La Dame blanche
par Denis Zott
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Date de parution 6 janv. 2022 | Archivage 8 avr. 2022
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Résumé
La Dame blanche. Fragile, fugitive et menacée. À moins qu'elle ne cache son jeu. Et que la vraie menace, ce ne soit elle.
Elle ne devait jamais sortir. Dehors est un monde hostile, un danger permanent. Mais nul ne sait comment elle peut réagir.
Un étrange manoir dans l'Yonne qui abrite un terrible secret. Une recluse blonde au visage de geisha dont l'existence n'est connue que d'une poignée de personnes.
Lorsque, une nuit, un mystérieux commanditaire la fait enlever, rien ne se passe comme prévu.
Un accident à quelques kilomètres du point où elle doit être livrée, à Puech Begoù dans le Tarn, et c'est la fuite. Traquée par les chasseurs et les chiens de l'impitoyable Baron, le maire du village. Recherchée par les Renard, les ennemis jurés de Baron. La Dame blanche est livrée à elle-même alors que la contrée est cernée et que la famille de la jeune femme convoque des moyens d'envergure pour la retrouver.
Césaire, le domestique de Germaine Renard, craint qu'un vent mauvais ne souffle dans cette campagne tourmentée. Ce sera bien pire que ça. Personne dans la contrée n'oubliera jamais la Dame blanche.
La Dame blanche. Fragile, fugitive et menacée. À moins qu'elle ne cache son jeu. Et que la vraie menace, ce ne soit elle.
Elle ne devait jamais sortir. Dehors est un monde hostile, un danger...
Formats disponibles
FORMAT | Poche |
ISBN | 9782755693836 |
PRIX | 8,50 € (EUR) |
Chroniques partagées sur la page du titre
Grâce #NetGalleyFrance et HUGO POCHE , j’ai eu la chance de pouvoir lire #ladameblanche de Denis Zott.
Mon avis :
Je viens de finir La dame blanche de Denis Zott , en librairie depuis le 06 janvier.
Dans ce livre, l’auteur nous entraîne dans un récit haletant, qui se déroule dans un petit village du Tarn et la description qu’il fait des lieux nous plonge complètement dans l’histoire.
S’ajoutent à cela des personnages corrosifs, qui font régner la loi à leurs façons et peuvent parfois se montrer cruels. D’autres sont plus touchants et fragiles comme Césaire ou la Dame blanche, mais attention aux apparences …..
L’histoire, très rythmée, ne nous laisse aucun répit du début à la fin et les révélations s’enchaînent de façon renversante, jusqu’à la chute bien menée et remplie d’émotions.
Bref vous l'aurez compris j’ai beaucoup aimé ma lecture et je vous la recommande.
Résumé :
La Dame blanche. Fragile, fugitive et menacée. À moins qu'elle ne cache son jeu. Et que la vraie menace, ce ne soit elle.
Elle ne devait jamais sortir. Dehors est un monde hostile, un danger permanent. Mais nul ne sait comment elle peut réagir.
Un étrange manoir dans l'Yonne qui abrite un terrible secret. Une recluse blonde au visage de geisha dont l'existence n'est connue que d'une poignée de personnes.
Lorsque, une nuit, un mystérieux commanditaire la fait enlever, rien ne se passe comme prévu.
Un accident à quelques kilomètres du point où elle doit être livrée, à Puech Begoù dans le Tarn, et c'est la fuite. Traquée par les chasseurs et les chiens de l'impitoyable Baron, le maire du village. Recherchée par les Renard, les ennemis jurés de Baron. La Dame blanche est livrée à elle-même alors que la contrée est cernée et que la famille de la jeune femme convoque des moyens d'envergure pour la retrouver.
Césaire, le domestique de Germaine Renard, craint qu'un vent mauvais ne souffle dans cette campagne tourmentée. Ce sera bien pire que ça. Personne dans la contrée n'oubliera jamais la Dame blanche.
Une jeune fille se fait enlever et va bouleverser la vie d’un petit village français. Suite à un accident lors de son enlèvement, elle disparaît et tout le monde se met à la recherche de cette fameuse Dame Blanche. Mais dans ce village règnent les histoires et secrets de famille, la violence, la haine et les complots. Césaire, un domestique d’une des familles va s’en mêler…
La violence est très présente, qu’elle soit physique ou psychologique, certaines scènes sont assez difficiles. La violence était trop directe pour moi, pas assez subtile. C’est sans doute pour ça que j’ai eu du mal à apprécier les personnages, quels qu’ils soient. J’ai eu de la peine pour certains d’entre eux mais sans réussir à m’y attacher.
Je m’attendais à une atmosphère angoissante, qui fait vraiment peur, mais cela n’a pas fonctionné sur moi, j’avais sans doute une idée fausse du livre.
Point positif, le roman se déroule en France et notamment près de Toulouse dans le Tarn, pas loin de chez moi. J’ai aimé retrouver des noms connus.
Second bon point, le style est fluide, le livre se lit vite, même si je n’ai pas trop accroché avec l’histoire je l’ai quand même lu en 3 jours.
