez ou achetez ce livre dans votre point de vente préféré !
Envoyer des titres NetGalley directement à votre Kindle ou votre application Kindle.
1
Pour lire sur votre Kindle ou dans votre application Kindle, merci d'ajouter kindle@netgalley.com en tant qu'adresse e-mail approuvée pour recevoir des documents dans votre compte Amazon. Veuillez cliquer ici pour des instructions détaillées.
2
Ensuite, retrouvez votre adresse e-mail Kindle dans votre compte Amazon et ajoutez-la ici.
Date de parution 5 oct. 2017 | Archivage 15 nov. 2017
Vous parlez de ce livre ? N'oubliez pas d'utiliser #AGirlUtopia #NetGalleyFrance ! Cliquez ici pour plus de conseils
Résumé
Ère du Renouveau. Un monde où les femmes gouvernent en toute liberté.
Un monde où les hommes ont perdu leur statut et n'ont plus aucun droit. Devenus des "Masculins", on leur implante, dès leur naissance, des "dominationems" qui contrôlent leurs faits et gestes... Privés de liberté, ils n'ont qu'un rôle: servir leur Maîtresse.
La "Cueillette"
Je dois choisir mon Masculin et lui attribuer un "mode".
Numéro 400
Enfermé dans une cellule à part, il est différent des autres. Il a vécu hors du Centre. Il a connu le monde de Jadis. Son dominationem a été modifié. Par qui ? Pourquoi ? Ma rencontre avec lui fera tout basculer.
Je croyais vivre dans un monde "parfait" et pourtant, la vérité m'a été cachée.
A présent, je vais devoir transgresser les règles pour sauver ma peau et celle de mon Masculin.
Ère du Renouveau. Un monde où les femmes gouvernent en toute liberté.
Un monde où les hommes ont perdu leur statut et n'ont plus aucun droit. Devenus des "Masculins", on leur implante, dès leur...
Formats disponibles
FORMAT | Ebook |
ISBN | 9791026212812 |
PRIX | 0,99 € (EUR) |
Chroniques partagées sur la page du titre
Tout d’abord merci aux éditions Libranova pour m'avoir fait confiance
Si vous aimez les "page turner" et les dystopies, ce roman est fait pour vous. Au départ, l'histoire commence assez doucement. Erine va avoir 16 ans et va bientôt devoir se trouver un Masculin. On est dans un futur où les règles ont été bouleversées. Les femmes sont au pouvoir alors que les hommes sont considérés comme de simples accessoires, nécessaires à la procréation certes, mais démunis d’intelligence et de sentiments. Jugés responsable de la Grande Terreur qui a dévasté le monde de jadis, les hommes n’ont plus aucuns droits et doivent obéir aux Dames et Demoiselles.
Évidemment, rien ne va se passer comme prévu… Erine et ses conscrites partent chercher leur Masculin. C’est au retour que les choses commencent à se corser. Là, je trouve que c’est un peu brouillon. Le retournement de situation me parait un peu gros mais bon ça fonctionne tant bien que mal et surtout ça nous laisse augurer un deuxième tome plein d’action et de surprise.
J’ai malgré tout beaucoup aimé ce premier tome. En faisant abstraction des petites incohérences relevées, l’histoire m’a bien captivée.
Après avoir lu maintes et maintes histoires d’un genre spécifique, est-ce que l’on peut toujours éprouver le même plaisir à la lecture ? Personnellement, pour ce qui est de la dystopie, c’est rarement le cas. J’ai souvent du mal à laisser de côté tous les autres récits de ce type car généralement, les univers et/ou la construction de l’intrigue se révèlent similaires. Pour les lecteurs expérimentés à la dystopie, A girl utopia arrivera sûrement à surprendre par son système futuriste bien amené et imaginé. Malheureusement, ça sera moins le cas avec l’histoire en elle-même.
Après des guerres, l’asservissement sans cesse répété sur la population féminine, l’Ère du Renouveau est arrivé. Erine est une jeune adolescente de seize qui vit dans un monde entièrement matriarcal où l’homme est perçu uniquement comme un esclave. Grâce à la technologie, et plus particulièrement à des puces électroniques, ces « Masculins » ne sont plus autorisés à ressentir des émotions humaines et se comportent alors comme de parfaits petits robots toujours prêts à assouvir les moindres désirs de leurs maîtresses. Par l’intermédiaire de la Cueillette, Erine va devoir choisir trois prétendants et, plus tard, en sélectionner un pour se marier. Élevée par une mère très libérale sur la question des droits des Masculins, elle refuse de voir ces derniers seulement comme des objets de reproduction et d’asservissement. Et, lors de la Cueillette, elle va rencontrer le Masculin numéro 400 qui, elle le comprend rapidement, est différent des autres. Dès leur premier regard, elle se sent irrémédiablement liée à ce Masculin et fera tout pour l’obtenir et comprendre ce qu’il cache au reste du monde.
