Manhattan Sunset

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Date de parution 4 févr. 2021 | Archivage 3 mai 2021
Hugo Publishing | Hugo Thriller

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Résumé

Il n'y a pas pire vengeance que ce qui blesse ceux qu'on aime.

À moins qu'on ne les tue.

Il n'y a pas pire obsession qu'un fantôme qui vous hante.

À moins que ce ne soit celui d'un ami.

Il n'y a pas pire crime que de tuer une enfant.

À moins de la tuer deux fois.

Un New York sombre et violent, avec des rues comme des canyons dans lesquels la vie se perd et la mort s'engouffre. Avec fracas parfois, comme lorsqu'elle vient saisir une petite fille, retrouvée assassinée, le corps mutilé, au milieu d'un amas d'épaves de voitures.

En équilibre précaire, accroupi tout en haut d'une pile de carrosseries déglinguées, Pfiffelmann interroge son partenaire, l'inspecteur Donnelli : " Alors, tu en dis quoi ? " Un début d'enquête somme toute normal.

Sauf que " Pfiff " est un fantôme, qui exige lui aussi la vérité sur les circonstances de sa mort. Comme si Donnelli n'avait pas déjà tout son soûl de crimes, d'obsessions et de vengeances. Comme si la ville ne lui avait pas déjà arraché un lourd tribut.

Pourtant, une fois par an, New York lui offre aussi un instant magique, lorsque le soleil couchant symétrique et flamboyant du Manhattanhenge prend la 42e rue en parfaite enfilade. Une illumination divine, comme la révélation d'un indice éclaire un crime d'une lumière nouvelle. Avant que tout, la ville comme la vie de Donnelli, ne sombre à nouveau dans la nuit.

Un polar noir et puissant, dans une ville que l'on croit connaître mais dont Roy Braverman fait un portrait inédit, aussi tragique et attachant que ses autres personnages, aussi à l'aise dans l'humour que dans le suspense, et porté par une écriture remarquable.

Il n'y a pas pire vengeance que ce qui blesse ceux qu'on aime.

À moins qu'on ne les tue.

Il n'y a pas pire obsession qu'un fantôme qui vous hante.

À moins que ce ne soit celui d'un ami.

Il n'y a pas pire...


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782755686098
PRIX 19,95 € (EUR)

Chroniques partagées sur la page du titre

Une enquête effectivement assez classique mais avec des enquêteurs qui ne le sont pas …puisque l’un deux est mort …d’ailleurs il trouve que son coéquipier est un peu trop vite passé à autre chose…du coup il le colle partout…et il lui parle souvent ce qui nous offre des scènes assez comiques. J’ai aimé l’originalité de ce trio d’enquêteurs ( deux vivants et un mort), j’ai aimé me plonger dans les rues de New York ( et pas que Manhattan ) et retrouver cette ambiance si particulière à cette ville.

Pour moi l’enquête sur la mort de Pfiff aurait suffi, ou une enquête moins alambiquée avec moins de protagonistes en ce qui concerne la petite fille, cette partie là m’a un peu perdu. Par contre, j’ai aimé toute la partie sur Donnelli, sa vie,ses remords, ses emmerdes, son enquête et sa version de New York.

BREF…un thriller original qui ravira les amoureux de New York

MERCI NETGLLEY ET HUGO THRILLER POUR CETTE LECTURE

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Dès les premières lignes et les premiers dialogues, j'ai su que ce roman allait me plaire. Le roman s'ouvre sur une scène macabre : le corps d'une fillette a été retrouvée atrocement mutilée dans une casse automobile. Donnelli est accroupi près du corps, Pfiff son partenaire lui demande ce qu'il en pense. Vous me direz rien de bien excitant sauf que Pfiff est mort depuis trois semaines et que depuis il hante son ancien partenaire. Pourquoi ? Pour que celui-ci fasse la lumière sur sa mort.


Donnelli jongle entre la petite fille et son ex coéquipier, un malheur n'arrivant jamais seul sopn ex femme est assassinée. Donnelli va donc suivre le fil et denouer la pelote qui le conduira à la vérité.


J'ai adoré ce roman grâce aux personnages, le tandem Donnelli et Pffif est impayable (imaginons ce que cela donnait du vivant de ce dernier) j'avoue que leurs conversations étaient tantot droles, tantot émouvantes, bref ils agissent tout deux comme un vieux couple.


Mais tous les personnages secondaires sont attachants etservent parfaitement l'intrigue. Je n'ai pas vu arriver la fin et pourtant tous les indices étaient sous mon nez.


Et puis New York et Manhattan offre un théâtre cosmopolite à ce roman qui n'aurait certaienement pas eu la même saveur si l'intrigue avait été située ailleurs.

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Ah, ce roman ! Ça y est, je le tiens mon premier coup de cœur de 2021 ! Voilà un moment que je voulais découvrir la plume de Roy Braverman et j’ai donc sauté sur l’occasion pour lire ce thriller. Je ne sais par où commencer tant j’ai des choses à vous dire sur ce roman. Je pourrais commencer par le fait qu’il se passe à New York, par les différents protagonistes, par la plume de l’auteur ou encore par l’enquête, tant il y a de choses pour vous donner envie.