La fin et les explications tant attendues m’ont plutôt plu, j’ai enfin compris où l’auteur voulait en venir ce qui a amélioré mon avis final.
Un enlèvement qui tourne mal puisqu’ils vont avoir un accident. Tout le monde veut retrouver cette fameuse dame blanche qui s’est enfuit
Le style est fluide, l’histoire a un bon rythme et le suspense présent
Merci à Hugo éditions et à Net Galley pour cette découverte, je vais essayer de me procurer un autre livre de l'auteur
Bienvenue à Puech Begoù, charmante bourgade du Tarn où les habitants se feront un plaisir de vous accueillir avec le sourire et de partager avec vous leur bonne humeur naturelle et leurs traditions…STOOOP !!! Ça c’est la version office du tourisme, rien à voir avec le bouquin de Denis Zott.
A Puybegon (Puech Begoù en occitan), il y a d’un côté la famille Baron qui tient les rênes de la vie politique et économique du village, à sa tête, Charles Baron, l’intouchable maire de la commune. Intouchable ? Pas pour la famille Renard, ils ne craignent personne mais tout le monde les craint, ils touchent à tous les trafics pourvu que ça rapporte du fric sans faire trop d’efforts, et que ce soit illégal.
Les Renard c’est d’abord Germaine, la mère, une vieille peau acariâtre. Puis il y a les jumeaux, Damien et Martial, et surtout le benjamin, Brice, le fils prodige, tout juste sorti de taule et toujours à l’affût d’un mauvais coup. Enfin il y a Césaire, que toute la famille prend un malin plaisir à traiter – et à maltraiter – comme un esclave.
Un équilibre fragile que chacun s’efforce à maintenir en ignorant le clan adverse. La moindre étincelle pourrait mettre le feu aux poudres. Nul n’aurait pu imaginer que cette étincelle prendrait la forme d’une mystérieuse Dame Blanche, et moins encore que c’est sa disparition qui allait provoquer l’Apocalypse de Puech Begoù.
Et au milieu de ce merdier sous haute tension, Johnny Grandin, un voyou à la petite semaine, plus proche des Pieds Nickelés que d’un caïd du milieu. À l’insu de son plein gré, il sera l’allumette d’où jaillira l’étincelle.
Tout ce beau monde constitue un sympathique (?) cocktail explosif à manipuler avec beaucoup de précaution… sauf que Denis Zott va nous passer le tout au shaker, histoire que ça déménage un max.
Vous n’avez là qu’un aperçu des acteurs de l’intrigue concoctée par l’auteur. Bien d’autres intervenants viendront mettre leur grain de sel et se retrouveront embringués au cœur d’un tumulte dont personne ne semble détenir les clés.
Personne ? Sauf Denis Zott bien entendu. Et c’est là où sa narration est exceptionnelle, il nous pousse à imaginer les différentes étapes d’un scénario… avant de les démolir une à une ; jusqu’à la révélation du pot aux roses qui prendra tout le monde de court et redistribuera les cartes.
Il y aurait tant de choses à dire que c’est le genre de chronique qu’il est frustrant d’écrire. on voudrait revenir sur tel ou tel point, sur le rôle de tel ou tel personnage, mais on se contraint au silence pour ne pas risquer d’en dire trop. Franchement spoiler une telle intrigue serait vraiment une énorme maladresse (ou un gros coup de pute… tout dépend es intentions du coupable).
Les personnages sont l’aboutissement d’un véritable travail d’orfèvre, ce qui contribuera largement à entraîner – intentionnellement – le lecteur sur de mauvaises pistes (je vous donne un indice, chez les Renard, il n’y a rien ni personne à sauver… à part ce brave Césaire).
L’intrigue est menée à la perfection. J’ai commencé ce bouquin dimanche en début d’après-midi (juste pour me faire une idée, sachant que je lis peu le weekend) ; dimanche en début de soirée je l’avais terminé. Impossible de le lâcher une fois embarqué dans le tourbillon du récit, et il suffit de quelques pages pour se faire happer.
Avec Maudite Denis Zott avait déjà placé la barre haut, il franchit un palier supplémentaire avec ce nouvel opus. Verdict sans appel, carton plein assuré !
Mon résumé :
Ce roman, c'était comme une évidence, je savais qu'il fallait que je le lise. Je connais déjà l'auteur car j'avais lu ses romans précédents et notamment Maudite ! que j'avais adoré. Quand j'ai vu le roman sur NetGalley, j'ai su que je ne pourrais pas l'ignorer et je l'ai tout de suite sollicité.
Un petit truand qui a besoin de fric potes dans un kidnapping qui prend rapidement une étrange allure. Tout se passe pourtant bien avant d'arriver dans un coin d'Occitanie où la livraison doit s'effectuer. Un accident de voiture et quelques morts plus tard la situation a dérapé, et une traque s'organise.Notre dame blanche va s'enfuir. Cette dame blanche est tellement intrigante, on se pose des tonnes de questions autour d'elle. Qui est-elle vraiment ? Où va-t-elle nous emmener ? de quoi est-elle capable ? Bref, le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle nous fait cogiter et pas qu'un peu.
