Celles qui restent
par Samuelle Barbier
Ce titre a été archivé. Il est désormais indisponible sur NetGalley.
Commandez ou achetez ce livre dans votre point de vente préféré !
Envoyer des titres NetGalley directement à votre Kindle ou votre application Kindle.
1
Pour lire sur votre Kindle ou dans votre application Kindle, merci d'ajouter kindle@netgalley.com en tant qu'adresse e-mail approuvée pour recevoir des documents dans votre compte Amazon. Veuillez cliquer ici pour des instructions détaillées.
2
Ensuite, retrouvez votre adresse e-mail Kindle dans votre compte Amazon et ajoutez-la ici.
Date de parution 3 sept. 2020 | Archivage 22 oct. 2020
Hugo Publishing | Hugo Roman
Vous parlez de ce livre ? N'oubliez pas d'utiliser #Cellesquirestent #NetGalleyFrance ! Cliquez ici pour plus de conseils
Résumé
Celles qui restent est une histoire de soeurs. De femmes. De liens si puissants que les rompre bouleverse tout.
Celles qui restent est une histoire de soeurs. De femmes. De liens si puissants que les rompre bouleverse tout.
Clara est l'aînée, la sage, l'exemple à suivre. Celle qui fait tout comme il se doit, quitte à grincer des dents en se forçant à sourire.
Constance est la cadette. Si discrète, qu'on en oublie qu'elle existe... jusqu'à ce qu'elle décide de cesser d'exister en se jetant du haut d'un pont.
Lucy est la benjamine. Celle qui rit trop fort, parle trop fort, vit trop fort. Parce qu'elle a peur qu'on l'oublie.
Mais il y a aussi Marielle, qui elle, n'a ni soeur, ni frère, ni enfant, tout juste un vieux chien obèse. Celle qui a consacré sa vie aux autres pensait arriver au bout de son chemin dans l'indifférence, jusqu'à ce qu'un ange vêtu d'un manteau rouge se jette d'un pont, juste devant elle, et remette tout en question.
Celles qui restent est une histoire de soeurs. De femmes. De liens si puissants que les rompre bouleverse tout.
Celles qui restent est une histoire de soeurs. De femmes. De liens si puissants que les...
Formats disponibles
FORMAT | Grand Format |
ISBN | 9782755682762 |
PRIX | 16,95 € (EUR) |
Chroniques partagées sur la page du titre
« La vie ne se limite pas à ce que je pensais pouvoir faire, elle est grande, et vaste, et triste, et merveilleuse, et courte parfois. Si courte que si on y pense trop fort, on pourrait en oublier de respirer» (Celles qui restent, Samuelle Barbier).
Ça y est j’ai refermé ce livre, je n’en avais pas envie...
Les larmes sont montées, elles ont coulé même... pour Constance, pour Clara et pour Lucy aussi.
Sans oublier Antoine, Marielle, personnages « secondaires » mais tellement importants...
Quelle leçon d’amour, de vie, de courage et d’acceptation ils nous donnent.
Et cette ode au lien fraternel, celui qui est si fort qu’il vous ferait déplacer des montagnes. Celui grâce auquel vous ne vous sentez jamais seul, celui qu’on n’imagine pas perdre ou le plus tard possible.
Il est triste ce livre mais il est tellement beau aussi.
Ça fait longtemps que je n’avais pas ressenti de telles émotions en lisant un roman.
Clara, Lucy, Constance, Antoine, Marielle m’ont marqué chacun à leur façon, je n’avais pas envie de les quitter.
C’est un magnifique coup de cœur.
Être de ceux qui restent... Un sujet difficile porté par la belle écriture toute en sensibilité de l’autrice. Un roman très touchant et émouvant.
« Celles qui restent est une histoire de soeurs. De femmes. De liens si puissants que les rompre bouleverse tout.
Celles qui restent est une histoire de soeurs. De femmes. De liens si puissants que les rompre bouleverse tout.Clara est l'aînée, la sage, l'exemple à suivre. Celle qui fait tout comme il se doit, quitte à grincer des dents en se forçant à sourire.
Constance est la cadette. Si discrète, qu'on en oublie qu'elle existe... jusqu'à ce qu'elle décide de cesser d'exister en se jetant du haut d'un pont.
Lucy est la benjamine. Celle qui rit trop fort, parle trop fort, vit trop fort. Parce qu'elle a peur qu'on l'oublie.
Mais il y a aussi Marielle, qui elle, n'a ni soeur, ni frère, ni enfant, tout juste un vieux chien obèse. Celle qui a consacré sa vie aux autres pensait arriver au bout de son chemin dans l'indifférence, jusqu'à ce qu'un ange vêtu d'un manteau rouge se jette d'un pont, juste devant elle, et remette tout en question »
Dans celles qui restent nous allons aborder la question du deuil , le deuil d'une sœur qui a décider de mettre fin à ses jours, Constance. Dans ce long chemin du deuil nous allons suivre Clara, la sœur aînée si parfaite et si sage qu'on se demande si elle pense à vivre pour elle,et Lucy la benjamine qui sort, qui rit et qui boit. Nous allons également suivre Constance et les raisons de son suicide, Mariette la petite mamie promenant son chien obèse et qui est le seule témoin du saut de Constance, et Antoine l'ami d'enfance des sœurs et l'amour de jeunesse de Clara. J'ai vraiment aimé ce livre qui traite d'un sujet assez difficile mais tout en douceur et en vérité. Nous allons suivre des personnages vrais et uniques tous marqués par ce suicide inexpliqué . J'ai aimé l'approche du deuil et du suicide qui n'étaient pas si noirs comparés à d'autres livres que j'ai lu. Je remercie Netgalley et Hugo Publishing pour cette découverte.
Une histoire émouvante, prenante et très belle sur le deuil et ses différentes étapes. Cela reste bien entendu une fiction parce que chacun réagit différemment à la perte d’un être cher mais l’auteure a réussi à nous dépeindre, à travers Clara et Lucy, deux manières différentes de vivre l’après.
Un récit que j’ai trouvé très vrai et tout aussi beau que difficile dans les sentiments qu’il partage. C’est aussi l’influence que le drame aura sur une vieille femme qui en aura été témoin.
Des étapes, des chapitres courts et une plume très fluide font que l’on dévore cet ouvrage. On va être émue mais on va aussi sourire. L’auteure ne nous parle pas uniquement d’une perte, elle nous parle aussi de choix et de renaissance.
Un récit qui nous réserve sont lot de surprises, qui gagne a être lu et qui a pour avantage d’être accessible à un très vaste lectorat.
C’est avec les yeux humides que je termine la lecture de ce livre.
Le sujet est bouleversant mais c’est avec une douceur extrême que l’auteur nous fait vivre les diverses étapes du deuil que traversent, chacun à leur rythme et à leur façon, ceux qui restent après le suicide d’un proche, à savoir le choc, la douleur, la colère, le marchandage, la dépression, la reconstruction et, enfin, l’acceptation : « comment ai-je été assez stupide pour penser pouvoir l’oublier, ne serait-ce qu’une seconde ».
Après ma découverte de l'auteur avec "La sirène et le scaphandrier", il me tardait de pouvoir lire son nouveau roman.
Cette fois, Samuelle Barbier va traiter d'un sujet assez difficile. On le comprend bien rien qu'au titre.