Bon, commençons par New York, j’avoue que le fait que l’enquête s’y déroule apporte un plus plus à ce roman car l’auteur nous fait voyager tout en restant scotché dans notre lit ou notre fauteuil. C’est vraiment un point très agréable, d’autant plus que Roy Braverman en fait vraiment des descriptions qui nous permettent d’imaginer où nous sommes.

Au niveau des protagonistes, on ne peut pas dire qu’on s’ennuie un instant surtout avec notre inspecteur Donnelli qui a deux collègues tout à fait différents. Il y a Pfiff qui le suit partout et qui ajoute une part d’humour à ce roman tout en ajoutant une part d’intrigue. Pauvre Donnelli, certaines situations avec Pfiff sont complètement cocasses, mais on en redemande tant elles sont bien imaginées et bien décrites. Bah oui, à part Donnelli, presque personne ne voit Pfiff et, du coup, on se marre à imaginer Donnelli parler tout seul face à d’autres personnages.

Bien sûr, il y a d’autres protagonistes que Pfiff et Donnelli, il y a ces inspecteurs du FBI desquels on a envie de se méfier et la nouvelle collègue de Donnelli, mais l’histoire Pfiff – Donnelly apporte tellement qu’on reste centrés sur nos deux personnages tout en surveillant les autres du coin de l’œil.

L‘intrigue est vraiment très originale, car on se retrouve avec Donnelli qui, apparemment serait le témoin de plusieurs meurtres dont celui de Pfiff, celui de son ex femme ou encore celui d’une petite fille. Tous ces meurtres auraient un lien et on est tellement pris par l’histoire qu’on ne peut que suivre Donnelli et enquêter avec lui. Plus ça va, plus on va s’attacher à Donnelli et se retrouver dans sa tête à savoir ce qu’il se passe tant on est happés par l’histoire. Pfiff apporte énormément de charme et de suspense au roman et j’ai vraiment adoré ça. Sans ce personnage fantôme, j’ai vraiment l’impression qu’il aurait manqué quelque chose au roman.

L’auteur a une plume tellement fluide et entrainante qu’on se retrouve face à un véritable page turner que j’ai lu en deux soirées. On se retrouve entrainé dans un suspense haletant qui est riche en rebondissements et en révélations et les pointes d’humour de Roy Braverman sont tellement bien placées qu’elles donnent juste un peu plus de peps à l’histoire. J’ai vraiment adoré ce mélange. Pour une découverte de la plume de l’auteur, c’est ce qui s’appelle une magnifique découverte qui me donne envie de continuer à suivre l’auteur.

Je n’ai qu’une chose à vous dire sur ce roman, qui sort aujourd’hui, foncez le découvrir sans plus attendre, si vous aimez les page turner, les enquêtes bien ficelées, les fantômes, les petites touches d’humour bien placées ou encore vous évader tout en restant dans votre fauteuil.

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Pourquoi donc le sort s’acharne-t-il à détruire tous ceux qu’il aime ? Donnelli n’en peut plus d’essayer de comprendre : vengeance ou concours de circonstances ? Parallèlement à sa quête de vérité, il mène une enquête sur un infanticide particulièrement odieux (tous les infanticides sont odieux certes) la fillette mutilée, enfant adoptée, qui va le conduire sur les traces des trafiquants d’êtres humains.
Donnelli aurait pu se satisfaire du triangle amoureux dans lequel il s’englue mais c’est ignorer sa loyauté envers un mort devenu sa voix intérieure, sa conscience, son double, son fantôme bienveillant et plein d’humour.
Dans la rubrique touristique : notons le trip délirant à l’acide des deux compères qui nous donnent une vision de New-York en 3D et tel le lever de soleil à Abou Simbel deux fois par an, le phénomène du Manhattanhenge, parmi les immeubles allumettes de la nouvelle sky-line illumine New York.
( NDLR : Manhattanhenge est un événement se produisant deux fois dans l'année, pendant lequel le soleil couchant s'aligne avec les principales rues orientées Est-Ouest de Manhattan, à New York – source Wikipedia)
Braverman, en fin connaisseur nous promène dans les quartiers chauds de la Big-Apple, bien loin des recommandations du guide du routard et un peu chez les nantis ...
Donnelli est habile, rebelle, mais saura-t-il résister à l’acharnement du sort ? Il faut bien ces 363 pages pour dénouer tous les fils de l’intrigue.
Je suis toujours aussi addict à l’écriture de ce gamin qui a trois jours de moins que moi et dont je me dis : comment a-t-il pu visiter, rencontrer, explorer notre monde et nous le restituer aussi habilement ! Je suis prête à encore voyager à ses côtés qu’il se fasse passer pour Roy ou pour Ian …

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Merci à Netgalley et aux éditions Hugo Publishing pour cette lecture.