Seulement, Erine ne pense pas à s’inquiéter de ses paroles et de son comportement face à l’autorité à qui elle doit rendre des comptes chaque jour. Et il est assez difficile de croire en une aussi grande naïveté vu le milieu dans lequel elle a toujours vécu. Heureusement que Numéro 400 sera présent pour lui révéler des secrets bien durs à assimiler et à accepter et pour lui montrer la voie. L’univers est facilement identifiable grâce aux différentes descriptions et réussit à se montrer convaincant. Le problème, c’est que je n’ai pas réellement réussi à me faire à la simplicité de l’écriture qui m’a souvent sorti de ma lecture. Le récit est tiraillé entre des moments prévisibles et convenus et d’autres très bien amenés.
La force du personnage principal se réveille au fil des pages, Erine devant réussir à survivre et à duper certaines personnes de son entourage avec qui elle possède des liens indéniables. La relation entre la jeune fille et son Masculin ne m’a pas tellement transportée mais leur évolution se révèle néanmoins intéressante. Je pense vraiment que le fait d’avoir lu ultérieurement une myriade de dystopies jeunesse ne m’ont pas aidé à m’immerger amplement dans le récit, même si je ne peux m’empêcher de relever tout de même le manque d’une quelconque complexité dans le style d’écriture qui, personnellement, ne me convient pas. Je remercie tout de même Librinova et NetGalley pour cette lecture qui, je pense, pourrait plaire davantage à un public de moins de vingt ans.
Un roman qui nous plonge dans un futur monstrueux où l homme asservit la femme, où elle n'est plus rien qu'un objet de ces envie, quelque soit l'âge. Jusqu'au jour où Anne syénite invente le dominiationem, et l homme devient un robot sous le contrôle des femmes, c'est ainsi que née utopia. Dans ce lointain futur, les hommes sont des esclaves des femmes, ils ne sont que des masculins avec un numéro, mais est ce que ce système qui dure depuis trois siècles est il si bien que cela, d'avoir inversé les rôles en le sucrant et l'enrobant de miel, la pillule passe t-elle mieux?
Ce livre soulève beaucoup de question. Qu'elle femme après avoir était dénigrée, traité comme rien, n'a-t-elle pas rêvé d'en faire de même ? Plus vicieusement et insidieusement? Mais au point de faire que nos enfants mâles ( comme à notre époque les filles) ne soit rien et arrachés à l'affection de sa mère, pour être élevés dans un centre et endoctrinés pour devenir des enfants sans âme. Voilà la poudre aux yeux que lance ce sujet: Inverser les rôles est ce la solution?
J'ai énormément aimé ce livre, très bien écrit, sans fioriture, avec de vrai question, et oui les personnages principaux ne sont que des ados, mais dois t'on y prendre moins cas, à cause de leur âge ? D'ailleurs dans cette univers, l'âge n'est pas important, mais plutôt les convictions et l'envie de changement.
Pour moi ce n'est pas un livre pour ado au contraire, on peut le lire à tout âge et plonger dans ce monde en suivant se soulèvement de l'être l'humain, pour redevenir un humain heureux et libre, quelque soit notre sexe.
Une suite est à prévoir j'ai hâte de la découvrir.
Coup de ♥ !
Dès que j’ai lu le résumé, j’ai de suite eu envie de lire ce roman. Une dystopie ? Check. Un monde où les nanas gouvernent ? Check. D’ailleurs y en a de plus en plus avec ces thèmes : dystopie + matriarcat.
J’étais toute excitée de recevoir ce roman et surtout de le commencer. J’ai vu des avis positifs et j’avoue que c’était rassurant. Y en a un qui disait que « dès la première page, nous sommes dedans », un truc comme ça. Sincèrement cette personne n’a pas tort. Dès les premières pages, j’étais dedans. Nous comprenons en 2-3 pages, le monde où les femmes étaient des objets (pire que maintenant), que les hommes étaient tout puissant et qu’une femme a réussi à renverser la cadence. Rien que là, poufff c’est génial. Nous partons directement environ 300 ans après cette nouvelle ère créée par une femme. Nous voyons Erine, une jeune femme de 16 ans, qui va avoir son Masculin (= jouet pour femme en gros), qui sont vraiment des hommes, lors de la Cueillette. Numéro 400 l’intrigue. Ouais NUMÉRO. Pourquoi ? Il est différent des autres Masculin. Il faut savoir que les Masculins (ils sont perdus le droit du mot « homme »), ont une puce au niveau du cerveau qui les contrôle et donc sont… comme des robots. Des jouets quoi.