Celles qui restent, c'est une histoire de perte, une histoire d'amour, de sœurs. Clara et Lucy doivent faire face à la perte de leur sœur survenue brutalement. Il y a aussi Antoine, leur frère de cœur. Et puis aussi Marielle, retraitée, là au mauvais moment, au mauvais endroit (ou pas).
Nous allons suivre le destin de ces personnages, lors de l'annonce du décès, les heures qui suivent, puis les jours... L'auteur nous immerge vraiment dans leur quotidien. C'est réel, c'est la vie telle qu'elle est, du moins la mort. Celle qui bouleverse tout sur son passage, nous arrache une partie de nous et nous plonge dans un autre monde. Un autre monde, le nôtre au ralenti ou qui s'arrête. On fait les choses par automatisme comme un robot, mais le monde ne s'est pas arrêté pour les autres, comme si tout le reste de l'univers s'en moquait.
Incompréhension, colère, puis douleur. Les souvenirs remontent, puis on veut comprendre. On en veut à tout le monde et à personne en même temps. Les autres ne comprennent pas. Puis on accepte, la douleur est toujours là. "Ça ira mieux avec le temps", mais les gens qui disent ça ne savent pas. On sait alors qu'il faudra vivre avec, pour Clara, Lucy et tous celles et ceux qui restent.
Vous l'aurez compris, nous suivons toutes les étapes du deuil auprès des deux sœurs. J'ai vraiment aimé ces personnages. Clara, sa vie va être bouleversée bien sûr mais petit à petit elle va prendre conscience de certaines choses et les remettre en question. Lucy, la plus jeune, la plus insouciante qui va se révéler être plus forte qu'elle n'y paraît. Antoine, le meilleur ami, le frère, presque perdu de vue mais présent au moment où les sœurs en auront besoin, leur petite lumière en quelque sorte. Et puis, Marielle, un peu l'intrus au sein de cette famille, dont la vie la être aussi chamboulée. Puis enfin Constance, qu'on apprend à connaître au fil du récit aussi, qui aime tellement ses sœurs.
J'ai aimé cette lecture, je peux dire que je me suis reconnue dans beaucoup de moments décrits. C'est triste, cruel, poignant mais beau en même temps. J'aime vraiment la plume de l'auteur qui est douce mais se veut percutante quand il le faut. J'aime la simplicité de ses mots tout simplement et ce qu'elle fait passer à travers eux en douceur.
Merci pour ce roman bouleversant , juste et poignant . On s'attache à ces 3 sœurs qui sont liées à jamais malgré la décision d'une d'entre elle de mettre fin à ces jours , de voir celles qui reste faire face à ce deuil , a cette tragédie.
Et n'oublions pas il y a toujours la lumière au bout du tunnel ...
Je l'ai lu en un week-end. La plume de l'auteure est si belle qu'on dévore l'histoire presqu'en une bouchée. Les personnages sont tous attachants, aussi bien les soeurs, par leur caractère si unique que Marielle, pour sa détermination ou Antoine, pour son soutien. On va suivre leur quotidien, qui est loin d'être facile.
Toutefois, je n'ai pas totalement adhéré à l'intrigue, car elle m'a parue triste quasiment tout le temps. J'avais les larmes aux yeux plusieurs fois. En fait, pour tout vous dire, même si la construction de l'histoire était bien, je m'attendais à lire un roman plus léger. Au tout début, j'ai souri, car ça parlait de croissant et j'en avais justement un qui m'attendais, à un moment, Les frères Scott sont mentionnés et pour finir, un plaid était utilisé et je me trouvais à ce moment-là de ma lecture sous un plaid tout doux.
Ne lisez pas cette histoire si vous venez de perdre un être cher, ça n'en serait que plus douloureux. Ce livre aborde divers thèmes comme le deuil, la famille et la vie finalement, qui mérite d'être vécue avec ce qu'elle a offrir malgré ce laps de temps passé sur Terre.
C'est une histoire de famille, plus précisément une histoire de fratrie, ou plutôt de soeurie (ah ça ne se dit pas, flûte un peu de sororité ne fait pas de mal pour combler les lacunes de notre belle langue française) et moi j'adore ça ce genre d'histoire.
Mais c'est surtout l'histoire d'une tragédie familiale, puisque tout commence au moment où la fratrie se disloque, celui où la cadette se jette d'un pont.
Cet événement dramatique va venir bouleverser la vie de Clara, l'aînée qui sous ses faux airs de Bree van de Kamp menait jusqu'alors une vie réglée comme du papier millimétré, orchestrant tout et tout à chacun.
Mais il va aussi remettre en cause la vie déjantée de Lucy, la petite benjamine, gaffeuse, brouillonne, imparfaite.
Je ne sais pas si c'est à cause de ma propre place dans ma fratrie (oui cette fois c'est adéquat puisque je n'ai pas de sœur) mais j'avoue que j'ai eu beaucoup d'affection et d'indulgence pour le personnage de Lucy et son évolution, je me suis tellement retrouvée en elle (poke : " le marchandage c'est vraiment merdique").
C'est une histoire belle pleine d'émotions, une lecture arc en ciel parce que malgré les pleurs qui coulent sur vos jours, vous ne pouvez vous empêcher de sourire.
J'ai beaucoup aimé ce roman qui nous parle de famille, de la place que l'on a dans une fratrie, mais surtout de celle qu'on choisit d'assumer ou pas, de lien du cœur, de la famille que l'on se choisit, de partage, de souvenirs, de deuil, de ce que l'on laisse derrière, de ce que l'on conserve de ceux qui ne sont plus là, du droit de choisir sa mort et tout ça d'une façon que je trouve particulièrement adéquate et humaine.
La plume de l'auteur est très belle, elle sait vous transmettre des émotions en quelques mots, et puis il y a ces petites touches d'humour comme des petites bulles qui se posent délicatement avant d'éclater. Et surtout il y a ces portraits de femmes si beaux, si délicats.
Quand Constance la sœur du milieu décide de mettre fin à ses jours en sautant dans l'eau gelée du canal, tout s'effondre autour de Clara et de Lucy. Entre lumière et désespoir, elles vont dérouler le fil du deuil et se poser bien des questions...
C'est une histoire intime, bouleversante. Comment survivre à une déchirure pareille ? Clara et Lucy reçoivent le choc à la disparition brutale de Constance. On va au cœur de leurs ressentis, réveiller et nourrir la douleur.
Le déroulement est juste, avec tout ce que comporte dans la vie de ceux qui ont à gérer un décès ; des aspects pratiques aux bouillonnements intérieurs. Et puis, il faut continuer et ou tout remettre en question, se donner une chance d'avancer. Il y a aussi les souvenirs tendres égrenés, qui retrouvent tout leur sel et agissent comme un baume cicatrisant.
L'écriture est belle, il en découle une sensibilité rare. On se laisse guider et envahir par ces émotions intenses, plurielles. On nous parle d'épreuves, du temps qui passe, des moments importants. Les chapitres sont courts et nous happent à chaque effeuillement, à chaque sentiment dévoilé. On y dit l'Amour, les silences, les choix avec une pertinence éveillée. Les étapes du deuil sont très bien décrites. Il y a cette progression qui donne espoir, qui libère les cœurs. La route est cahoteuse mais néanmoins cruciale et essentielle. Un roman qui prend tout son sens, une fois après toutes les cartes retournées.
L'auteure nous délivre un message fort, lumineux où tout malheur n'est heureusement pas la fin du chemin...
