Dé-bris
par Ida ASHA
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Date de parution 7 févr. 2020 | Archivage 9 juin 2020
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Résumé
Dans un coin de la cité s’agitent quelques philanthropes aux espoirs sans cesse renouvelés d’un monde meilleur. La « société de la rue », petite entreprise humaniste, offre à ses membres de se décrasser des tourments de la vie en défiant le déterminisme d’inédit.
L’espace vit au travers de ses transformations, les uns et les autres l’éprouvent en le réinventant, en le dotant d’odeurs, de couleurs, de relief. Le corps ainsi composé soutient chacun au gré des rires et des morts qui ponctuent l’existence.
Abou, Zadig, et leurs semblables, n’échappent à aucune question ; l’enjeu n’est pas tant la paix que le possible, au risque de heurts, de chocs, de pertes.
L’objet de la quête n’est pas nommé, ses fondements restent ignorés. Elle suffit aux amis, les supporte et les conduit dans les tortueux passages d’une société qu’ils peuvent dès lors faire leur.
Dans un coin de la cité s’agitent quelques philanthropes aux espoirs sans cesse renouvelés d’un monde meilleur. La « société de la rue », petite entreprise humaniste, offre à ses membres de se...
Formats disponibles
| FORMAT | Ebook |
| ISBN | 9791026248002 |
| PRIX | 6,99 € (EUR) |
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Chroniques partagées sur la page du titre
Aurore D, Rédacteur
Bonjour à toi qui passe par là. Hier soir, j'ai lu " Dé-bris " d'Ida Asha et j'ai été séduite. L'auteur signe une fable sociale moderne, terriblement touchante. On suit l'histoire d'Abou qui travaille au " bunker ", l'association de la rue, une association humaniste permettant aux Sdfs-artistes de quitter la rue pour vivre au "château", l'espace de tous les possibles et d'y exercer leur passion avec un soutien sans faille. Abou et ses collègues ont toujours des projets artistiques fabuleux afin de mettre en valeur leurs artistes, en passant par la galerie d'art ou l'ouvrage collectif. J'ai adoré l'authenticité des personnages, la belle énergie qu'ils mettent dans ce projet social porteur d'humanité et d'espoir. On s'attache à chacun des personnages du bunker, tous très riches et singuliers, capables d'une grande énergie positive et créative mais emprunts d'une nostalgie et d'une errance intérieure. Ici, chacun a sa part d'ombre. Au château, chacun cherche sa place et chacun aide l'autre à la trouver avec bienveillance. Quand j'ai refermé l'ouvrage dont la fin m'a vraiment secoué, je me suis rendue compte que j'étais face à un ouvrage sur la vie humaine, sur ce que chacun met en oeuvre au sein de son passage sur terre, sur les connexions qu'il permet de créer et sur la continuité, ce qu'il reste de ce qui nous a lié... #de-bris #idaasha #art #sdf #creation #livrelu #livrestagram #lectureencours #pal #bookaddict #instalivresque #avislecture #balancetachronique #bookstagrambelgium #humaniste #societedelarue #netgalleyfrance #projetsocial #social #Débris @netgalleyfrance
Rédacteur 668559
J'ai apprécié cette lecture emplie de solidarité, d'amour… mais j'ai eu comme un goût de trop-peu.
Le thème est très intéressant, les personnages riches de leur humanité, de leurs extravagances, de leurs déboires, de leurs espoirs… mais j'aurais aimé avoir plus de temps pour mieux les connaître… prendre plus le temps.
Le livre est en effet très court : 90 pages. A mon sens, il aurait gagné à être étoffé : par des dialogues (inexistants), par plus de réflexions internes des différents personnages pour entrer un peu plus dans leur psychologie. Je pense que l'histoire aurait alors eu plus de profondeur.
Il n'en reste pas moins que l'idée est belle, un foyer d'accueil pour des personnes vivant dans la rue, avec l'art comme toile de fond : peintures, écrits.
J'ai particulièrement aimé la proposition d'écriture pour une "autobiographie de la rue". Ca m'a rappelé mon métier ; animatrice sociale.