La Dame Blanche va se retrouver dans un petit village du Tarn et croiser la route de Césaire, larbin de Germaine, vieille femme revêche et cruelle. L’auteur a un talent certain pour planter une ambiance, pour plonger son lecteur dans une atmosphère lourde et piquante, rendant la lecture anxiogène et déroutante.
Certaines scènes sont difficiles, les violences physiques et psychologiques s’avèrent terribles, le lecteur est secoué, il en arrive à ressentir la peur et la souffrance, au même titre que le personnage concerné.
Mon avis :
Un nouveau roman qi vaux le detour. Un roma qui va a 100 à l'heure avec ces courses poursuite de la dame blanche qui decemment cache bien des choses, avec d'un coté les truands et de l'autre la gendarmerie qui est aussi à sa recherche.
Ce roman, c’était comme une évidence, je savais qu’il fallait que je le lise. Déjà, parce que j’avais plusieurs fois entendu parler de son auteur en bien et, du coup, j’étais curieuse de découvrir sa plume, mais aussi parce que cette couverture et ce résumé ne pouvaient que m’intriguer tout comme la dame blanche. Finalement, j’ai eu raison de craquer, car ce roman est un coup de cœur.
On commence avec le prologue et une partie de cartes un peu spéciale et mouvementée et on se demande qui sont ces différents personnages. Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce prologue est une très bonne mise en bouche pour nous donner envie d’aller plus loin.
Ensuite, nous allons nous retrouver avec Johnny qui va récupérer ses acolytes pour un enlèvement qui va immédiatement nous mettre dans l’ambiance. Rien ne va se passer comme prévu et nos protagonistes vont trouver ce kidnapping beaucoup trop facile, mais ils vont en profiter. Déjà, j’ai beaucoup aimé ce début où tout est la faveur des kidnappeurs, c’est vraiment bien joué de la part de l’auteur et ça promet une intrigue très originale. D’ailleurs, niveau originalité de l’intrigue, on est loin de s’imaginer où l’auteur va nous emmener à ce moment-là.
Nos personnages vont avoir un accident et notre dame blanche va s’enfuir. Cette dame blanche est tellement intrigante, on se pose des tonnes de questions autour d’elle. Qui est-elle vraiment ? Où va-t-elle nous emmener ? De quoi est-elle capable ? Bref, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle nous fait cogiter et pas qu’un peu.
Suite à cet accident, notre héroïne va disparaitre et tout le monde va être sur les dents pour la retrouver, tant elle est mystérieuse et semble dangereuse. On va se retrouver embarqués dans une véritable course-poursuite du début à la fin et on va ressentir un énorme sentiment d’oppression. A aucun moment, il ne sera question d’ennui, tant la plume de l’auteur est entrainante, mais aussi rythmée par les courts chapitres.
Les révélations et les rebondissements vont s’enchainer à tel point qu’on va être plongé dans l’histoire avec les différents protagonistes, que ce soit les flics, la dame blanche ou encore les autres personnages qu’on va rencontrer tout au long de cette course-poursuite. J’ai ressenti beaucoup de pitié et de tristesse pour Césaire, mais je ne vous en dirai pas plus, je vous laisserai le découvrir, car ce serait vous gâcher la découverte de ce roman. Toujours est-il que je peux vous dire que j’ai trouvé sa famille complètement détestable et que ces personnages ont apporté énormément de piment à l’histoire.
Ce roman m’a tenue en haleine jusqu’à la dernière page, sans que je ne la voie arriver et les révélations concernant la dame blanche m’ont vraiment scotchée. L’auteur a réussi avec brio à nous faire imaginer tellement de choses et, au final, on se rend compte qu’on était bien loin de la vérité.
Bref, si vous aimez les intrigues vraiment originales et qui vous tiendront en haleine du début à la fin, foncez. Ce roman est fait pour vous. Pour le découvrir, n’hésitez pas à vous jeter en librairie
Un petit garçon est renversé par une voiture en pleine campagne. Avant de sombrer dans le coma, il a cette phrase : "C'est la Dame blanche qui..."
Cette fameuse Dame, c'est une jeune fille blonde, frêle, au visage caché sous un masque de geisha. Elle vient d'échapper à un kidnapping. Enlevée dans une chambre de "fillette" dans un manoir, on la devine vite issue d'une famille très riche. Et puissante et désireuse de la retrouver, bien sûr.
Elle est aussi recherchée par les gendarmes qui ont sur les bras un accident de voiture avec des victimes à identifier, par le grand-père de l'enfant renversé (la bien nommée famille Baron, des notables locaux), par aussi une famille d'affreux, sales et méchants (les bien nommés Renard) qui flairent le moyen facile de s'enrichir, là. Un équivalent campagnard de la famille Groseille au verbe fleuri et aux pratiques peu louables.
La Dame blanche devient bête traquée, pourtant on la soupçonne aussi d'être une fugitive volontaire: qui est ce Gari qu'elle cherche à rejoindre?
