Les yeux des ténèbres
par Dean Koontz
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Date de parution 9 avr. 2020 | Archivage 27 mai 2020
Editions de l'Archipel | Suspense
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Résumé
Un thriller prophétique
En exclusivité numérique dès le 9 avril 2020 !
roman traduit de l’américain par Jacqueline Lenclud
Le roman prévoyait même la période où l’épidémie se propagerait : vers l’an 2020.
Les symptômes de ce micro-organisme viral, issus de l’arme biologique nommée Wuhan-400, ressemblent à s’y méprendre à ceux du coronavirus Covid-19– : vertiges, fièvres, courbatures, nausées…
Dans le monde entier, journalistes et bloggeurs ont relevé cette série incroyable de coïncidences avec l’épidémie actuelle qui a déjà affecté plus de 100 000 personnes et tué 4000 d’entre elles.
Épuisé depuis vingt ans, ce roman prémonitoire est réédité aux éditions de l’Archipel, éditeur de Dean Koontz. Vendu depuis sa parution, ce suspense aujourd’hui prophétique s’est vendu à 3 millions d’exemplaires dans le monde. Nul doute qu’il va sans aucun doute continuer à essaimer…
Un thriller prophétique
En exclusivité numérique dès le 9 avril 2020 !
roman traduit de l’américain par Jacqueline Lenclud
Le roman prévoyait même la période où l’épidémie se propagerait : vers l’an...
Ils recommandent !
Dans les années 1980, Dean Koontz, l’auteur de thrillers aux 450 millions d’exemplaires vendus, imaginait l'apparition, dans la ville chinoise de Wuhan, d’un virus à même de tuer en se propageant dans le monde entier par simple voie respiratoire… Son nom : Wuhan-400. Aujourd'hui, la prophétie s’est réalisée.
Traduit dans près de quarante pays, Dean Koontz a vendu plus de 450 millions d'exemplaires de ses romans dans le monde. Les trois premiers volets de sa nouvelle série mettant en scène Jane Hawk ont paru à l'Archipel : Dark Web (2018), La Chambre des murmures (2019), L’Escalier du Diable (2020). Les deux premiers sont disponibles en Archipoche, tout comme La Nuit des cafards. Les Yeux des ténèbres a initialement été publié par Pocket en 1991.
Dans les années 1980, Dean Koontz, l’auteur de thrillers aux 450 millions d’exemplaires vendus, imaginait l'apparition, dans la ville chinoise de Wuhan, d’un virus à même de tuer en se propageant...
Formats disponibles
FORMAT | Ebook |
ISBN | 9782809829099 |
PRIX | 9,99 € (EUR) |
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Chroniques partagées sur la page du titre
Alors oui, ce livre a été écrit il y presque 40 ans et oui effectivement l’auteur fait clairement référence à un virus qui a été créé à Wuhan… Ok la coïncidence est assez folle!! Mais est ce le sujet principal de ce livre ? Non.Va t-il vous déclencher des crises d’angoisses vu le contexte actuel ? Non . Je le redis ce n’est pas le sujet principal du livre.
Parce que ça serait dommage de passer à coté à cause du sujet « virus », surtout si comme moi vous êtes une grande fan de STRANGER THINGS ( il n’y a pas de démon Gorgon…où alors il est symbolisé par le virus ?), mais entre l’ambiance des années 80 et la disparition d’un enfant et le désarroi de Tina…on ne peut que penser à Joyce et Will.
J’ai été happée par la détresse, l’angoisse, les doutes, l’impression de sombrer dans la folie de Tina , comme je l’ai été par Joyce dans la série.
Alors oui, ce livre est angoissant …mais pas pour cette histoire de virus…c’est « juste » la peur primale d’une mère pour son fils.
BREF…J’AI BEAUCOUP AIMÉ CETTE LECTURE, MAIS EN BANDEAU J’AURAIS PLUS MIS : LE LIVRE QUI A INSPIRÉ (EN PARTIE) STRANGER THINGS . MAIS EFFECTIVEMENT, ON NE PEUT LUI RETIRER LA RÉFÉRENCE TROUBLANTE AU COVID 19…MAIS CELUI DU LIVRE EST BIEN PIRE….
Il est disponible dès aujourd’hui en ebook
MERCI AUX EDITIONS L’ARCHIPEL, MYLENE ET NETGALLEY POUR CETTE LECTURE
Période de confinement oblige, je me suis attelée à ce roman, écrit en 1981, mais qui a enflammé les réseaux sociaux puisqu'il aurait annoncé le coronavirus. le nom du virus ? Wuhan-400. Alors, si vous voulez lire quelque chose qui parle des symptômes, de la maladie, d'un confinement, passez votre chemin. Ce n'est pas ce qui vous intéresse en ce moment ? Vous avez envie de frissonner, de déjouer une conspiration, de communiquer avec des esprits ? Laissez vous entrainer !
Tina a perdu son fils un an auparavant dans un accident de bus, lors d'une sortie scout. Après son divorce, elle réussit à réaliser un spectacle à Las Vegas et fait la rencontre d'Elliot, avocat. Tout pourrait bien aller mais depuis quelques temps, des choses étranges se passent et des messages "pas mort, pas mort" apparaissent sur des tableaux ou des ordinateurs. Elle pense devenir folle. Elliott décide alors de l'aider à faire son deuil en demandant l'exhumation du corps de Danny, son fils, qu'elle n'a pas pu voir car trop abîmé. Les héros semblent alors poser problème à de mystérieux agents (du gouvernement ?) qui semblent cacher de lourds secrets à la population américaine. Ce roman se passe en quatre jours, le rythme est haletant et nous tient en haleine jusqu'à la dernière page (vous comprendrez pourquoi il y a quelques ressemblances avec le covid-19). Dès le deuxième jour, les éléments se mettent en place et s'imbriquent. Un très bon moment de lecture et un auteur reconnu que j'ai découvert avec grand plaisir. Un mot enfin sur la nouvelle couverture (un coronavirus) qui est une vraie réussite. Bravo aux Éditions l'Archipel !
Les Yeux des Ténèbres (The Eyes of Darkness) est un ouvrage de Dean Koontz écrit en 1981.
Pourquoi une critique de cet ouvrage en 2020 ? Car, depuis longtemps indisponible en France, il s’apprête à être réédité par les Éditions Archipel. La raison en est que cet ouvrage d’un des maîtres de la terreur a connu ces dernières semaines une popularité virale sur les réseaux sociaux, car mentionnant un mystérieux virus issu de Wuhan, en Chine.
Toutefois, ce n’est pas l’histoire d’une pandémie mondiale. Pour cela, vous pouvez vous tourner vers Le Fléau, d’un autre maître de l’horreur, Stephen King.
Ce roman suit l’histoire de Christina Evans, réalisatrice de spectacles pour les grands hôtels de Las Vegas. Tina Evans, divorcée d’un dealer de Black Jack, a perdu son fils, Danny, âgé de 11 ans, dans un accident de bus lors d’une randonnée en montagne. Elle n’a pas pu voir son corps, l’enterrement s’étant déroulé cercueil fermé au vu de l’état de la victime.
Longtemps traumatisée par cet événement, pensant parfois même son fils toujours vivant, elle espérait avoir passé un cap, à la veille de la première de son plus grand spectacle. Elle y fait par ailleurs la rencontre d’un avocat, Elliot Stryker, qui fit autrefois partie des services de renseignement de l’armée.
Mais, les cauchemars sur son fils sont revenus. Et, ces cauchemars prennent forme dans la réalité lorsque des événements de type Poltergeist surviennent dans sa maison et qu’elle retrouve, écrits sur le tableau de la chambre de son fils, les mots « PAS MORT ».
Pensant d’abord à une mauvaise blague de son ex-mari, une succession d’événements la persuadent que son fils est en vie, captif, et en proie à des phénomènes surnaturels. Elle se lance alors en quête de celui-ci, accompagnée d’Elliot Stryker, ce qui les mettra sur le chemin d’une vaste conspiration.
La traduction en français de cet ouvrage laisse à désirer. On n’y retrouve pas la magie des mots du maître Dean Koontz. Même si cette traduction a été révisée, on sent également qu’elle date. Les dialogues sonnent souvent faux, et peu d’entre nous se souviennent encore de ce qu’était le « Deuxième Bureau ».
Malgré cela, ce livre au rythme rapide reste captivant. La narration à la troisième personne alterne les points de vue des différents personnages, des deux côtés de la barrière, et les événements se déroulant sur une poignée de jours, plusieurs chapitres décrivent des faits se déroulant simultanément. Cela donne à l’histoire un caractère très prenant, et il est difficile de poser ce roman une fois qu’on l’a commencé.