Malgré ce sujet délicat et triste, ce livre est vraiment beau, poétique… L’auteure magne l’écriture avec brio pour parler des sentiments.
Même le sujet du deuil et de la mort, pour moi, c’est une ôde à la vie. L’auteure nous fait comprendre que la vie est précieuse et qu’il faut la vivre comme on veut plutôt que faire des choix pour faire plaisir aux autres.
Un livre poétique, qui peut être triste et dure, mais qui m’a fait beaucoup de bien.
On découvre Constance qui fait le choix de contôler sa vie par une froide matinée sur un canal, ses soeurs Clara et Lucy qui vont voir leurs vies être boulverser. Clara et Lucy vont traversés les différentes étapes du deuil et remettrent leurs vies en question, elles vont également échangés parfois leurs rôles d'ainé et de cadette mais vont surtout se rapprocher et se soutenir. Leur deuil va être empoisoner par cette question qui ne cessera de les hantés : Pourquoi?
C'est un coup de coeur pour, les personnages sont tellement touchants, on vit leurs peines à travers elles, j'en ai versé des larmes! Le deuil décrit est tellement authentique, j'ai retrouvé les sentiments que j'ai pu ressentir quand j'ai été moi même confronté à la perte d'un être cher. L'auteure a fait un magnifique travail d'écriture, a su faire transparaitre de vrais sentiments, l'écriture est fluide, j'ai dévoré ce livre.
Comme le précédent roman de Samuelle Barbier, ce livre est pour moi un coup de coeur. J'ai particulièrement apprécié la sensibilité de son récit et son traitement du deuil.
" Merci à tous ceux et celles qui restent : sachez que vous n'êtes pas seuls ."
J'ai dévoré ce roman en très peu de temps. J'ai été complètement bouleversée.
Je crois que j'ai rejoint Clara ,Constance et Lucie , comme si j'étais une proche .
Une histoire magnifique de trois soeurs qui s'aiment plus que tout .
Qui s'aiment tellement que l'une d'entre elle choisit de ne pas prévenir ses sœurs qu'elle a une maladie foudroyante et incurable . Elle choisit de ne pas leur imposer la souffrance des traitements inefficaces , la longue déchéance du corps , l'espoir d'essais thérapeutiques infructueux .
Elle choisit de ne garder que le meilleur et de partir dignement .
C'est un roman qui traite avec beaucoup de pudeur la valse des sentiments , qui nous aide à mettre des mots sur des ressentis .La maladie , la mort ,la séparation.
Comment font ceux qui restent ?
Le plus beau cadeau qu'on puisse faire à ceux qui partent d'où l'on ne revient jamais, c'est de faire vivre leur souvenir , et de continuer à vivre et être heureux !
Je remercie les Éditions Hugo & Cie pour m’avoir permis de découvrir ce roman qui est sorti cette semaine, via NetGalley France.
C’est une histoire très touchante et je suis ravie d’avoir découvert la jolie plume de l’auteure.
Quand Constance met fin à ses jours, elle laisse derrière elle ses deux sœurs. L’aînée, Clara, aime que sa vie soit réglée comme du papier à musique. Lucy, quant à elle, est un peu son opposé, elle aime faire la fête et n’a pas vraiment de but dans la vie. Le décès brutal de leur sœur va faire totalement basculer leur vie.
Et puis, il y a Marielle, la vieille dame qui a assisté, impuissante, à ce geste prémédité de Constance. Mais aussi Antoine, le gendarme, ami d’enfance des trois sœurs, qui sera appelé sur les lieux du drame…
Tous les quatre, choqués, vont se remettre en question pour pouvoir avancer…
J’ai aimé ce roman, parce qu’il reprend dans l’ordre les différentes étapes du deuil, vécu par les quatre protagonistes. Le suicide de Constance va servir de catalyseur aux décisions qu’ils vont prendre. Car oui, ils vont devoir faire des choix, qu'ils remettaient jusque-là à plus tard. Mais ayant compris que la vie est plus courte qu’on ne le croit, ils ne veulent plus en perdre une seule seconde.
C’est une histoire que j’ai trouvé très réaliste et, malgré le thème un peu triste, le roman ne l’est pas. Au contraire, je dirais que c’est une ode à la vie, car il montre qu’il a toujours un espoir d’être heureux, malgré l’absence d’un être cher. La famille, et particulièrement les liens entre sœurs, est au centre de cette histoire. C’est beau, touchant, émouvant.
Les personnages sont tous très attachants, chacun à leur manière. Je les ai beaucoup aimés.
Merci pour ce joli roman. Je prévois de découvrir le premier roman de l’auteure un jour prochain.
« Celles qui restent », le titre donne déjà le ton...
On est avec trois soeurs : Clara, l'aînée, institutrice, responsable et sérieuse... Lucy, qui a une vie moins rangée et Constance, qui pour une raison qui lui appartient, se suicide par noyade en se jetant d'un pont.
Un appel à l'aide? Un acte d'amour?
C'est Marielle, une vieille dame, qui est témoin de ce geste désespéré...
Celles qui restent, ses deux soeurs, vont tenter de survivre au décès de Constance, tenter ce comprendre aussi ce passage à l'acte définitif et découvrir un nouveau sens à leur existence.
Ce roman est très touchant. J'ai été très émue, c'est une jolie leçon de vie. Malgré le deuil et le chagrin, l'auteur laisse entrevoir une nouvelle épaisseur à la qualité de vie des survivants, un autre sens à la vie.
J'ai aimé le fait que l'auteur égrène ses chapitres selon les étapes du deuil en les illustrant avec le cheminement psychologique de celles qui restent...
Un clin d'oeil particulier à Sheila et Maurice le croco, ils sont « trop chou ».
Merci beaucoup à #netgalleyfrance et #cellesquirestent
J’ai lu ce livre d’une traite, une fois commencé il est difficile de le lâcher avant la dernière page. Nous découvrons le destin de 2 sœurs Lucy et Clara qui viennent de perdre leur troisième sœur Constance qui vient de se suicider. Pourquoi cette jeune femme a décidé de mettre fin à ces jours ?
J’ai adoré découvrir la plume de Samuelle Barbier. L’histoire racontée à travers ce livre nous livre une facette difficile de la vie, une facette qu’on aimerait oublier dans une famille : la mort. Il est tellement difficile de l’accepter surtout si jeune. La résilience est un grand travail et ce livre traitre très bien ce sujet. Deux points de vue principaux s’alternent au rythme des chapitres : celui de Lucy, la plus jeune des sœurs qui aime tout simplement la vie et celui de Clara, la sœur sage prête à tout pour protéger ses benjamines. Il y a aussi les personnages secondaires comme Marielle et Antoine qu’on ne peut pas oublier, ils font partie intégrante de l’histoire et sont autant attachants que les filles.
Ce roman transpire d’amour fraternel qui va clairement au-delà de la vie. On ressent le lien puissant qu’il y a entre ses trois sœurs et j’ai beaucoup aimé le parcours de résilience que Lucy et Clara réalisent au cours de ce roman. Samuelle Barbier nous emmène sans détour vers la vérité notamment sur le geste de Constance. J’ai aimé l’ensemble des péripéties dans le livre qui amènent un très beau relief et un surtout une histoire captivante.
C’est un roman que je recommande grandement. Il fait partie des livres qui marquent. Cette histoire montre combien les obstacles de la vie permettent aux personnes d’évoluer pour vivre leur vraie vie en se détachant de certaines choses. On voit aussi que la mort n’arrête pas l’amour bien au contraire.