Dans "Manhattan Sunset" , Roy Braverman renoue avec le polar noir à l'américaine, où l'on plonge dans les tréfonds de l'âme humaine sans espoir d'en ressortir la moindre joie. Mais c'est là où le tour de force est impressionnant, car on sort de ce roman le sourire aux lèvres, et baigné de lumière. Explications....

On fait connaissance avec l'inspecteur Donnelli. Cet homme brisé va se trouver à mener l'enquête sur le meurtre violent d'une petite fille. Mais très vite les enquêtes se mêlent et il va se trouver su rla piste de celui qui a tué son équipier quelques semaines plus tôt.

Pris pour cible et traqué, Donnelli acculé n'a plus beaucoup d'options, si ce n'est faire confiance à sa jeune équipière fraîchement promue à ses côtés, et qui démontre un fort caractère, et à son ancien coéquipier "Pfiff" devenu fantôme et revenu le hanter . Ce trio improbable va très vite apporter de l'humour à une situation très sombre, allégeant l'ambiance et multipliant les rebondissements.

Et les personnages sont la grande force de cette intrigue. Très marqués sans tomber dans la caricature, ils représentent avec brio toutes les strates de la socièté américaine, toutes les catégories qui la compose, et surtout ce que l'on ne voit pas dérrière l'image de l'American Dream .La plume entraînante et puissante se fait l'écho d'une intrigue très bien construite, maligne et qui tient en haleine jusqu'au bout... Un polar noir, puissant qui se lit d'une traite.

Si vous ne connaissez pas cet auteur, foncez !

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Manhattan Sunset -- Roy Braverman

#ManhattanSunset #NetGalleyFrance

Dans un style brutal et réaliste Ian Manook alias Roy Braverman nous embarque avec brio et excellence au cœur de cette Mégalopole qu'est New York dans un polar de haute couture à l'adrénaline omniprésente.
Une intrigue originale ou on retrouve un duo de flics qui sort des sentiers battus. Donnelli, tout aussi coriace que borderline, et son coéquipier Pfiffelmann qui a cette particularité d'être décédé 3 semaines auparavant.
Comme souvent avec cet auteur, on y retrouve une écriture très cinématographique ou l'action est omniprésente qui permet à ce roman de devenir rapidement addictif.
Encore du grand Braverman et je n'en suis guère surpris étant un fan inconditionnel de cet auteur.

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C’est toujours un plaisir de retrouver la verve de l’auteur et son sens du rythme inné ( mais l'expérience y est sans doute également pour beaucoup ) .
Dans ce nouvel opus made in USA , Roy Manook nous embarque pour une une intrigue 100 % new yorkaise , 100 % urbaine . Fini les grands espaces , place au royaume de la verticalité . Notre guide est un flic du NYPD qui a roulé sa bosse dans tous les quartiers de Manhattan à Harlem en passant par le Bronx ou Brooklyn : l’inspecteur Donnelli . .
Il est du genre coriace et a tendance à passer outre les injonctions de sa hiérarchie si il sent que c’est nécessaire pour mener à bien son enquête . Borderline mais efficace .
Son image a pourtant tendance à se ternir ces derniers temps . Il vient en effet de perdre son dernier coéquipier en opération ,l’inspecteur Pfiffelmann ,alors qu’il était malencontreusement retardé par un accident sur la voie publique avec un livreur à vélo . Le souci c’est qu’il est le deuxième coéquipier à se faire tuer.. Le premier, l’inspecteur Novak , n’a pas non plus bénéficié du soutien de Donnelli lors d’un flag .Une faille qui va fissurer un peu plus la cuirasse de notre dur à cuire et dont le seul remède passager est une consommation sans modération de Lagavulin ( Monsieur a quand même du goût) pour l’aider à oublier sa condition et ses souvenirs qui hantent ses courtes nuits.
Heureusement pour lui , sa nouvelle coéquipière ,l’inspectrice Mankato ,est une perle: une tête bien faite dans un corps qui ne l’est pas moins , d’origine indienne , surdiplômée et qui a bien l’intention de se faire une place dans ce monde de machos .
L’enquête sur laquelle va travailler le duo fait suite au meurtre particulièrement horrible d’une jeune fille , retouvée atrocement défigurée dans une casse . Malgré l’omerta qui règne dans le quartier , les maigres pistes semblent se diriger vers la mafia lituanienne.
Mais cette affaire va être éclipsée par l'assassinat d’une proche de l’inspecteur Donnelli . Comme si le destin s’acharnait une nouvelle fois sur lui .