Ce livre a été publié une première fois en 1981 sous un pseudonyme. Probablement car il relève plus du thriller que de la littérature horrifique auquel l’auteur était déjà un habitué. Il a été réédité dans une version révisée sous le nom de Dean Koontz en 1996. C’est là que le virus, originellement russe, est devenu chinois, car la guerre froide était derrière nous. Dean Koontz n’est donc pas un prophète, mais juste un excellent auteur. Et c’est bien suffisant.
Remerciements aux Editions Archipel et à Netgalley pour l’exemplaire fourni en échange de cette critique objective.
L’édition de livres étant perturbée par les événements bien réels que nous subissons en ce moment, ce roman sortira d’abord en version numérique le 9 Avril 2020. Une édition physique est prévue, à ce jour, pour le 20 Mai 2020
Ce roman paru initialement en 1981 a fait l'objet depuis la pandémie du covid19, d'un véritable phénomène sur la toile. Vu comme "annonciateur" de la situation mondiale actuelle, rassurez-vous, il ne s'agit pas non plus d'un roman qui ne parlerait que de pandémie, de contagion, de virus, de mort, et autres joyeusetés. Au contraire, c'est plutôt un bon thriller psychologique avec une bonne petite dose de surnaturel.
La question de ce virus "Wuhan400" n'apparaît en effet qu'assez tard dans l'intrigue, et son évocation ne s'étend que sur quelques pages (c'est vrai qu'en ce moment on n'a pas forcément envie de rajouter une couche de corona à un autre pan de nos vies).
Nous allons donc suivre Tina et Eliott sur quatre jours. Après avoir tranquillement planté le décor et les situations de chacun, l'auteur nous plonge dans l'action illico macias dès le troisième jour, à coup de tentatives de meurtres et de courses poursuites en plein Nevada, entre Las Vegas et Reno.
Police secrète, mégalomanes pervertis par le pouvoir s'adonnant à des expériences humaines douteuses sous couvert de recherches sur les armes chimiques et biologiques, le sujet est intriguant et le suspense est bien mené permettant de maintenir le lecteur en haleine. Ajoutez à cela la petite pointe de romance qui va bien et hop, on est vite captivé jusqu'à la destination finale.
Personnellement je l'ai lu quasiment d'une traite, le surnaturel permettant au cours des deux premiers jours (et donc des deux premières parties) de donner un petit coup de fouet à la mise en place de l'histoire qui pourrait sembler manquer de vivacité.
En ce qui me concerne je ne suis généralement pas friande de roman d'horreur (ce qui n'est pas le cas ici) mais une petite pointe de surnaturel peut parfois faire son petit effet pour dynamiser un bon thriller.
Merci pour cette lecture.
Les yeux des ténèbres, c'est l'histoire d'une très riche coïncidence.
Il y a quelques semaines, j'ai entendu parler de ce livre, présenté par certains comme ayant "prédit" l'épidémie de Covid-19 qui sévit actuellement. Une perspective pour le moins intrigante, surtout quand on sait que l'édition première de ce très bon roman d'espionnage date du début des années 80.
Aussi, lorsque les éditions de l'Archipel, responsables de sa réédition papier, l'ont proposé aux blogueurs via Netgalley, je n'ai pas hésité longtemps avant de le demander. Grand bien m'en a pris, mais pas forcément pour les raisons que l'on pense.
Loin d'apporter les réponses à la crise actuelle -et c'est peut-être heureux- ou d'être un monde d'emploi sur la survie au virus -et vu comme le livre le décrit, c'est même doublement heureux-, ce roman à l'écriture riche m'a emportée loin de ce que j'escomptais, mais dans une histoire riche où l'espionnage se mêle à l'inexplicable, où le danger rôde partout, et pas seulement dans les couloirs des hôpitaux. On est même très loin des espaces aseptisés. Très très loin!
Sortez vos plus beaux atours, préparez votre petite monnaie, apprêtez-vous à oublier le temps et ses contraintes et rendez-vous sur le Strip.
En effet, l'histoire commence, et déroule une grande partie de son action à Vegas. Capitale du jeu, de tout ce qui brille, des illusions et des apparences. Une ville où il est facile de perdre ses économies, sa raison, voire sa vie.
Nous y suivons Tina Evans, une ancienne danseuse de Music-hall, reconvertie chorégraphe pour les grands shows dont les casinos ont le secret pour fidéliser sa clientèle. Le sien, Magyk, est en fin de préparation. Il s'annonce comme l'un des succès de la fin d'année, offre de nouvelles perspectives à Tina, comme la rencontre d'Eliott Stryker, séduisant avocat qui éveille un peu son coeur moribond. Il lui permet aussi d'oublier les ratés de sa vie, son divorce d'avec Michaël, croupier volage et inconséquent, mais surtout la mort de son fils Danny, un an auparavant, lors d'une sortie sportive dans les massifs du Nevada.
Impossible de se remettre d'un tel deuil bien sûr, surtout quand les signes se multiplient pour lui faire perdre l'esprit, ou la torturer de questions incessantes. Cette partie du roman fait intervenir des ressorts psychologiques qui déstabilisent le lecteur. Les signes que Tina croit voir sont-ils réels? Relèvent-ils de ses secrets espoirs? Sont-ils un moyen d'accepter l'inacceptable?
On pourrait trouver ce premier temps un peu long. J'ai au contraire beaucoup apprécié que l'on prenne le temps, de connaître les protagonistes, leurs tempéraments, afin de se préparer un peu à la suite de l'histoire. Là où, trop souvent, on se précipite sur une action immédiate, ici, au contraire, ces premières parties -qui correspondent aux jours qui entourent le Nouvel An- on fait connaissance.
Et la brusque accélération du jour de l'an n'en est que plus réussie, un peu comme la longue série de courbes qui précède la chute vers l'inconnu en prélude d'un grand huit.
Le tour qu'a alors pris le roman a été si inattendu que j'ai été tentée de vérifier si je ne m'étais pas trompée de titre entre mes attentes et ce qui se déroulait sous mes yeux. Mais il aurait fallu abandonner Tina et Eliott aux dangers qui les menacent, et ça, hors de question. Aussi, j'ai embarqué dans leur épopée comme un passage clandestin. Les yeux des ténèbres deviennent alors un roman d'espionnage digne des spécialistes que j'ai affectionnés dans mon adolescence, des Ludlum et autres Clancy. Et autant le dire, j'ai adoré ça!
Sans révéler les tenants et les aboutissants de cette histoire, qui m'a tenue en haleine jusqu'à la dernière page, je me suis laissée prendre par une écriture rythmée. De l'instant où l'on passe dans ce deuxième temps, il n'y a pas de temps morts, toute action entraîne ses réactions. Les personnages principaux n'ont plus vraiment le temps d'analyser, malgré les prises de conscience d'Eliott sur ce qu'il redécouvre de lui, là où au contraire, les hommes de l'ombre sont obligés, eux de se livrer à des conjectures hasardeuses. Ce changement d'allure crée donc un contraste délicieusement déstabilisant, où les pistes se multiplient au même rythme que les dangers. Il y a de la partie d'échecs dans ce roman où chacun tente de prendre un coup d'avance sur son adversaire, avec plus ou moins d'habileté.
Le lecteur, lui, en est le grand bénéficiaire, du fait de l'état de tension constant qu'il en résulte.
La quête de Tina et Eliott est si bien narrée que je me suis surprise à l'imaginer mise en images, et ça fonctionnait vraiment bien.
Quid du Covid-19, me direz-vous. Chut, laissez venir à vous, non pas des révélations foudroyantes mais un élément d'une intrigue qui se déroule sans accroc tout au long des quelques 300 pages de ce roman.
D'ailleurs, soyons clairs, j'ai été tellement prise dans ma lecture qu'au moment où j'en suis arrivée à l'Instant clef, j'en avais presque oublié que c'était d'abord pour cette raison que j'avais décidé de découvrir cet auteur et ce livre en particulier.
Comme quoi le hasard fait bien les choses !
Au final, ce roman confirme qu'il faut souvent pousser plus loin que les rumeurs et les "on dit" pour découvrir un livre de très bonne facture.
Pour ma part, il donne une nom supplémentaire sur la liste des auteurs de polars que je vais suivre, en commençant certainement tout prochainement Dark Web dont le titre autant que le résumé ont attisé ma curiosité... Mais la réalité sera-t-elle conforme à mes attentes?
Une partie de moi l'espère. L'autre espère secrètement tout aussi fort qu'il n'en sera rien!