Sur des centaines de pages on la voit se cacher, errer, faire des rencontres qui la bouleverseront aussi, comme celle avec Césaire, drôle de personnage que celui-là. Il est l'esclave, au sens propre du terme, de la matriarche des Renard (qui apparemment pratiquerait aussi la zoophilie, avec la bienveillance de ses fils bas de plafond). C'est là que notre largesse d'esprit s'arrête, une limite est franchie par le récit. La fiction, censée se passer de nos jours, en France, est poussée trop loin pour nous, il n'en était peut-être pas besoin. On était suffisamment touché par le sort de la jeune fille traquée. On s'interrogeait suffisamment : pourquoi est-elle pucée ? qui est Gari, bon sang ? quel traitement doit-elle absolument prendre ?
On retiendra l'exercice de style autour de la "chasse à l'homme", à la tension bien soutenue, mais on en oubliera les outrances.
Le prologue de « La dame blanche » nous plante des personnages que l’on sent hauts en couleurs. Césaire, Germaine, la mère Louise, Léon, où diable ai-je atterri ? J’avais l’impression d’assister à un sketch des Bodin’s. Bon, je vous rassure, c’était juste une perception fugace, car nous sommes bien en présence d’un thriller, et très vite, le récit devient plus sombre, avec un enlèvement hors norme. Là aussi, Denis nous sert une belle brochette de personnages déjantés…Johnny, dont le but est d’offrir enfin une vie décente à sa femme et à son fils, le Chauve, le Rital, le Tunisien, l’enlèvement qu’ils organisent va tourner au fiasco.
La Dame Blanche va se retrouver dans un petit village du Tarn et croiser la route de Césaire, larbin de Germaine, vieille femme revêche et cruelle. L’auteur a un talent certain pour planter une ambiance, pour plonger son lecteur dans une atmosphère lourde et piquante, rendant la lecture anxiogène et déroutante.
Car dans ce petit village rural, l’environnement est propice à la précarité et à l’isolement, favorisant le repli sur soi de ses habitants. Les secrets sont bien enfouis, l’omerta règne, un silence de plomb nourri par la honte, la peur ou l’ignorance en est la règle. L’arrivée de la Dame Blanche va bousculer tout ce petit monde. D’ailleurs, qui est-elle ? D’où vient-elle ?
« Pourquoi fallait-il toujours que sa mauvaise conscience s’interpose et revienne le tourmenter ? Pourquoi fallait-il toujours que le curé intervienne et gâche les meilleurs moments ? »
La plume de Denis est fluide, très agréable et suggestive. La force de ce roman réside dans l’ambiance, et surtout dans ses personnages. Ils sont façonnés avec minutie et précision. Leur psychologie est fouillée, le lecteur s’imprègne de leurs peurs et espoirs. Autre point fort : la thématique, diablement originale ; ce n’est pas souvent qu’un thriller se déroule au fin fond de la campagne secrète. Du renouveau, voilà qui fait du bien ! Il y en a marre des thrillers tous formatés pareils, vous ne trouvez pas ?
Le récit est assez addictif, je n’ai pas vu défiler les 440 pages. J’étais vraiment curieuse de découvrir qui était la Dame Blanche, mais aussi de voir comment allaient évoluer nos personnages, surtout Césaire, que j’ai beaucoup apprécié. Il m’a fait de la peine, pauvre souffre-douleur incapable de se révolter.
Certaines scènes sont difficiles, les violences physiques et psychologiques s’avèrent terribles, le lecteur est secoué, il en arrive à ressentir la peur et la souffrance, au même titre que le personnage concerné.
Dans ce roman enlevé et surprenant, rien n’est laissé au hasard, chaque détail compte, les révélations ménagent un suspense qui bientôt devient insoutenable (addictif, vous vous souvenez ? Je l’ai mentionné plus haut). Et la fin est à la hauteur du reste. Bien amenée, les tenants et les aboutissants scotchent le lecteur, qui prie, espère, croit en un avenir plus paisible pour ces personnages qu’il a pris sous son aile et avec qui il a fait un bon bout de chemin.
Un mot sur la couverture, qui est absolument magnifique, elle donne le ton d’entrée.
Lecteurs avides de nouveauté, cherchant à sortir des sentiers battus et rebattus dans le monde du thriller, allez-y, partez faire la connaissance de « La dame blanche ».
« Le lit à baldaquin, le tapis en alpaga, les meubles en bois exotique, les étagères envahies d’une légion de poupées qui formaient une effrayante armée miniature. Et ce détail glaçant : sur les visages de porcelaine, les poupées affichaient la même expression que la jeune femme blonde qui les regardait, assise au milieu du lit. Un sourire triste aux lèvres rouges sur un visage tout blanc. Un visage peint de geisha. »
Je remercie les Éditions Hugo Poche et NetGalley pour cette lecture.
