Robustia
par Betty Piccioli
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Date de parution 25 août 2022 | Archivage 12 sept. 2022
Scrineo | Imaginaire
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Résumé
Découvrez Robustia, une cité où la force guerrière détermine votre rang social !
« Au sein de la cité des combattants, le véritable ennemi se cache parfois en nous. »
Robustia. Une cité où chaque métal correspond à une position sociale. Où le combat peut vous élever dans la société.
Biann, conseillère d’Electrum, vient tout juste d’acquérir ce statut prestigieux en s’illustrant lors d’un tournoi. Mais la maladie qui la ronge à chaque cycle pourrait bien mettre un terme à sa carrière…
Kalel, conseiller d’Airain, se ne se remet pas d’avoir perdu sa position d’Electrum. Aveuglé par la rage, il est prêt à tout pour récupérer son pouvoir, jusqu’à se perdre lui-même…
Aequo, ancien habitant du royaume de Chromatopia, a entamé un long voyage loin de sa cité pour fuir ses démons. Jusqu’au jour où ses pas le conduisent face aux remparts de Robustia…
Ils ne le savent pas encore, mais leur rencontre pourrait bien sceller le sort des deux cités à jamais.
Découvrez Robustia, une cité où la force guerrière détermine votre rang social !
« Au sein de la cité des combattants, le véritable ennemi se cache parfois en nous. »
Robustia. Une cité où chaque...
Formats disponibles
FORMAT | GF cartonné |
ISBN | 9782381670461 |
PRIX | 18,90 € (EUR) |
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Chroniques partagées sur la page du titre
(spoilers légers sur le roman)
C'est avec beaucoup de curiosité que j'ai lu Robustia : pour suivre l'évolution de l'écriture de Betty Piccioli, et découvrir comment elle a choisi de gérer certains enjeux restés en suspens à la fin de Chromatopia. J'ai globalement apprécié ma lecture malgré quelques aspects sur lesquels je garde une petite réserve.
Je trouve difficile de marketer ce roman comme un tome indépendant, alors qu'il fait directement suite à Chromatopia. Je ne pense pas qu'un nouveau lecteur soit perdu, car les événements et tous les personnages importants du tome 1 sont bien introduits, mais il y a un manque de fluidité à leur apparition, qui me paraît inévitable : trop de choses, secondaires dans Robustia, à rappeler/intégrer à l'histoire en trop peu de temps.
Le départ précipité d'Aequo à la fin de Chromatopia m'avait laissée sur ma faim et j'ai beaucoup apprécié que cette problématique de la fuite soit abordée avec profondeur et justesse dans Robustia. De même, je me suis beaucoup attachée à Biann et Kalel, les deux autres narrateurs. C'est une idée bonne et rafraîchissante d'avoir un antagoniste en narrateur, et ça pose aussi une structure narrative radicalement différente de Chromatopia, où les trois protagonistes évoluaient vers un but commun.
Je suis un peu restée sur ma faim quant à l'exploration de Robustia. Mais c'était plus facile à mettre en place dans Chromatopia, où les narrateurs appartenaient tous à des classes sociales radicalement différentes. Ici, même Aequo, considéré comme un étranger, loge chez Biann, et donc dans le quartier des Electrum. Et on finit par quitter Robustia pour retourner à Chromatopia, là où techniquement, tout a commencé. ça a renforcé ma sensation de lire un tome 2 plutôt qu'une histoire parallèle.
A souligner, comme d'habitude avec Betty Piccioli, la diversité des personnages et des minorités qu'ils représentent ; y compris médicale, puisque Biann souffre d'endométriose et que cette affliction a des conséquences directes sur l'histoire. Avec un concept comme celui de Robustia, même si la cité s'en défend et que nous ne sommes pas dupes, c'était important de traiter le sujet du validisme.
Le dénouement du roman m'a complètement emportée : la situation a priori insoluble dans laquelle se retrouve Chromatopia est réglée de façon spectaculaire, après un déroulé de combats et de dialogues qui fait monter le suspense. On s'interroge forcément sur la façon dont l'après sera géré par les autres cités du continent, tellement grand est le chaos provoqué par Chromatopia et Robustia, mais le roman s'arrête à temps.
J'ai adoré Robustia, que j'ai trouvé bien plus passionnant que Chromotopia.
Découvrir ce nouvel univers si différent du premier est vraiment une excellente idée.