Un thriller dont je ne dévoilerai pas l'intrigue en détail. Cependant, je dois dire que le surnaturel y tient un grande place. L'essentiel du roman tient en une cavale, celle d'Elliot et de Tina. J'avoue que j'ai moyennement accroché à ces deux personnages, tout comme à leur relation. Le tout est très rythmé avec des organisations gouvernementales secrètes prêtes à tout pour garder leur secret (ça ressemble un peu à du X Files) . Le côté fantastique est plus flippant et pour le coup ça ressemble plus à du Stephen King. La plus grosse plus value du roman est sa fin et l'explication des événements, glaçante quand on pense à ce qu'on vit actuellement. C'est bluffant.
Ce que j'aime : l'explication, le personnage de Danny
Ce que j'aime moins : le duo Elliot/Tina
Pour résumer
Le roman idéal pour le confinement ! La chute est bluffante
Ma note
7/10
Merci à Mylène des éditions @editions_archipel et @netgalleyfrance pour la découverte de ce livre. Une agréable lecture !
" DANNY, HUIT ANS, EST MORT DANS UN EFFROYABLE ACCIDENT DE CAR. C’EST DU MOINS CE QUE LA POLICE AFFIRME À SA MÈRE, TINA EVANS, LUI DÉCONSEILLANT D’IDENTIFIER LE PETIT CORPS HORRIBLEMENT MUTILÉ.
MAIS, UN AN PLUS TARD, TINA TROUVE, INSCRIT À LA CRAIE SUR LE TABLEAU NOIR DE L’ENFANT, UN MESSAGE DE SON FILS. MANIFESTATION D’OUTRE-TOMBE ? PLAISANTERIE MACABRE ? SERAIT-ELLE EN TRAIN DE DEVENIR FOLLE? OU BIEN ENCORE… TINA VEUT EN AVOIR LE CŒUR NET : ELLE DEMANDE À FAIRE ROUVRIR LA TOMBE, DANS L’HEURE QUI SUIT LES SERVICES SECRETS TENTENT DE L’ASSASSINER… "
Je ne suis pas attirée en générale par les romans de sciences fictions; et pourtant Dean Koontz m'a séduite et je me suis laissée emporter par l’histoire de Tina et de son fils. Ce roman est rythmé, captivant. Les premiers chapitres sont trompeurs. L’auteur nous emmène et nous balade. L’alternance entre les points de vu narratif amène un suspens qui monte crescendo tout au long du roman.
On suit Tina dans sa course contre la montre, sa quête de vérité où le thriller rencontre les sciences occultes.
Seul bémol à mon goût, j’aurais aimé une théorie plus poussée encore, plonger d’avantage dans les arcanes du pouvoir et ses déviances. Cependant le livre est parfaitement écrit, et l’intrigue bien ficelée pour nous amener à tourner les pages avec plaisir et envie.
Mais que se cache-t-il derrière ces faits étranges ? Nos dirigeants peuvent-ils sciemment nous mettre en danger ? Voilà les questions qui résonnent en nous au fil des pages.
Cet ouvrage est paru en 1981 la première fois semble trouver sa place dans notre actualité. Les théories de complotisme y résonnent sensiblement. Ce roman sortira à nouveau en version numérique le 9 Avril 2020. Une édition physique est prévue, à ce jour, pour le 20 Mai 2020 aux éditions l’Archipel.
Je vous conseille ce livre disponible dès aujourd’hui en eBook !
Dean Koontz a le don de mettre en évidence les secrets cachés des tous puissants.
Christina ex danseuse ne se remet pas de la mort de son fils Danny, Comment peut-elle faire pour l'oublier, elle n'a pas vidé et depuis quelque temps elle sent une présence. Pourquoi sur le tableau de son fils y-a t'il inscrit "PAS MORT"
Le thème colle à l'actualité même si le livre date de plusieurs années.
Il y a tout juste 1 an, Tina Evans a perdu son fils unique Danny, 12 ans, dans un accident de bus qui transportait 14 écoliers... aucun ne s’en est sorti...
Depuis quelques jours, des sensations, des événements inexpliqués se produisent : Tina a l’impression de voir son fils dans une voiture... A la maison elle entend des bruits... sent du froid... Elle trouve une inscription « pas mort », des objets se mettent à bouger, des meubles se déplacent...
Que se passe t’il? Est-ce que ce sont des hallucinations? Reçoit elle des messages de l’au-delà? Est-ce le fantôme de son fils?
Son compagnon Eliot et elle, vont se retrouver mêlés à quelque chose qui les dépasse, on en veut à leur vie, ils doivent fuir.... la cavale commence.
J’ai bien aimé ce roman avec sa touche de surnaturel, son rythme qui maintient le suspens.
Toutefois, je trouve qu’il y a un gros problème de Com’ : « Le Thriller qui a enflammé les réseaux sociaux... des éléments prophétiques sur le coronavirus de Wuhan »... pardon, mais alors soyez patients si vous attendez ça car la thématique et le mot VIRUS ne sont abordés qu’au 95ème% sur mon livre numérique!!
Je pourrais comprendre du coup que ceux qui attendaient ce qui est annoncé sur le bandeau publicitaire soient fortement déçus!
Quant à moi, j’ai apprécié ma lecture et j’ai retrouvé un peu du style de King dans le fantastique.
Je n'ai pas été conquise par ce livre et n'ai pas trop apprécié la "pub" qui le présente.
Je n'ai pas accroché à l'histoire. Au début ça pouvait aller, mon attention était capté, j'ai aimé la partie sur le questionnement sur la mort ou non de son fils et l'apparition des phénomènes étranges mais l'histoire a pris un virage à 90 ° et j'ai fait une sortie de route...
#Lesyeuxdesténèbres #NetGalleyFrance
On voit dans ce livre réédité tout le talent de conteur de Dean Koontz. Le buzz autour de Wuhan et du virus n'a aucun sens, surtout si on a l'impertinence de lire la version de 1981 (lol)... Le livre se dévore rapidement et l'écriture est fluide et agréable. L'intrigue se tient, même si elle apparait désormais assez simple (pour pas dire simpliste) comparativement aux ouvrages ultérieurs de l'auteur. Livre pour détente.
Vous avez sûrement entendu parler de ce roman qui fait vibrer la toile puisque Dean KOONTZ l’a écrit en 1980, et qu’il y a une préméditation du Coronavirus qui provient de Wuhan ?
Et bien… au risque d’être déçu pour vous, ne le lisez pas pour ça, il ne s’agit pas de l’intrigue principale même si j’avoue que ça a de quoi faire peur tout ça…
Grosse surprise et énorme coup de cœur pour ce roman !
Nous allons suivre Tina, un an après la mort de son fils. Au début, on se questionne sur l’intérêt de suivre cette femme endeuillée qui recommence à faire des cauchemars ne lui laissant que peu de répit. Mais très vite, on comprend de quoi il retourne. J’ai été agréablement surprise de la tournure du récit. En effet, il va y avoir de l’action, du suspens. L’histoire se passe durant 4 jours, ainsi un rythme intense et effréné vous attendent lors de la lecture de ce roman.
Tina a vécu une chose horrible : perdre son enfant. Je me suis beaucoup attachée à elle, elle est forte malgré les cauchemars. Et puis, il y a Elliot, qui va devenir un véritable pilier pour notre personnage principal. J’ai toujours un sentiment assez mitigé envers lui, mais je ne peux vous en parler que si vous l’avez lu. ^^
J’ai déjà lu 3 romans de Dean KOONTZ, et à chaque fois, j’ai été séduite par la plume de l’auteur qui est fluide et agréable à lire. Pour autant, j’ai largement préféré ce roman ! Tout y est encore plus fluide, il y a moins de longueurs du fait qu’il y a moins de descriptions, il y a plus de suspens, plus de dialogue, ce qui rend ce récit plus addictif que ce que je pensais !
Il a été un coup de cœur pour moi, pourquoi pas pour vous ? Laissez-vous tenter par ces yeux des ténèbres…
Je n’avais pas lu cet auteur depuis mon adolescence. A l’époque il côtoyait dans ma bibliothèque S. King, P. Straub et G.Masterton. A mon sens Dean Koontz n’est jamais parvenu à égaler Stephen King, ni dans le style, ni dans le contenu, mais j’ai toutefois beaucoup apprécié de retrouver sa plume de conteur, et je remercie pour cela Net Galley et les Editions de l’Archipel qui m’ont permis de lire ce livre.
