Nous supportons mal les contradictions. Pourquoi ne pas les réunir grâce à la Philomathique, cet état émotionnel ou physique de bien-être qui résulte du mariage de deux choses contraires sans aucune intervention de l'homme ?

La Philomathique peut être palpable comme la boue, un assemblage entre l'eau et la terre, deux éléments naturels aux propriétés physiques contraires. La boue n'est pas sale du tout car elle possède des vertus curatives comme les masques que l'on applique sur la peau de notre corps et de notre visage.

La Philomathique se manifeste aussi dans le mental par la contre-intuition dans de nombreux sports, par exemple dans les sports alpins où il vaut mieux attaquer la montagne avant que la montagne ne nous attaque. Malgré l'intuition de la peur face à la vitesse, la contre-intuition à attaquer la montagne devient alors la clef de la maîtrise de ces sports.

Visible ou invisible, dans l'enfance ou à l'âge adulte, dans la musique, le sport, le cinéma, les langues ou encore dans nos relations personnelles et professionnelles, la Philomathique nous tend chaque jour la main pour éveiller nos sens jusqu'à maturation de notre perception.

Avec la Philomathique, notre vie ne se limite pas à la seule expérimentation de vie que nous connaissons tous ! Enrichissons-en notre chemin de vie !

L'auteur :
"Né au Brésil en 1981, j'ai grandi en France en région parisienne. Dès l’âge de 6 ans, plusieurs troubles psychiatriques sévères apparaissent chez moi. Double diplômé ingénieur franco-allemand, je vis depuis 10 ans en Allemagne.

L'adverbe "plusieurs" me caractérise bien car si plusieurs cultures, plusieurs langues parlées, plusieurs métiers dans plusieurs niches socioprofessionnelles, plusieurs instruments de musique et plusieurs sports façonnent ma personne , ce sont cependant plusieurs troubles psychologiques et plusieurs blocages qui s’imposent fréquemment à moi.

Sensible et doué, je m'adapte facilement partout où je passe en accumulant une multitude d’expériences de vie aussi différentes les unes que les autres jusqu’au jour où la maladie psychique me rattrape à nouveau très sévèrement. Je décide cette fois de me faire soigner sérieusement, ce qui me conduit à une réflexion profonde et m’amène à écrire « La philomathique », encouragé par ma psychologue."