Gagner n'est pas jouer

Win Lockwood va se retrouver mêlé à une affaire qui pourrait avoir un lien avec des évènements qui se sont passés vingt ans plus tôt. En effet, sa cousine Patricia fût séquestrée pendant des semaines, mais a pu s'échapper. Entre passé et présent, il n'y a peut-être qu'un pas...

Cela faisait un bon moment que je n'avais pas lu de livre d'Harlan Coben et quel plaisir de retrouver l'écriture de cet auteur.
Suspense, rebondissements, mystères, on retrouve de nouveau dans ce livre tous les ingrédients qui font le succès de ces romans.

L'écriture est fluide, on ne perd pas de temps avec des détails, on entre directement dans le vif du sujet dès le début de l'histoire.

J'ai trouvé l'intrigue passionnante, les évènements s'enchaînent au point qu'il est difficile d'arrêter sa lecture une fois celle-ci commencée.

Si vous avez envie d'un vrai page-turner dans lequel vous ne vous ennuierez pas une seule seconde, je vous conseille la lecture de ce livre.

Je remercie le site "NetGalley" et les éditions "Belfond" pour la découverte de ce livre qui m'a fait passer un très bon moment de lecture.

Le grand retour d’un excellent Harlan Coben à lire en une nuit . Intrigue, rebondissements à couper le souffle et Myron Bolitor en embuscade….À lire absolument !

Harlan Coben est un auteur que j’aime beaucoup. De manière générale, ces livres nous font vivre un suspense incroyable du début à la fin ! C’est donc avec beaucoup de joie que j’entamais cette lecture.

Comme d’habitude avec cet auteur, on est tenu en haleine jusqu’aux dernières pages ! Il n’y a pas grand chose à dire sans vous gâcher la surprise. On est plongé dans l’upper class avec ses secrets de famille, ce qui change un peu des personnages habituels.

J’avoue avoir eu beaucoup de mal avec le personnage de Win. Tout du moins au début, il faisait beaucoup de « m’as tu vu » ou « je suis riche, je fais ce que je veux » et personnellement ça a tendance à m’horripiler. Au fur et à mesure, on finit par s’habituer et voir qu’il est plus que ça. Les liens du sang sont également vraiment importants dans cette histoire, j’ai d’ailleurs beaucoup aimé la relation Win / Patricia. J’espère que nous aurons l’occasion de retrouver ce personnage étant donné qu’il reste selon moi beaucoup de points à développer le concernant.

Je pense que c’est la fin de ce lire qui m’a fait aimer le personnage de Win. A la fois protecteur et humain (qui l’eut cru ?).

Pour conclure, je pense qu’on part sur un thriller d’une valeur sûre. Pas forcément un coup de coeur mais pas de déception non plus.

Windows Lockwood, richissime et un brin pretentieux’, sur de lui et aimant mener les actions, va mener l’enquête. L’enquête touche sa famille et lui fait faire un retour de 20 ans dans l’histoire tortueuse de sa famille.
Un bon roman sans temps mort.

Avant de commencer, je souhaite remercier @netgalleyfr de m'avoir donné l'opportunité de lire ce livre en échange d'un avis honnête.

La police new-yorkaise découvre dans un penthouse le corps mutilé d'un homme à moitié ermite, ainsi que plusieurs objets de valeur volés à la puissante famille Lockwood. Appelé à venir les identifiés, Win Lockwood voit soudain ressurgir un passé familial englouti.

Qu'est-ce qui relie ces actes criminels à sa prestigieuse famille ? Et pour tous ces mystères autour de la cabane de la terreur ?

J'adore Harlan Coben et son écriture qui nous tient en haleine du début à la fin. On se retrouve au cœur d'une des famille les plus fortunées du coin qui voit soudain ressurgir des évènements qui ont longtemps été enfouis. Win va alors tout faire pour découvrir la vérité tout en protégeant ceux qu'il aime.

Au programme: famille fortunée, passé tumultueux, secrets et mensonges.

Au début, Win apparaît comme l'un de ses personnages riches stéréotypés qui se croient au-dessus de tout en raison de sa fortune. Mais il s'avère être bien plus que cela en protégeant les siens mais aussi des personnes innocentes. Il fait ce que bon lui semble et rend justice à sa manière.

Ce n'est pas l'un des livres que je préfère de cet auteur mais je peux quand même affirmer avoir aimé l'histoire. J'aimerais beaucoup lire d'autres histoires avec Win. Dans ce livre, j'ai même apprécié les personnages que l'on considère habituellement comme "méchants" tels que les membres du crime organisé car même si la plupart ne cherche qu'à se venger par le crime, certains apparaissent comme humains.

Merci à Netgalley et aux éditions Belfond pour cette lecture. Celle-ci a été l'occasion pour moi de redécouvrir Harlan Coben que j'avais abandonné il y a quelques temps.