J'ai eu du mal à le lâcher, les protagonistes sont très intéressants (notamment Kalel !)
Bref, je recommande !
Bonjour,
Ce titre était en PDF, je n'ai donc pas pu le lire sur ma liseuse !
Merci pour l'opportunité !
j’ai trouvé Robustia plus accompli et plus mature que Chromatopia. Ce roman m’a davantage convaincue et je ne regrette pas ma lecture. J’ai passé un bon moment avec Aequo et Biann, même si on se doute de la fin. Tout l’enjeu politique est vraiment intéressant à suivre, et c’est plaisant de voir les conséquences de la révolution sur les autres cités. J’ai détesté le personnage de Kalel, et c’est mon point noir de l’histoire, car il aurait mérité d’être moins noir. C’est toutefois une bonne lecture, que je vous conseille. J’ai aimé voir l’univers s’étendre, et j’espère qu’on aura une suite.
Biann vient tout juste d’obtenir un statut prestigieux dans la cité Robustia : elle est désormais Electrum, après avoir gagné un combat qui lui attirera quelques ennemis… Elle prend son rôle de conseillère dans ce monde régi par un système de castes (représentées par des métaux) avec sérieux, évidemment, mais aussi vigilance, puisqu’une maladie la ronge et la terrasse à chaque cycle, or les Electrum doivent avoir une santé irréprochable…. Quand une crise politique met à mal la relation entre Robustia et Chromatopia, cité qui les fournit pour nourrir leur population, elle se retrouve face à des dilemmes brûlants.
Avec sa plume addictive et sa narration maîtrisée, Betty Piccioli signe un roman d’aventure complexe et marquant. La maladie de Biann et son statut dans la cité, son accession à ce rôle et ses décisions politiques, en font un personnage féministe et attachant. Les personnages plus sombres ne sont pas cantonner aux rôles du méchant : ils sont bien plus nuancés que ça, et attirent la compassion du lecteur. A noter que si ce roman est dans le prolongement de l’univers dystopique que l’autrice a créé dans « Chromatopia », il peut se lire indépendamment… même si on se rue sur ce volume ensuite tellement c’était bien !
Une histoire passionnante, où tout le monde, même les individus au statut social le plus bas, peuvent parvenir au pouvoir.
Biann est une héroïne forte, déterminée et courageuse, elle tente de faire son maximum pour protéger sa cité, au détriment de sa propre santé.
Une histoire qui vous plonge à travers les complots pour atteindre le pouvoir à tout prix, une amitié naissante et la force de tout un peuple pour repousser l'envahisseur.
Alors, pour commencer sachez que je n'ai pas lu le premier tome. La présentation sur netgalley et la couverture n'indiquez pas qu'il s'agissait d'une suite. Mais ça ne m'a en rien empêcher de me plonger dans cet univers dystopique, juste donner encore plus envie de lire le premier tome pour bien tout comprendre. Mais parlons de ce tome, nous arrivons dans une ville au nom de Robustia, il y règne une tension combattive très intense et le système en place et très stricte sur pas mal de sujet.
Nous commençons le deuxième tome en entrant tout de suite dans le vif du sujet avec une jeune femme qui combat pour avoir une meilleure vie. Rapidement, nous comprenons les implications de son nouveau statut et qu'elle vient de se faire un ennemi redoutable en la personne de Kalel qu'elle a battu à la loyale. Petit à petit nous allons en apprendre plus sur elle et son peuple. Mais également, un aspect plus politique avec le perdant de ce combat.
Le monde est régit par des règles simple mais efficace depuis des siècles. Mais l'absence de chariot apportant des marchandises essentiels à Robustia va faire augmenter la colère de ce peuple. Avec l'arrivé d'Aequo va modifier bien des plans et ouvrir les yeux sur ce monde qui nous entoure. Il a fuit sa ville de Chromatopia et a entamé un long voyage. Sa rencontre avec Biann va le propulser sur le devant de la scène et le conduire sur un nouveau chemin semé d'embûches mais qui pourrait bien lui apporter des réponses.
La plume de l'autrice nous offre un univers construit et structuré. J'avoue que n'ayant pas lu le premier tome j'avais peur d'être perdu mais bien au contraire, elle a su me prendre métaphoriquement parlant par la main, pour me plonger dans ce second tome. J'ai hâte de pouvoir me procurer le premier tome et ainsi lire tranquillement toute la série. Je trouve que la couverture est magnifique et représente bien l'univers. Nous avons aussi une carte nous permettant de bien nous repérer dans cette sombre cité de pouvoir. Une série que je vous conseille de découvrir !