Celles qui restent - Samuelle Barbier
Aux éditions Hugo et Compagnie (03/09/2020)
Thèmes abordés : Deuil - Famille - Souvenirs
Résumé :
Celles qui restent est une histoire de soeurs. De femmes. De liens si puissants que les rompre bouleverse tout.
Celles qui restent est une histoire de soeurs. De femmes. De liens si puissants que les rompre bouleverse tout.
Clara est l'aînée, la sage, l'exemple à suivre. Celle qui fait tout comme il se doit, quitte à grincer des dents en se forçant à sourire.
Constance est la cadette. Si discrète, qu'on en oublie qu'elle existe... jusqu'à ce qu'elle décide de cesser d'exister en se jetant du haut d'un pont.
Lucy est la benjamine. Celle qui rit trop fort, parle trop fort, vit trop fort. Parce qu'elle a peur qu'on l'oublie.
Mais il y a aussi Marielle, qui elle, n'a ni soeur, ni frère, ni enfant, tout juste un vieux chien obèse. Celle qui a consacré sa vie aux autres pensait arriver au bout de son chemin dans l'indifférence, jusqu'à ce qu'un ange vêtu d'un manteau rouge se jette d'un pont, juste devant elle, et remette tout en question.
Merci à Netgalley et Hugo de m'avoir permis de découvrir ce livre ! :)
Très bon roman !
Un sujet très douloureux est abordé à travers cette histoire, le suicide.
Samuelle Barbier utilise une plume très touchante pour traiter ce sujet avec justesse.. Les émotions, les interrogations que peuvent se poser l'entourage est parfaitement décrit. Les courts chapitres permettent de donner une dynamique au roman.
Au fil des pages nous allons découvrir la vie des 2 sœurs : Lucy et Clara qui sont un peu opposées et qui essaient de comprendre pourquoi leur sœur Constance a voulu se suicider. On suit les réactions des personnages à quelques heures après un décès puis les jours qui s'écoulent.
Nous rencontrons aussi Marielle qui a vu Constance se tuer.
Pour rendre l'histoire plus douce l'auteure fait intervenir Antoine, l'amour de jeunesse de Clara mais également l'ami des sœurs.
Au final, un roman touchant et émouvant qui donne une bonne leçon de vie : profiter du moment présent e de ses proches au maximum !
Difficile de mettre des mots sur toutes nos pensées qui sont émotionnellement perturbées... car On n’en sort pas indemne de ce livre !
Une histoire poignante sur la vie de 3 sœurs, dont une Qui prend le choix de quitter le monde , un monde où elle laisse ses deux sœurs dans l’incompréhension..
s’en suit tout un accompagnement de leur deuil, à essayer de comprendre le choix de leur sœur
Une histoire de résilience, touchante , bien ficellé , émouvante ! Une histoire où on se pose des questions sur notre propre vie et nos choix .
Agréablement surprise par ce roman qui paraît triste mais qui ne l’est pas totalement , les sœurs sont attachantes autant les unes que les autres , on a de la peine pour eux mais aussi de la joie , de la compassion . Un vrai roman coup de cœur 💖 qui se dévorent
Lire ce livre, c’est faire le plein d’émotions.
Ce sont 2 sœurs qui viennent de perdre le troisième tiers. Celles qui restent vont chercher à comprendre le pourquoi, chasser la colère pour accorder le pardon et finalement comprendre cette épreuve comme un second élan de vie. Il m’est tellement difficile de vous expliquer tout ce qui m’a plu sans trop en dire !
J’ai tout simplement adoré l’histoire et le cheminement qui nous est compté au fil des pages.
J’en suis ressortie prise aux tripes, la gorge nouée, les larmes au bord des yeux.
▫️
En conclusion, j’ai eu un coup de cœur pour ce magnifique roman !
✔️Mon ressenti : Après le délicieux "La sirène et le scaphandrier", Samuelle Barbier offre une nouvelle histoire, touchante et toute en profondeur.
Marielle vit seule. Enfin, elle a quand même un chien. Lors d’une promenade, elle aperçoit une personne se jeter d’un pont, à partir de ce moment tout changera pour elle mais aussi pour Clara, Constance et Lucy, trois sœurs.
Le résumé en dit tellement peu que je vous laisse la primeur de la découverte de cette histoire de femmes avant tout, mais aussi de vie. Une vie loin d’être toujours facile mais qui prend de la valeur quand on est entouré. Un autre des thème abordé est le suicide et le interrogations que celui ci suscite pour ceux qui restent. Cette histoire parlent aussi des déclics, comme si, un événement pouvait changer notre regard sur le chemin dans lequel on s’enlise parfois.
C’est un roman touchant, plein de sensibilité qui donne espoir. J’ai suivi leur histoire avec passion, je me suis retrouvée au moment du dénouement totalement conquise et j’ai eu beaucoup de regrets à le refermer.
C’est un gros coup de coeur pour cette sublime histoire de femmes.
🎯Mots Clefs : Soeur / Femme / Suicide / Deuil / Déclic
🏆Ma note : 20/20
En voilà un beau roman tout en pudeur , douceur et tendresse, malgré le sujet traité. Oui, Samuelle Barbier nous parle de la vie de ceux qui restent après le suicide d'un proche : les émotions, les réactions, les souvenirs, les interrogations qui restent en suspens...
La quatrième de couverture n'en dit pas trop.
Perdre un proche, comment résister à une blessure pareille ? Je ne sais pas. Mais ce roman est beau.
Pourquoi c'est toujours difficile de trouver une introduction aux avis des livres que j'ai aimé ? Je devrais laisser les mots sortir, façonner des phrases avec facilité...et pourtant un gros blanc s'y installe .
Comment je pourrais vous parler cette histoire des filles , de cette histoire de deuil, d'amour, des liens uniques, sans tomber dans le cliché ?
En fait , je ne peux pas ,tout simplement parce que ,pour décrire ce livre je vais devoir utiliser les mêmes mots que tant d'autres ont posé dessus avant moi.
Oui,ce livre est bouleversant, émouvant ,délicat , poétique,précieux, avec une pincée d'humour aussi et une tristesse touchante prend place aussi dans ses pages. Je ne vais pas vous faire le résumé, que vous pouvez retrouver au bout d'un clic, mais je vais vous présenter les trois sœurs à ma manière.
Si cette histoire m'a si profondément touchée c'est aussi parce que ,à la maison on est 5 filles . Comme les 5 doigts de la main et sans le vouloir ,j'ai lu ce livre comme dans un miroir . J'ai décidé dans ma tête : tu seras Clara, toi Constance et moi Lucy . Des choix évidents. Ou presque. Après,je me suis posé la question : et si ,comme Constance ,une d'entre nous ,décidait d’arrêter de vivre ? Peu importe ses raisons. Peut importe ce qu'elle laisse derrière.
Se retrouver du jour au lendemain amputée d'un doigt ,amputée d'une sœur , d'un morceau d’âme, d'un bout de coeur...comment continuer d'avancer ?
C'est cette question que Clara et Lucy se posent ,quand Constance , celle qui n'aime pas le froid,se jette du haut d'un pont,dans les eaux glacées,des cailloux plein les poches et habillée dans un manteau rouge. Comme seul témoin, Marielle et son chien .
Et maintenant ? Comment on fait quand on découvre que tout a été prémédité ,que leur chère Constance a choisi même la robe pour son enterrement?