L’histoire se situe au début des années 80, à Las Vegas : Tina Evans se remet difficilement de la mort de son fils Danny, décédé un an plus tôt dans un accident de bus. Alors qu’elle pense de nouveau pouvoir sourire à la vie et profiter du succès d’un spectacle qu’elle a mis en scène, d’horribles cauchemars récurrents viennent hanter ses nuits. Puis des événements étranges perturbent son foyer… Des phénomènes inexplicables pour lesquels Tina, la cartésienne, refuse dans un premier temps toute explication illogique. Quelqu’un assurément lui joue de mauvais tours, mais qui lui en voudrait au point de raviver le souvenir douloureux de la mort de son fils ? Tina doute, se questionne puis les faits s’enchaînement: la menace existe bel et bien et avec l’aide de son ami et amant Eliott, ancien espion devenu avocat, l’affaire va s’éclaircir peu à peu. Entre action et vérité, la réalité, inattendue, sera pire que ce que l’on croit…
J’ai apprécié ce récit que je qualifierai de « rétro » : un retour aux années 80, dans un style très cinématographique. Je ressens cette impression notamment au niveau des dialogues, des échanges dans le couple Tina/ Eliott, emprunts de respects et de sensualité, ce qui n’est pas sans me rappeler les premiers James Bond et j’imagine d’ailleurs facilement le gentleman Eliott sous les traits de Sean Connery… Le calme de certains passages alterne avec des scènes d’action qui ont un peu vieillies, évolution technologique oblige, mais l’ensemble possède un certain charme plaisant. Par curiosité, je serai intéressée de lire un titre récent de l’auteur pour voir l’évolution de son style…
Alors oui, vous avez bien lu la couverture: l’éditeur annonce « Coronavirus, le roman prophétique » mais je vous parle de phénomènes étranges et de toute autre chose que de virus… Que vient donc faire notre coronavirus dans cette intrigue où le paranormal tient une place si prépondérante ? Il faudra être bien patient pour le comprendre ou pour les lecteurs angoissés en raison du contexte se réjouir que ce sujet ne soit pas plus développé… Alors moi qui m’attendais à un thriller scientifique dans le style de Pandemia de Franck Thilliez, je suis retournée voir la couverture pour vérifier et me suis à plusieurs reprises demandé s’il y avait une erreur quelque part… Car effectivement, le retournement se passe dans les toutes dernières pages… je n’en dit pas plus, hormis que je ne pense pas que Dean Koontz soit le cousin de Nostradamus. Une coïncidence simplement, le roman évoque une angoisse déjà présente il y a 40 ans sur le futur de notre planète, et notre situation actuelle offre juste l’opportunité de relancer un titre… Ce fut pour moi une lecture détente agréable, loin de la frénésie médiatique et éditoriale que ce livre a déclenché…
Quand j'ai lu le résumé faisant allusion à une épidémie, sachant qu'on la vie pleinement en ce moment je me suis tout de suite dit que ce roman allait me plaire. Mais voila que rendu à un quart du livre je ne la vois que très peu évoquée, voire pas du tout. En relisant le résumé j'ai tout de suite compris la bourde que j'vais faite : J'avais sois mal lu le résumé soit mal interprété. Peu importe puisque le but premier de ma lecture était respecté : prendre du très grand plaisir et être accroché comme jamais.
On va suivre le parcours de Tina, qui a vécu la mort de son fils. Elle n'a pas pu assister à la mise en bière car l’état de son fil était jugée trop endommagée. Les mois ayant passés et pour Tina, son fils n'est pas mort.
Elle va faire la connaissance d'un avocat qui va tout faire pour l'aider et même risquer sa place pour y parvenir. C'est grâce a lui que l’exhumation de son fils va peut-être être possible mais pour cela elle doit obtenir l'accord de son ex-mari. Elle va vite s’apercevoir qu'elle ne peut rien attendre de sa part. Elle va devoir enquêter en sous marin....
Ce livre est certes un peu angoissant, mais est truffé de rebondissants et de suspects à chaque pages.
Mon avis :
Mon dernier roman de l'auteur ne remonte pas a si loin quand on y repense et c'est toujours avec bonheur que je tourne la dernière page. Lecteur, si tu t'attend a un roman tourné virus et pandémie tu fait fausse route. Il en est bien fait allusion mais tu aura déjà presque fini le roman lors que tu apprendra de quoi il en retourne.
C'est un roman que je recommande vivement et pas seulement parce que il à été édité chez les éditions l'archipel mais surtout parce qu'il vaut vraiment le détour.
On continue dans le genre "lecture anxiogène" 😁 et qui colle à l'actualité !
C'est en effet une sacrée coïncidence qui remet 𝐋𝐞𝐬 𝐲𝐞𝐮𝐱 𝐝𝐞𝐬 𝐭𝐞́𝐧𝐞̀𝐛𝐫𝐞𝐬 sur le devant de la scène…
Publié en 91 le livre connut un certain succès (on en attend pas moins de notre grand auteur de thrillers !) et il est à ce jour réédité en version ebook !
Why ? L'auteur imaginait à l'époque un virus créé en laboratoire : une arme, capable de se propager facilement par les voies respiratoires…
Même si le sujet arrive plutôt vers le dénouement de l'histoire (dont j'ai eu tendance, dans ma hâte, à occulter le déroulement), on l'attend évidemment de pied ferme !
Histoire de mettre en évidence les coïncidences et de révéler les exactitudes de notre auteur. Aujourd'hui il faudrait demander à Dean Koontz ce qui l'a amené à utiliser cette idée dans son roman
J'ai choisi ce livre pour son auteur, ayant lu de lui il y a une vingtaine d'années un thriller particulièrement brillant. Le parallèle avec le coronavirus présentant le roman n'était pas non plus pour me déplaire. Je me réjouissais donc de la lecture de ce livre.
Je l'ai lu avec plaisir, et très rapidement. Si la première moitié de l'histoire prend son temps pour présenter les personnages, il n'y a ensuite plus de temps mort jusqu'au dénouement final. J'ai passé un moment de lecture agréable avec ce livre distrayant.
Toutefois, après la lecture, j'ai quand même été surprise par l'argument marketing vantant des similarités troublantes entre la crise actuelle du coronavirus et l'aspect visionnaire du livre. Pour moi, il n'y a absolument aucun rapport !!
Autre aspect qui m'a un peu amusée : l'aspect surnaturel. Si au début on s'interroge, tout devient ensuite trop facile pour nos héros, puisque, guidés par cette force occulte, ils vont aller droit au but et éviter de nombreuses déconvenues. Je ne peux pas en dévoiler davantage pour ne pas spoiler, mais l'intrigue est du coup assez simpliste et un peu décevante. Loin de ce que j'attendais de ce maître du thriller.
Bref, si vous n'êtes pas allergique au surnaturel et que vous voulez passer un bon moment, ce roman fera l'affaire.
Merci à Netgalley et aux éditions de l'Archipel de m'avoir permis de découvrir ce livre.
Tina commence à trouver la vie plus supportable malgré le décès de son fils, son spectacle est un succès. Elle fait alors des rêves étranges.
Une nuit, elle est réveillée par des bruits dans la maison. Elle se rend dans la chambre de Danny. Un chevalet est tombé, c’est ce qui l’a sortie de son sommeil.
En relevant le chevalet, elle peut lire : PAS MORT.
Aidée par un séduisant avocat, tombé sous son charme lors de la première de son spectacle, elle cherche à comprendre les étranges phénomènes qui se produisent autour d’elle.
Même si les personnages sont un peu convenus, vous voyagerez dans le Nevada, de Las Vegas à Reno, et serez surpris par les nombreux rebondissements.
J'ai encore craqué pour un Dean Koontz publié aux Editions de l'Archipel.
Pourtant j'ai eu une petite frayeur en commençant le bouquin car je n'avais pas fait gaffe à la com faite autour, principalement axée sur Dean Koontz ce visionnaire avait imaginé la pandémie etc. Déjà que je n'étais pas sereine, je n'avais absolument pas envie de lire un bouquin qui parle de maladie.
- Coup de bol, on parle de virus tueur que dans le dernier chapitre. Ce n'est pas le sujet du roman.
- Encore une fois, le personnage principal est une femme et ça c'est top.
- L'intrigue est captivante.
- Ça parle de complot d'Etat et j'aime les complots.
- Ce bouquin se lit comme on regarde un film. Ça court, ça explose, ça tue. On ne s'ennuie pas une seule seconde.
En conclusion j'ai encore lu un Dean Koontz et j'ai encore aimé !
Les yeux des ténèbres a été écrit en 1981 et réédité en 2020 pendant le confinement.
Nous suivons ici les aventures de Tina et Eliott.
Tina a perdu son fils un an auparavant dans d'atroces circonstances et se met à recevoir des messages étranges lui indiquant que son fils n'est pas mort. D'étranges phénomènes se produisent alors, en présence d'Eliott rencontré quelques jours auparavant.