Ian Braverman nous a concocté un petit bijou de littérature policière doté d’un scénario et d’une écriture très cinématographique. L’action - et le roman n’en manque pas - est doublée de situations cocasses qui voient Donnelli être harcelé par le fantôme de Pfiffelmann , partageant sans filtre leurs peines et leurs différends , en privé comme en public .Une petite saveur supplémentaire à une intrigue qui n’en manque pas .
Comme souvent avec l’auteur protéiforme , les dialogues sont enlevés , pimentés d’un zeste d’humour dont l’auteur a le secret et d’une bardée de diminutifs qui valent leur pesant de pastrami .
Outre des personnages qui ne cachent rien de leurs caractères et de leurs ( fortes) personnalités , parfois contradictoires, la ville de New York est un élément essentiel du roman . Une mégapole , côté pile avec ses grattes ciels sur lesquels se reflètent l’astre lumineux pour quelques instants magiques quelques fois par an , signes ancestraux de dynasties familiales ou de nouvelles fortunes dopées à un égo surdimensionné , côté face , des quartiers pauvres où s’entassent une population d’origine hétérogène , dans lesquels règnent les gangs et tentent de survivre des habitants calfeutrés derrière leurs cinq verrous installés à la hâte sur leur porte d’entrée .
Je suis comme à chaque fois étonné de la précision et des petits détails apportés par l'auteur sur l’environnement dans lequel se situe l’intrigue , comme si celui-ci y avait toujours vécu . A défaut, on imagine sans mal un gros travail de documentation pour parvenir à cette finalité .
En somme une fiction parfaitement calibrée qui ne manque pas de réalisme , sans doute une des marques de fabrique de Roy Braverman et de son géniteur .

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Quand Ian Manook devient Roy Braverman c’est pour sillonner incognito les Etats-Unis. Pour son nouveau périple on change radicalement de décor (et de personnages), exit les grands espaces, welcome to Manhattan !

Dans l’imaginaire collectif (et sans aucun doute dans les faits aussi), Manhattan est l’archétype de LA mégapole. Vu du ciel (ou sur une carte) c’est le découpage quasi géométrique de la ville qui saute aux yeux, les axes horizontaux sont les avenues (identifiées par leur numéro et le suffixe Nord ou Sud), et les verticales sont les rues (idem, un numéro et le suffixe Est ou Ouest).

Un découpage qui permet d’assister, deux fois par an (half sun en mai et full sun en juillet), à un phénomène naturel assez exceptionnel et dont je n’avais pour ma part jamais entendu parler, le Manhattanhenge. Un coucher de soleil pile-poil dans l’axe de la 42e rue (voir la couv du bouquin pour se faire une idée du truc).

Fin de la visite touristique, il est temps de passer aux choses sérieuses. Roy Braverman n’a pas l’habitude de faire dans la dentelle et ce n’est Manhattan Sunset qui viendra déroger à la règle… heureusement ! Ça défouraille sévère et la viande froide ne manque pas (comme vous vous en doutez, on ne meurt pas paisiblement dans son sommeil dans cette histoire).

L’intrigue se déroule sur deux axes, le premier va suivre l’enquête de Donnelli sur le meurtre de la gamine retrouvée dans une casse, le second va amener ce même Donnelli à se poser des questions sur les circonstances de la mort de son partenaire, Pfiffelmann.

Ce brave Donnelli aura du pain sur la planche puisque son enquête le mènera à se frotter à la mafia lituanienne sur fond de trafic humain, quitte à piétiner sans retenue les plates-bandes du FBI qui s’intéresse de près à ces mêmes Lituaniens.

Dans le même temps il devra composer avec un tueur qui semble déterminer à éliminer toutes les personnes dont il est proche. Je serai tenté de dire que c’est la partie la moins intéressante du bouquin car très (trop) prévisible (l’identité du mystérieux tueur s’impose rapidement comme une évidence).

Une autre caractéristique de la « griffe Braverman » est l’omniprésence de l’humour (souvent teinté de noir et d’une bonne dose de cynisme), une agréable façon de contrebalancer la violence assumée et décomplexée de l’intrigue.

Sur ce point la présence d’un Pfiffelmann spectral ouvre de nombreuses perspectives à l’auteur qui ne manque pas d’en jouer afin de détendre l’atmosphère. Me concernant le pari n’était pas gagné d’avance, la présence de ce fantôme me laissait plus que perplexe, mais finalement il est parfaitement intégré à l’intrigue et parvient même à s’imposer comme u élément clé du récit.

Fidèle à son habitude, Roy Braverman nous offre une galerie de portraits mitonnée aux petits oignons. À commencer par Donnelli, flic bourru et cynique à souhait, un brin macho (voire misogyne) ; l’archétype du dur à cuire qui a tout vu, tout vécu et qui est revenu de tout… mais pas forcément sans séquelles ! En creusant au-delà des apparences on découvre un personnage plus complexe que ne le laisse paraître son éternelle désinvolture (voire m’enfoutisme).

Effacée dans un premier temps, la partenaire de Donnelli, Mankato, va peu à peu s’imposer, d’abord par sa force de caractère, puis par son engagement dans le déroulé de l’intrigue. Elle donnera même de sa personne pour arrondir les angles avec le FBI (disons plutôt que c’est le côté bonus de sa relation).

