L'ami

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Date de parution 21 août 2019 | Archivage 29 janv. 2020

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Résumé

« - Je vais te dire pourquoi j’ai tenu à te parler.
À ces mots, pour une raison mystérieuse, mon coeur se met à battre dans ma poitrine.
- C’est au sujet du chien.
- Du chien ?
- Oui, je voulais savoir si tu serais d’accord pour le prendre. »

Quand l’Épouse Numéro Trois de son meilleur ami récemment décédé lui fait cette demande, la narratrice a toutes les raisons de refuser. Elle préfère les chats, son appartement new-yorkais est minuscule et surtout, son bail le lui interdit. Pourtant, elle accepte. La cohabitation avec Apollon, grand danois vieillissant de la taille d’un poney, et cette écrivaine, professeure à l’université, s’annonce riche en surprises.

Magnifique exploration de l’amitié, du deuil, de la littérature et du lien qui nous unit aux animaux, L’Ami est un texte unique en son genre.

Traduit de l’anglais (États-Unis) par Mathilde Bach

« - Je vais te dire pourquoi j’ai tenu à te parler.
À ces mots, pour une raison mystérieuse, mon coeur se met à battre dans ma poitrine.
- C’est au sujet du chien.
- Du chien ?
- Oui, je voulais savoir...


Formats disponibles

FORMAT Ebook
ISBN 9782234088085
PRIX 7,49 € (EUR)
PAGES 288

Chroniques partagées sur la page du titre

Une lettre ouverte d’une professeur d’université à son ami écrivain qui vient de se suicider.
Un très beau texte sur l’écriture, ses pouvoirs mais aussi ses exigences. Des références multiples à des auteurs célèbres viennent pimenter le roman.
Comment faire son deuil ? La narratrice va trouver une bouée de sauvetage en la personne d’un chien, héritage de son ami défunt.
De très beaux passages, très émouvants, sur les liens qui peuvent unir l’homme à un animal à quatre pattes.
L’alternance dans la narration entre les passages sur l’écriture et la survie de tous les jours de la narratrice sont un peu déstabilisants.

Une fin inattendue signe ce très bel hommage à la création littéraire.

Merci à Netgalley de m’avoir permis de découvrir cette écrivaine.

Cet avis vous a-t-il été utile ?

Une réflexion intéressante sur le deuil, la littérature, la relation homme-chien. Agréablement érudit (référencé).

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Bien sûr nous sommes dans un roman sur le deuil. Il s'agit de deux êtres qui vénéraient le défunt, l'un parce qu'il était son maitre, l'autre parce qu'il était son maitre à penser. L'autrice et Apollon, le chien de son feu ami, vont chacun se servir de béquille devant cette perte incommensurable. Mais ce roman ne se résume pas qu'à cela, il s'agit aussi de l'écriture, de la position de l'écrivain, de l'importance de l'écrit et c'est passionnant. Et puis le retournement de situation à la fin de l'ouvrage, excellent. Merci à l'auteur, à la traductrice et bien sûr à l'éditeur.

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Un roman écrit comme un journal. Au décès de son meilleur ami, la narratrice se voit léguer un grand danois nommé Apollon, chien du défunt ami.

Entre la découverte de l'animal, de son caractère, de ses habitudes de vie; la réflexion sur la vie et le décès de son ami, c'est une vie quotidienne qui nous est racontée.

C'est drôle, vivant, et le lien entre la narratrice et le chien, est bien raconté, finement, avec douceur et temps. Ce qui en fait une lecture agréable.

J'aime beaucoup la couverture, joyeuse, tendre et drôle, tout comme l'histoire !

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"C'est que j'ai dit au psy: qu'il ne me manque plus ne me rendrait pas heureuse, pas du tout."