Tina se persuade qu'elle n'a pas fait son deuil et avec Eliott, avocat, décide de démander l'exhumation de son fils afin de lui adresser ses adieux.
C'est alors que tout s'enchaîne ... course poursuite, laboratoire secrets ... une bonne dose d'adrénaline comme dans un film d'espionnage.
L'histoire en elle-même est bien ficelée.
Petits défauts selon moi : les personnages ont des dialogues qui n'accrochent pas. Tina et Eliott viennent tout juste de faire connaissance et trois jours après s'appellent "chérie" et se disent qu'ils s'aiment. Eliott met sa vie en danger pour une femme qu'il connaît à peine. Les phénomènes paranormaux qui ont lieu se comprennent vers la fin du livre mais restent illogiques (je ne peux en dire plus sinon je dévoile la fin).
Ca n'en reste pas moins un livre qui se lit facilement, qui est agréable à lire. En revanche, aucun rapport avec le virus qui circule actuellement.
Merci à Netgalley pour cette lecture !
Encore une fois, j'ai passé un excellent moment en compagnie d'un livre de Dean Koontz. Mais attention, on ne parle pas vraiment d'épidémie dans ce roman et la mention d'un virus venant de Wuhan, non seulement se fait attendre, mais en plus n'occupe que quelques lignes.
Mais qu'importe ! Je n'ai pas lu le roman pour çà, même si j'avoue que çà a quand même un peu piqué ma curiosité ! Non, j'ai voulu lire une production plus ancienne de l'auteur, après avoir dévoré les 2 premiers tomes de la série consacrée à Jane Hawk.
Pas de déception donc de mon côté. On suit donc Tina, une femme qui a perdu son fils dans un accident, mais qui va se mettre à douter de la thèse officielle. L'intrigue, menée sur un rythme de plus en plus soutenu ne nous laisse pas vraiment de répit. Et si l'on peut reprocher au roman un certain manque d'originalité, le talent de Dean Koontz pour nous raconter une histoire permet de nous tenir en haleine jusqu'au dénouement.
Merci à Netgalley et aux éditions de l'Archipel pour la lecture de ce vrai page-turner.
Voici le très célèbre roman qui a prétendument annoncé l'épidémie de covid19. Si vous choisissez ce livre pour cette seule raison, vous risquez d'être déçu et de passer à côté de l'essentiel.
Comme toujours, je suis loin d'être en accord avec l'émoi des réseaux sociaux...
Bien sûr j'ai adoré ce roman de Dean Koontz qui est un auteur que j'affectionne particulièrement mais pas parce qu'il a prévu ce que nous venons de vivre en ce début d'année 2020.
Non, si j'ai aimé ce roman, c'est parce qu'on y retrouve l'effroi propre aux romans de cet auteur. On plonge d'emblée dans une atmosphère pesante, oppressante... Le genre d'ambiance qui vous fait faire le tour de la maison toutes lumières allumées. Le genre d'ambiance qui vous fait tendre l'oreille et battre le coeur à chaque craquement de plancher. Le genre d'ambiance qui vous fait scruter d'un oeil attentif et vigilant chaque ombre mouvante que la lune renvoie sur le mur de votre salon.
Paranormal, intrigue effroyable, ce roman vieux de 40 ans n'a rien à envier aux derniers romans de cet auteur. Mais encore une fois, ne cherchez pas l'analogie à la situation actuelle, lisez ce roman pour ce qu'il est : un thriller sombre et effrayant. Aucune prophétie n'est à retirer de ces pages... Si ce n'est peut être celle concernant l'inhumanité de l'Homme qui se croit tout permis au nom de la science...
Un bon moment de lecture en compagnie de Dean Koontz ! Merci aux éditions de l'archipel et à netgalley pour l'opportunité de lecture.
J'adore l'auteur mais au contraire de ses précédents ouvrages,je n'ai pas accroché à l'histoire.Trop mélodramatique et convenu.Les personnages sont conventionnels et peu crédibles. Les dialogues sont insipides .Est ce dû à la traduction? De nombreuses phrases sont récrites plusieurs fois.La fin est prévisible.J'ai failli lâcher le livre en cours de route mais ma bonne volonté ma permis d'aller au bout. Dommage!
L'histoire met un peu de temps à se lancer, le temps de nous présenter les personnages et le contexte. Au début j'ai cru à une histoire de fantôme avec ces phénomènes : meubles qui bougent, des mots tracés à la craie, la radio qui s'allume seule, le froid glacial… ce qui justifiait cette mise en place pour que la tension arrive. Qu'on se rende compte que quelque chose ne va pas, qu'il y a des changements dans le quotidien et que Tina est une personne normale et saine d'esprit.
Une fois qu'elle demande de l'aide à Eliott et que la chasse à l'homme commence, nous ne lâchons plus le livre. Si nous acceptons tout : le paranormal et l'organisation gouvernementale secrète ; nous souhaitons en savoir plus : que s'est-il passé ? Quelle est cette base militaire ? Comment expliquer les phénomènes ?...
Le jeu du chat et de la souris est prenant. Ne vous étonnez pas des moyens du gouvernement qui n'utilise pas la technologie pour les pister, nous sommes dans les années 80. Ce qui rajoute quelque chose car ça donne une chance à Tina et Eliott.
De mon côté, je ne fais pas la promotion du côté prophétique car il ne parle pas de virus qui se propage mais plutôt de recherches gouvernementales et d'une mère prête à tout pour son fils. Et de ce qu'un pays est prêt à faire pour rester dans les meilleurs et ne pas laisser d'autres pays le dépasser. Les seules similitudes sont : un virus (évoqué, pas le sujet), qui vient de Chine, près de Wuhan. Il ne se propage pas, n'a pas le même temps d'incubation, ni la même mortalité (il tue à 100%).
A mon sens, oubliez cette histoire de virus (et profitez de votre lecture.) Sauf si le gouvernement américain a continué ses recherches, inventé une autre souche et l'a envoyé en Chine, à Wuhan, pour le tester… et que ce roman en serait - donc - la genèse. Le pouvoir de l'imagination.
" Les yeux des ténèbres " de Dean Koontz
Tina est une femme divorcée, qui réussit dans son domaine artistique, et qui reprend doucement pied et retrouve l'amour. Son fils est mort un an plus tôt dans un accident... Jusqu'au jour où elle reçoit un message... Elle et son compagnon vont se retrouver emporté dans une traque machiavélique!!! Du rythme, une histoire passionnante, un très bon livre!!!
Il y avait bien longtemps que je n'avais pas lu un livre de Koontz. Et il est étonnant de voir à quel point l'écriture a évolué depuis les années 80. Celui-ci est particulièrement daté, par la psychologie des personnages, les relations hommes-femmes et le déroulement de l'histoire.
Il n’empêche que j'ai passé un moment fort plaisant. Bien entendu, le fait que Koontz mentionne ce fameux labo est étonnant. Pour ma part, je suis contente d'avoir lu ce livre rien pour cette mention et c'est pour cela que l'achèterais à mes élèves
Connaissez-vous "Les yeux des ténèbres" de Dean Koontz ? Ce roman, initialement publié il y a 40 ans, est réédité aux éditions l'Archipel. L'auteur nous propulse à Las Vegas dans un thriller rythmé et efficace, avec une bonne dose de paranormal. Ça peut être surprenant au début mais il faut accepter ce parti pris pour apprécier le roman.
Tina a perdu son fils dans un accident voilà plus d'un an. L'enterrement a eu lieu sans qu'elle n'ait pu voir le corps et depuis lors une lueur d'espoir est toujours là. Serait-il encore en vie ? C'est en tout cas ce qu'elle commence progressivement à penser alors que d'étranges phénomènes se produisent de plus en plus souvent. Tout ça la mènera dans une course poursuite vers l'espoir.
Ce thriller ne cesse d'accélérer avec un rythme soutenu sur quatre jours qui deviennent de plus en plus denses... Un véritable "page turner".
J'avoue par contre que je m'attendais à une fin plus audacieuse et moins prévisible. Ce livre reste tout de même un très bon moment de lecture que je vous recommande.
Un super thriller aux côtés de Tina et Elliott grâce à la plume de Dean Koontz!
Il faut savoir plusieurs choses à propos de ce livre: ses liens avec le coronavirus sont... très faibles. Vous avez peut-être vu passer le fait que l'auteur avait prédit la catastrophe, mais en fait, oui et non. En tout cas, ce n'est pas le thème central du roman. Ensuite, il a été écrit à 1980! Donc niveau technologie, il faut faire un petit saut de côté. Et pour finir, l'auteur franchit allégrement le pas du paranormal. Donc si vous n'aimez pas cela, passez votre chemin.