Une fois de plus, nos amis les chats vont surement boycotter ce roman suite aux tortures infligées à l’un des leurs… même si le coupable et ses complices paieront le prix fort de leur connerie (bien fait pour leur gueule à ces fucking bastards). Petite question bonus qui me turlupine à la fermeture du bouquin : que devient Darwin ? Je ne parle pas de Richard l’évolutionniste, je sais que ça bien longtemps qu’il suce les pissenlits par la racine.

Roy Braverman nous offre un divertissement boosté à l’adrénaline et à la testostérone, un thriller fortement teinté de noir maîtrisé de bout en bout. Il me tarde de découvrir la prochaine étape de son périple US.… ou ailleurs, où qu’il aille je le suivrai les yeux fermés.

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Il en est des romans policiers comme des plats que l’on reçoit au restaurant. Le nom et le descriptif vous ont plu, et une fois que vous le dégustez, vous vous rendez compte que ce livre n’était pas fait pour vous.
Ce que j’ai aimé ? La présence fantomatique de Pfiffelmann, le coéquipier décédé de l’inspecteur Donnelli, l’inspecteur qui n’arrive jamais à temps, ou presque jamais. J’ai aimé ses interventions, lui qui n’a (presque) plus rien à perdre, puisqu’il a déjà perdu la vie, lui qui tente de se faire comprendre de Donnelli, qui a fort à faire avec les enquêtes en cours, et celles qu’on ne veut surtout pas qu’il suive. La justice ? Elle ne semble plus vraiment au programme, remplacée par les luttes de pouvoir entre différents services, entre la volonté de préserver des intérêts autre que ceux de la vérité – ne parlons même pas des parents éplorés qui ne sauront jamais ce qui est arrivé à leur enfant.
Ce que je n’ai pas aimé ? L’extrême violence. Les situations sanglantes, tragiques, dramatiques, s’enchaînent, sans que jamais l’espoir ne soit au bout du chemin, ou au bout de la nuit. La résilience ? Elle n’est pas envisagée. Vivre avec l’absence, vivre avec la douleur ne semble pas non plus possible. Manhattan sunset décrit un monde où aucune issue un tant soit peu positive ne semble possible.
Manhattan sunset – un roman à réserver à un public averti.

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Un noir intelligent qui ressemble au cocktail du même nom (sec, rouge, amer) tout en y apportant la chaleur de la lumière de Manhattan. Des personnages comme sortis de vieilles séries américaines (les meilleures) avec des dialogues vifs, enlevés, du suspens, de l'humour, des thématiques profondes --- What else ?

C'est avec ce roman que je découvre (enfin) l'écriture de Roy Braverman et en refermant Manhattan Sunset, c'est sûr que ce ne sera pas le dernier de cet auteur. Séduite, conquise. Le Noir est loin d'être ma couleur favorite. "Ce n'était pas gagné d'avance." Avec cet auteur, je l'ajoute à ma palette.

Tout d'abord une bouteille de Lagavulin pour porter un toast à Pfiff, Novak, Martha, George, Laureen, Wanda, Darwin, Nolan, Sandy, Lola, les Andersson, aux victimes innocentes de la famille Dabnys et aussi à Manhattan en s'empiffrant de - au choix - sur le toit du monde ou presque. Ne pas la louper cette lumière qui jaillit deux fois par an car elle éclaire le roman en entier, tout comme les pointes d'humour, les dialogues et les personnages tous savoureux, d'une truculence qui rend tout digeste ou presque, même le chalumeau.

Deux enquêtes s'entrecroisent, s'entremêlent dans ce récit et surtout des personnages plus attachants les uns que les autres: bien sûr Donut et Pfiff, un duo improbable qui fonctionne à merveille, Laureen, Bleue bite, Gouda, Wanda, Nolan, George, Martha, pour la première et pour l'autre Mickey, Goran, l'effroyable Mamyté et tant et tant --- sans que jamais le fil ou l'intérêt ne soit rompu.

$*$ Pour les amateurs d'ET et de son incroyable 'retour maison' au clair de lune sur un vélo, je leur conseille le petit trip offert avec ce roman noir, une scène d'anthologie.
$*$ Pour les personnages féminins aussi, je recommande cet auteur épicurien qui aime les voyages, les femmes et leur rend hommage --- toutes ont des caractères forts, sont mises en valeur, dans les premiers rôles, dans les seconds, même les figurantes ---

$*$ Pour les dialogues, l'intrigue (double), les personnages, le suspens, l'atmosphère, la psychologie, le fond (double, triple épaisseur)
$*$ Pour les clins d'oeil, pour toutes les références qu'elles soient culinaires, cinématographiques, littéraires --- bon, pour les recettes de Mamyté, j'irai les déguster tranquillement au restaurant loin de l'eau.

$*$ Pour les thématiques également que je ne dévoilerai pas, sirotez-le votre Manhattan (sec, rouge, amer) sur un toit avec un rayon de soleil en admirant le vol des cigognes qui parfois se perdent en chemin et les coucous qui profitent d'autres nids.

