Un espoir à l'autre bout du monde

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Date de parution 16 mai 2024 | Archivage 19 mai 2024

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Résumé

Juillet 1944. Lorsque Helena apprend que la Nouvelle-Zélande est prête à accueillir des orphelins venant d’Europe, elle espère faire partie des heureux élus. Rêve de courte durée quand on l’informe qu’à 17 ans elle est trop âgée…
À la suite d’un imbroglio, Helena réussit pourtant à prendre place à bord d’un navire en partance pour le Pays du nuage blanc. Mais c’est une jeune femme dévastée qui débarque à Wellington.
Au même moment, James McKenzie s’apprête à quitter Kiward Station, la ferme dirigée un siècle plus tôt par son aïeule venue d’Angleterre. Contre la volonté de ses parents, le jeune aviateur tient à se battre sur le Vieux Continent pour ses idéaux de liberté.
C’est alors que les chemins de James et d’Helena se croisent.
Le destin leur réserverait-il un avenir commun ?

Juillet 1944. Lorsque Helena apprend que la Nouvelle-Zélande est prête à accueillir des orphelins venant d’Europe, elle espère faire partie des heureux élus. Rêve de courte durée quand on l’informe...


Ils recommandent !

« Quel plaisir de faire la connaissance des descendants d’Hélène et Gwyneira, les héroïnes du Pays du nuage blanc, qui firent leur cette terre du bout du monde ! » Weltbild

« Quel plaisir de faire la connaissance des descendants d’Hélène et Gwyneira, les héroïnes du Pays du nuage blanc, qui firent leur cette terre du bout du monde ! » Weltbild


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Avec ce roman, Sarah Lark clôt avec brio sa saga débutée avec Le Pays du nuage blanc, son best-seller international.

Avec ce roman, Sarah Lark clôt avec brio sa saga débutée avec Le Pays du nuage blanc, son best-seller international.


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782809849042
PRIX 22,00 € (EUR)
PAGES 320

Disponible sur NetGalley

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Chroniques partagées sur la page du titre

C’est un roman historique avec une bonne dose de romance que nous propose l’autrice allemande Sarah Lark. Cette dernière a écrit de nombreux romans se déroulant en Nouvelle Zélande, mais c’est le premier que je découvre. On devine que les précédents romans concernent le passé de la famille qui va accueillir notre héroïne, mais il n’est pas nécessaire de les avoir lu pour profiter de cette intrigue.

On va suivre le parcours d’Helena, jeune orpheline polonaise qui se retrouve dans un camp de réfugiés en Iran en 1944, après une déportation en Sibérie… De multiples péripéties vont la conduire jusqu’en Nouvelle Zélande ; le pays a en effet accueilli 700 orphelins polonais à la fin de la guerre. Et là, Helena va rencontrer James, sa famille et la culture maorie…

Ce roman ne comporte pas de grandes surprises, ni de retournements de situations inattendues. Il met néanmoins en lumière un épisode peu connu de l’histoire de la seconde guerre mondiale (je n’avais jamais entendu parler du sort des réfugiés polonais envoyés dans l’hémisphère sud) et présente la culture maorie ; les relations entre les autochtones et les descendants des colons se révèlent évidemment difficiles, mais l’autrice décrit le début d’un sursaut chez certain.e.s maori.e.s

En bref, c’est une lecture plutôt légère, mais qui étoffe néanmoins la culture générale.

Je remercie vivement les éditions de l’Archipel et NetGalley pour cette découverte.

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Voilà un livre agréable à emporter en vacances !
Même si le décor est historique, je classerais ce roman dans les romances.
L'originalité de ce récit est le contexte historique : la déportation en 1940 des Polonais de l'est de la Pologne par les Soviétiques vers la Sibérie puis, après la rupture du pacte germano-soviétique, le départ de prisonniers de Sibérie vers l'Iran puis celui d'orphelins polonais vers la Nouvelle Zélande.
J'ai trouvé sur Internet plusieurs sites assez bien documentés sur le sujet.
L'autrice a veillé à respecter la réalité historique ; les coutumes et meurs de l'époque dans les sociétés décrites sont également très cohérentes.
Cette histoire sentimentale (qui finit bien !) est agréable à lire, sans réelle surprise.
mais on passe un bon moment !
Merci à NetGalley et aux éditions L'Archipel de m'avoir permis de le lire.
Cette critique est sur Babelio.

