Park Avenue Summer

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Date de parution 4 juin 2020 | Archivage 24 juin 2020
Belfond | Le Cercle

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Résumé

Quand Mad Men rencontre Le Diable s’habille en Prada. Ode à la féminité et à l’affirmation de soi, un roman d’apprentissage inspirant et savoureux qui rend hommage à l’une des icônes féministes les plus fantasques et les plus glamour du XXe siècle.

En acceptant le poste de secrétaire de la toute nouvelle rédac’ chef de Cosmopolitan, Alice n’imaginait pas qu’elle allait faire la rencontre de sa vie. Petite provinciale de vingt et un ans tout juste débarquée de son Ohio natal, elle se retrouve ainsi face à une figure du New York des sixties : Helen Gurley Brown, auteure du sulfureux best-seller Sex and the Single Girl.

Mais cette grande visionnaire n’a pas que des amis dans la presse et elle se trouve en réalité sur un siège éjectable. Alice ne va pas tarder à découvrir que sa rebelle patronne fait l’objet d’une cabale acharnée, menée par ses collègues masculins bien décidés à démontrer que la place d’une femme est davantage dans la cuisine qu’à la tête d’un magazine.

Parler à une nouvelle génération de femmes, débarrasser la presse de ses vieilles figures patriarcales est un défi de taille. Fascinée par Helen, Alice est prête à tout pour l’aider à inventer une « Cosmo Girl » fière, sûre d’elle, libérée de tout carcan puritain. Qu’importent les coups bas. Et les coups au cœur…


Après une enfance passée dans l’Ohio, Renée Rosen est diplômée de l’American University de Washington. Auteure de plusieurs fictions historiques, Park Avenue Summer est son premier roman à paraître en France. Elle vit à Chicago.   

Quand Mad Men rencontre Le Diable s’habille en Prada. Ode à la féminité et à l’affirmation de soi, un roman d’apprentissage inspirant et savoureux qui rend hommage à l’une des icônes féministes les...


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782714481160
PRIX 21,90 € (EUR)

Chroniques partagées sur la page du titre

Le Cosmopolitan, magazine iconique de la femme libérée est paru pour la première fois aux États-Unis en Mars 1886 sous la qualification de « magazine familial de première classe. »
Sagement assis sur les bonnes vieilles valeurs patriarcales, à la vocation essentiellement littéraire ( publier nouvelles et feuilletons écrits par des dieux de la plumes tels que Jack London, Rudyard Kipling ou Edith Wharton) sa principale innovation était de comporter UNE RUBRIQUE EXCLUSIVEMENT CONSACRÉE AUX PRÉOCCUPATIONS DES FEMMES : la mode, le ménage, la décoration, la cuisine, la « prise en charge et la gestion des enfants.»

Non, ce n’est pas un fake, et oui, vous pouvez exploser de rire !
💄Parce que oui, ce Cosmopolitan là est bien le même que celui dont chaque couverture est un feu d’artifice de sensualité et de créativité,
💄Décliné aujourd'hui en 64 éditions internationales.
💄Bible de la jeune femme active et libérée, dont les préoccupations sont sa réussite professionnelle, son épanouissement personnel et ses passions la mode, la beauté, l’amour, la séduction, la psychologie et bien sûr le SEXE !

La cause d’une transmutation aussi cataclysmique ?
Un petit bout de bonne femme d'un mètre cinquante et 40 kilogrammes toute mouillée : la féministe novatrice Helen Gurley BROWN autrice en 1962 d’un best-seller mondial "Sex and the Single Girl "dans lequel elle dépeint la nouvelle américaine prête à croquer la vie à pleines dents, mais qui doit pour y parvenir, appliquer ses 13 « commandements du Bonheur », dont:
👠ENJOYER » LE SEXE, soit lutter pour une vie sexuelle épanouie, au plaisir partagé (et ce, même pour les célibataires).
👠FAIRE CE QU’ELLE AIME, trouver sa voie, une activité professionnelle qui soit sa « pilule du bonheur.»
👠ÊTRE IRRÉSISTIBLE et la plus appétissante possible au quotidien.
👠AIMER SON CORPS, mettre en avant ce que la nature lui a donné, être fière de sa féminité.
👠DIRE CE QU’ELLE PENSE et SANS JAMAIS S’EXCUSER.
👠TOUJOURS BRILLER et être la première sur la piste de danse comme derrière un bureau.
👠SE RETROUSSER LES RÉSILLES, savoir travailler jusqu’à plus de forces, donner tout ce qu’on a dans le ventre,:

Et c’est bien cette minuscule tornade, ce bourreau de travail aux collants éternellement filés, qui dans les plus prestigieux restaurants new-yorkais mange la salade avec les doigts, rqui devient en 1965 la rédactrice en chef du COSMOPOLITAN, chargée de la réanimation d’un journal moribond, réputé « fade et ennuyeux » et dont les ventes s’effondrent lamentablement.

Malheureusement en prenant ce poste Helen Gurley Brown va se rendre compte que sa mission n'est pas gagné
Car ni les actionnaires du groupe Hearst auquel le journal appartient, ni les membres de l’équipe éditoriale ne sont prêts à accepter que le Cosmopolitan devienne le nouveau terrain de jeu d’une génération de femmes "qui auraient le culot de se vouloir joyeuses, maîtresses de leur vie et résolument décomplexées."
Alors la guerre, celle où tous les coups, surtout les plus bas, sont permis est déclarée. Et croyez moi, ça va swinguer !

💄Alors, si vous voulez comprendre, avec un livre, passionnant, intelligent, instructif, grave et pétillant, voire hilarant, comment un petit bout de femme a réussi en seulement 5 mois à transformer un vieux journal ringard prônant un idéal féminin mariée, mère au foyer, vivant des subsides de son mari, en l’un des magazines féminins les plus vendus au monde :
Fer de lance de la Révolution sexuelle féminine,
Qui PARLE DE CONTRACEPTION ET DE SEXE !
Inventeur selon le New York Time du concept de la COSMO GIRL "autodidacte, sexuelle, très ambitieuse, qui présente bien, porte des vêtements fabuleux et prend du bon temps quand elle les retire"...

Régalez-vous sans plus attendre avec ce fabuleux livre de Renée Rosen, PARK AVENUE SUMMER : Vous ne le regretterez pas une seule seconde !

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Ce roman est présenté comme un mix entre Mad Men et le Diable s'habille en prada, pour moi cela va au delà (bon je ne peux pas parler pour Mad Men que je n'ai jamais vu). L'ambiance m'a plus emportée grâce au charme des années 60. Et le gros plus : le féminisme hallucinant pour l'époque de Helen Gurley Brown. Vu avec notre regard contemporain, c'est une vision assez dérangeante puisque, par certains côtés, encore bien trop dépendante des hommes, mais il faut remettre tout ça dans le contexte de l'époque. Il s'avère qu'Hélène est LE personnage principal véritable de l'histoire pour moi. C'est absolument génial de voir, à travers la narration d'Alice, comment elle bouscule une société foncièrement patriarcale, comment elle les choque et les pousse à bout, ne montrant jamais ses faiblesses devant eux, mais lâchant du lest devant Alice. Voir les "coulisses" d'une femme aussi féministe qui fait face à de nombreux coups bas masculins et autres.... Ajoutez à cela la jeune Alice qui découvre la vie new-yorkaise et quelques secrets de famille et vous obtenez un roman assez prenant!

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Énorme coup de cœur pour ce roman qui nous plonge dans le passé d’un magazine iconique et des femmes qui en sont à l’origine . Le magazine cosmopolitan du début était un magazine de « mémères « à destination des femmes qui étaient pour la majorités au foyer n’ayant soi-disant que pour intérêt leurs enfants , maris et maison .... mais Helen Gurley Brown ne l’entend pas ainsi . Elle veut le révolutionner pour en faire celui de ses filles , des filles libres , féministes qui veulent plaire aux hommes et faire carrière , vivre leurs rêves en étant indépendantes . Pour les années 60’ c’est impensable ou presque ... ce livre décrit très bien la société américaine de l’époque et la dominance masculine . Alice , jeune provinciale qui débarque à New York va se nourrir des conseils d’Helen . C’est elle qui nous raconte l’histoire de l’evolution du magasine et du féminisme . C’est elle qui va apprendre à vivre ses rêves et apprendre à suivre ses envies qu’elles soient sexuelles ou professionnelles . J’ai vraiment beaucoup aimé . Bien sûr en tant que femme du 21eme siècle je bénéficie de la lutte de ces femmes même si pour autant nous savons bien que tout n’est pas réglé en tant qu’égalité entre homme et femme .... Ce livre m’a tellement plu que je ne sais pas trop comment en parler sans m’emballer et partir dans tous les sens .