Celles qui restent ,devront se (re)trouver,avancer a pas de fourmi,main dans la main, faire l’infaisable, chercher, se rebeller,crier, pleurer ,écouter, se serrer fort dans les bras, briser un silence , se taire une minute, s'aimer, se reconstruire , prendre un nouveau départ, accueillir l'amour.
Ce livre fait partie de ceux que je pourrais facilement sortir de ma bibliothèque et le conseiller a une amie,une connaissance, un étranger, "Tiens,lis ça ,c'est un peu triste mais ça fait du bien" , un livre qui n'a pas eu une sortie a coups de tambour et sifflets mais qui saura trouver sa place dans le coeur de ceux qui le liront .
" Ça fait mal de perdre quelqu'un qu'on aime. inutile de chercher à le quantifier. Ça fait mal, un point c'est tout. Mal de se lever, mal de respirer, mal de manger, mal de se doucher. On sent comme des courbatures partout tout le temps."
Quand on perd un membre de sa famille de façon aussi soudaine, aussi brutale, comment continuer à avancer? Comment faire pour se relever? Il y a tant de questions qui restent en suspend.
Ce roman parle de suicide, de deuil mais aussi d'acceptation et de résilience. Clara et Lucy ont perdu leur sœur Constance. Cette dernière a sauté du haut d'un pont, en plein hiver, dans son manteau rouge, sous les yeux de Marielle, une retraitée qui promenait alors son chien et qui n'a rien pu faire pour la sauver hormis prévenir les secours. Comment vivre avec ce fardeau, les regrets de se dire que les choses auraient pu être différentes si...
J'ai énormément aimé cette lecture. J'ai aimé la façon dont l'autrice a abordé ce sujet délicat, tabou même, sans apitoiement, sans excès de larmes, sans trop en faire.
L'écriture est juste, les personnages touchants. Clara et Lucy ne vivent pas leur deuil de la même façon. Clara est l’aînée et en tant que telle, elle s'est positionnée comme celle qui gère tout, qui porte le poids du monde, le soutien indéfectible, l'épaule solide mais la perte de Constance va être l'épreuve de trop, le battement d'aile du papillon: Clara s'effondre. Lucy va alors sortir de sa zone de confort et prendre le relais. La benjamine fantasque, légère, qui ne se fixe pas, l'électron libre va devenir un véritable pilier pour Clara et l'empêcher de sombrer tout à fait.
J'ai été touchée par la façon dont les sœurs s'épaulent, avancent, évoluent.
Cette lecture est très forte, très intense, en peu de pages tout est dit.
Je l'ai lu surtout comme un roman d'amour sous différentes formes, d'espoir aussi d'une certaine façon.
Une lecture que je n'oublierai pas et que je vous recommande!
J'ai l'immense plaisir de vous parler de ma dernière lecture :
Celles qui restent de Samuelle Barbier, que je remercie ainsi que les Editions Hugo roman pour l'envoi via NetGalley ❤️
Je ne sais vraiment pas par où commencer, et je reste persuadée que mes mots ne seront pas assez forts pour vous décrire à quel point ce roman est bouleversant, pour moi c'est un pur chef d'oeuvre. Du début à la fin, je me suis sentie faire partie de cette famille, subir leurs peines et leurs angoisses, ainsi que l'évolution de leurs sentiments.
On découvre Clara & Lucy, qui vont vivre une épreuve très douloureuse, la perte de leur sœur Constance, qui a choisi de quitter ce monde. Pourquoi a-t-elle été jusque-là ? Doivent-elles comprendre pour l'accepter ? Les deux sœurs vont passer par de nombreuses émotions : l'incompréhension, la peine, la colère, l'acceptation... J'ai ressenti leurs émotions puissance mille et j'ai, à plusieurs reprises, tenté de retenir mes larmes, en vain. Un tourbillon d'émotions se niche dans la plume de l'auteure, sensible et si sincère.
Une seule chose m'a manquée, enfin je dirais pour être plus précise, une seule chose pour moi était de trop dans ce sublime récit... une personne... Marielle... j'avoue n'avoir pas compris pourquoi l'auteure lui a laissé une voix, certes petite, mais une voix tout de même, qui m'a gênée... pour moi, elle n'avait pas sa place dans cette histoire. Je passais rapidement sur les passages la concernant, sans aucune émotion.
L'auteure a réussi avec brio, à créer une belle dynamique dans ce récit à plusieurs voix, nous faisant entrer pudiquement dans l'esprit et les pensées de chacun des personnages, surtout de Clara & Lucy. Deux sœurs, deux femmes, dont le cœur va finir par battre à l'unisson.
J'ai tellement aimé cette histoire que je vais mettre quelques jours avant d'entamer un nouveau roman, tant ce récit m'a happée et enfermée dans leur douleur. Ne vous méprenez pas, il n'est pas triste, je dirais même qu'il est empli d'espoir et d'amour, on le termine le sourire aux lèvres en se disant que la vie vaut la peine d'être vécue à 1000%.
Clara, Constance et Lucy sont sœurs. Unies par le lien familial elles ont pourtant des personnalités très différentes. Il y a Clara, l’ainée, l’enfant sage de la fratrie. Il y a Lucy, la benjamine, qui profite de la vie. Et au milieu il y a Constance. Constance qui ne va pas bien, une souffrance qu’elle réussit à cacher à ses deux sœurs.
Clara et Lucy sont sous le choc à l’annonce du décès de Constance. Une mort d’autant plus difficile à accepter car il s’agit d’un suicide. Comment Constance a-t-elle pu leur faire ça ? Pourquoi n’ont-elles rien vu venir ?
J’ai tout simplement eu un vrai coup de cœur pour cette histoire.
Les thèmes abordés sont difficiles : la mort, le deuil, la perte. Des thèmes abordés avec une telle délicatesse que la lecture devient lumineuse. Et puis il est aussi beaucoup question d’amour, d’acceptation et de bienveillance.
Le titre est tellement bien choisi. Comment accepter de ne plus être que deux alors que l’on a toujours été trois ?
J’ai été émue par cette lecture. Un livre qui nous montre à quel point les relations fraternelles sont précieuses.
Constance a décidé de mettre fin à ses jours et ses soeurs vont devoir faire face à cet acte et surtout comprendre...
Ce livre est par moments très douloureux, l'incompréhension est forte chez les personnages comme chez le lecteur car chaque chapitre est écrit du point de vue du personnage le plus concerné à ce moment là du livre.
Petit à petit , les deux soeurs de Constance vont essayer de comprendre ou du moins de faire avec et c'est très difficile...
C'est un très beau roman, plein d'amour, de bienveillance et de partage. Les personnages sont attachants et chacun va apporter beaucoup aux autres. Des chemins de vie vont changer et de nombreux de faits vont être remis en question...C 'est ce qui fait la richesse de ce livre.
merci pour cette belle lecture
Un roman bouleversant qui traite d'un sujet difficile comme le deuil, mais il en résulte quelque chose de beau et poétique.
Nous allons suivre la vie de "celles qui restent" après la perte de leur sœur cadette, Constance. Une perte brutale, sans explications. C'est alors deux sœurs totalement différentes qui vont tenter de surmonter à leur rythme toute les étapes cruciales nécessaire à leur reconstruction. Elles vont être en colère, se poser beaucoup de questions, sombrer dans la tristesse... Sans forcément le montrer, car chacune a un rôle vis-à-vis de l'autre, elles doivent se soutenir, malgré tout. Cette perte soudaine va leur permettre de prendre du recul sur leur vie. Vont t'elle changer après ce drame ? Faire de meilleurs choix ?