Pfiff me soufflerait à l'oreille: Pfff, dis que tu as tout aimé, ce sera plus simple !
- Euh, Pfiff, je ne suis pas sûre que je pourrai admirer le prochain Manhattanhenge, cela dépendra des vols et de mon visa - [les dates pour 2021 : 🌅 Saturday, May 29th and Tuesday, July 13th for "half sun"🌞 Sunday, May 30th and Monday, July 12th for "full sun"] -
- Euh, Pfiff, il y a aussi par moments, l'angoisse qui monte: on se demande s'il y en a 1 qui va s'en sortir ? L'humour et le xième degré permettent la distance nécessaire pour le prendre comme tel ce roman, c'est son genre, soit on l'accepte, soit on passe sa route et on rate le Manhattanhenge, parti pris et gagné de l'auteur.

Grand merci à Roy Braverman pour ce noir lumineux,
à Hugo Thriller et à NetGalley France pour cet excellent moment

Manhattan Sunset de Roy Braverman est sorti chez Hugo Thriller
ce 04 février 2021, à consommer sans modération.

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Coucher de soleil crépusculaire sur NYC, avant que les ténèbres ne dévorent tout.

Après la trilogie Hunter / Crow / Freeman, Roy Braverman s’est lancé dans une nouvelle vision personnelle d’une part des USA. Celle de la mégalopole cosmopolite qu’est New York, loin des grands espaces de sa trilogie précédente.

Avec ces quatre romans, l’auteur se frotte à l’Amérique sous toutes ses coutures, y mord profondément, quitte à les déchirer à pleines dents. Braverman, alias Ian Manook, vampirise le pays (ou alors c’est le contraire ?) pour fictionner avec bonheur et talent ses nombreux souvenirs de voyage.

Autre décor, autre ambiance. Avec cette ville étonnante qui est un personnage à part entière. Et ce récit qui pulse et palpite justement grâce et à travers les personnages !

Ils sont le sel de cette sombre histoire, et ça pique sur les plaies béantes. Physiquement ou métaphoriquement, ils souffrent. Il vivent, surtout, même les morts.

L’inspecteur Donnelli, en plus de son épatante coéquipière, forme un autre duo totalement atypique avec son ex. Il est beaucoup question d’ex dans cette intrigue, mais celui dont on parle est un « fantôme ». Donnelli « voit » son ex-partenaire assassiné, il lui parle. Rien d’occulte dans tout ça, juste une manière d’exorciser sa peine et sa solitude.

La réunion des deux compères donne l’occasion à l’auteur de s’en donner à cœur joie dans des scènes décalées, souvent drôles, touchantes aussi, étonnantes toujours, lorsque l’inspecteur vivant parle à son mort à voix haute, devant tout le monde.

Sa mémoire va surtout l’aider à résoudre l’enquête, mais est aussi l’occasion de se plonger dans le passé, les souvenirs, et dans cette ville qui fait partie de sa chair.

L’écrivain protéiforme se frotte au genre bien amerloque du Hard boiled. Avec son protagoniste en enquêteur cynique (mais bien plus complexe qu’il n’y parait). Le genre de dur à cuire qui a tout vécu, tout subi, et qui continue son chemin malgré le tombereau de douleurs qui s’abattent sur lui.

L’action pourrait sembler être privilégiée par rapport à la psychologie, mais pas dans le cas Braverman. Au contraire, elles vont de pair dans cette intrigue anticonformiste (la scène des deux flics shootés est un sommet, dans ce sens).

Ce qui est certain, c’est que la violence est là et bien là. Des morts, beaucoup. Même un peu trop à mon goût. Une enquête explosive, assez traditionnelle en soi, mais portée par les personnages hauts en couleur qui la font sortir des canons du genre. Et une plume qui s’adapte à l’atmosphère, tour à tour brutale et lyrique.

Roy Braverman sait autant rendre hommage aux classiques du Roman Noir américain, que les réinventer avec sa verve et son cynisme. Sans avoir peur d’aller loin, très loin.

Manhattan Sunset est une tragédie urbaine, à la fois sombre et lumineuse. Bel hommage à une ville étonnante, avec tout l’amour possible pour des personnages singuliers, hors normes, meurtris et profondément attachants.

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Je découvre Manhattan Sunset de Roy Braverman alias Ian Manook grâce aux Editions Hugo Thriller via Net Galley que je remercie au passage pour cette lecture. J’avais beaucoup apprécié la nouvelle La fille aux allumettes parue dans le recueil Storia, et je m’étais alors promis de découvrir plus amplement l’auteur dans ses romans. Je suis ravie de ma découverte, Manhattan Sunset est un roman noir intense, émouvant et drôle. Pourtant le fond du récit est sordide : tout commence par la découverte dans une casse-auto du cadavre en partie brûlé et déchiqueté par des chiens d’une fillette… La scène se passe à New York (pas celui des touristes, ou alors il ne faut vraiment pas avoir de bol!). L’inspecteur Donnelli chargé de l’enquête se rend sur les lieux, accompagné de son surprenant collègue Pfiffelmann, qui le suit partout. Normal, me direz-vous pour un binôme de policiers ? A y regarder de plus près, non, car le dénommé Pfiffelmann est mort en service trois semaines plus tôt…