#ladameblanche #DenisZott #HugoPoche #NetGalleyFrance
Une critique à découvrir sur Babelio : La dame blanche de Denis Zott
https://www.babelio.com/livres/-/1382859/critiques/2908347
Avec Denis Zott les histoires ne sont jamais aussi simples qu’elles pourraient sembler au premier abord.
Une partie de cartes qui dérape furieusement. Un enlèvement qui se termine mal. Un ange désincarné sous influence . Un maire omnipotent qui se rêve roi de son domaine en pays d’Oc. Un esclave soumis dans une maison de dégénérés. De vieilles histoires de famille qui ressurgissent sans crier gare. Un trafic juteux. Des voyous malchanceux. Le monde de la ruralité en version western .Le malheur dans le pré et quelques cadavres pour “ égayer ” le propos.
Toutes ces pièces et ses personnages vont progressivement s’emboîter pour nous donner ce thriller protéiforme gourmand en rebondissements.
Eh oui ! Vous l’aurez compris, ce petit monde ne vit pas vraiment dans une osmose des plus bienveillantes. On a beau être à la campagne, le principe de Nietzsche est respecté : gare aux faibles, gare à ceux qui ne prévoient pas le coup d’après ou qui sous-estiment leurs adversaires.
Certains trouveront sans doute certains portraits quelque peu caricaturaux mais ils en sont encore plus savoureux dans leur méchanceté gratuite ou dans leur docilité aveugle, surtout quand arrive le grand “retournement ”...
Denis Zott nous propose un récit audacieux qui mélange les genres et met ses protagonistes dans des situations totalement improbables.
Le rythme de l’écriture quant à lui s’accentue progressivement avec la tension de l’atmosphère et l’explosivité des événements qui se succèdent.
Certains personnages attirent un peu plus notre attention que les autres comme Césaire , ce métisse malmené par la famille Renard et dont on attend avec impatience le moment de sa rébellion , le capitaine Roll, l’obligé de Baron soumis à la volonté de son cousin et de sa hiérarchie ou la fameuse Dame blanche, victime et cobaye à la fois.
Trois êtres persécutés. Trois âmes en perdition , qui vont se réincarner dans ce chaos ambiant.
Une belle image qui perce dans toute cette noirceur ambiante, dans cet univers vicié et corrompu.
Un roman qui tient la route sur la durée comme ses promesses d’un thriller haletant et sans fausses notes.
Attention, lecture assez explosive !
D'abord, on se demande où on arrive...on est plongés d'emblée au fond du Tarn, dans un tournoi de belotes avec des personnages plus que caricaturaux....Petit mouvement de recul, mais pour mieux prendre son élan pour plonger totalement dans ce bouquin !
Dans l'Yonne, l'enlèvement d'une jeune femme étrange au visage de Geisha se passe idéalement....Mais c'est sur le lieu de livraison, dans le Tarn justement que les choses vont déraper...La Dame blanche s'échappe et on ne sait plus à qui elle peut se fier...le maire tout puissant du village souhaite l'attraper par dessus tout et lance une vraie chasse à l'homme....malheur si elle arrive sur les terres des parias du village, les Renard, une vielle femme détestable qui a un esclave qu'elle appelle Chien, et ses 3 fils, plus mauvais les uns que les autres....Au milieu de tout ça la gendarmerie essaye elle aussi de faire son travail et de retrouver la Dame Blanche, mais c'est plus compliqué que prévu....
Comme je le disais plus haut, après avoir passé la petite appréhension de cet univers un peu loufoque, on entre totalement dans le suspens et ce livre de vient un page turner...
Je conseille vivement donc !
Avec ce roman, je découvre la plume de Denis Zott qui avait déjà publié il y a quelques années Maudite! chez Hugo Thriller !
L’enlèvement d’une femme a été programmé et doit être effectué par Johnny et les quelques autres hommes qui se rendent sur place avec lui.
Le problème c’est que rien ne va se passer comme prévu puisqu’un accident va avoir lieu avant que la femme soit « livrée » à l’endroit prévu. Voilà tout le monde échoué à Puech Begoù dans le Tarn et évidemment la victime va en profiter pour s’échapper.
Vont donc s’en suivre des jours de recherches et beaucoup de gens vont être mobilisés, habitants comme forces de police ce qui va rendre la situation encore plus compliquée.
La famille Renard a un comportement détestable mais tout au long de ma lecture je voulais savoir ce qui allait leur arriver. Le personnage de Césaire fait de la peine vu la façon dont il est traité.
Beaucoup de secrets et de questions pour lesquels on va devoir attendre la fin du livre pour connaître les réponses et c’est ce qui a rendu la lecture addictive !
Un roman mystérieux à l’ambiance sombre qui saura vous plaire si vous êtes des adeptes du genre ! Une belle découverte pour moi ! ♥
J'avais lu Maudite et je n'avais pas été totalement convaincue par ce roman auquel j'avais trouvé de nombreuses qualités mais aussi un gros défaut. Malgré tout je voulais lire un autre roman de l'auteur et NetGalley m'en a donné l'occasion.