Le récit est composé des points de vue, de Constance, Clara et Lucy à tour de rôle, ainsi que celui de Marielle, qui a assisté impuissante au drame, sur qui il y aura aussi des conséquences. À la lecture de toutes les pensées de ces femmes brisées, on ne peut qu'être touché. C'est triste, c'est dur, mais l'écriture est belle, douce. L'auteure met des mots sur les maux, pour mieux les accepter. Les courts chapitres nous font avancer assez vite, pour peu à peu remonter à la surface et reprendre notre souffle. Les nombreux souvenir d'enfance sont comme des rayons de soleil parmi la pluie. Cela créer un arc-en-ciel d'émotions.
Ce roman dégage beaucoup d'amour, il montre avec justesse qu'il est possible de surmonter l'impensable et que l'on en ressort plus fort, plus souder.
L’an dernier, j’ai vu beaucoup d’avis sur le premier roman de Samuelle Barbier alors cette année, je me suis associée aux lecteurs découvrant son second roman.
Roman choral, Celles qui restent donne la parole à 4 femmes. 3 sœurs : Clara, Constance et Lucy. Et une jeune retraitée bien isolée, Marielle. Un matin, Marielle assiste au drame qui va venir bousculer leurs vies à toutes. Constance, la sœur cadette, vient de se suicider en se jetant du haut d’un pont. Ne sachant pas nager, Marielle ne peut rien faire à part appeler les secours et assister à l’inévitable. Quelques minutes plus tard sont de trop pour laisser une chance à Constance, en ce froid matin d’hiver.
Clara et Lucy vont alors plonger dans le deuil, un deuil douloureux que chaque sœur vivra à sa façon, un deuil qui marquera un avant et un après dans leur vie, un électrochoc qui fera tout changer. Elles vont vivre toutes les étapes du deuil, la forte culpabilité de n’avoir rien vu, la colère pour ce que cette sœur leur fait vivre, la peine immense toujours. Au cours de ces semaines difficiles, elles vont renouer le lien avec la sœur qui reste mais aussi avec Antoine leur ami d’enfance. Et si le geste de Constance avait une explication ? Elles veulent comprendre et j’ai beaucoup apprécié cette part du récit où elles mènent l’enquête sur les événements de la vie de Constance.
Le livre est doux et beau parce qu’il évoque un des drames de la vie humaine, sa reconstruction et je me suis attachée à Lucy et Clara, elles qui ont toutes les deux leurs failles et qui vont bousculer leur être pour en ressortir changées. En revanche, la présence de Marielle dans le récit m’a moins enthousiasmée, j’ai eu du mal à lier la présence de ce personnage secondaire avec le reste du récit.
Celles qui restent est un doux récit sur le deuil, le suicide, les choix. La destinée des 3 sœurs est très touchante.
Quel bouleversement!
Ce roman va aborder de façon juste le thème du deuil, du suicide, de la reconstruction, d'une façon incroyablement juste. Tout est bien écrit, sans excès de larmes, de colère, c'est fluide et touchant sans être lourd et déprimant, j'irais même jusqu'à dire que je suis ressortie apaisée de cette lecture.
Au travers de cette histoire, on découvre le deuil de Clara et de Lucy, les 2 sœurs de Constance, qui, elle a choisit de mettre fin à ses jours. n va voir 2 points du vue totalement opposé. Tout d'abord celui de Clara l'aînée des sœurs, qui est du genre organisée, routinière et qui porte le poids du monde pour ses sœurs, et qui d'un coup va se prendre une claque, faire un bilan de sa vie et constater diverses éléments qui au final ne vont pas, et la c'est l'effondrement total. Quand à Lucy, la petite dernière de ce trio, et bien c'est tout simplement l'opposé, elle est intrépide, vivant au jour le jour et fermant les yeux sur ses problèmes, qui d'un coup après ce choc va faire un point, mais elle va se réveiller et prendre les choses en main.
Malgré leur tempéraments complètement opposés, on être absorbé par ce lien si fort qui unit les 2 sœurs, tout cette amour et cette entraide qu'elle vont mutuellement s'apporter est juste magnifique à vivre.
De plus, avoir le point de vue de Constance et comprendre le tout, était poignant et réconfortant dans un sens, et on ressent littéralement tout l'amour qu'elle porte à ses sœurs mais aussi pourquoi elle en est arrivé la.
C'est un livre vraiment touchant, remplit d'amour, ou l'autrice a littéralement su nous transporter dans ce court livre, juste en tout point de vue et dont vous ne ressortirez pas indifférent.
Chronique disponible su le blog le 28 septembre!
Une belle surprise.
J'ai choisi ce roman sur Net Galley par curiosité. J'ai n'ai pas l'habitude de lire ce genre de roman chez Hugo. Merci à eux pour ce service presse très particulier.
Quatre narratrices, 3 sœurs : Clara Lucie et Constance. Cette dernière joue un rôle central et déclencheur dans l'histoire car nous vivons en direct son suicide du haut d'un pont. Pas banal ! Suite à cet évènement nous rencontrons notre quatrième narratrice Marielle, spectatrice bien malgré elle de ce saut dans le vide.
L'histoire nous raconte la gestion du deuil et le bouleversement que cela peut produire sur notre existence. Alors, certes l'histoire est romancée mais je suis de celles qui pensent que nos blessures nous rendent plus fort et parfois meilleur.
Jeter le superflu pour ne conserver que le vital à notre bien-être : ici comprendre le geste de Constance puis la survie de "Celles qui restent".
Je ne connais pas Samuelle Barbier pourtant j'ai entendu des éloges de son premier roman "La Sirène et le scaphandrier". Une bonne idée lecture qui se lit très vite (à peine plus de 200 pages), à découvrir sans tarder.
C’est l’histoire de trois sœurs soudées.
Clara, l’aîné, l’exemple à suivre.
Constance, la cadette, qui se jette du haut d’un pont
Lucy, la benjamine, qui profite de la vie.
Comment remonter la pente suite à la perte d’un proche ?
C’est un magnifique roman sur la famille. L’auteure a su trouver les mots pour aborder un thème difficile comme le deuil. C’est une histoire émouvante, délicate mais également lumineuse et optimiste car il est question d’amour, de bienveillance. J’ai lu ce roman d’une traite et j’ai beaucoup aimé.
« Celles qui restent » raconte l'histoire de 3 sœurs. Une histoire aussi triste que belle, mais surtout poignante.
Ce roman retrace les différentes étapes du deuil d’une manière tellement juste. Ayant vécu un deuil en 2020 (et le vivant encore aujourd’hui), je me reconnaissais parfois, voire souvent, dans les réactions de Clara et parfois dans celles de Lucy. Les 2 sœurs vivent le deuil chacune à leur manière. Vous comprendrez que ce livre m’a particulièrement touchée. À côté de cela, nous retrouvons de doux souvenirs des 3 sœurs, qui font du bien, qui nous aident à avancer dans ce cheminement.
Bien que Constance ait décidé de quitter ce monde, j’ai eu l’impression pendant toute l’histoire qu’elle soit restée le point d’attache entre nos personnages.
À côté de nos 2 sœurs, nous retrouvons 2 autres personnages que j’ai vraiment appréciés : Marielle, témoin du suicide, et Antoine, connaissance et ami proche de la famille. Ils font partie intégrante de l’intrigue.