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Juillet 1944. Lorsque Helena apprend que la Nouvelle-Zélande est prête à accueillir des orphelins venant d’Europe, elle espère faire partie des heureux élus. Rêve de courte durée quand on l’informe qu’à 17 ans elle est trop âgée…

Une romance historique, nous plonge dans la déportation des Polonais vers la Sibérie qui seront ensuite parachuté vers l'Iran et les orphelins mis à l'adoption en Nouvelle-Zelande. C'est une partie peu connue de cette période trouble.

Hélèna et James sont très attachants. Perdus dans ce conflit, ils vont se lier. C'est une belle histoire sentimentale que l'autrice nous propose ici sur fond de roman historique. On ressent les émotions qu'ils vivent et les pages défilent rapidement. J'ai beaucoup aimé découvrir leur histoire sous la plume fluide malgré le manque de surprise. Un plaisir pour les fans de romance.

Bref, un roman parfait pour l'été qui arrive.

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Merci à NetGalley et aux éditions de l’Archipel pour ce livre.

Un roman historique traduit de l’allemand et qui raconte l’histoire d’Helena, une orpheline polonaise qui a subi la déportation dans un camp en Sibérie après avoir été forcée de quitter la Pologne avec sa soeur Luzyna puis se retrouve à Teheran en Iran, dans un refuge. Quand une opportunité pour une vie meilleure se présente, elle la saisit, même si pour cela il lui faut user de subterfuges et trahir sa soeur par la même occasion.

Ce roman est assez sombre et aborde des thèmes délicats donc il pourrait heurter la sensibilité de quelques uns mais il vaut vraiment le coup de le lire.

Helena est un personnage attendrissant, qui a subi et vécu beaucoup d’horreurs dans sa vie et qui en plus se retrouve en charge de sa petite soeur qui est immature et difficile. Elle qui a toujours fait passer les autres avant elle et dont la vie a été tragédie sur tragédie a enfin une chance de se construire un avenir et même si cela semble difficile et qu’elle rencontre plusieurs obstacles sur son chemin.
James, lui est un personnage courageux, valeureux qui n’a pas hésité à se sacrifier pour sa patrie et pour les personnes qui lui sont chers.

J’adore le fait que l’on apprenne beaucoup de choses grâce à ce livre, notamment sur la culture des maoris, leurs coutumes et leur langue car une partie de l’histoire se déroule à Pahiatua, mais aussi sur une partie de la guerre peu connue concernant les réfugiés polonais en Iran. L’autrice a fait des recherches approfondies et cela se voit.


J’ai beaucoup apprécié ma lecture!

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J’affectionne particulièrement cette auteure qui nous emporte avec talent dans ses contrées lointaines.
Si vous aimez les romans d’aventures avec un contexte historique documenté et dépaysant, n’hésitez pas. Souvent classé dans les romans d’évasion, celle-ci est réelle. Cet épisode peut se lire indépendamment des précédents tomes.
Courage, empathie, entraide et humanité sont les valeurs incarnées par les personnages. Tous forcent notre admiration comme Helena, l’héroïne, qui a vécu l’enfer des camps soviétiques avant de se retrouver dans un camp en Iran. Les autres personnages, en Nouvelle Zélande, sont forts, courageux et lumineux. Mention spéciale pour l’immersion dans la culture maori, peuple qui a une place fondamentale dans l’histoire. Sarah Lark démontre une fois de plus sa connaissance de ce peuple et son empathie transparaît dans chaque page.
Une belle romance au cœur de la seconde guerre mondiale, au milieu de cette nature indomptée de l’île du Sud de la Nouvelle Zélande.
À la fois instructif et dépaysant, une lecture fluide et passionnante, parfaite pour l’été, que je vous recommande.

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Deux soeurs orphelines survivent dans un camp de réfugiés en Iran pendant le deuxième guerre mondiale.
Sur un quiproquo une des deux réussi à partir en Nouvelle Zélande commencer une nouvelle vie. Mais que ce soit sur le bateau qui l'emmène ou bien une fois sur place rien n'est comme elle le pensait. Le poids du passé est très lourd et les conséquences de certains de ses actes difficiles à assumer au quotidien.
La découverte de la ferme et de la culture Maori va permettre à l'héroïne de s'en sortir mais pour combien de temps...

Un très beau roman, dépaysant qui aborde un sujet peu médiatisé, celui des réfugiés polonais en Iran et en Nouvelle Zélande.

