La vie d'une femme au milieu d'un clan masculin que peut être le monde des chevaux. Elle nous dévoile sa passion pour les chevaux, le lien qu'elle a eu avec chacun d'entre eux. Beau parcours de vie plein de courage.

A vrai dire, j'ai trouvé que c'était très jolie et pour les fans d'équitation et de chevaux en règle générale, ça plaira beaucoup mais je n'ai pas spécialement quelque chose à dire sur ce livre.

J’ai vu ce titre sur Netgalley et moi qui aime les chevaux, je me suis laissée tentée par ce livre.

Le monde des courses de chevaux, je le connais peu alors cette lecture fut intéressante à lire.

Nous faisons la connaissance de Celou qui nous raconte sa vie avec les chevaux. Comment elle en est arrivée à devenir lad jockey.

On la suit au travers de ses différentes écuries ou elle a passé plus ou moins de temps.
J’ai aimé voir des noms de jockey que j’ai connue plus jeune.
J’ai beaucoup apprécié Célou et sa manière de faire avec les chevaux.

Elle a su les écoutés et eux ont su être attentifs à elle.
J’ai pleuré quand elle a perdu des chevaux dont elle s’occupait.
J’ai ragé quand certains jockeys n’écoutaient pas ses conseils.

Les lads ou les grooms sont les personnes qui passent le plus de temps auprès des chevaux, ce sont eux qui les connaissent le mieux.
Les Jockeys ou cavaliers de concours qui ne font que monter dessus le temps de la course ou du concours devraient écouter plus les personnes qui s’occupent des chevaux H 24.

J’ai beaucoup ri aux cascades que certains chevaux ont fait faire à Célou et me suis demandé comment elle faisait pour réussit a rester en selle avec certaines descriptions de cabrioles.

Lire ce livre m’a ramenée à mon adolescence quand je travaillais en centre équestre.

Si vous aimez le récit d’une vie, si vous aimez les chevaux, si voyager de la Provence au 77 puis à Chantilly pour finir aux USA vous tente, et bien cette lecture devrait vous plaire.

Un grand merci à Bookelis et NetGalley de m'avoir permis de lire ce livre.

Ce récit autobiographique nous fait voyager. Il m'a apporté un nouveau regard sur les chevaux !

Ce livre est le récit d'une histoire familiale. Je trouve que c'est une grande richesse pour les membres de cette famille et particulièrement pour les descendants d'avoir accès au passé de leurs aînés.
C'est une histoire très personnelle qui touchera certainement les différents protagonistes ou bien ceux qui les ont connus ou côtoyés. C'est une série d'anecdotes dont les enfants de la famille raffolent en général. En effet, bien souvent les enfants réclament que leurs parents ou grands-parents leur racontent ce qu'ils ont vécu dans leur jeunesse. En cela, cet ouvrage est riche et trouve toute sa place dans le patrimoine de cette famille.

Ce livre peut donner des envies à d'autres de rédiger leurs mémoires afin de laisser une trace pour les générations futures.

Je remercie NetGalley et les éditions Boukelis pour l’envoi de ce livre de Célou Bonnet Lorenzi, À l’écoute des chevaux.
Ce livre m’intéressait pour le thème du cheval et le parcours de cette ancienne cavalière d’entrainement, autodidacte. Il s’agit du récit de sa vie et de sa carrière, de la Provence à la Californie, une autobiographie très détaillée, une immersion dans le milieu des écuries de chevaux de courses et dans le travail quotidien peu valorisé des lads, des garçons de piste et des cavaliers d’entrainement, un monde où peu de femmes interviennent.

Le début du livre m’a un peu déroutée car l’auteure remonte l’arbre généalogique de sa famille pour expliquer son patronyme à la fois italien et français et pour mettre, sans doute, l’accent sur ses origines modestes. D’emblée, l’écriture m’a semblé peu maîtrisée, un peu trop scolaire ; j’étais déçue et un peu agacée par cette histoire familiale, certes touchante et digne d’intérêt, mais qui semblait plaquée, posée là sans effort ni préparation.
Je sentais trop l’adulte derrière le JE adolescent et en même temps, j’avais l’impression de lire une longue rédaction de collégien, relevant çà et là des maladresses dans le texte. Beaucoup plus avant dans le livre, elle insère même des poèmes qu’elle a écrit pour des chevaux et manifestement, elle est plus à l’aise en selle que la plume à la main…
Enfin, vers la fin de cette autobiographie, elle évoque son intérêt pour la sculpture. Encore une fois, cela fait plaqué, rajouté, alors que ce versant artistique de la vie de l’auteure a dû être aussi longuement mûri avant d’être exploité.

Quand le vocabulaire devient plus technique, que l’auteure nous parle de ses premières expériences dans le milieu hippique, j’ai moins fait attention à ces détails littéraires et continué ma lecture en ayant à l’esprit qu’il s’agissait à présent d’un témoignage in situ sur son travail de lad cavalière dans un milieu difficile et masculin et sur sa relation privilégiée avec les chevaux. Mais l’ensemble restait très factuel, souvent trop détaillé et anecdotique, et l’émotion n’était pas au rendez-vous.
Et surtout, c’était long et répétitif, peut-être trop chronologique, d’où un effet catalogue dans une succession de lieu de travail et de chevaux travaillés, d’accidents divers et variés et de courses gagnées ou perdues. Célou Bonnet Lorenzi dit elle-même qu’elle se répète beaucoup, consciente de ses défauts, mais pas assez cependant pour les corriger.
Pourtant, elle a eu une vie passionnante, d’abord par son amour des chevaux, son approche pleine d’humilité, sa compréhension profonde et innée de leurs comportements, allures et postures. En outre, elle a côtoyé les plus grands de la discipline, des grands propriétaires, des entraineurs et des jockeys et fait de très belles rencontres : tout le monde ne surnomme pas Yves Saint-Martin « Tintin »...
Je salue la personnalité et le chemin parcouru par cette femme exceptionnelle mais sa biographie, telle quelle, n’est pas l’écrin qu’elle aurait, à mes yeux, mérité.

Mes passions équestres tournent davantage autour de l’endurance et de la randonnée ; je pratique l’attelage et je m’occupe avec amour, patience et humilité de nos chevaux.
J’ai découvert avec ce livre un milieu où tout va beaucoup trop vite par rapport au rythme d’apprentissage et au ressenti des chevaux et cette ambiance particulière ne me convient pas ; plus subjectivement, il m’a manqué la poésie et l’émotion.

Une déception…

#ALécouteDesChevaux #NetGalleyFrance