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Une jeune provinciale arrive à New York pour réaliser le rêve de sa vie : devenir photographe. Évidemment, çà ne marche pas comme çà, mais elle va réussir à faire jouer ses relations pour trouver un poste de secrétaire et assister par là même à la renaissance d'un magazine, Cosmopolitain, remis sur pied par Helen Gurley Brown et ses idées avant-gardistes. L'intrigue se place donc dans les années 60, aux balbutiements de l'émancipation féminine. Alors une femme à la tête d'un magazine, çà fait grincer les dents. Mais quand elle décide de parler de sexualité ou de contraception, çà devient carrément la guerre froide entre elle et les chantres du bien pensant qui gouvernent le groupe de presse. Alice, la jeune secrétaire va donc assister à l'émergence d'une nouvelle presse féminine et va par la même occasion réussir à construire sa vie selon ses propres envies.
Le roman nous offre un histoire pleine de glamour, de fascination, avec une galerie de personnages hauts en couleur, le tout raconté dans un style pétillant et plein de vie.
Merci aux éditions Belfond et à Netgalley pour cette lecture irrésistible.

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Park Avenue Summer de Renée Rosen. Editions Belfond, juin 2020.
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. Dans cette « oeuvre de fiction historique », l’auteure nous raconte la véritable histoire de Helen Gurley Brown, la rédactrice en chef qui bouleversa profondément le magazine Cosmopolitan en juillet 1965. C’est par le personnage fictif d’Alice Weiss, jeune provinciale fraîchement débarquée à New York pour y devenir photographe, que nous suivons simultanément la naissance du nouveau Cosmo et celle d’Alice, ce qui en fait aussi un roman d’apprentissage.
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. C’est aussi toute une époque, celle où les hommes sont conservateurs et les femmes se libèrent. Elles rêvent de carrières prestigieuses et de choses à accomplir avant le mariage. C’est un constat flagrant de la société des années 60. HGB voulait publier et transmettre des informations à « ses filles », ses « Cosmo girls », « je crois sincèrement que c’est ma raison d’être ». La reconstitution, l’esthétisme, l’ambiance et les décors résultent de profondes recherches. Tout est si visuel, presque cinématographique, on sent l’oeil d’Alice derrière son objectif. La ville de NY est un personnage à part entière, NY qui ne dort jamais, la ville où tout semble possible. La trame narrative est très intéressante, les dialogues bien ciselés et les personnages possèdent une belle profondeur.
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. De la peinture de la société de l’époque à la place de la femme, tout sonne vrai. Ce livre est une belle chronique des années 60.
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. Merci à NetGalley et aux éditions Belfond pour leur confiance.