Voilà, maintenant, je peux entrer dans le coeur du sujet.
J'ai passé un très bon moment. Tina est un personnage qui m'a beaucoup plu. J'ai aimé sa psychologie, sa force tant au niveau de sa vie professionnelle que privée. Elle sait ce qu'elle veut et fait en sorte de l'obtenir, seule si nécessaire.
D'autres qu'elle seraient devenus fous. Les événements qui se passent chez elle tout d'abord, puis partout où elle va, sont glaçants. Le froid, l'électronique qui débloque complètement, les déplacements d'objets. Et ces mots qui défilent...
Tina va pourtant comprendre que quelque chose ne tourne pas rond au sujet de la mort de son fils, Au fond d'elle, elle l'avait toujours su. Mais pourquoi lui aurait-on menti?
Sa rencontre avec Elliott (que j'ai trouvé un peu rapide), va tout bouleverser car ce dernier est avocat et sans le vouloir, il va mettre les pieds dans le plat et déclencher une série d'événements qui vont les mener très loin.
Et en entamant cette course-poursuite, Tina et Elliott vont non seulement découvrir l'impensable, mais devoir revoir leurs croyances concernant le paranormal...
Dany, ce petit garçon, est-il réellement mort? Si je n'ai pas longtemps douté de la réponse, j'ai trouvé l'explication complètement folle et en même temps, lorsqu'on pense que ce livre a été écrit en 1981 et ce qu'on vit aujourd'hui, ce n'est peut-être pas si fou que ça. Enfin, si on ne parle pas du paranormal. Là-dessus, je ne vais pas m'exprimer ;)
J'ai trouvé tellement drôle de lire un roman avec les services sercrets qui poursuivent un couple écrit il y a si longtemps alors que la série actuelle de Dean Koontz ''Jane Hawk'', est basé sur le même model mais avec des prouesses technologiques et scientifiques autrement plus évoluées.
Si deux-trois choses ont été un peu rapide, comme l'explication finale, l'ex-mari de Tina ou même la relation de Tina et d'Elliott, je garde un bon souvenir de cette lecture que j'ai lu très vite et en passant un excellent moment!
J'aime bien Dean Koontz en général, mais là, il m'a perdue !
Outre l'écriture un peu vieillotte, les personnages n'ont aucune profondeur ni aucune crédibilité. Les événements se suivent, sans grand intérêt, sans parvenir à happer. Le roman hésite tout le long entre fantastique et thriller complotiste. La mayonnaise ne prend pas, dommage.
Quant à l'accroche Covid, le passage concerné est tout petit et ne correspond nullement à une quelconque prémonition sur la situation actuelle.
Bref, vite lu, vite oublié !
En faisant abstraction du terme wuhan 400 et de ce qu'il représente, le terme ne semble qu'une coïncidence dans ce roman. C'est l'histoire angoissante que met en avant ce roman. L'histoire de Tina qui a perdu son fils au cours d'une sortie Scouts dans des conditions étranges, va nous entraîner dans des phénomènes surnaturels : des sensations de froid, des rêves étranges, des mots qui apparaissent sur le tableau de la chambre de l'enfant, des objets qui bougent. Tout est au départ angoissant, on passe de la peur et de l'incompréhension à une evidence pour cette mère : son fils Danny l'appelle à l'aide et à sa manière va lui montrer le chemin pour le retrouver après une année.
Roman très prenant qui démarre avec l'incompréhension et la peur pour devenir une véritable course vers la délivrance.
Une maman qui a du mal à survivre à la perte subite de son enfant voit son quotidien chamboulé par des événements inattendus. Quelqu’un s’introduit-il chez elle pour lui faire peur ? De quoi s’agit-il ? Signes de l’au-delà ? Espions malveillants ? Ex-mari noyé dans le chagrin ? De découvertes en surprises, elle va vivre une expérience haletante qui la mènera là où elle ne pouvait l’imaginer.
Lecture peu convaincante pour moi. Première chose qui m’a embêtée pendant toute ma lecture : les dialogues. Tellement improbables et ampoulés. La jeune maman rencontre un homme et débute une histoire d’amour avec lui, pourquoi pas, mais de telles envolées amoureuses en un jour ou deux… bof bof… Ensuite, tout le côté paranormal de l’histoire me semble de plus en plus dur à avaler au fur et à mesure de ma lecture.
Ce thriller, qui d’ailleurs ne manque pas de peps et d’action trouvera sûrement ses fans et pourra permettre à beaucoup de passer un bon moment de lecture. Moi, je suis complètement passée à côté.
Ce roman a été une lecture laborieuse pour moi. J'ai eu un mal fou à entrer dans l'histoire et à accrocher aux personnages. Le style de l'auteur m'a semblé trop détaché.
Malgré tout, le concept quasi surnaturel des messages reçus par le personnage principal est vraiment intéressant et le final est génial !
Mais quel dommage de ne pas avoir été emballé par le livre dans son entier...
Je remercie Les éditions de l’archipel, via NetGalley, pour ce livre que j’avais déjà lu dans les années 80 et que j’ai donc relu avec mes yeux d’adulte. Il se trouve que Dean Koontz fait partie des « amours » de mon adolescence et que j’ai plus d’une quarantaine de ses œuvres. Avec Graham Masterton et Stephen King, c’est l’auteur dont je possède le plus de romans, qui remplissent d’ailleurs à eux seuls l’une de mes bibliothèques. C’est le bandeau qui m’a intriguée, comme beaucoup d’autres lecteurs sûrement, parce que je n’avais pas souvenir de cette histoire de virus et de cette situation « prédite » par l’auteur. Et pour cause ! Non seulement il n’a qu’un lointain rapport et un lien vraiment ténu avec la pandémie que nous vivons actuellement, mais en plus on n’en parle qu’à la fin et seulement sur quelques pages.
Après, ce n’est pas non plus le meilleur roman de cet auteur. La lecture n’en est pas désagréable, loin de là, mais elle n’atteint pas celle de Chasse à mort, du temps paralysé, de Spectres, ou encore de La peste grise. Ceci dit je ne me suis pas ennuyée. C’est rythmé, il y a une enquête mené par la mère de Danny et son avocat, ancien des services secrets, on a droit à des courses-poursuites, à de l’action, et même à des scènes d’amour. Et moi j’aime bien quand il y a de l’amour dans les thrillers, c’est mon côté « fleur bleue » et je trouve que ça adoucit la lecture de ce genre par nature très sombre.
Comme dans beaucoup de romans de cet auteur, il s’agit d’une histoire fantastique, mêlant le paranormal au thriller, un cocktail que j’apprécie souvent pour l’originalité et le piquant que ça apporte au récit.
Un roman qui se laisse lire facilement, où l’on ne trouve pas le temps long et, même s’il ne laisse pas un souvenir impérissable, permet de passer un bon moment de lecture.
Grosse déception que ce roman pour moi. En effet, je m'explique, entre dialogues que j'ai trouvé plutôt plats et réactions des personnages qui ne collent pas du tout avec la situation, je me suis vraiment ennuyée avec cette lecture. Un enfant est mort et pourtant lorsque les parents divorcés ont une conversation, cet enfant ne semble arrivé qu'en toute fin de sujet, comme si rien n'était arrivé. Je n'ai pas pu rentrer dans l'histoire car elle ne recèle d'aucune empathie et toute la première moitié du livre est répétitive et sans rebondissement. C'est un livre dont j'espérai beaucoup puisqu'il est de Dean Koontz, auteur UE j'aime particulièrement. Mais le. Bilan est ici négatif, me concernant.
Las Vegas, un an après le décès tragique de son fils Danny, survenu lors d'un camp de vacances, Christina Evans, "Tina", surmonte petit à petit le drame. Elle s'est lancée à corps perdu dans le travail et a orchestré le montage d'un show à grand échelle, "Magyck", qui récolte un succès mérité lors de sa première au Desert Mirage, où elle rencontre par ailleurs un séduisant avocat, Elliott Stryker....
Lorsqu'elle trouve chez elle le message "Pas mort" et croit qu'on s'est introduit chez elle, Tina pense dans un premier temps qu'on l'invite à enquêter sur les circonstances de la mort de son fils. Avec l'aide d'Elliott, elle réalise rapidement que les messages lui sont peut-être directement envoyé par Danny quand des événements surnaturels surviennent. Tout se précipite quand une mystérieuse organisation s'en mêle et veut arrêter leurs recherches à tout prix.