Le seul policier schizophrène auquel je puis faire référence s’appelle Franck Sharko… L’inspecteur Donnelli le vaut bien et je vous assure que les dialogues qui découlent de l’étonnante relation qu’il entretient avec son collègue fantôme sont extrêmement drôles, parfois touchants, et entraînent le lecteur dans l’intégralité du récit. L’enquête ou plutôt la double enquête, d’une part le meurtre de cette jeune fille et de l’autre les circonstances non élucidées de la mort de Pfiffelmann, passent même en arrière plan, tant les personnages y compris secondaires sont truculents et font tout le charme de ce roman. C’est en tout cas l’impression que j’ai eu durant ma lecture, bien que le sujet de fond – le trafic d’enfant- soit passionnant et bien traité. L’écriture est frénétique, donnant l’impression d’aimanter nos doigt pour qu’ils restent scellés au livre! Un moment de répit, de magie, dans cette enquête lorsque les personnages admirent le « Manhattanhenge », l’alignement parfait du soleil couchant avec certaines rues de Manhattan, évènement à ne pas rater qui arrive deux fois par an…

J’ai donc aimé l’originalité de ce roman, dans lequel évoluent des personnages drôles et attachants, ainsi que l’écriture addictive de l’auteur, dont je me ferai un plaisir de lire les autres romans…

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J’ai beaucoup apprécié ce polar, qui m’a fait découvrir la plume addictive, très fluide et humoristique de Roy Braverman. J’ai bien aimé le duo formé par Donnelli et le caractère affirmé de son équipière Mankato. J’ai adoré le fait que ce livre me fasse découvrir d’autres facettes de New York, ses côtés plus sombres et glauques à souhait.
L’une des particularités de ce polar est la présence d’un enquêteur atypique, le fantôme de Pfiffelmann, ce dernier étant l’ancien équipier de Donnelly, dont le meurtre doit être élucidé. Je retiendrai notamment de ce polar le mauvais trip qui conduit Donnelly et Pfiffelmann à la découverte de tous les fantômes de New York, un moment sanglant et chargé d’histoire.
On retrouve dans ce livre les conflits entre le NYPD et le FBI, un langage cash et vrai entre les enquêteurs, de l’humour, un duo Donnelly/Mankato que j’ai trouvé particulièrement attachant et efficace, du suspense. Plusieurs enquêtes sont menées en parallèle, mais force est de constater que celle concernant la mort de Pfiffelmann aurait presque suffi en elle-même.
J’ai appris grâce à ce livre ce qu’est le Manhattanhenge (comme sur la couverture), ce moment particulier – qui ne se produit que deux fois dans l’année – où le soleil couchant s’aligne avec les principales rues orientées Est-Ouest de Manhattan, à New York.
Bref, un polar que je vous recommande vivement de découvrir, et si comme moi vous ne connaissez pas l’auteur, FONCEZ !!

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Coucou les amis lecteurs me voici avec un nouveau livre : Manhattan Sunset de Roy Braverman des éditions Hugo Publishing.
Je remercie NetGalley et les éditions Hugo Publishing de m'avoir permis de lire ce beau policier qui ma beaucoup plu .
Vraiment j'ai été happer dés la première page et j'ai eu du mal a le lâcher tellement que j'ai été prise par cette douloureuse affaire que subi notre inspecteur Donnelli qui a été frapper de la perte de son ex femme puis de son co-équipier et ami Pfiffelman qui va le hanter et être toujours auprès de lui car il veut s'avoir pourquoi il est mort et aussi par qui ?.
Donc notre cher inspecteur va passer pour un fou car tout le monde le voit parler seul , d'ailleurs il est suivi par une psychiatre.
Cela se passe a New-York la ville qu'il adore , mais il se passe pas mal de choses pas très catholique surtout la nuit .
Un jour notre inspecteur et appeler sur une affaire , donc il arrive sur les lieux et la il découvre le cadavre d'une enfant disloquer et assassiner dans d'atroce souffrance et son ami "Pfiff " qui la , notre inspecteur Donnelli va être très toucher par cette futur affaire .
Ces co-équipiers vont etre sur l'affaire de son ex femme et de son co-équipier et ami .
Donc l'inspecteur Donnelli va sur les lieux du crime ou il fait des recherches et son ami " Pfiff" son fantôme l'interroge sur ce crime , alors inspecteur Donnelli tu en dit quoi de cette enquête, sans doute une enquête , sans doute tout a fait normal pour un début d'enquête.
Notre inspecteur Donnelli a déjà payer un lourd tribu et il pense que cela n'est pas terminer, que celui qui lui en veut va encore agir pour le faire encore plus souffrir.
Pourtant il va tout faire pour retrouver les assassins de cette petite fille et aussi de trouver celui qui tue tous ces amis .
Notre inspecteur Donnelli et les autres policiers vont l'aider a retrouver cette personne qui lui fait du mal .
Cela le hante jour et nuit car la nuit il s'adonne a la boisson pour oublier mais hélas le lendemain matin tout lui revient et très malheureux .
Ces chefs se font beaucoup de soucis pour lui car il joue sa carrière, alors qu'il na plus que son métier pour sans sortir .
Il va devoir se battre faire beaucoup de recherches pour son enquête et découvrir l'assassin de son ex femme et de son ami , va t'il y arriver ? ? .
Vraiment un très bon policier très touchant , beaucoup de rythmes ,pleins de suspens , il va se battre jusqu'au bout au dépens de sa vie , une très belle plume facile a lire .
Je remercie l'auteur pour ce très beau policier que j'ai beaucoup aimer lire et cela a été pour un véritable coup de cœur.
Je le recommande vivement et vous aurez la fin de ce très beau policier , une très belle fin .
Ma note : 5/5
p