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CHIC

J’aime les fictions historiques car nous pouvons y trouver un romanesque qu’il n’y a pas toujours dans la vraie vie, et l’Histoire dont je souhaite les vérités les plus exactes possible. Il semble que ce soit le cas dans ce roman à la couverture parfaitement adaptée au ton général du livre : sérieux (la vraie vie) et girly (sans la condescendance attachée à ce mot).
Alice Weiss est un personnage fictif mais elle travaille auprès d’Helen Gurley Brown, disparue en 2012, et qui a fait du magazine Cosmopolitan une référence en matière de style journalistique. Ses propres aventures amoureuses se mêlent à celles de sa patronne et nous font vivre de l’intérieur la course effrénée et stressante dans les milieux de la mode et du cinéma. Avec Alice, fourmi besogneuse, nous allons monter une à une les marches qui mènent du rêve à sa réalisation ; et c’est jouissif ! Il y a du fantasque, du glamour, du réalisme, et du féminisme à tous crins.
On retrouve dans la lecture de ce roman un peu du « Diable s’habille en Prada » mais il y a une profondeur supplémentaire car Helen est à vif, et je suis souvent restée abasourdie par la faculté de rebond du personnage.
Je le conseille vivement à toutes celles et à tous ceux qui veulent se lancer dans un projet un peu fou, ils y trouveront la motivation pour réussir à tout prix, avec comme mantra : réussir, c’est savoir tirer profit de ses nombreux échecs. Et en prime, ils apprécieront sûrement la plume élégante et caustique de Renée Rosen dont c’est la première publication en France.
Je remercie les #ÉditionsBelfond et #NetGalleyFrance pour m’avoir fait découvrir # Park Avenue Summer.

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Deux époques, deux parcours très différents mais une même ville : New York. Quelle autre mégalopole aurait pu faire l’affaire pour ces deux romans qui parlent tous deux du microcosme de la presse ? Aucune. C’est bien ce qui fait son charme.

Année 1965 : Alice est une jeune provinciale qui débarque à Manhattan et rêve de devenir photographe. Grâce à une amie de sa défunte mère, elle devient la secrétaire d’Helen Gurley Brown qui vient de reprendre les rênes du célèbre magasine Cosmopolitan. Alors à la croisée des chemins, le magasine doit trouver une nouvelle identité. Sa nouvelle rédactrice en chef veut en faire, d’un magasine pour les ménagères, la revue des jeunes femmes modernes et affranchies.



Années 2010 : Lucas est lui aussi venu tout droit de sa province profonde et il rêve d’être journaliste. Pour l’instant il se satisfait d’un poste de fact-checkeur à Empire. Sa vie bascule le jour où il couche avec la journaliste sexo Carmen Kelly, qui le tourne en dérision dans sa rubrique. Il prend alors son clavier pour lui répondre et se lance alors dans un duel de plumes, sous l’œil amusé de très nombreux internautes.

Pas du tout la même ambiance, ni les mêmes enjeux dans ces deux romans, et pourtant, Alice et Lucas ont de prime abord de nombreux points communs : ils sont tous les deux des nouveaux-venus à New York et totalement sous le charme de la ville, pourtant parfois terriblement hostile. Tous les deux vont nous faire pénétrer dans l’intimité de la rédaction de deux monuments de la presse américaine.



Ainsi, c’est un Cosmopolitan moribond et en voie de reconstruction que Park Avenue Summer nous dévoile. À cette époque charnière qu’étaient les années 60, entre conformisme et libération des femmes, le travail d’Alice pour Cosmo a tout du récit d’initiation et sa nouvelle patronne a tout du mentir. À ses côtés, Alice osera s’affirmer… et le magasine prendra lui un nouveau départ.

Dans Mr Nice Guy, Lucas aussi est un jeune candide qui apprendra la vie à la dure au sein d’une rédaction. Comme Alice, d’ailleurs, il fuit une rupture. Chez Empire, il apprendra la duplicité et la mesquinerie… ainsi que les ficelle du buzz. Que les temps ont bien changé depuis le Cosmo de 1965, qui choquait avec une jeune femme décolletée en une ! Chez Empire, Lucas et Carmen racontent en détails l’initiation sexuelle du jeune homme. Les lecteurs facilement effarouchés feraient mieux de s’abstenir !

Les autres passeront indéniablement un bon moment à suivre Lucas et à le voir s’embourber dans une situation rapidement intenable. On a bien envie de le voir triompher, même s’il mériterait quelques bonnes claques. Cependant, les années 2010 n’ont pas le charme des sixties dans lesquelles nous plonge Park Avenue Summer : les clopes qu’on fume à tout va, le cliquetis des machines à écrire, les martinis pris dans des petits bars de Manhattan et les célébrités de l’époque que l’on croise au détour d’une page… Indéniablement, le parcours d’Alice séduit, d’autant que s’y ajoute juste ce qu’il faut de romance et d’introspection. Si Mr Nice Guy rappelle peut-être un peu Sex and the City, Park Avenue Summer évoque lui Rien n’est trop beau de Rona Jaffe ou la série Mad Men.