Rien en apparence ne pouvait lier le destin de la narratrice, écrivaine et professeure à l’université, et celui d'Apollon, grand danois vieillissant et bien trop encombrant pour son minuscule appartement new-yorkais, où d'ailleurs les chiens sont interdits.
Et pourtant, quand l’épouse numéro trois de son meilleur ami récemment décédé lui demande instamment de recueillir le chien de la taille d'un poney, la narratrice accepte.
Commence alors une cohabitation d'abord chaotique, où on se demande si le chien ne va pas prendre le dessus sur sa bienfaitrice, puis plus harmonieuse. Relation durant laquelle l'écrivaine revient en profondeur sur les liens compliqués avec celui qui fut son mentor, fugitivement son amant , et sur la douleur qu'elle ressent à la suite de ce deuil.
L'ami c'est à la fois celui qui est décédé ,mais aussi l'animal qui va lui permettre de poser des mots sur sa douleur et avec lequel va s'établir une amitié profonde.
La narratrice réfléchit aussi sur les fonctions de l'écriture et sur les modifications profondes qu'entraîne cette relation entre Apollon et elle, qui l'aide à accepter le manque car "Ce qui nous manque-ce que nous avons perdu, ce que nous pleurons-, n'est-ce pas au fond ce qui nous fait tels que nous sommes vraiment ?".
La fin est déchirante et , toute en retenue , m'a fait venir les lames aux yeux.
Un récit bouleversant qui analyse ,sans sensiblerie, mais avec beaucoup de justesse, les liens qui nous unissent aux animaux, aux autres humains et permet aussi de réfléchir aux renoncements nécessaires quand le bout du chemin approche. Un grand coup de cœur.


Et zou sur l’étagère des indispensables.

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Un livre captivant aux multiples thématiques : le deuil, l’amitié, l’amour, l’écriture, la littérature, les animaux domestiques…
Un roman, à l’écriture belle et intimiste.
Une lettre ouverte à un ami, qui s’est suicidé et qui, ensuite, se transforme petit à petit en autre chose que je vous laisse le soin de découvrir.
Un roman fait d’ellipses, d’analepses, de mises en abyme...
Un roman sur l’amitié entre un animal et une femme, sur la littérature qui est au centre de sa vie, et en parallèle une démonstration très réussie de certains points qu’elle met en exergue, à travers ce récit justement.
Un livre poignant, fort et marquant !
Un grand merci à Net Galley et aux Éditions Stock pour cette belle découverte !

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La narratrice est professeur d’université et écrivaine. Lorsque son meilleur ami (et mentor) se suicide, elle hérite de son chien, Apollon, un grand danois. D’abord aussi incongru dans sa vie que dans son petit appartement new-yorkais, Apollon se créé une place aux côtés de la narratrice alors en plein travail de deuil.
L’auteur propose ses réflexions sur des thèmes qu’on n’aurait pas forcément pensé à associer : le deuil, l’écriture, la vie d’écrivain et la relation qui se noue entre une personne et son chien. Ce mélange fonctionne grâce à la plume de l’auteur qui saisit notre époque avec assez de justesse et de piquant pour retenir l’attention et l'intérêt du lecteur.

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La narratrice est écrivaine et professeure de littérature dans une fac new-yorkaise. Son mentor et ami de toujours vient de mourir inopinément, en lui léguant Apollon, un immense dogue allemand. Au choc du décès s’ajoute le devoir de s’occuper désormais de ce chien énorme, dans un appartement minuscule où, en principe, les animaux ne sont pas autorisés. En plus de son propre chagrin, la narratrice doit donc faire face aux menaces d’expulsion de son propriétaire, et à la souffrance d’Apollon, déboussolé par la disparition soudaine de son maître, qu’il ne comprend pas. Pendant que ses amis s’inquiètent de son obsession pour son nouveau compagnon, la narratrice parvient à établir un contact, une connivence, avec Apollon et à le sortir de son abattement.
Ecrit à la deuxième personne, cette élégie pour un ami décédé explore les thèmes du deuil et de son dépassement, du suicide et des raisons qui y poussent, et de la création littéraire. Mais le sujet principal de ce roman, c’est évidemment l’amitié, celle qui existe entre les humains, et celle entre les humains et leurs animaux domestiques. Au point qu’au final, on se demande qui est, en réalité, “l’ami” du titre…
Terriblement mélancolique, ce texte est écrit avec élégance, justesse, intelligence, et beaucoup de coeur. Serait-ce là les composantes d’une amitié entre un humain et un livre ?
En partenariat avec les Editions Stock via Netgalley.
#Lami #NetGalleyFrance

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