J'ai cédé à ce livre suite au battage médiatique concernant la " prescience" de Dean Koontz quant au Covid-19. Je me suis retrouvée face à un récit d'aventures correct, mais équivalent à une série B où comme d'habitude, même si on est en danger de mort, on reste sexy, on tombe amoureux et dès qu'on fait une petite pause, on file au lit, mais pas que pour le sexe, non, c'est toujours le grand amour...alors la dragouille entre les balles, c'est pas crédible mais si on le prend comme un film pop-corn (non, pas Youporn, ça reste très sage puisqu'ils sont amoureux), c'est délassant, mais ne vole pas haut, jusqu'à une fin pliée et expéditive.
Mention spéciale par contre pour l'action à Las Vegas, je m'y suis retrouvée, et en ces temps de confinement, l'évasion m'a rappelé de chouettes souvenirs de Sin City.
Le roman de Dean Koontz s’ouvre sur ce qu’est devenue la vie de Christina Evans, environ un an après la mort de son fils Danny dans d’horribles circonstances. Alors qu’elle tente de poursuivre ses projets professionnels dans la ville de Las Vegas et qu’elle vient tout juste de tomber sous le charme d’Eliott, un avocat, elle est témoin d’une sorte de présence quelque peu paranormale. Dans la chambre de son fils disparu, deux mots sont inscrits sur le tableau noir : PAS MORT.
Dean Koontz nous propose une histoire s’étalant sur peu de temps (quatre jours au total) mais avec de l’action. La rencontre de Christina et d’Eliott au début du roman permet à l’intrigue de se tisser, et les phénomènes paranormaux qui se succèdent rendent la lecture très rapidement addictive. Nous sommes tenus par l’envie irrésistible de savoir quelle est l’explication de ceux-ci.
Cependant, certains éléments m’ont dérangés tout au long de ma lecture. Premièrement, et peut-être que cela est lié à la traduction du texte original, certains termes, notamment dans les dialogues entre Christina et Eliott, sont très mal choisis et rendent les propos des personnages presque grotesques. On ne relèvera pas ici les fautes d’orthographe et de ponctuation qui persistent malgré la publication de ce roman dans les années 1980.
Deuxièmement, l’évolution extrêmement rapide des liens humains rend ces nouvelles relations très peu crédibles dans le monde réel. Le lecteur a donc du mal à s’identifier aux divers personnages pour cette raison.
Pour terminer, la fin ne m’a absolument pas convaincue. Elle est très abrupte et manque cruellement d’explication sur certains éléments pourtant omniprésents dès le début du récit.
Pour conclure, nous avons entre les mains un roman à suspense, addictif et plein de l’espoir d’une mère effondrée par la perte de son enfant. Mais il aurait mérité une fin plus détaillée, qui laisse le lecteur dans un vide qui ne peut être comblé. Ce livre a connu un succès nouveau pour avoir "prédit" l'épidémie de Covid-19 que nous connaissons actuellement dans le monde. Il ne s'agit finalement que d'une petite référence que l'on peut difficilement considerer de prémonitoire.
#Lesyeuxdesténèbres #NetGalleyFrance
Christina Evans ou Tina tente tant bien que mal de faire le deuil de son fils malgré une mort suspecte et les regrets de ne pas avoir vu son corps avant qu’il soit enterré. Au moment où elle reprend sa vie en main des séries d’événements effrayants lui arrivent elle accusera d’abord son ex mari avant de se rendre compte de l’aspect surnaturel de ces événements. Convaincue que c’est son fils Danny qui lui envoie des signaux elle partira à sa recherche contre vents et marées accompagnée de sa toute fraiche conquête aussi avocat
C’est le roman qui a fait sensation par rapport au virus covid 19...il est vrai que les circonstances de ce virus sont troublantes. Et semblent étonnamment proches d’une réalité possible .... l’histoire est intéressante, le suspense intense mais aucune pandémie,.. finalement, seule la fin du roman nous fait entrevoir la possibilité d’une guerre bactériologique... c’est surtout une histoire d’espionnage qui commence très doucement et qui a du mal à se mettre en place. Mais le style est clair et les personnages attachants.. Malheureusement le rythme est bien lent en début et il perd un peu les lecteurs ... toutefois, il est rapide et facile à lire
Ce roman était un bon thriller, mais je pense que la com a été trop intense sur ce roman du coup j'ai été déçue car j'en attendais beaucoup trop.
Un thriller sympa mais qui ne m'a pas enflammé.
e viens de finir ce livre et j’avoue que c’est malheureusement une déception. J’avoue que je n’ai pas réellement trouvé le lien entre le résumé qui nous annonçait une épidémie proche du covid-19 et le livre que j’ai lu qui parle d’une maman qui a perdu son enfant et qui cherche à avancer jusqu’à ce que des phénomènes étranges apparaissent.
Le début du roman m’a beaucoup plu, c’est dynamique et captivant mais rapidement je suis perdue avec l’apparition de phénomènes étranges auxquels je suis peu réceptive. De plus, le passage qui parle de l’épidémie correspond à la fin du livre et j’aurai aimé en savoir plus. C’est court et cela est difficile de faire le lien avec ce qui s’est passé dans le monde entier en 2020 avec le covid-19. De même, j’ai trouvé le final trop rapide et pas assez détaillé.
J’ai tout de même beaucoup accroché au personnage de Tina qui ne se remet pas de la perte de son fils Danny. On sent tout son désespoir et sa volonté d’avancer en se plongeant dans le travail et pourtant comment se relever après un tel drame ?
Vous l’aurez compris, ce livre n’est pas celui que j’attendais. Toutefois, mon avis est subjectif et je vous laisse vous faire votre propre idée ;)
J’aime beaucoup les romans de sciences-fictions et pourtant, je n’avais encore jamais pris le temps de découvrir cet auteur. C’est maintenant chose faite avec ce livre en 1981 sous un pseudonyme. Et réédité dans une version révisée sous le nom de Dean Koontz en 2008. C’est là que le virus, le Gorki-400, originellement russe, est devenu chinois, le wuhan-400 certainement parce que la guerre froide était une histoire ancienne.
L’intrigue se déroule au début des années 80, à Las Vegas : un an après la mort de son fils, Dany, Tina essaie de se remettre de cette tragédie. Alors qu’elle pensait avoir traversé le plus dur, l’étrange s’invite à la maison, et aux confins de ses rêves.
L’horreur sert de point d’ancrage à cette histoire où le thriller rencontre l’espionnage et croise le chemin du fantastique et du paranormal.
La construction narrative alterne entre les points de vue des personnages permettant une montée en puissance du suspens tout le long du récit. La plume est très visuelle, cinématographique, rythmée surtout dans les scènes de courses-poursuites.
Il y a un côté désuet que l’on retrouve dans les dialogues, dans la manière dont Tina et Eliott se tournent autour, le tout mâtiné de respect et de sensualité. La trame suggère et laisse le lecteur s’approprier l’intrigue, grâce à son imagination. J’ai apprécié ce côté, non prémâché que l’on trouve trop souvent aujourd’hui. Ce que j’apprécie dans le cinéma des années 80, je l’ai retrouvé entre les lignes de ce roman.
Je ne reviendrais pas sur le déchaînement des passions que ce livre a suscité, prêtant à l’auteur des dons de voyance, car il y fait référence à un virus, le wuhan-400. Je trouve dommage de cantonner ce livre à ce virus qui n’est que peu développé dans le livre et n’en est pas le sujet principal.
Une coïncidence qu’il convient de considérer comme cela au regard de la situation historique de l’époque, marquée par la guerre froide et l’inquiétude sur le devenir de l’humanité. L’auteur ne fait que mettre des mots sur les préoccupations encore plus profondes aujourd’hui. La réédition de cet opus, a bénéficié de circonstances exceptionnelles qui n’ont rien de prophétiques.
Comme beaucoup, j'ai été tentée par ce livre en raison du contexte actuel : la pandémie.
Et comme beaucoup, j'ai découvert que le virus n'étais pas au coeur du récit, ce qui au final est plus agréable.
J'ai trouvé ce roman vraiment captivant. On est dans un mélange de Stranger Things mélé au covid ! Ce qui donne un résultat surprenant mais vraiment bon !
Le seul point négatif est que j'ai trouvé quelques longueurs par moment.
Autrement, on ne sent pas que c'est un livre qui a été écrit il y a des années de ça.
J'en garderai un bon souvenir !
Malheureusement, ce roman ne m'a pas séduite.
Je n'ai pas réussi à accrocher à l'histoire malgré la "pub" faite à ce livre.