Alors qu'en est-il de celui ci? Et bien je n'ai pas du tout le même ressenti que pour le précédent roman lu de l'auteur. Dans cette histoire j'ai tout aimé, l'intrigue, les personnages, le suspense, les lieux et l'épilogue.
Qui est donc cette dame blanche que tout le monde recherche?
Un enlèvement qui tourne mal, la jeune femme enlevée qui disparait, un domestique qui va lui venir en aide le tout dans une atmosphère lourde et glauque. Comment tout ceci va-t-il finir et pourquoi cet enlèvement?
L'intrigue est très bien menée, le rythme vraiment prenant et l'épilogue vraiment intéressant.
Ce que j'ai également beaucoup aimé c'est l'ambiguïté du personnage de la Dame Blanche. Fragile ou monstre? Victime ou bien bourreau? On oscille entre deux sentiments tout le long du roman et c'est très fort.
Par contre certains personnages sont vraiment affreux et là aucun doute ne peut être permis.
En résumé une histoire vraiment passionnante qui vaut vraiment le coup et un auteur à découvrir si vous ne le connaissez pas.
#LaDameblanche #NetGalleyFrance
C’est un roman que je qualifierai d’ovni tant il m’a ballotée d’un extrême à l’autre en permanence.
Du côté positif, on monte très très haut avec le style de l’auteur, les tournures de phrases, le vocabulaire, les descriptions nous transportent direct dans l’histoire et dans une époque, la nôtre pourtant, que j’ai eu du mal à cerner tant l’ambiance prend le dessus. L’un des perso au début dit : mais c’est le Far West ici! C’est exactement l’impression que j’ai eu : la saleté, la poussière qui colle u palais et la chaleur sèche qui irrite la peau. Les personnages sont abîmés, rugueux, le rythme est percutant avec des chapitres courts, vifs qui ne nous laisse aucune pause, juste la sensation d’être à bout de souffle.
Sensation accrue par un trop plein de vulgarité et de violence gratuite. Mon petit cœur aurait aimé qu’un personnage sorte du lit et bien en apaiser ma tension et celle de Césaire perso issu central que l fameuse et mystérieuse dame blanche. Mais Denis Zott ne nous épargne pas. (Songe un peu si Césaire découvre cette vie atroce que tu lui as inventé ???)
évidemment ce petit bémol est très personnel. J’ai appris à gérer mon hypersensibilité en mettant des barrières et j’en ai construit plein entre les personnages et moi afin que mon cœur survive à cette lecture.
Si tu n’es pas comme moi, alors fonce parce que l’intrigue seule, terriblement bien construite, vaut le détour. Et le style (oui je sais je me répète) c’est la petite cerise sur milk-shake.
La dame blanche, fragile, fugitive et menacée.
Mais est-elle si fragile que ça ?
Un kidnapping, un accident de voiture où une dame blanche est vue.
Un roman prenant, incroyable.
L'histoire de la dame blanche est impressionnante, sans oublier les histoires des autres personnages.
Un épilogue auquel on ne s'attend pas forcément.
Je le conseille fortement
#netgalleyfrance #ladameblanche #hugothriller #polar #thrilleraddict #bookstagram #bookaddict #lecturefinie
Puech Begoù - Tarn - Quand un groupe de bras cassés est commandité pour enlever une jeune femme, surnommée La Dame Blanche, dans un étrange manoir, il faut s'attendre à des dégâts!
Parvenue à s'échapper, elle est traquée aussi bien par les chasseurs, que par Baron, le maire et la famille Renard ennemie jurée de celui-ci.
C'est un récit surprenant à plus d'un titre que nous offre Denis Zott.
Premièrement d'un point de vue temporel tant les moeurs de ce village reculé semblent obsolètes.
Ensuite à cause des personnages dont certains sont carrément déjantés. Imaginez une famille de dégénérés, les Renard, aux faux airs de Ma Dalton et ses fils qui ont un esclave, Césaire, qu'ils appellent Chien!
Dans une atmosphère poisseuse, tout ce beau monde fait du hameau une vraie poudrière qui ne tardera pas à exploser.
Vous allez me dire que cette histoire est des plus bizarres....Mais c'est sans compter le talent de l'auteur qui nous y plonge à pieds joints. Je ne dévoilerai pas le pourquoi du comment, mais je peux vous certifier qu'il a l'esprit vraiment tordu (c'est un compliment).
Je ne peux donc que vous conseiller ce roman à l'ambiance très sombre où la cruauté suinte à chaque page.
Un western dans le Tarn.
Un bel embrouillamini.
Une histoire où je me suis laissée porter par les événements.
Des rebondissements, des secrets, de la violence et pas qu'un peu (âmes sensibles s'abstenir).
Le kidnapping d'une jeune femme, sa fuite et les recherches qui vont s'en suivre sèmeront le chaos.
Des personnages parfois caricaturaux mais en accord avec ce thriller sombre et sordide.
Honneur aux dames : d'abord Élise, la dame Blanche, qui est tout sauf ce à quoi l'on s'attend.
Ensuite, la mère Renard, vieille femme lubrique et perverse ainsi que ses fils, des brutes bêtes et méchantes.