Les chapitres sont courts et les pages défilent sans s’en rendre compte, car nous voulons comprendre ce qui a poussé Constance à agir de la sorte. Toutes les pièces du puzzle se mettent en place, petit à petit.
Grâce à « Celles qui restent », j’ai découvert la plume de Samuelle Barbier : d’une extrême sensibilité, bouleversante, bref magnifique. Je n’ai qu’une chose à dire : profitez de chaque instant que la vie vous offre…
Je recommande vivement ce roman !
Merci à l’auteure, Samuelle Barbier, à la maison d’édition, Hugo Roman, et à NetGalley de m’avoir permis de découvrir ce livre !
Celles qui restent est un livre rempli d'émotions !
J'ai fait la connaissance de trois sœurs : Clara, Lucy et Constance. L'une d'elles va mettre fin à ses jours dans l'incompréhension la plus totale. Les raisons qui l'ont poussée à en arriver là sont très mystérieuses (du moins, jusqu'aux 3/4 du roman), elle laisse derrière elle deux sœurs éperdument malheureuses, qui ont besoin de réponses afin de pouvoir avancer dans leur deuil.
Samuelle Barbier traite avec une certaine délicatesse le sujet du suicide et du deuil, j'ai aimé sa façon d'en parler avec douceur et tact. Sa plume est pour moi une très belle découverte, je lirai avec plaisir La Sirène et le Scaphandrier, son premier roman paru dans la même maison d'édition en 2019, en espérant retrouver le raffinement, la justesse et la sensibilité qui m'ont tant plu dans Celles qui restent.
N'hésitez pas à lire, à votre tour, ce beau roman qui saura forcément vous toucher. Pour ma part, je ne l'oublierai pas, il restera dans ma mémoire et dans mon cœur pour un long, très long moment...
Merci aux Éditions Hugo Roman pour la découverte de ce roman.
Je vous souhaite à toutes et à tous une très bonne lecture :)
Celles qui restent est une histoire de femmes, une histoire de sœurs après la perte de l'une d'entre elles. Comment vivre après ? On passe d'une émotion à l'autre en découvrant ces femmes.
Ce roman pourrait être larmoyant et pénible à lire. Il ne l'est absolument pas. Samuelle Barbier trouve les mots justes pour que l'atmosphère ne soit pas trop pesante. Sa plume est belle, touchante et poétique.
Même si la reconstruction de chacun est lente dans la période de "l'après", les chapitres se lisent rapidement. Et quand le roman s'achève, je n'avais pas envie de quitter ces femmes, je voulais continuer à vivre avec elle.
Merci pour ce moment de lecture exceptionnel !
Un grand merci aux Editions Hugo Romans pour l’envoi de Celles qui restent de Samuelle Barbier.
Dans ce roman, Samuelle Barbier nous livre l’histoire de trois sœurs : l’aînée, Clara, la sage ; Constance, celle du milieu qui tempère le tempérament de ses deux sœurs ; et Lucy, la petite dernière, la dévergondée. Malgré des différences de caractères et de vies, les trois sœurs sont très liées. Jusqu’au jour où Constance se jettera dans les eaux glacées sous le regard impuissant de Marielle et son chien qui étaient en pleine promenade matinale. Clara et Lucy, sous le choc, vont chacune réagir à leur manière, jusqu’au moment où le passé se rappelle à elles sous l’apparence d’Antoine…
Celles qui restent est un roman bouleversant. Au-delà de chercher à comprendre pourquoi Constance est passée à l’acte, Samuelle Barbier s’est centrée sur les sœurs qui restent et leur manière de gérer le deuil à travers les différentes phases de ce dernier. Comment accepter l’inacceptable ? Comment la perte d’une partie de soi peut-elle influer sur le cours d’une vie ?
La plume de Samuelle Barbier est douce, tendre. Si elle parle de sujet difficile comme le suicide, la perte d’un membre de la famille, du chagrin des proches, elle le fait avec tact et justesse. On ne peut que s’identifier aux protagonistes car malheureusement, nous avons tous perdu un proche. Comment continuer de vivre sans trahir la peine que l’on ressent ?
Je ne connaissais pas la plume de cette auteure avant de lire Celles qui restent, mais j’irai découvrir son précédent roman avec plaisir, tellement celui-ci m’a touchée.
Je vous rassure, on ne passe pas tout le roman à pleurer. C’est aussi une ode à la vie et à l’espoir. On passe des larmes au rire en compagnie de Clara, Lucy, Constance, Antoine et Marielle.
De l'obscurité à la lumière.. faire face aux cataclysmes causés par la disparition d'un proche ... Le difficile chemin du deuil de deux soeurs qui ont perdu leur troisième. Un roman bouleversant sur la reconstruction après la perte, les questions, les remises en questions... Vivre l'absence...
Une histoire poignante narrée avec douceur, tendresse, pudeur et beauté.
Un coup de coeur pour ce roman de @samuelle.barbier
Un roman bouleversant sur le deuil qui sera vous touché dès le début du roman.
C'est l'histoire de trois sœurs, différentes, mais deux vont devoir apprendre à vivre sans la troisième, et rien ne se passe comme prévu. Entre la douleur de la perte de l'être cher, l'incompréhension et la vie, les deux sœurs vont réapprendre, même si elles n'ont jamais oublié à se battre mais aussi à s'aimer.
Mais la vie doit continuer, avec tout les émotions différentes que l'on vit, mais que les soeurs vont arrivé à surmonter, même si rien n'est pas facile dans ce genre de situation.
Malgré un sujet difficile, ce livre est touchant, bouleversant et je n'ai pas vu les pages défiler.
Celles qui restent de Samuelle Barbier.
J’ai été très touchée par cette histoire dans laquelle on retrouve 3 sœurs, Clara, Lucy et Constance. Elles sont leur seule famille et leur vie bascule lorsque Constance se jette d’un pont.
Un long chemin vers la reconstruction s’ouvre pour Lucy et Clara.
L’histoire m’a beaucoup émue, touchée. Elle donne l’espoir et montre que la vie continue après la mort, le chemin est long mais c’est possible si l’on avoue ses peurs, ses doutes, et ses douleurs.
Ce roman est un concentré d’émotions à lui seul ! J’ai adoré, je n’ai pas d’autre mot. Ce n’est pas un coup de cœur, mais une excellente lecture qui a su m’émouvoir !
Savoir que ce roman parlait de trois sœurs me suffisait pour avoir envie de le lire. J’ai deux grandes soeurs, donc forcément, ce roman était écrit pour moi ! Rien que lire un roman parlant de trois soeurs m’émouvait, mais avec l’histoire que l’autrice nous délivre dans ce livre, ce n’est plus de la simple émotion qu’elle m’a délivrée mais un torrent de larmes et un coeur broyé. Je pense que je me suis un peu trop apparentée aux personnages de ce livre pour en ressortir indemne, et ne pas vivre toutes les émotions de cette histoire de manière trop puissante. Tout ça pour dire que j’ai pleuré, voilà ! Et que j’ai été très émue par cette histoire, par ces personnages et leur évolution respective.
L’autrice nous propose un roman à plusieurs voix, dans lequel on suit tous les personnages féminins. Ce mode de narration nous permet d’être au plus près des personnages, de leurs émotions et de leur état d’esprit. J’adore être placée dans la peau de ce témoin omniscient qui connait tout, peut voir à travers les yeux des autres, et décrypter les actions de chacun. J’aime mettre en perspective mes émotions et réactions par rapport aux personnages, et me remettre en question en fonction. Et compte tenu des thèmes évoqués dans le livre, et la manière dont je m’y représentais, autant vous dire que je m’en suis posée des questions !