J’ai tout d’abord été séduite par la couverture de ce roman. Les couleurs sont magnifiques et la couverture invite au voyage. Quand j’ai vu que c’était un livre de Betty Piccioli, je n’ai pas hésité un instant.
J’ai trouvé l’univers vraiment intéressant et bien construit, il change des multiples YA que nous avons l’habitude de croiser.
Ce roman est plus abouti et construit que le premier de l’autrice. L’écriture est toujours fluide et agréable à lire.
L’enjeu politique est vraiment intéressant à suivre, ce qui m’a surpris, je suis peu friande de ce type d’intrigue en général.
J’ai aussi adoré déteste Kalel !
Merci beaucoup pour cette lecture !
Nouvelle cité, nouvelle donne ou presque. Encore une fois, Betty a bati un univers très interessant, une cité où la place politique se gagne aux combats.
Notre héroïne Biann a construit sa vie autour de ce but , atteindre la plus haute place malheureusement la maladie qui la ronge pourrait lui être défavorable. En effet, à Robustia les malades, les infirmes, les vieillards sont tous parqués dans une zone de la ville.
Kalel, lui vient de perdre sa place au profit de la jeune Biann. La rage et la jalousie le rongent et vont guidés ses actes.
Et enfin, on retrouve Aequo. Après les événements de Chromatopia, il a décidé de changer d’air pour faire le point mais ses pas vont le forcer à affronter ce qu’il a voulu quitté.
Encore une fois, Betty a construit des personnages complexes, intéressants, avec des failles. On s’adapte à eux, on aime les détester pour certains et on est ravi de les retrouver pour d’autres.
Le rythme de l’écriture est rapide et on ressent parfaitement l’urgence de la situation, la rapidité des événements. Betty ne nous laisse aucun répit.
Une « suite » réussie de « Chromatopia ». Betty nous plonge de nouveau dans son univers complexe et original. Je serai ravie de retrouver ces personnages dans un troisième tome pousser par la curiosité de lire les suites des aventures d’Aequo, de Biann, de Kalel et les autres mais aussi les modifications que subissent les deux cités que sont Robustia et Chromatopia.
Après avoir bien apprécié ma lecture de « Chromatopia », j’étais plutôt surprise de voir débarquer cette suite mais très curieuse de voir ce qu’elle donnait. Aussi lorsque je suis tombée sur ce titre sur le site de NetGalley, je n’ai pas hésité une seule seconde avant de postuler.
L’histoire nous transporte dans une autre ville nommé Robustia. Une ville une nouvelle fois organisée sous forme de caste basé sur un système oligarchique. Là nous allons faire la connaissance de.Biann, une jeune femme qui vient d’accéder à l’un des poste les plus haut de la ville, poste qu’elle a pris à Kalel tout deux ne des idées politiques très arrêté et voudrons agir our le le mieux pour leur ville. Mais le plus gros problème à ce jour est la disparition totale des convois envoyé d’ordinaire par Chromatopia… dont nous ormes au courant de la situation politique du fait du précédent tome. C’est à ce moment-là qu’Aequo, de l’ex-nuance jaune, débarque dans cette ville. Lorsqu’il comprend la situation il devra bien vite faire des choix qui changeront une fois de plus la face d’une cité.
J’ai été une fois de plus transportée par l’intrigue. On va ainsi découvrir une nouvelle cité avec une organisation bien différente de celle que nous connaissions via Chromatopia. Ici, c’est une ville oligarchique où les castes sont organisé u mérite, selon des tournois qui ont lieu chaque année. Une monde bien différent de ce à quoi nous étions habitués. Et pour cause, la ville est cèrée par une forêt-enclos où vivent les Potwors, des créatures sauvages qui terrorisaient les habitants du continent avant qu’un pacte soit conclu entre les différentes cité-royaumes… un pacte qui va être mis à mal à cause de la chute de Chromatopia. L’histoire va suivre en alternance Kalel, Biann et Æquo qui vont se retrouver au coeur de ce récit et dont les décisions auront de grands impacts. J’ai aimé voyager un peu plus dans le continent. C’était d’ailleurs le plus gros reproche que j’avais fait au premier livre : le côté vase clot. Ici n voyage un peu plus et surtout on ne restera pas enfermé non stop dans cette nouvelle cité.