Puis Césaire (le chien), souffre-douleur et bonne-à-tout faire des Renard. Incapable de méchanceté, il va se laisser emporter par ce vent de violence.
Je m'en arrête là pour les protagonistes mais sachez qu'il y en a beaucoup d'autres certains très infâmes d'aures moins.
Tout un tas de circonstances et de manigances vont les rassembler pour le pire.
Un livre où Denis Zott s'est bien amusé à mon avis et c'est contagieux. C'est un thriller avec une fin surprenante ( je ne m'y attendais pas !). Une excellente découverte.
Et voilà, à votre tour de tomber sous le charme de la dame Blanche.
Merci aux éditions Hugo Thriller
#La dame blanche#NetGalleyFrance
Elle pourrait être une légende rustique car depuis le moyen-âge, la dame blanche alimente les représentations tantôt maléfiques, tantôt féériques. Elle pourrait être le fruit de l’imagination collective, pourtant, celle qui tente de sauver sa peau après son enlèvement, après sans doute avoir été prise en otage par un loser, livrable à une famille atypique, dirigée par une réplique de Ma Dalton, aura bien des épreuves à surmonter, des souffrances à endurer, tout comme ceux qui tentent de l’aider.
Le chien, Césaire, m’a fait penser à celui Des nœuds d’acier de Sandrine Colette. Il est le plus humain des personnages de ce roman, victime d’une humiliation constante à la limite du soutenable.
Cette chronique rurale du bout du Tarn révèle les convoitises, les corruptions, l’esprit de vengeance de cette micro-société où le ressentiment est dogme, au milieu de nulle part.
C’est le premier roman que je lis de cet auteur et j’ai été frappée par la sobriété du ton et la justesse des sentiments. On tremble, on sourit des situations improbables (oui car difficile de rire face à autant d’ignominie et d’injustice), on lit avec plaisir cette saga villageoise qui n’a que faire de l’empathie, de la bienveillance et de la justice ou alors très peu ! Un roman d’ambiance glauque et pesante, parfois un peu chargée en hémoglobine. Un très bon moment de lecture, loin des problèmes de société et des contraintes sanitaires. Une pause en quelque sorte !
Coucou mes amis lecteurs me voici avec un nouveau livre ; La dame blanche de Denis Zott des éditions Hugo Publishing .
Je remercie NetGalley ainsi que les éditions Hugo Publishing de m'avoir permis de lire ce thriller d'un auteur que j'apprécie , j'ai lu ces deux premiers livres qui sont magnifique .
Mais pour moi il y a un petit bémol dans celui ci , un début de livre un peu lent par rapport aux deux autres livres , on rentrer directement dans le vif du sujet , ici il faut attendre plusieurs pages pour arriver dans l'histoire , puis il y a trop de descriptions.
L'écriture est fluide , facile a lire , cela ne ma pas empêcher de lire ce thriller jusqu'au bout .
C'est vrai que j'ai eu du mal a saisir le sens de la dame blanche dans cette histoire , puis le pauvre Césaire qui est martyriser par toute la famille Renard , mais surtout par la vieille Germaine qui était un tyran , le traiter de chien ,le rabaisser alors qu'il faisait pas mal de choses dans cette ferme , puis les frères qui sont des personnes a faire le mal puisque dans se village tout le monde les crain ,il n'est bon de les côtoyer ( peut être cache t'il un secret ) ?
C'est a la suite d'un accident qu'apparait la dame blanche qui la fait ressemblera une gaicha et puis chaque mois elle a besoin d'un traitement donc serait elle dangereuse sans qu'elle le sache ?
Le maire Baron du village qui fait tout auprès du colonel et chef de son neveu le capitaine Roll de la gendarmerie qu'il rabaisse a chaque fois devant tous ses hommes, puis il veut a tout prix etre le chef des recherches sur la dame blanche .
Vont il arriver a retrouver cette dame blanche ?
Je suis désoler de ne pas avoir aimer ce thriller de mon auteur préférer , j'espère que le prochain livre m'apportera le bonheur de lire comme les deux premiers .
vraiment je vous le recommande , vous passerez un agréable moment de lecture .
Ma note : 3/5
Merci à Netgalley et à Hugo Poche pour m'avoir permis de lire ce superbe roman.
Johnny prépare le "coup du siècle" qui lui permettra de partir en Thailande avec sa femme Jess et son fils.
Il s'est entouré de ses anciens copains de prison et ont décidés, sur les ordres d'un commanditaire, de kidnapper une jeune femme.
Quand ils arrivent au manoir, tout parait trop facile, pas de vigile, les portes sont ouvertes, les chiens enfermés dans le chenil et la victime, une femme blonde au visage maquillé comme une geisha semble tout à fait prête à les suivre.
Les choses se compliquent quand en chemin ils renversent un petit garçon, Thomas, le petit fils du maire.
Profitant de l'accident et de la mort de ses kidnappeurs, le femme blanche s'enfuit...
