Même en novembre
par Fanny La Roza
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Date de parution 1 juil. 2022 | Archivage 20 sept. 2022
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Résumé
« Je suis née le Jour des morts. Ma mère est morte le jour de mon anniversaire.
Sans doute certains goûteraient l’ironie là où je vomis la douleur. »
Après le décès de sa mère, Paulette perd tous ses repères. Cette épouse et mère dévouée a l’impression de n’exister qu’à travers les soins qu’elle prodigue à ses proches. Alors qu’elle sombre peu à peu dans la dépression, la quinquagénaire relate ses ressentis et ses doutes par le biais de lettres adressées à ses enfants. Quelle est sa place en tant que femme ? Peut-elle encore guérir la petite fille blessée en elle ?
En quête de réponses, Paulette s’envole pour le Sri Lanka dans l’espoir de se reconnecter avec elle-même, loin de sa routine. Dans ce pays qui met tous ses sens en éveil, parviendra-t-elle à surmonter ses peurs et à se reconstruire ?
Dans ce roman épistolaire bouleversant, Fanny La Roza explore les douloureuses étapes du deuil et illustre la puissance de l’écriture exutoire.
« Je suis née le Jour des morts. Ma mère est morte le jour de mon anniversaire.
Sans doute certains goûteraient l’ironie là où je vomis la douleur. »
Après le décès de sa mère, Paulette perd tous...
Note de l'éditeur
"J'ai découvert ce roman que j'ai lu d'une traite. J'ai aimé autant le choix précis des mots que la découverte du chemin intérieur de l'héroïne." 5/5
"La transformation de l'héroïne est forte, pleine d'espoir, elle rend heureux ! Le récit du voyage au Sri Lanka est puissant, on sent les odeurs, on visualise les paysages, le vert des champs de thé et le bleu de la mer. J'ai adoré !" 5/5
Les lecteurs en parlent le mieux :
"J'ai découvert ce roman que j'ai lu d'une traite. J'ai aimé autant le choix précis des mots que la découverte du chemin intérieur de...
Formats disponibles
FORMAT | Ebook |
ISBN | 9791040507635 |
PRIX | 4,99 € (EUR) |
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Chroniques partagées sur la page du titre
Voici mon retour de lecture sur Même en novembre de Fanny La Roza.
Après le décès de sa mère, Paulette perd tous ses repères. Cette épouse et mère dévouée a l’impression de n’exister qu’à travers les soins qu’elle prodigue à ses proches.
Alors qu’elle sombre peu à peu dans la dépression, la quinquagénaire relate ses ressentis et ses doutes par le biais de lettres adressées à ses enfants. Quelle est sa place en tant que femme ?
Peut-elle encore guérir la petite fille blessée en elle ?
Même en novembre est un roman épistolaire en trois parties, qui parle du deuil, de la résilience.
Paulette est née le Jour des morts. Sa mère est morte le jour de mon anniversaire. Ironique, n'est ce pas ? Paulette, elle, en souffre d'autant plus, de cette ironie du sort.
J'ai aimé les lettres qui nous permettent de découvrir Paulette, son ressenti, comment elle vit ce deuil. C'est touchant.
En quête de réponses, notre héroïne fait le choix de s’envoler pour le Sri Lanka dans l’espoir de se reconnecter avec elle-même, loin de sa routine. Cette troisième partie est très parlante, le voyage est magnifique. Avec des paysages à couper le souffle, des descriptions qui nous font voyager en compagnie Paulette. Elle va devoir partir, pour mieux revenir. Sa transformation est forte, pleine d'espoir.
Même en novembre est un roman sympathique avec lequel j'ai passé un bon moment de lecture.
Ma note : 4 étoiles.
Le commentaire de Carole :
Paulette nous raconte son histoire sous forme de lettres qu’elle écrit à ses enfants. Sa vie ne semble pas si chaotique, mais son mal intérieur est énorme. Ayant deux sœurs, elle est celle du centre, 11 mois la distancient de la plus jeune, dès cet instant, elle a l’impression d’être oublié. Elle rencontre l’homme de sa vie et fonde une famille composée d’un garçon et d’une fille. Paulette surprotège ses enfants, elle s’occupe d’eux à merveille au point où elle brime un peu leur autonomie. Elle est intense, elle voit à tout et sans s’en rendre compte, elle écarte son mari des tâches quotidiennes, elle ne fait confiance qu’à elle-même, au point d’étouffer son entourage. Un événement va se produire qui va forcer les enfants et son mari à se vider le cœur. Paulette a ce besoin de se sentir utile pour être bien. La descente aux enfers se produit lorsqu'elle découvre sa mère morte, tout comme elle avait fait avec ses enfants, elle s’occupait de sa mère s’en laisser de place aux autres. Elle a maintenant l’impression d'être inutile aux yeux de la société. Une grave dépression s'ensuit, son calvaire est long, bien que l’auteure ait une belle plume, j’ai trouvé pénible le parcours sombre du personnage. Elle va toucher le fond, ce qui va l’amener à se prendre en main. L’histoire est bien dirigée, on y croit au point où je me suis demandé si c’était un fait vécu. Je dois avouer qu’à chaque fois que je refermais le livre, j’étais sans mots et abattu par tant de lourdeur. Ce n’est pas un récit qui porte à la détente, mais la morale derrière l’histoire est éloquente.