J’ai trouvé ce récit plus riche en action que le précédent. Il faut dire que Robustia est une nation plus guerrière, ce qui aide pas mal de ce côté là. Cela change quelque peu de l’opus précédent où ça se jouais davantage façon complot. Malgré tout l’auteur a su apporter une touche de douceur avec une petite romance pour notre cher Æquo. Pas surprenante en soi, mais je dois avouer que j’avais un peu de mal avec cette dernière.Pour moi, elle sortait un peu de derrière les fagots et manquait de crédibilité, mêle si au final, la conclusion de cette romance fonctionnait plutôt bien.
La conclusion du roman est assez satisfaisante en soi. On nous offre un fin plutôt correcte, mais qui reste malgré tout ouverte. Je ne sais pas si l’auteur a encore prévu une suite (pourquoi pas dans une autre cité avec de tout nouveaux personnages), mais il y a quand même une ouverture qui le permettrait.
Côté personnage, j’ai pris beaucoup de plaisir à retrouver tout ceux que j’avais apprécié dans Chromatopia et surtout à découvrir ce qu’ils sont devenus une fois leur histoire terminé. On sent qu’il ont té bien impacté par les événements et qu’il le sont encore.
Dans cet opus, nous allons principalement suivre Æquo, Biann et Kalel.
Le premier a été très touché par ce qu’il s’est passé à Chromatopia. Il faut dire qu’entre certaines révélations et autres pertes il a été bien marqué. Aussi, on comprend qu’il ne veut pas revivre ça, même si il ne connaît pas ces personnes depuis longtemps.
Biann est une jeune femme déterminée à s’élever le plus qu’elle peut et elle y parviendra à force de travail. Mais elle cache aussi un secret qui lui pèse et qui est incompatible avec ses nouvelles fonction. En effet, la jeune femme se retrouve pliée de douleur à chacune de ses menstrues (je sais pas pourquoi mais cela. Me fait énormément pensé à de l’endométriose), un sujet peu abordé dans les romans de ce genre.
Kalel de son côté est une jeune homme qui ne vit que pour le pouvoir et l’approbation familiale. s’il a déjà le premier (et que cela se mis à mal par l’évolution de la situation), il aura plus de mal à obtenir le second… ses parents le faisant vivre dans l’ombre de son défunt frère. J’ai beaucoup apprécié de voir l’évolution du jeune homme, loin de ce à quoi je m’étais attendue.
Les personnages secondaires m’ont également bien plu. chacun apportant sa pierre à l’édifice.Et j’ai notamment apprécié le fait que l’on en rencontre de nouveaux tout en retrouvant ceux que j’ai connu et bien aimé dans le précédent opus.
Enfin, le style d’écriture de l’auteur m’a une fois de plus bien plu. Simple et fluide, il se lit très facilement. Mais le gros point fort réside dans l’alternance des points de vue. En effet, d’un chapitre à l’auteur le narrateur change et l’on suit tout à tour un membre de notre trio de héros.
EN BREF
Une suite dans la même veine que le premier opus, avec laquelle j’ai passé un très bon moment. On voyage un peu plus dans ce tome tout en découvrant ce qu’il s’est passé à Chromatopia une fois la dernière page tournée. Un univers qui s’étoffe mais qui nous permet d’ouvrir la fin de la série une fois de plus. Des personnages que j’ai aimé suivre/retrouvé. Un style d’écriture toujours aussi rythmé.
Robustia est une cité de combattants, combattants qui ont le devoir de protéger, en échange de produits divers et variés, les autres cités du royaume, comme Chromatopia - qui a été au centre d'un premier tome - des potwors, monstrueuses créatures clôturées et chassées par les robustiens comme gage de leur force et de leur place dans la société.
Car Robustia est une cité à la hiérarchie très stricte, dans laquelle ne se mêlent pas toutes les castes, et dont l'enjeu ultime, pour un combattant, est de devenir conseiller d'Electrum en remportant un combat contre l'un des conseillers de cette caste. Et c'est justement, au tout début du récit, ce que parvient à faire Biann, jeune femme à l'agilité légendaire, outsider au caractère bien trempé, en remportant la victoire contre Kalel, jeune homme ombrageux, issu d'une lignée de conseillers d'Electrum, à la défaite particulièrement amère. Mais ce n'est qu'un bouleversement parmi d'autres pour la cité, qui ne reçoit plus les livraisons habituelles de Chromatopia, et qui commence à s'en inquiéter...