Le maire est très en colère et très triste, son petit fils est dans le coma,
Commence alors une fouille minutieuse de tout le village, dont le maire prend le commandement à l'insu de la gendarmerie, outrepassant ses droits
Tout le village est écumé, sauf la ferme des Renard, famille assez atypique, Germaine règne en maitresse sur ses fils jumeaux, son fils ainé qui sort de prison et sur Césaire, leur esclave... le seul qui sait où se trouve la dame blanche...
Thriller dur et sombre où l'ennui n'a pas sa place tellement le suspens est présent à chaque page.
Les personnages sont détestables à souhait, corrompus, trafiquants.... Seul Césaire avec sa vie difficile et les mauvais traitement dont il est victime est touchant et m'a émue.
C'est le premier livre de Denis Zott que je lis mais sûrement pas le dernier.
J'ai adoré et je vous le conseille.
Un roman étonnant avec une intrigue dont les ramifications se font petit à petit sans parler des personnages aussi énigmatiques qu'hors-normes. L'histoire s'ouvre sur une partie de cartes qui dérape avec des personnages qui s'insultent méchamment. Puis arrive l'enlèvement d'une jeune fille étrange qui porte un masque de geisha. Mais celui-ci ne se passe pas comme prévu et se termine en bain de sang avec la fuite de la mystérieuse dame blanche qui n'est peut-être pas aussi innocente. Va-t-elle croiser le chemin de Césaire, cet esclave moderne, maltraité par une mère et ses fils aussi brutaux que malsains ? Ces protagonistes vont se retrouver dans un village du Tarn, isolé où les cadavres s'amoncellent. L'intrigue tient la route et les rebondissements sont nombreux. J'ai trouvé les personnages un brin caricaturaux même s'ils un profil original, les situations parfois improbables et la violence trop présente mais l'auteur sait tenir le lecteur en haleine.
Un livre qui s'est lu très facilement et qui est plein de rebondissements.
Commençons par les perso, j'ai été malmenée autant que le personnage de Césaire. Cet esclave d'une famille, traité pire qu'un chien (c'est d'ailleurs son surnom ...) m'a fait énormément de peine.
Les scènes durant lesquelles il est en position de soumission sont celles qui m'ont le plus captivée tant j'ai été en immersion.
J'ai vraiment aimé ce personnage qui est vraiment le plus intéressant de l'histoire selon moi.
La mère Renard et sa famille, parfois trop caricatural, mais ça fonctionne ! Odieuse et lubrique, ils apportent une ambiance malaisante des qu'ils sont nommés.
Notre Dame blanche est elle intrigante mais je n'ai pas réussit à m'y attacher comme je l'aurai espérée. Néanmoins il faut lire le livre jusqu'à la fin pour bien comprendre tout son perso.
L'intrigue est prenante quoique parfois un peu longuette.
On a très vite envie de savoir le pourquoi du comment mais l'auteur nous fait miroiter.
C'est seulement à l'issue du roman que tout prend sens. Alors patience 😉
L'écriture est fluide, mais les scènes de violences sont vraiment difficiles ⚠️ âmes sensibles !
Alors attention si vous vous lancez dans ce roman, violence et sadisme sont au rdv
Rocambolesque comme j'aime, jubilatoire, émouvant.
Après la chute du cafard, puis maudite , voici enfin La dame blanche , le nouveau roman de Denis zott.
C'est d'abord un roman qui va à 100 a l'heure , très rythmè donc , bien écrit, captivant , et surprenant .
Un enlèvement qui se passe mal, des familles qui se font la guerre, des voyous malchanceux, un gendarme paumé, une famille de tarés comme jamais ou en tout cas très rarement vu ( et notamment la mère ... d'une méchanceté indescriptible) , un maire omniprésent et tout puissant, tout se mélange ,des personnages vraiment hauts en couleurs, certaines vraiment détestables, d'autres qui cachent bien leurs jeux , des héros aux grands coeurs ,et surtout un beau mystère avec ce personnage de la dame blanche
Alors oui certains traits des personnages sont un peu forcés et caricaturaux les situations parfois rocambolesques , mais qu'est ce que j'ai pris plaisir à suivre les aventures de cette fameuse Dame blanche, pour qui on tremble , le mystère autour d'elle est très prenant -et son explication réussie-et Cesaire , traité comme un esclave , appelé chien et traité comme tel ( et encore la plupart des chiens sont beaucoup mieux traités et considérés - ces passages sur la façon dont est il est traité par ces "maîtres "sont extrêmement violents , et a la limite supportable , vraiment malaisants , je les ai trouvés d'ailleurs un peu répétitif ) , tellement naïf , généreux , qui ça se mettre en danger pour aider sa belle
A noter que c'est parfois assez sanglant , même très sanglant j,l'auteur s'est lâché , et moi j'adore
J'ai trouvé le dénouement réussi.
On ressort de cette lecture essouflée , et effectivement comme la quatrième de couverture l'indique, il est difficile, voire impossible, d'oublier cette dame blanche, mais aussi Césaire puisque pour moi l'un ne va pas sans l'autre
#netgalleyfrance #hugothriller
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