J'ai beaucoup aimé ce roman

merci beaucoup

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Helena est réfugiée, avec sa soeur, dans un camp iranien hébergeant des survivants de l’exil polonais. Ayant perdu le reste de sa famille, elle se sent investie de la tâche de prendre soin de sa cadette, jeune fille fantasque et inconstante.

Bien décidée à l’envoyer en Nouvelle-Zélande, où elle sera protégée et prise en charge, elle se retrouve, par un concours de circonstance, à décider de prendre sa place dans le voyage.

Pourtant, celui-ci est un cauchemar pour elle, et elle arrive à Wellington dans une situation dramatique.

Elle croisera la route de personnes qui l’aideront à se reconstruire, et qui, l’air de rien, finiront par représenter pour elle une véritable famille.

J’ai retrouvé avec tellement de plaisir l’univers de Sarah Lark. Kiward Station a traversé les décennies depuis la première fois que j’y ai posé les pieds, en compagnie de Gwyneira, dans le premier tome de cette saga familiale.

Dans ce nouvel opus, nous sommes quatre générations plus tard, en pleine période de Second Guerre Mondiale. Et bien que la Nouvelle-Zélande soit relativement éloignée de ces conflits, on y sent tout de même l’impact.

La population maorie a également beaucoup évolué depuis le premier contact que j’en avais fait. Bien plus occidentalisés, ils ont perdu, pour certains, toutes leurs traditions, leur culture, et tout ce qui faisait d’eux des peuples si proches de la nature.

L’autrice s’appuie sur une réalité historique hautement documentée. Un fait que j’aime au possible. Ca doit être pour cela, d’ailleurs, que j’aime autant ses romans. On y sent une structure historique solide, plantant un décor magnifique au point de vue de la nature, et interpellant en ce qui concerne la colonisation.

Evidemment, nous avons aussi toute la partie familiale et une romance qui ont leur place dans ce roman. Un joli mélange comme je les aime. Des personnages entiers, au fort caractère, et dotés d’énormes qualités intéressantes.

Je ne me lasse pas de la plume de Sarah Lark, et c’est chaque fois un vrai plaisir de découvrir qu’un nouveau titre sort en librairie! Je pense d’ailleurs que nous sommes là en présence du premier tome d’un nouveau cycle néo-zélandais, qui me ravira à coup sûr!

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Une très belle histoire en temps de guerre.

Helena est une jeune orpheline polonaise, qui a été déporté avec sa sœur en Sibérie puis en Iran.
Elle apprend que la Nouvelle Zélande va accueillir de jeunes orphelins mais malheureusement elle déchantera vite en apprenant qu’elle est trop âgé à 17 ans…
Malgré tout elle arrivera dans ce nouveau pays où elle fera la connaissance de James et sa famille ainsi que la culture Maori.

C’est le 4eme tome d’une saga mais dont on a pas besoin d’avoir lu les précédent.
Une chouette lecture

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"Un espoir à l'autre bout du monde" est une romance historique qui se passe de 1944 à 1946 en Nouvelle Zélande !
Même s'il peut-être lu séparément, Sarah Lark clôt avec ce tome sa saga débutée avec "Le Pays du nuage blanc", son best-seller international.

A conseiller à ceux qui aiment les romans de Tamara McKinley ou Colleen McCullough !

Juillet 1944. Lorsque Helena apprend que la Nouvelle-Zélande est prête à accueillir des orphelins venant d’Europe, elle espère faire partie des heureux élus. Rêve de courte durée quand on l’informe qu’à 17 ans elle est trop âgée…

À la suite d’un imbroglio, Helena réussit pourtant à prendre place à bord d’un navire en partance pour le Pays du nuage blanc. Mais c’est une jeune femme dévastée qui débarque à Wellington.

Au même moment, James McKenzie s’apprête à quitter Kiward Station, la ferme dirigée un siècle plus tôt par son aïeule venue d’Angleterre. Contre la volonté de ses parents, le jeune aviateur tient à se battre sur le Vieux Continent pour ses idéaux de liberté.

C’est alors que les chemins de James et d’Helena se croisent.
Le destin leur réserverait-il un avenir commun ?

Je remercie les @Editionsdelarchipel et @NetGalleyFrance de m'avoir permis de découvrir ce roman dépaysant.

