
La maîtresse de Clarewood
par Brenda Joyce
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Date de parution 1 nov. 2018 | Archivage 1 janv. 2019
Harlequin France | Harlequin
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Résumé
Après le décès de sa mère, Alexandra Bolton a dû renoncer à ses rêves de jeune fille pour se consacrer à l'éducation de ses sœurs. Une tâche d'autant plus ardue que leur père a préféré noyer son...
Formats disponibles
FORMAT | Ebook |
ISBN | 9782280410014 |
PRIX | 6,99 € (EUR) |
PAGES | 512 |
Chroniques partagées sur la page du titre

Un héros légèrement crispant de temps en temps, mais une histoire plutôt réussie.
Pour qui : Pour les amateurs de romance historique.
Mon avis : Le personnage d’Alexandra est intéressant. La jeune femme a du laisser de côté ses espoirs de mariage et de vie indépendante lors du décès de sa mère pour s’occuper de ses petites soeurs. Et ce n’est pas son père qui va aider la famille à s’en sortir : tout à son désespoir, il passe son temps à faire des paris et à boire l’alcool qu’il peut trouver. Pourtant Alexandra ne se démonte pas, garde son calme, et tente de sortir la tête de l’eau. Elle s’occupe des raccommodages des robes de bal des dames de la haute société dont elle faisait partie jusqu’alors. Et lorsque M. Denney lui présente ses hommages et lui démontre de l’intérêt, elle se dit qu’un mariage de raison peut l’aider à faire sortir ses soeurs de cette atmosphère pesante. Mais le sieur en question n’est pas des plus « appétissant », contrairement au duc de Clarewood…
J’ai aimé les passages qui se concentrent sur Alexandra. En revanche le duc m’a paru une tête à claques assez désagréable. Prétentieux, très sûr de lui, il traite les femmes (dont Charlotte qui, on est d’accord, n’est pas notre personnage préféré mais bon…) comme des moins-que-rien, bref, j’ai été un peu déçue par ce héros.
En bref : Une histoire agréable à lire mais un héros un peu décevant.

Il y avait très longtemps que je n’avais pas lu une romance de Brenda Joyce, aussi quand j’ai vu que ce titre était disponible sur Netgalley, je me suis dépêchée de le demander. Ce que j’aime chez cette auteure c’est qu’elle conçoit des intrigues amoureuses compliquées entre deux êtres que tout oppose car ils possèdent un orgueil démesuré qui les empêche de comprendre pendant une bonne partie du roman qu’ils sont faits l’un pour l’autre.
« La maîtresse de Clarewood » n’échappe pas à cette règle puisqu’elle met face à face Alexandra Bolton, fille aînée d’un aristocrate ruiné et alcoolique qui dilapide le moindre sou dans le whisky, et Stephen Mowbray, duc de Clarewood. Ils se plaisent immédiatement dès la première fois qu’ils se voient mais le caractère, le statut social de l’un et l’autre vont constituer de multiples obstacles avant une fin, certes, évidente, mais qui nous aura fait passer par tout l’arc-en-ciel des émotions. Je me suis même surprise à avoir les larmes aux yeux en lisant les tourments subits par Alexandra. Il lui en faut de la constance et de la force pour résister aux événements qui lui tombent dessus dès qu’elle rencontre le fameux Duc, parfois particulièrement obtus. Mais c’est là, la force de Brenda Joyce, on parvient à apprécier des personnages antipathiques, parfois même cruels, au premier abord, car elle parvient toujours à glisser quelques allusions qui changent notre regard. Stephen est l’être qu’il est car il a été façonné par un père particulièrement détestable. Cela n’excuse pas complètement son comportement mais permet à Alexandra de mieux le comprendre. J’ai donc retrouvé avec plaisir cette auteure qui m’a fait passer un très bon moment de lecture.
Je remercie encore une fois Netgalley et les Editions Harlequin d’avoir pu redécouvrir Brenda Joyce.