Et qu’est-ce que j’ai pensé de l’histoire ? BOUYYYYYYYYYYYA.
Les premières pages m’ont captivé. C’est le journal d’une femme. Quand on bascule au niveau d’Erine, on se très vite compte de cette société, de comment elle est. On se rend vite compte que c’est une dictature version féminine. En gros y a toujours les mêmes règles de base mais c’est juste des femmes qui gouvernent. HA HA. Les mêmes maux sont toujours présents, y a toujours un règlement strict, avec un contrôle limite en permanence des citoyennes. Une société autoritaire en fait. Ces dernières, la plupart, ne s’en rendent pas compte. Elles sont embrigadées dans ce monde, endoctrinées, puisqu’elles sont élevées dans cette idéologie. Comme pour toutes les sociétés. Heureusement, qu’ici, certaines se rendent compte de la vérité. Bref, elles en deviennent des femmes objets, limites superficielles. On leur met des œillères, on leur donne des idées, des passions pour faire oublier tout le reste. L’importance d’être jeune qui est très mis en avant et malheureusement typiquement féminin. Ce sont des femmes dans leur bulle, dans leur vie et dans leur envie. Y a une catégorisation sociétale également. Très carré. Ouaip’. C’est impressionnant cette considération pour l’homme en tant que jouet qu’on peut changer à sa guise, enfin limite. Grâce, enfin « grâce », à la puce, le Masculin obéit au moindre désir de sa maîtresse. Flippant. Je pensais souvent au mot : viol. Ils ne sont pas considérés comme des êtres vivants doués de sentiments. J’avais vraiment mal pour eux et comment les femmes les voient.
« Et là, d’un coup, je vois ses yeux embués de larmes. À ce moment, mon cœur s’attriste. Seigneur, qu’arrive-t-il aux Masculins s’ils ne sont pas choisis ? »
Du coup, pour l’histoire ? Elle est vraiment géniale. Nous suivons Erine qui nous apprend énormément sur son monde. Elle est divisée entre sa société, sa culture ainsi que tout ce qu’elle apprend. Son environnement familial l’aide un peu. Elle va se poser énormément de question. Erine est curieuse, aime connaître les réponses à ses questions, différente par rapport aux autres, pas superficielle, la beauté elle en a rien à faire par exemple. Néanmoins le conditionnement sociétal, de son éducation, du fonctionnement de cette société, persiste malgré son envie de changer. Rien que comment elle voit son père parfois, ça m’a perturbé. On la voit combattre ces deux facettes. Sa rencontre avec 400, va lui faire modifier certaines visions sans pour autant oublier qui elle est. (Dieux merci !). Il est différent et va aider dans beaucoup de domaine notre héroïne. J’avais peur qu’on mette le mâle protecteur en avant. Ce n’est pas du tout le cas. Ça n’oublie pas les personnalités. Et le « la femme forte » est perturbant. =P
D’autres personnages renforcent l’histoire. C’est vraiment diversifié et un peu classique quelquefois sur les bords. Certains on apprécie, d’autres non. La plupart sont attachants, je me suis très attachée à notre Erine et à 400. Son nom à ce dernier va changer mais je ne dévoile pas. ;)
Et l’histoire dans tout ça ? Elle est captivante, saupoudrée de romance et évolue à son rythme, le temps de nous chauffer et d’apprendre à connaître ce monde. J’étais souvent surprise. L’autrice a su crée un monde original, un contexte prenant et une base fabuleuse qui nous a pas tout montré. Je ne m’attendais pas du tout à ça. Certes y a beaucoup de thèmes et de domaines classiques mais ça ne change rien au rythme entraînant et de plus en plus vite. Comme c’est un premier tome, nous n’avons pas tout mais ce qu’il faut pour nous languir de la suite, pour nous donner l’eau à la bouche et pour nous étonner aux premières révélations. Des morceaux nous poussent à continuer, à aiguiser notre curiosité. J’aurais aimé un peu plus de piment et d’enrichissement, mieux dans la cadence. L’épilogue m’a assez surprise. Je me suis laissée tellement embarquer par cette histoire (vas-y Erine, découvre les rebelles !), cette envie d’égalité et de liberté (des sexes) que je ne me suis pas posée beaucoup de questions sur certains éléments. J’ai été surprise mais en même temps, c’est un soulagement car l’autrice n’a pas bâclé des énigmes et donc même si les mystères sont toujours présents, on a qu’une hâte c’est de connaître très vite la suite !! N’empêche, je rigolais tellement à des situations.
C’est un premier tome entraînant et vraiment captivant. Des personnages attachants, nombreux et d’autres détestables. Une dystopie réussie dans cette dictature, cette société autoritaire qui nous surprend au fil des pages. Tout ce que j’ai envie, c’est de ne pas quitter ce monde, découvrir les mystères encore non révélés et surtout de savoir la suite !