On retrouve ici le personnage de Win Lockwood fidèle ami de Myron Bolitar, qui va se trouver aux prises avec son histoire familiale. En effet quand la victime d'un autre, se trouve lié à un vol de tableau, et au viol de sa cousine Patricia, il n'en faut pas plus à Win pour entrer dans la danse, et mener l'enquête. Avec ses associés, le voilà parti à la poursuite d'un pan de son histoire.

Au départ, j'ai eu un peu de mal avec le personnage, qui donne l'apparence d'un playboy millionaire, sans coeur et qui utilise son argent pour obtenir ce qu'il veut. Mais peu à peu, en apprenant à le connaître, j'a découvert un autre aspect de sa personnalité, plus loyal et empli de valeurs humaines, qui m'ont conduit à l'apprécier.

L'enquête, elle, est bien menée. Elle nous entraîne dans des circonvolutions, qui vont nous faire passer d'un complot à visée terroriste, à la mafia, pour finir par des secrets de famille bien gardés. Sans révolutionner le genre, l'intrigue est efficace et on se prend au jeu. Toutefois le dénouement ne m'a pas beaucoup surprise.

C'est bien écrit, avec la fluidité caractéristique de l'auteur, qui l'a rendu célébre. Peut-être cet opus sera-t-il lui aussi porté à l'écran?

Un bon moment de lecture, sans surprise.

Harlan Coben fait partie de mes auteurs favoris. Malgré les nombreux thrillers que j’ai lus de cet auteur, je suis toujours impressionnée par son talent et sa plume.
J’ai trouvé « Gagner n’est pas jouer » (bien) meilleur que le dernier Harlan Coben que j’avais lu, L’inconnu de la forêt. Pourtant, j’avais apprécié cet autre thriller, mais pas autant que celui-ci.
En tout cas, quel plaisir de retrouver ici le personnage de Windsor Horne Lockwood III, Win pour les intimes, le meilleur ami de Myron Bolitar ! Si vous ne connaissez pas encore cette série Myron/Win, je précise tout de même qu’il ne s’agit pas d’une suite et que ce thriller peut se lire indépendamment des autres Harlan Coben.
Win est particulièrement imbu de sa personne, extrêmement riche, violent, franchement égocentrique. Alors effectivement, de prime abord il ne donne pas trop envie, ne semble pas attachant, et pourtant c’est tout l’inverse qui se produit ! L’écriture à la première personne de ce roman le rend particulièrement immersif. On rentre tout de suite dans l’intrigue, on est plongé dans cette histoire où l’on retrouve l’humour décalé de Win, son sens très particulier de la justice, son intelligence, son côté attachant et protecteur.
On découvre ici avec stupeur une partie de l’histoire de la prestigieuse famille Lockwood. Win est très attaché à sa famille, et notamment à sa cousine Patricia, et il en fait ici une affaire personnelle. Cette lecture pleine de rebondissements a été un régal ! Pour moi, cet auteur américain à succès réaffirme ici, si besoin était, son talent.
A découvrir, pour les fans d’Harlan Coben. Amateurs de suspense et de thrillers, si jamais vous ne connaissez pas encore cet auteur, vous pouvez tout à fait commencer par « Gagner n’est pas jouer ». Ce roman est traduit par Roxane Azimi. J’ai juste un léger regret en refermant ce livre : ne pas avoir croisé ici Myron Bolitar.
Je remercie NetGalley et les éditions Belfond pour ce roman que j’ai dévoré et qui, selon moi, tient toutes ses promesses.

Le livre dont l’auteur qui ne déçoit jamais
Harlan Coben, c’est la valeur sûre vers laquelle on aime se réfugier. On sait qu’il y aura un scénario haletant, un peu de sang mais pas trop, des mecs tordus, des superbes nanas et surtout, beaucoup d’humour! Son dernier ne fait pas exception. On suit Win, alias Windsor Horne Lockwood III, un très riche noble, insupportable de suffisance et justicier futé. Il enquête sur un vieillard assassiné, chez qui est retrouvé l’un de ses tableaux (un Vermeer !) autrefois volé. Et, plus mystérieux, la valise de sa cousine. C’est brillant, jusqu’à la fin, complètement déroutante!

Lire un Harlan Coben est toujours une source de joie. J’aime cet auteur qui est pour moi comme un doudou. Et j’aime surtout Myron Bolitar, un de ses personnages, ancien basketteur pro, agent de joueur, détective par la force des choses et roi des blagues foireuses. Dans ses enquêtes, il est accompagné d’acolytes hétéroclites, comme une ancienne catcheuse plantureuse amatrice de vêtements moulants et extrêmement voyants. Et Win. Win, son meilleur ami. Windsor Horne Lockwood III, aussi féru d’arts martiaux que violent, aussi séducteur que millionnaire, ou milliardaire – passée une certaine somme, je ne compte plus.

J’ai toujours été intriguée par ce Win et ses compétences en combat, cet homme secret, l’opposé de Myron. Bref, j’ai toujours eu envie d’en savoir plus sur lui. Depuis quelques temps, Harlan Coben semble avoir abandonné Myron au profit d’autres personnages (vous ne le voyez pas, mais intérieurement je pleure). Et dans Gagner n’est pas jouer, le personnage principal c’est Win (j’ai séché mes larmes intérieures en me disant qu’au moins j’en saurai plus sur Win.