La structure narrative progressive et cohérente est composée de quatre parties intitulées : trahison ; l'issue ; mirages et lumière. La protagoniste Helena quitte le camp de réfugiés à Téhéran pour aller dans celui de Pahiatua en Nouvelle Zélande. Elle pense que cela lui permettra de prendre contact avec son oncle exilé. Mais, suite à de nombreuses déconvenues, elle fait la rencontre de James McKenzie qui va changer son avenir...

L'intrigue est prenante grâce à de nombreux rebondissements qui permettent de captiver le lecteur jusqu'au dénouement plein d'espoir. J'ai trouvé ce roman historique très bien documenté sur la culture maorie et j'ai pris beaucoup de plaisir à la découvrir de manière distrayante. Le contenu historique inspiré de faits réels et la description des paysages naturels sublimes se mêlent habilement à l'histoire d'amour naissant qui se dévoile peu à peu entre Helene et James, deux personnages très attachants par leur humanité.

Le style fluide et la plume addictive rendent la lecture très agréable et je continuerai à suivre cette autrice sans hésiter.

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Voici mon retour de lecture sur Un espoir à l'autre bout du monde de Sarah Lark.
Juillet 1944. Lorsque Helena apprend que la Nouvelle-Zélande est prête à accueillir des orphelins venant d’Europe, elle espère faire partie des heureux élus. Rêve de courte durée quand on l’informe qu’à 17 ans elle est trop âgée…
À la suite d’un imbroglio, Helena réussit pourtant à prendre place à bord d’un navire en partance pour le Pays du nuage blanc. Mais c’est une jeune femme dévastée qui débarque à Wellington.
Au même moment, James McKenzie s’apprête à quitter Kiward Station, la ferme dirigée un siècle plus tôt par son aïeule venue d’Angleterre. Contre la volonté de ses parents, le jeune aviateur tient à se battre sur le Vieux Continent pour ses idéaux de liberté.
C’est alors que les chemins de James et d’Helena se croisent.
Le destin leur réserverait-il un avenir commun ?
Un espoir à l'autre bout du monde est un roman qui clos la série Le Pays du nuage blanc, ce que j'ignorais en le commençant.
Heureusement, chaque tome peut se lire sans avoir lu les précédents. Je n'ai eu aucun problème de compréhension.
Helena est une jeune fille de 18 ans qui est forte. Elle a vécu des moments difficiles en cette seconde guerre mondiale. Elle se retrouve avec sa sœur Luzyna au Liban car en tant que polonaise, elle a été accueillit dans un camp. Certains des plus jeunes vont avoir la possiblité de partir en Nouvelle-Zélande mais Helena est trop âgée. Le hasard fait qu'elle va partir malgré tout. Malheureusement, elle arrive là bas cassée suite à un chantage. Comme elle a pris l'identité de sa sœur, sa vie devient compliquée malgré elle.. Mais, à Wellington, elle va essayer de rebondir malgré tout.
On suit également James, dont le hasard fait rencontrer Helena. Lui aussi m'a plu.
Tous les deux sont des personnages très intéressants dont j'ai pris plaisir à suivre les aventures.
Celles-ci sont rythmées, il se passe toujours quelque chose et il est impossible de s'ennuyer,
J'ai apprécié que la seconde guerre mondiale soit présente en fond et le fait de me retrouver en Nouvelle-Zélande,
Un espoir à l'autre bout du monde est un bon roman que je vous invite à découvrir et note cinq étoiles.

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Je savais dès la première page que j'allais apprécier ma lecture : le contexte de la Seconde Guerre Mondiale, les personnages attachants de Luzyna et Helena (d'autres qu'on aurait envie de gifler...) et j'ai bien voyage grâce a des descriptions précises ce qui a permis de me représenter les décors traversés par la jeune femme...
Nous faisons la connaissance dans un camp de réfugiés proches de Téhéran de Luzyna et Helena, deux sœurs orphelines. Helena très assidue, sage et Luzyna, cherchant plus à échapper à ses corvées, pour retrouver son amoureux.
Un jour on leur apprend que certains enfants pourraient êtres éligibles pour un départ en Nouvelle-Zélande, un pays qu'on leur présente comme un eldorado, surtout pour les jeunes femmes...
Luzyna pourra faire partie du voyage...
Mais tout ne va pas se passer comme prévu!