Un livre qui trouve parfaitement sa thématique dans la problématique actuelle. Et si les femmes dominaient le monde? Un véritable page turner hautement addictif. A ne pas commencer vers 21h si vous ne voulez pas y être encore à 4 heures du matin. Je ne peux que le recommander chaudement.
Un univers qui m'a l'air bien intéressant, orignal, mais je n'ai malheureusement pas pu aller jusqu'au bout, même en essayant plusieurs fois...
Dans un futur très éloigné du nôtre, après que les hommes aient imposé leur dictature aux femmes, celles-ci ont désormais le pouvoir et les hommes ne sont réduits qu'à être leur esclaves. C'est l'ère du Renouveau. Chaque homme est conditionné dès leur naissance pour leur obéir une fois adulte. Ils sont programmés par la suite afin qu'ils conviennent parfaitement à leurs maîtresses...
C'est tout ce que je peux vous révéler de l'histoire car je n'ai pas lu suffisamment pour savoir ce que cache Numéro 400, le Masculin clé de cette histoire. En effet, j'ai arrêté au bout d'une centaine de pages (sur mon téléphone, ce qui peut être différent sur un autre support), et si je sais qu'il est différent des autres, je ne saurai pas en quoi. Pourtant, j'ai bien envie de le savoir, cette dystopie m'intrigue encore à l'heure où j'écris ces lignes, l'idée est très intéressante et bien développée pour ce que j'en ai lu mais l'écriture aura eu raison de moi...
« Ses cheveux qui sont bien trop longs me gênent que je lui demande de baisser la tête en avant. »
Ce genre de phrases, ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres et ce n'est certainement pas la pire. C'est la dernière que j'ai lu avant de m'arrêter. Pourtant, j'ai eu envie de le faire bien avant mais j'ai essayé de faire abstraction de tout ce qui me dérangeait parce que l'intrigue me plaisait pas mal, bien qu'elle se développe un peu trop lentement à mon goût. Toutefois, les chapitres sont courts et ça aide grandement à l'avancée de la lecture.
Pour en revenir à ce qui m'a gênée, c'est ce genre de phrases qui ne sont pas très françaises, ou qui ne vont pas avec la précédente, ou encore ces coquilles oubliées bien trop souvent (des mots à la place des autres, ou simplement oubliés). Je ne m'y arrête pas en temps normal, ça arrive et ça ne gêne pas forcément mais, ici, c'est trop régulier... Sans compter les oublis de tirets pour le dialogue ou bien les phrases qui ne font pas partie d'un dialogue et qui ont tout de même un tiret devant... C'est perturbant. Gênant.
J'ai persisté mais à un moment, je pense que la lecture doit rester un plaisir et, clairement, ça ne devenait plus le cas...
C'est dommage que le texte n'a pas été relu plus que ça car l'intrigue et les éléments donnés au compte goutte donnent envie d'en savoir plus, d'autant plus que l'univers a l'air assez original et riche en idées. Je pense le retenter malgré tout si une vraie relecture est faite un jour.
Merci à NetGalley et Libranova pour cette découverte.
Avec A Girl Utopia, nous entrons dans un univers futuriste où les femmes sont au pouvoir, et où les hommes, nommé les Masculins, n’ont aucun droit. Ils ne sont que des géniteurs. Dès les premières pages, on fait la connaissance d'Erine, qui va bientôt fêter ses 16 ans. Elle devra donc participer à un événement important, celui de la Cueillette. Toutes adolescentes qui sont âgées de 16 ans doivent choisir, à ce moment, leurs Masculins. Notre héroïne est comme sa mère, très libérale. Elle n'accepte pas de voir ces derniers comme des esclaves. Elle finit par rencontrer le numéro 400, et elle sent tout de suite qu'il n'est pas comme les autres. Dès cet instant, elle fera tout pour découvrir son secret.
Même si le scénario peut éveiller la curiosité, il est desservit par une écriture qui n'a pas su me charmer. J'ai tout de même été au bout de ma lecture, voulant découvrir le fin mot de ce premier tome. Le personnage principal, Erine, se révèle au fil des pages. Elle fait preuve de beaucoup de courage dans sa quête pour découvrir la vérité. Je n'ai toutefois pas été convaincue par sa relation avec son masculin qui est très platonique.
En bref, ce premier tome aurait besoin de plus de profondeur selon moi. Le scénario et l'univers sont intéressants, mais on y sent des lacunes. C'est bien dommage.
Les lecteurs qui ont aimé ce livre ont aussi aimé :
Véronique Grisseaux, Li Lu, Akimaro, Jenny Han
Adolescent & YA, BD, Manga & Romans graphiques, Romance