Roman qui fait le choix d'alterner les points de vue entre trois personnages, Biann et Kalel, ainsi qu'Aequo, protagoniste du premier tome, parti de Chromatopia, et qui rejoindra par hasard la cité des deux premiers, Robustia est d'une écriture fluide, très agréable à lire, avec une intrigue qui se tient du début à la fin. Il nous dépeint un univers complet et riche, sans être complexe, dans lequel l'on retrouve finalement tous les travers de nos sociétés, principalement quand les enjeux de pouvoir deviennent centraux, et nous offre des personnages intéressants, pas d'une grande originalité, mais attachants dans leur humanité assez justement décrite.
Seul gros reproche que je pourrais faire : c'est que j'aurais préféré commencer par le premier tome, finalement, car nous apprenons tout de même pas mal d'informations capitales qui ont eu lieu précédemment dans ce deuxième tome, pour en permettre la compréhension, ce que je conçois, mais je ne trouve pas que chacun puisse vraiment se lire indépendamment. Tant pis, je vais lire le tome 1 à rebours, puisque j'ai suffisamment apprécié celui-ci pour avoir envie de me replonger dans cet univers.
Je remercie les éditions ScriNeo et NetGalley de m'en avoir permis la découverte.
Ce roman est la suite de Chromatopia. Je vous conseille donc de lire le tome précédent mis sinon pas de panique, l'auteure donne les éléments essentiels afin que le lecteur ne soit pas trop perdu. Robustia est une cité où chaque métal correspond à une position sociale. Mais vous pouvez vous élever grace à des combats. C'est le cas de Biann qui devient conseillère d’Electrum grâce à sa victoire ! Mais ses menstrues sont tellement douloureuses que cela pourrait devenir un handicap. Surtout que Kalel, conseiller d’Airain, ne se remet pas d'voir été battu. Aveuglé par la rage, il est prêt à tout pour récupérer son pouvoir. Aequo, ancien habitant du royaume de Chromatopia, a entamé un long voyage afin de se rendre à Robustia. Ces trois personnages vont devoir s'entraider afin de sauver des cités en danger. Le schéma est plutôt classique et bien mené. Mais j'ai trouvé qu'il manquait des descriptions de la cité afin d'avoir une véritable plongée dans cet univers. C'est également le cas pour les personnages dont les caractères ne sont pas assez approfondis. J'ai apprécié l'idée des menstrues douloureuses mais encore une fois, cela n'est pas assez développé. Le style est fluide mais parfois plat avec des répétitions qui m'ont posé problème. Cependant, il se lit rapidement et la fin, bien qu'attendue, est efficace.
J'ai bien fait d'abandonner ma lecture la dernière fois pour la reprendre il y a quelques jours, car j'ai vraiment passé un bon moment, si j'avais tenu l'abandon, j'aurai loupé une chouette histoire !
Les personnages sont là force de ce livre, ils sont très bien développés et ont leurs caractères, ils sont attachants, nianian, énervants il y en a pour tout les goûts, on les reconnaît très facilement.
Je conseille de commencer par Chromatopia le t1 comme ça tu pourras mieux comprendre, mieux apprécier. Même si dans ce t2 il y a beaucoup de rappel qui font que même si tu as lu le t1 il y a quelque temps, tu n'auras pas de mal à te souvenir.
Une écriture simple, des mots simples, des phrases, un peu toutes faites parfois, mais vu le public ciblé ça ne me choque vraiment pas, c'est même ce qui m'a permis de pouvoir rentrer dans l'histoire facilement.
J'ai aimé, j'ai eu l'impression de participer à ce livre, pour la guerre, j'ai écouté les arguments de chacun et j'ai eu aussi envie de leurs dires de se réveiller, j'avais l'impression de faire partie de l'équipe !
Moi qui n'ai pas l'habitude de ce genre de lecture, je suis vite perdue, là, c'est accessible, je m'y retrouvais assez facilement.
Une lecture de l'imaginaire qui traite aussi des problèmes actuels !
N'oubliez pas que c'est mon avis et je vous invite à vous faire le votre, restez curieux(ses). 🌸
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