L’écriture de Samuelle Barbier est d’une douceur fabuleuse. Certains passages sont si doux que j’avais l’impression de flotter en les lisant, même s’ils évoquaient des situations très dures. Je trouve qu’elle a un sens du réel, et réussit à mettre en scène les émotions de manière très naturelle dans les gestes et les réactions de ses personnages. Le seul petit bémol, c’est que j’ai trouvé le roman trop court : j’aurais aimé que certaines scènes soient davantage développées. De même, j’ai parfois eu du mal à m’y retrouver dans la temporalité du roman, qui fait quelques ellipses parfois un peu brutales à mon goût. Mais ce sont de menus détails par rapport au flot d’émotions que ce roman m’a prodiguées !
Je vous conseille chaleureusement ce roman délicat, extrêmement émouvant. Un beau roman qui évoque la force du lien et de l’amour entre sœurs !
Le commentaire de Martine : COUP DE COEUR!
Trois sœurs, Clara, Constance et Lucy, sont des membres d'une même famille qui se complètent bien tout en étant très différentes. Lucy est celle qui se rebelle, Clara s’est donné le rôle de les protéger, les materniser, les surveiller, mais où est la place de Constance. On sait, dès le départ, qu’elle a décidé de mettre fin à sa vie, tragiquement, en sautant d’un pont. C'est l’introduction dans l’histoire de cette famille, le drame de la perte d’un être cher, la difficulté de comprendre et d’accepter son geste suicidaire.
Ce roman raconte l’histoire de la perte d’une sœur, le deuil, les incompréhensions liés au geste posé, une histoire de fille qui est bouleversante, un récit d’amour qui démontre bien les liens uniques qu’elles partagent.
C’est un coup de cœur, puisque ce roman est émouvant, poétique, et bouleversant. La plume de Samuelle Barbier est délicate, sensible et touchante. Celles qui restent doivent continuer, avancer, progresser dans un deuil qui alimente les questions, apprendre à vivre différemment, accepter le manque. C’est un roman que je vais relire tellement, il est beau, tendre et dégage de l’espoir, quand on pense à la perte de quelqu'un, oui, cela est triste, mais dans ce récit Samuelle Barbier a relevé le défi de rendre ce roman vivant et habité, c’est un gros coup de cœur pour cette magnifique histoire humaine.
Oula là nous sommes sur un coup de cœur énorme ! Un crève coeur et un Livre tellement bouleversant. C’est la première fois qu’un livre me fait autant pleurer. Le sujet est dur et le deuil est le sujet principal, j’ai adoré être dans la peau des personnes en deuil et voir leur évolution.
Merci aux éditions Hugo roman et à Netgalley de m'avoir permis de lire ce titre.
J'ai dévoré ce livre ! Celles qui restent est une histoire simple mais poignante. Le sujet principal est dramatique mais cela ne m'a pas empêché d'apprécier ce roman : au contraire, à la fin, on en ressort encore plus reconnaissant envers la vie et chaque seconde/moment que nous pouvons passer.
Une très très bonne lecture que je recommande vivement !
Depuis l'enfance, Clara, Constance et Lucy ont toujours été fusionnelles. Le jour où Constance décide de mettre fin à ses jours. Clara et Lucy vont devoir apprendre à vivre avec une partie d'elle en moins. Et puis, il y a Marielle, une vieille dame qui a assisté au dernier instant de Constance.
Celles qui restent est un roman bouleversant ! J'ai passé un bon moment de lecture, je me suis attachée rapidement aux personnages. Le roman aborde les thèmes de la mort et du deuil avec douceur et délicatesse. C'est à travers Lucy et Clara que nous découvrons deux façons différentes de faire le deuil d'un être cher.
Au niveau des personnages, j'ai trouvé Clara, Constance, Lucy et Marielle toutes plus attachantes les unes des autres. Elles sont toutes les quatre différentes, mais vraiment touchantes. Après le suicide de Constance, les deux soeurs vont passer au travers des étapes du deuil et tenter de surmonter l'épreuve de la perte. Entre incompréhension, colère, détresse et les questions qui restent sans réponse. Clara et Lucy vont tenter d'apprendre à vivre sans Constance. Tout au long du roman, l'auteure place les différentes pièces du puzzle afin de comprendre le pourquoi du comment.
La plume de l'auteure est adaptée au contexte, fluide et bien écrit. Ce roman m'a permit de découvre la jolie plume de l'auteure avec un style que j'apprécie. De plus, les chapitres sont courts et les pages défilent sans le voir.
En conclusion, l'auteure offre un roman poignant de grande qualité ! Une histoire déchirante et bouleversante. Ce roman est une ode à la vie et vous montrera que malgré les situations difficiles, il y a toujours un espoir d'être heureux.
Je remercie les éditions Hugo Publishing et NetGalley pour le SP.
Celles qui restent Samuelle Barbier publié chez Hugo Publishing.
Elles étaient trois soeurs, Clara, Constance et Lucy. Elles ne sont plus que deux Clara et Lucy.. Incompréhension, colère, détresse les pourquoi restent sans réponse et Clara si forte s'effondre et Lucy la petite dernière de protégée devient protectrice...
Un roman splendide. Je ne peux dire mieux. Samuelle Barbier nous parle au creux de l'oreille, nous susurre des mots qui nous atteignent en plein coeur. Un phrasé épuré qui fait mouche ...
Un immense merci aux éditions Hugo pour m'avoir permis de découvrir la plume de Samuelle Barbier, une auteure à suivre .
#Cellesquirestent #NetGalleyFrance
Et la vie continue ...
Clara, Constance, Lucy. Trois jeunes femmes, trois soeurs aussi différentes que complémentaires. Depuis l'enfance, les rôles restent inchangés : Clara protège et répare, et Lucy se rebelle. Jusqu'au jour où Constance, pourtant si discrète, bouscule le cours des choses en choisissant de sauter d'un pont pour mettre fin à ses jours.
Comme son nom l'indique, Celles qui restent raconte la vie d'après. du trio devenu duo, mais aussi de Marielle, unique témoin du grand saut.
Comment accepter l'inacceptable ? Peut-on se reconstruire après un tel drame ? La plume de Samuelle traduit parfaitement toutes les émotions qui submergent ces femmes : colère, culpabilité, impuissance, douleur. Et puis doucement, on voit poindre à l'horizon une petite lumière teintée d'espoir car, même s'il manque quelqu'un, pour celles qui restent : la vie continue.
J'ai passé un très bon moment avec ce roman. Je me suis de suite attachée aux personnages. J'ai ri, j'ai pleuré. le premier roman de l'auteure, La sirène et le scaphandrier, avait énormément fait parlé de lui l'an dernier. Ce second livre vient confirmer son talent.
Je remercie Hugo Roman pour leur confiance via Netgalley France.
Les lecteurs qui ont aimé ce livre ont aussi aimé :
Ludovic Manchette et Christian Niemiec
Fiction (Adulte)
Anne Bouillon, Charlotte Rotman, Lison Ferné
BD, Manga & Romans graphiques, Non-fiction (Adulte), Politique & Actualités
NetGalley France
Bien-être, Non-fiction (Adulte), Références