Hormis une seconde partie de roman où j'ai trouvé plus de longueurs, et une présence un peu trop poussé de la culture Mahori (peut-être voulu par l'auteure?) On découvre avec la jeune femme, à travers ses yeux, la vie...ce voyage est formateur pour elle, elle va devoir choisir elle-même les personnes de qui s'entourer. Et sur ce point elle aura relativement de la chance..
Un très beau voyage au côté de Luzyna /Helena

Un grand merci encore à Netgalley et Editions de l'archipel pour la découverte de ce roman

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Voici donc, une dizaine d'années plus tard, le quatrième tome d'une série qui semblait bien terminée au 3e.
J'ai beaucoup aimé ce volume, comme les premiers, (et nettement plus que le 3e).
Quand j'ai enfin réussi à comprendre l'ordre des tomes, et bien qu'il soit précisé qu'on peut lire celui-ci tout à fait indépendamment, j'ai choisi de lire / relire les précédents (plus de 2100 pages en une douzaine de jours) et je ne le regrette vraiment pas.
Si vous commencez par celui-ci, je ne crois pas que vous arriviez à démêler vraiment les origines de la famille (déjà moi en les ayant lu d'affilée, je m'emmêle encore un peu 😄 ; il faut dire que ma mémoire n'est pas top !) mais ça ne gêne pas pour suivre ce roman.
Cependant, j'ai trouvé vraiment agréable de les lire dans l'ordre. Quand certains protagonistes expliquent à Helena leurs ascendances, j'ai l'impression de me retrouver un peu au sein de cette famille.
Donc, c'est au choix, lire ce roman pour lui-même, ou comme la suite d'une longue histoire passionnante.

J'ai été surprise au début, on est bien loin du Royaume-Uni comme de la Nouvelle-Zélande : Iran, un camp de réfugiés polonais auparavant exilés en Sibérie. (Un épisode historique dont je n'avais jamais entendu parler)
Mais très vite, un espoir d'une nouvelle vie en Nouvelle-Zélande. Et à peine débarqués, Miranda les accueille. Une inconnue pour nous, mais quand elle parle de son frère Galahad, on replonge dans la famille de Miss Gwyn !

Helena rêve de ce pays, mais elle y arrive avec tant de remords, et de passif qu'il va lui être difficile d'aller de l'avant.
On va avec plaisir retrouver non seulement la branche de la famille descendant de Fleurette, Lilian l'autrice, et ses enfants, mais aussi repartir pour Kiward Station, mon endroit préféré !
Si Miss Gwyn les a quittés à un âge canonique, son souvenir est encore très présent. Et un nouveau James McKenzie, fils de Gloria et Jack, succède à son grand-père.
Gloria tient toujours les rênes de l'exploitation, et elle s'en sort très bien. Après tant d'errance, elle a trouvé son bonheur. Et elle est celle à mieux de comprendre les horreurs arrivées à Helena.

On a plaisir à voir l'évolution de la famille.
Amusant, de rencontrer aussi les descendants des chevaux et des chiens !
Après avoir vu l'arrivée de l'automobile dans le tome précédent, cette fois, c'est en avion qu'ils surveillent les troupeaux !
Hélas, l'évolution n'est pas qu'amélioration.
On s'aperçoit du recul concernant les Maoris.
D'une part, leur intégration n'a pas progressée, bien au contraire. Alors que, sans doute en grande partie grâce à Gwyneira, ils commençaient à être plutôt bien acceptés dans le secteur, le racisme est bien installé, avec notamment des réactions stupides de la part des pires Blancs.
D'autre part, les villages Maoris se dégradent, plus d'entretien, plus d'élan, des zones terriblement en décrépitude.
Que Wiremu aient refusé l'héritage de Tonga pour partir en ville suivre les études de médecine dont il rêvait, laissant le village sous la coupe de son frère, alcoolique sans aucune ambition pour sa communauté, n'arrange rien.
Mais j'avais déjà été choquée dans les tomes précédents : pour sceller une bonne entente entre communautés, à chaque réunion, les Pakehas, notamment ceux de Kiward Station, partageaient du whisky avec les Maoris.
On sait, même sans être particulièrement au fait du sujet, les dégâts provoqués par l'alcool sur des populations qui n'en avaient pas l'habitude. Ça se confirme ici, où au lieu de chercher du travail, les Maoris cherchent surtout à boire ; quelle tristesse.

Dans ce roman, encore plus que les précédents, on apprend beaucoup de choses sur les croyances et les traditions des Maoris, c'est passionnant. De plus, la découverte de la Nouvelle-Zélande donne énormément envie d'aller visiter !