Dans les deux cas, New York tient le beau rôle : même si le privilège d’y vivre et de s’y établir est durement acquis, nos personnages trouveront la force de s’y épanouir, malgré les loyers élevés, la compétition et les écueils amoureux. Bonne pioche dans les deux cas !

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Attention lecture coup de cœur et comme souvent je trouve que cet avis n’est pas à la hauteur de mon enthousiasme pour cette lecture.

Je viens de dévorer ce roman en quelques heures. Nous sommes dans les années 60, Alice Weiss rêve de devenir photographe, un travail qui n’est pas adapté à une femme selon beaucoup, par chance, elle décroche un poste d’assistante de la formidable Helen Gurley Brown à son arrivée à New York. Gurley Brown vient d’être nommée rédactrice en chef du magazine en perdition Cosmopolitan après un livre qui a bousculé les bonnes mœurs et une carrière dans la publicité. Une femme à un tel poste bouscule les mentalités. D’autant que Cosmo est destiné aux femmes aux foyers, mères de famille et les huiles ne veulent pas que ça change. Helen pense au contraire qu’il faut changer la cible, en faire le magazine des jeunes femmes célibataires. Pour réussir son pari, elle n’a droit qu’à un essai et seulement quelques mois.

A travers les yeux d’Alice, on assiste donc aux coups bas, aux coups durs, à l’apprentissage, à la découverte de soi et de ses envies, au patriarcat. Je reconnais que je n’avais jamais entendu parler d’HGB avant cette lecture, mais quelle femme ! Cela me donne d’ailleurs envie d’en savoir plus à son sujet et en cela l’autrice a clairement réussi son pari et rend un très bel hommage à cette femme de caractère qui a donné naissance à un empire tel qu’on le connaît aujourd’hui.

Ce roman aborde des thèmes qui sont toujours d’actualité aujourd’hui, la libération sexuelle de la femme, la réussite professionnelle, l’égalité. Certes, le contexte des années 60 change le prisme des perceptions, les femmes aspirent davantage au mariage et la vie de famille qu’à la réussite professionnelle et c’est là que Gurley Brown vient mettre un gros coup de pied à la fourmilière avec un culot incroyable. Ses filles ne sont pas des ménagères, elles veulent une carrière et un homme. Son personnage, celui d’Alice et même d’Elaine sont passionnant. Ce sont des beaux portraits de femmes fortes et ambitieuses qui sont décrites à travers ces pages, même si un homme n’est jamais loin pour épauler quand il le faut.

C’est un roman qui m’a énormément plu. Mention spéciale aussi pour le travail d’édition et de traduction. C’est tellement agréable de pouvoir se laisser porter comme ça par le récit sans avoir l’œil attiré par une coquille. Enfin, je conclurai en disant que j’adore l’idée de Belfond de terminer le livre par des propositions de réflexion pour un book club. C’est un livre qui illustrerait parfaitement le thème du féminisme.

Merci beaucoup à Netgalleyfrance et Belfond de m'avoir permis de lire Park Avenue Summer !

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Merci à Netgalley et aux éditions Belfond pour cette lecture, qui s'est révélée tout simplement passionnante. Le pitch annonçait un roman à la croisée du "Diable s'habille en Prada" et de Mad Men, et le pari est réussi. 

On fait donc la connaissance d'Alice, jeune fille , rêvant de devenir photographe, et qui arrive à New York. Pour son premier emploi, elle décroche le poste d'assistante d'Helen Gurley Brown, une féministe convaincue qui prend la tête du magazine Cosmopolitan. En suivant Helan, Alice va être témoin de l'évolution de la société américaine, et du carcan que celle-ci représentait pour les femmes. 