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Sacré Donelli ! Être flic au NYPD ( New York Police Department) n'est pas de tout repos.
C'est, au dire d'un mafieux, « un vieux flic tout seul, cabochard et indiscipliné, mû par un entêtement suicidaire, en équilibre instable entre la vie et la mort… ». Mais c'est aussi un flic fidèle en amitié, qui à la particularité de parler à un fantôme, son ex-coéquipier Pfifellmanqui avec Mankato, sa nouvelle coéquipière, va devoir élucider plusieurs affaires .
Tout d'abord, il y a cette petite fille retrouvée morte qui va permettre de découvrir un traffic d'enfant international. Se retrouver mêlé à une vengeance entre maffia russe et lituaniens, tout en ayant ordre du capitaine et d'ailleurs e laisser tomber.
Puis voir ses proches tomber comme des mouches et son passé le rattraper d'une bien triste façon décidément rien n'épargne Donelli et la vérité éclatera trop tard pour éviter un bain de sang.
Manhattan Sunset est mon premier roman de Roy Braverman. J'ai apprécié le style, l'humour ( notamment la petite séance chez la psychiatre), l'intrigue et New York même si ce ne sont pas forcément les beaux quartiers. Les personnages sont intéressants et j'avoue avoir bien aimé ce Donelli qui fait preuve d'humanité, tout en essayant de comprendre les autres qu'ils soient du bon ou du mauvais côté et puis cette façon qu'il a de rendre justice avec maestria n'est pas pour me déplaire.
Un grand merci à Hugo Thriller
#Manhattan Sunset #NetGalleyFrance

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C’est avec Manhattan Sunset que je découvre cet auteur et je ne savais pas qu’il était connu sous le pseudo de Ian Manook.
Bon ben moi qui voulait lire cet auteur, sans le savoir, c’est chose faite et j’en suis ravie !

Dans cette histoire on retrouve l’inspecteur Donelli, NYPD, qui va se retrouver sur une enquête de la mort atroce d’une fillette. Chose particulière Donelli parle seule… enfin non pas vraiment, c’est juste que les autres ne voient pas qu’au fait il parle à son ancien coéquipier mort récemment.
C’est donc avec un début un peu hors du commun que j’ai commencé ce livre, j’avoue avoir été déstabilisé au tout début, mais une fois que mon franc est tombé, j’ai vite été embarqué par cette histoire assez folle et pleine de rebondissements, surtout la fin.
J’ai casi lu ce livre d’une traite, avec des chapitres courts, une écriture facile on a ici une histoire qui se laisse lire facilement et en plus on y retrouve une touche d’humour, qui m’a fait rire à certains moments. (mon mari se demandait quoi lol)
Les personnages sont assez attachants, surtout Donelli, on se lie facilement à lui et puis son coéquipier qui ne le lâche pas font que certaines scènes sont assez drôles.

En conclusion un très chouette livre, que j’ai beaucoup aimé lire et ou j’ai passé un bon moment, et une mention spéciale pour la belle couverture que j’aime beaucoup ainsi que le titre, c’est d’ailleurs ces deux qui m’ont donné envie de lire ce livre !

Merci à #NetGalley et #HugoThriller pour cette chouette découverte ainsi que leur confiance !
#ManhattanSunset

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Roy Braverman, l'alias étasunien de Patrick Manoukian, LE Ian Manook, nous emmène cette fois dans la grande Pomme, où nous suivront une équipe de flic enquêtant sur l'horrible meurtre d'une adolescente. Sans révolutionner le genre, Braverman, une nouvelle fois, nous propose un polar bien ficelé où le passé est omniprésent et en partie représenté par le "fantôme" de son coéquipier récemment abattu. Attention, il ne s'agit pas ici de fantastique, mais plutôt de la vision d'une âme tourmentée (et il ne s'agit pas du spectre).
Un polar mêlant habillement violence et psychologie sans oublier une bonne dose d'humour. Sûr que cet ouvrage ravira les fans du genre. Merci Roy Braverman ainsi que Hugo Thriller et Netgalley.

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