Cela arrive parfois, mais merci tout de même pour l'opportunité :)
Malgré une volonté farouche de finir ce roman, je n'y suis pas parvenue. L'idée fil conducteur me séduisait mais trop d'événements que je n'ai pas compris et qui sont de l'ordre d'un surnaturel trop éloigné de moi. Ainsi, je me suis perdue et je le regrette vraiment mais ce n'est pas une lecture que j'ai appréciée.
Ce n'est pas un livre que j'ai beaucoup aimé, mais tellement réaliste. je n'ai pas trop accroché a l'histoire.
En voilà un bien mauvais roman !
Pour faire simple, je n'ai rien aimé dans ce titre. Ni les personnages, que je considère comme aussi peu crédibles qu'une courgette dansant la salsa, que l'histoire, qui est d'une simplicité sans borne.
Je suis terriblement déçue de la lecture que j'ai faite, surtout si on tient compte du résumé proposé qui ne correspond qu'à une ligne ou deux présente a la toute fin du roman !
Tina Evans est chargée de monter une revue à Las Vegas, qui s’annonce sous les meilleurs auspices. Deux ans auparavant, elle a perdu son fils de dix ans, Danny dans un accident de bus. Il était parti avec sa troupe de scouts en montagne, mais malheureusement le véhicule est tombé dans un ravin et il n’y a pas eu de survivant. Comme le corps était très abimé, le cercueil a été fermé sans que les parents puissent le voir, ce qui rend le deuil presque impossible, son couple n’y a d’ailleurs pas survécu. Au bout de deux ans, elle pense voir enfin le bout du tunnel avec le succès annoncé de son spectacle et sa rencontre avec Eliott, un riche avocat et ancien agent secret. Toutefois des phénomènes étranges se produisent dans la chambre de Danny que sa mère n’a pas encore eu le courage de débarrasser. Elle pense qu’on veut l’effrayer, se met à douter de la mort de l’enfant et demande à Eliott de l’aider à le faire exhumer. Les services secrets s’en mêlent, le surnaturel s’emballe et le fameux virus chinois qui fait la renommée du livre apparaît à la toute fin.
Il s’agit d’un roman d’espionnage, mâtiné de thriller ésotérique et de romance, c’est un livre sympathique et nettement plus intéressant que la série en cours consacrée à Jane Hawks, même si on y retrouve des points communs, mais certainement pas la prédiction de la pandémie actuelle. Les éditeurs ont relooké le virus d’origine, russe, en virus chinois, car le contexte de la guerre froide n’est plus assez actuel. Mais tout le battage fait autour de cette pseudo-prédiction est largement exagérée. On retrouve un complot scientifique, une organisation secrète et beaucoup de surnaturel dans ce roman écrit en 1981.
La part de la romance est trop importante, c’est le point le plus négatif du livre à mon avis, il y a un petit côté « Harlequin » fort déplaisant, mais pour le reste c’est un thriller sympathique, vite lu et un bon moment. La thématique du deuil est bien traitée. La détresse de Tina, sa culpabilité est très bien décrite. C’est elle qui a accepté que Danny participe à ce voyage et son ex-mari estime qu’elle est responsable du drame.
Koontz nous interroge aussi sur le fonctionnement des démocraties, jusqu’où les gouvernements peuvent-ils aller pour défendre leurs principes ? Finalement ils n’hésitent pas à sacrifier les individus à la raison d’Etat et l’un des scientifiques se demande si au fond les autorités américaines ne sont pas capables de faire comme les Chinois ou les Russes pour ne pas se laisser dépasser dans la course aux armements. Le manuscrit original a été relooké, mais on sent bien le contexte des années quatre-vingt dans ce roman.
Un thriller agréable à lire, même s’il ne correspond à ce qu’en ont dit les réseaux sociaux. Je suis contente de m’être réconciliée avec cet auteur après La porte interdite que je n’ai vraiment pas aimé. Merci à Mylène de L’Archipel et à Netgalley pour cette lecture.
#Lesyeuxdesténèbres #NetGalleyFrance !
Je tiens à remercier les éditions L'Archipel et le site Netgalley de m'avoir permis de lire ce livre.
Ce livre nous relate que dans les années 1980 l'auteur imaginait déjà qu'à la ville chinoise de Wuhan un virus se propageait déjà par simple voie respiratoire. Son nom Wuhan 400 et de jours cette prophétie s'est bel et bien réalisée.
En 2020 les chinois mettent au point une arme biologique le wuhan 400 créée en laboratoire en périphérie de Wuhan. Bizarrement les symptômes sont les même que ceux du sars-kof2 surtout que dans le livre le virus est mortel et capable d'anéantir toute une ville entière.
Un livre lu d'une traite tellement j'ai accroché à l'histoire qui nous parle de fais d'actualité, prenante, captivante, addictive. J'adore la plume de l'auteur.
Tina Evans a perdu son fils de 10 ans Danny dans un effroyable accident de car. Pour faire son deuil, elle se lance à corps perdu dans son travail de monteuse de revue. Malheureusement, toutes les nuits, Tina est ramenée à son fils. Elle fait des cauchemars où elle le voit l’appeler au secours. La sensation d’une présence invisible qu’elle ressent dans sa maison et le chevalet de son fils qu’elle ne cesse de retrouver totalement renversé dans sa chambre avec les mots « Pas mort » inscrit à la craie sur le dessus, commencent peu à peu à l’effrayer.
Toute une série de phénomènes étranges plongent Tina tout comme nous lecteurs, dans un étau de crainte et nous poussent à nous demander si la mère de famille ne tomberait pas progressivement dans la folie. Tina s’affranchit bien de ce que peut penser le lecteur et décide de tout faire pour retrouver son enfant et découvrir la vérité sur sa disparition.
Des zones d’ombres, une vérité qui dérange, une dimension paranormale corrélée à un côté horrifique qui nous tend tout au long des deux premières parties du roman (si j’ose dire), j’ai bien aimé l’exploration de tous ces aspects bien plus que ceux abordés dans la suite du roman.
Je retrouve, dans les abysses de ma liseuse, Les yeux des ténèbres de Dean Koontz, un roman épuisé, réédité au printemps 2020 et assorti d’un bandeau racoleur annonçant un roman prophétique et rapprochant l’intrigue de l’épidémie de Covid, venue de Chine.
Je me souviens avoir lu des romans de cet auteur dès les années 1980 à une époque où je dévorais compulsivement beaucoup de thrillers. Celui-ci ne devait pas en faire partie ; si c’est le cas, il ne m’a laissé aucun souvenir !
Le récit donne d’abord la primauté à l’impossible deuil de Tina dont le fils de dix ans, Danny, est mort dans un effroyable accident et qui n'a jamais pu identifier son corps. Un an plus tard, des signes surnaturels lui font comprendre que son fils serait toujours en vie. Personnellement, c’est la partie de l’histoire que je préfère…
Dès lors, Tina n'a qu'une obsession : retrouver son fils et découvrir la vérité. Mais ses recherches dérangent et les services secrets tentent de l'assassiner. Qu'ont-ils à cacher ?
Tina entame une relation avec Eliott, un séduisant avocat, veuf, prêt à la croire et à l’aider dans ses investigations. Comme, accessoirement, c’est un ancien des services secrets, sa présence opportune se révèle très utile pour la suite des péripéties…Pour moi, les choses ont un peu commencé à se gâter à la lecture de leurs dialogues souvent creux, blagues de potaches pas très fines, dignes d’une comédie sentimentale bas de gamme, qui n’apportent aucune valeur ajoutée à l’ensemble et ne servent qu’à remplir quelques pages inutiles.
Un fois n’est pas coutume, je vais divulgâcher sans complexe…
Ce n’est qu’à l’approche du dénouement que Dean Koontz évoque un laboratoire secret où est mis au point un micro-organisme viral, issus d’une arme biologique chinoise, nommée Wuhan-400, provoquant, vertiges, fièvres, courbatures, nausées pouvant provoquer rapidement le décès des sujets infectés et cela, uniquement pour le genre humain … Le fonctionnement de ce Réseau secret est expliqué de manière très scolaire, par des passages littéralement plaqués dans le récit ; c’est dommage car cela donne l’impression que le travail d’écriture a été un peu baclé.
Le jeune Danny devient celui par qui la fin de l'humanité pourrait arriver. La fin reste ouverte.
J’avoue un certain retard dans le traitement de ma PAL NetGalley car j’ai souvent le clic un peu compulsif et, ensuite, je manque de temps pour tout lire dans un délai raisonnable… Mais tout est lu et, dans ce cas précis, le retard assumé met en évidence le côté un peu trop bassement mercantile du battage médiatique autour de la réédition de ce livre il y a deux ans.
Une déception !
#Lesyeuxdesténèbres #NetGalleyFrance
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