J'ai été littéralement bluffée par ce petit roman sans prétention qui cache entre ces pages, bien plus qu'il n'y laisse paraître . Car au-delà du portrait d'une grande dirigeante, il dénonce une société dans laquelle les hommes  sont les seuls à prendre les décisions. Et Helen Gurley Brown, va venir bousculer tout ça , à grand coups de pied dans la fourmilière.  

Avec une plume légére et enlevée, et un humour très présent, j'ai été tout de suite emportée par les deux héroïnes. De conférences de rédaction en recherches d'investisseurs, les deux héroïnes mettent un point d'honneur à nous faire découvrir l'envers du décor , d'un magazine de presse très connu. Et l'évolution de ces personnages, nous entraîne à une vitesse folle, jusqu'à la conclusion finale très satisfaisante. Un roman qui se pose comme une bouffée d'air frais, à découvrir cet été.

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Lire une fiction historique sur la vie d’Helen Gurley Brown, célèbre rédactrice en chef de Cosmopolitan, qui a permis au magazine d’obtenir ses lettres de noblesse, c’est ce qui s’appelle chez moi sortir sacrément des sentiers battus de mes lectures. Jusqu’à présent, ces derniers mois, ces sorties ont été plutôt rafraîchissantes, et dans l’ensemble réussies.

Point positif à la fin de ma lecture de Park Avenue Summer : l’histoire est agréable à lire et à suivre, l’ensemble est bien rythmé. L’on n’a aucune difficulté à suivre les pas d’Alice, jeune fille qui arrive de l’Ohio pour devenir photographe à New York, et qui va finalement se retrouver, par une série de coups de chance et de connaissances, la secrétaire d’Helen Gurley Brown, alors que celle-ci vient d’être nommée rédactrice en chef du magazine féminin. L’on découvre, au fil du récit, les hauts et les bas d’Helen pour réussir à donner une nouvelle couleur, provocante et novatrice à l’époque, au magazine, et ainsi le faire sortir de la banqueroute qui risque de signer sous peu la fin de sa publication. L’on découvre aussi, simultanément à la naissance d’un nouveau magazine, la naissance d’une jeune femme, Alice elle-même, qui va, à New York, devenir enfin elle-même, et s’épanouir enfin pleinement.

Mais, malgré cette lecture qui se laisse glisser facilement, il faut dire que j’ai trouvé l’ensemble plutôt couru, voire parfois caricatural, autant quant aux personnages que quant aux situations : pas ou peu de surprises au fil du récit, les personnages agissent comme l’on peut s’y attendre à la vue de leurs portraits liminaires, et les situations mènent exactement là où l’on les attend aussi, jusqu’au happy-end final.

Park Avenue Summer a été pour moi une lecture parfaite pour démarrer l’été, surtout après quatre mois de boulot chaotique : pas prise de tête à lire, mais pour autant rien d’original qui rend l’ensemble inoubliable. Je remercie les éditions Belfond et NetGalley de m’avoir permis de découvrir ce roman.

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J'ai adoré me plonger dans ce roman, me rappelant mes moments de lecture de Cosmo, tellement de femmes ont été portée par ce magasine! Alors découvrir l'histoire de son sauvetage par Helen Gurley Brown  a été un bulle de fraicheur. J'avoue que je n'avais jamais entendu parler de cette femme mais j'ai adoré grâce à Alice découvrir ce petit brin de femme forte et intelligente, exubérante et qui cassa les codes de l’époque.

Pour elle, la femme a autant le droit d'arriver en haut de l'échelle, coucher avec des hommes et user de ses charmes pour y arriver.  Elle est l'autrice du livre "Sex and the Single Girl" et va se retrouver à la direction de Cosmo pour le remettre à flot. Cependant, sa vision des choses bouscule, dérange cette société patriarcale! Elle casse les codes et ç foi en sa vision, elle ne lâchera rien! Cela va aussi, un peu chambouler Alice mais entre les deux femmes un lien particulier va se créer. Grâce à Helen et sa vie New-yorkaise, Alice va se révéler, s'épanouir. Un duo complémentaire qui fait du bien.