L’histoire commence par le meurtre d’un vieil homme, accumulateur compulsif et véritable ermite. Dans son appartement, la police retrouve un tableau appartenant à la famille Lockwood et une valise au nom marquée des initiales WHL. Évidemment Win est interroger et il va se lancer dans une enquête mêlant voleurs de tableaux, violeurs de jeunes filles et jeunes terroristes aujourd’hui largement à la retraite.

Cette intrigue, si elle est sympa à suivre, quand on a compris les liens entre toutes les pistes que suit Win. Mais au départ, je me demandais bien pourquoi des voleurs de tableaux,qui selon moi sont des criminels plutôt « propres », pouvaient être aussi des types qui enlevaient et violaient des jeunes filles après les avoir torturées durant des jours dans une cabane isolée. Je n’y croyais pas trop en réalité.

Et puis WIn… Je pense que j’aurais préféré qu’il reste un mystère pour moi. Enfin presque. Le roman est à la première personne et Win est un type que je ne pourrais pas apprécier si je le rencontrais – en même temps, comment pourrais-je rencontrer un millionnaire – ou milliardaire – qui évolue dans des sphères que je ne peux même pas imaginer. Il est imbu de sa personne et fait sentir au lecteur qu’il est bien aussi de tout le monde. Il est tout de même vaguement attachant. Et son snobisme fait sourire, vaguement sourire.

Bref, je suis contente d’avoir lu un Harlan Coben, mais ce n’est pas le meilleur. Toutefois, si vous avez envie de faire connaissance avec Win, foncez, c’est l’occasion de le découvrir dans Gagner n’est pas jouer.

Comme a son habitude Harlan Coben nous tient en haleine, avec une plume accessible et toujours une bonne surprise !

Un grand merci aux éditions Belfond et à Netgalley pour ce service presse.

Quand des policiers découvrent le corps d’un homme dans un appartement de standing, envahi de différents objets rassemblés de manière compulsive, ils ne s’attendent pas à trouver au mur un authentique Vermeer. Le tableau a été volé à la famille de Win (Windsor Horne Lockwood III), il y a plus de 20 ans avec une autre toile. Ils y a aussi une valise portant les armoiries familiales et les initiales de Win…

Cela suffit pour que ce dernier se lance dans une enquête sur les traces d’un groupe de terroristes disparus, de jeunes filles violentées et jamais retrouvées, le tout baignant dans les secrets de famille.

Win est un personnage dans tous les sens du terme, meilleur ami de Myron Bolitar le héros préféré de l’auteur, c’est un homme immensément riche, issu d’une famille aristocratique mais qui cache des pulsions violentes, très violentes. Homme complexe, sorte de redresseur de torts à la Batman, il sort la nuit pour punir ceux qu’il estime être mauvais. C’est aussi un type extrêmement agaçant, prétentieux, imbu de lui-même et paradoxalement d’une fidélité absolue à ceux qu’il désigne comme faisant partie de sa famille.

Il est intéressant de voir qu’il est capable du meilleur comme du pire : le dandy millionnaire peut perdre contenance devant celle qui est sa fille. Il est sauvé par ses amis, ses proches qui savent le faire revenir sur terre quand il va trop loin et cette jeune femme, qu’il apprend à connaître, est très forte à ce jeu.

Je rêve depuis mon premier livre faisant mention de son personnage de le voir tomber de son piédestal et s’engager sentimentalement autrement qu’en amitié, qu’une femme lui fasse mordre un peu la poussière, si c’est sa fille je prends aussi !

L’écriture de l’auteur est toujours un plaisir, il mêle humour et intrigue avec habilité. J’aime sa façon de me manipuler pour que j’atterrisse bien loin de la piste du début. Aussitôt ouvert, aussitôt terminé : la qualité est toujours présente, je ne m’en lasse pas !

Du Harlan Coben à l'état pur ! Toujours difficile de ne pas succomber à chaque sortie de roman décret auteur. De sa plume inimitable, l'auteur sait toujours nous emmèner là où on ne s'y attend pas !

C’est mon premier Harlan Coben (oui, je sais) et franchement je ne suis pas déçue !
Je m’attendais, vu sa réputation, à une intrigue inquiétante et à un paquet de rebondissement, j’ai été servie !
On se laisse mener en bateau, on ne le lâche plus tant l’histoire part dans plusieurs sens différents, on veut absolument avoir le fin mot de l’histoire, on veut absolument comprendre.
Le personnage de Win m’a un peu agacée au début, mais c’est comme ça qu’il a été travaillé j’imagine, pour qu’on s’attache petit à petit à lui, au fur et à mesure qu’on le voit changer et évoluer au court de son enquête.
Une belle découverte, je ne manquerai pas d’en lire d’autres de cet auteur !