Alice est attachante, une jeune femme moderne qui se bat pour son rêve mais sa peur est touchante. Nous la voyons évoluer, se révéler en tant que femme. En parallèle, j'ai pris un réel plaisir à découvrir la construction du numéro de la dernier chance! Les séances photos, les coups de poignard dans le dos... Malgré tout cela, Helen ne lâche pas, elle fera face et c'est  grâce à elle que nous pouvons encore aujourd'hui lire Cosmo!


Ce roman est un hommage à ces femmes féministes qui ont fait évoluer la vision de la femme, plusieurs points de vue s'opposent est permet l'ouverture des débats. Une ode à la femme! Pour autant, Renée Rosen ne laisse pas ces messieurs de côté, ils ne sont pas caricaturaux et cela m'a beaucoup plu aussi! J'ai aimé que pour une fois, le Don Juan s'attache! Elle montre le couple comme une équipe et non comme la femme aux service de son époux.


Ce roman est une merveille à découvrir. Une lecture qui se déguste grâce à une plume pétillante, enivrante. Je ne peux que vous conseiller la lecture de ce livre, dépaysant et intéressant!

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Un bon roman d'été, dans le New York des années 60' où une jeune provinciale, qui rêve d'être photographe, rencontre la rédactrice en chef de Cosmopolitan.
Glamour, chic... un bon moment et une jolie morale > pourquoi faudrait-il renoncer à ses rêves ?

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Roman un petit peu long au début, j'ai toutefois beaucoup apprécié ma lecture. Découvrir le féminisme à New York en 1965 était très intéressant, et surtout la manière dont Helen Gurley Brown défendait ses idées à travers "Cosmo".
Un très bon moment passé avec cette lecture

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Coup de coeur pour ce roman dans lequel Renée Rosen nous dresse le portrait d'une femme forte, pleine d'ambition. L'écriture est agréable.
Un bon moment de lecture.

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Excellent moment de lecture avec Alice, l'héroïne fictive de ce roman. Elle endosse le rôle de la secrétaire de la véritable Helen Gurley Brown, mythique rédactrice en chef du journal Cospolitan. Ce roman est une belle surprise qui nous replace en 1965, à New-York dans le monde de la presse.
Alice est attachante, jeune provinciale pleine de désirs, un peu candide mais débordante de vitalité. Comme beaucoup, elle est venue à New-York tenter sa chance et se libérer du carcan patriarcal puritain qui étouffent les jeunes Américaines. C'est aussi un roman sur l'émancipation des filles de cette génération.
Je n'ai jamais été fan de Cosmopolitan que j'ai toujours trouvé trop superficiel, mais la genèse de la refonte de ce journal pour en faire ce qu'il est maintenant m'a passionnée.
Le style de Renée ROSEN est enlevé et son récit se lit comme un polar. C'est très bien documenté, l'auteure étant spécialisée dans le roman historique. La personnalité de l'inclassable Helen Gurley Brown est très romanesque. Il lui a fallu se battre, contourner bien des obstacles venant de sa direction et déjouer les manœuvres de ses collaborateurs pour imposer son idée. Sa conception très particulière du féminisme ne lui valait pas que des amies dans les mouvements d'émancipation féminine.

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Alice débarque à New York en 1968 et réalise le rêve de sa mère disparue trop tôt.

Elle va devenir l'assistante de la célèbre Hélène Gurley, rédactrice en chef du magazine Cosmopolitan.

C'est une femme remarquable, passionnée et libérée. Helen Gurley veut inciter les femmes a être indépendante, à vivre pleinement leur vie et trouver le bonheur.
Elle affirme que les femmes n'ont pas besoin d'homme, elles peuvent avoir tout ce qu'elles veulent.
Alice va apprendre beaucoup auprès d'Hélène.


Un roman féministe que j'ai adoré du début à la fin. J'ai été captivé par l'histoire d'Helen Gurley qui a été une icône pour toutes les femmes.
C'est un super hommage que lui rend l'auteure.
J'ai aimé également l'histoire d'Alice, c'est très inspirant. J'ai tout de suite été happée par l'ambiance new-yorkaise et celle d'une rédaction .
C'est roman montre qu'il faut toujours persévérer pour réaliser ses rêves.
C'est vraiment une très belle découverte

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