Ce volume se déroule de 1944 à 1946.
Helena va découvrir le cinéma avec "Le Lys de Brooklyn". Film d'Elia Kazan tiré du livre que j'avais tant aimé.

Les couvertures avec des personnages de dos semblent être la signature des romans d'évasion de l'Archipel. Mais celle-ci ressemble tellement à la série La Pension du Bord de Mer, de Tamara McKinley, que je me suis un moment embrouillée dans ma pile à lire !!

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Quand j’ai choisi ce livre, je ne savais pas qu’il s’agissait du 4e volet de la trilogie du nuage blanc de l’auteure. C’est dommage, que les éditeurs ne le signalent pas sur la première de couverture. Heureusement, l’auteure fait des rappels par rapport à la famille Gwyneira McKenzie, le lecteur n’est pas perdu. Par contre, il est légèrement spoiler sur les précédents tomes, car il s’agit d’une saga familiale. Je ne regrette pas de l’avoir lu, mais cela impacte forcément mon avis.
L’auteure commence l’histoire en 1944. Le lecteur est parachuté dans un camp de réfugié polonais en Iran. Pourquoi se sont-ils retrouvés en Iran ? Helena et Luzyna en font partie. Elles habitaient sur un territoire convoité par l'Allemagne et l’URSS. Elles ont d’abord quitté un camp pour un autre, puis l’URSS a changé de camp. Leur condition de détention s'est améliorée et elles ont quitté l’URSS (la Sibérie) pour l’Iran? Le situation est incertaine, la guerre n’est jamais très loin. Luzyna et Helena l’ont appris très tôt. Helena, l'aînée, est âgée de 21 ans, a toujours protéger sa sœur. Elle continue de veiller sur Luzyna. Cependant, celle-ci est réfractaire à toute forme d’autorité. Elle a trouvé l’amour, elle est jolie et elle préfère flâner que participer à la vie au camp.
Helena la sauve toujours de situation critique, sans aucun signe de reconnaissance. Elle adore sa soeur, mais elle lui envie son insouciance et son absence de responsabilité. Son statut d’aîné lui pèse. Les inquiétudes de l’avenir l’assaillent. Elle ne peut retourner en Pologne, la guerre est à leur porte et même si les américains gagnent du terrain, la situation reste critique. Si elle avait la possibilité de partir et de s’éloigner de l'Europe, le ferait-elle ? Un convoi doit partir, cependant Helena n’a pas l’âge requis. C’est décidé, ce sera Luzyna, au moins, l’une des deux aura un meilleur avenir.
Les circonstances en décident autrement. Les surveillants se méprennent et pensent Helena et Luzyna. Sur un coup de folie, elle ne dément pas. Le subterfuge risque d’être découvert. Comment le prendra sa soeur ? Ne s’est-elle pas déjà assez sacrifié pour sa sœur ? Ne mérite-t-elle pas cette place sur ce bâteau ? Le camp de Nouvelle Zélande sera-t-il aussi accueillant que celui d’Iran ? Helena est confuse, la culpabilité la ronge.
Helena m’a touchée, mais le personnage créé par l’auteure manquait de profondeur. Les sentiments et émotions restaient en surface. C’est pour cette même raison que j’ai eu du mal à croire dans la romance proposée par l’auteure. D’autant qu’elle est lente à démarrer, elle reste en pause longtemps puis d’un coup, Sarah Lark passe en cinquième vitesse. Le rythme n’y était pas et à renforcer mon impression de survol.
Sarah Lark a voulu peaufiner la partie historique de son roman et la culture Maorie. Celle-ci est très réussie. J’ai appris énormément. L’implication de l’Iran dans la Seconde Guerre mondiale m’était totalement inconnue. En écrivant cette chronique, je me suis renseignée sur ses camps et les informations recoupées confirment la version de l’auteure. La partie culturelle est aussi très intéressante, même si elle aurait gagné à être mélangé plus avec la trame principale.
En résumé
Même s’il s’agit du dernier tome d’une saga dont je n’ai pas lu les premiers tomes, j’ai aimé ma lecture. L’auteure fait des piqûres de rappel qui permettent de lire le livre sans être perdue. J’ai adoré le fond historique et culturel, bien présenté et riche, mais il aurait gagné à être mieux distillé dans la romance et l’évolution des personnages.

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Comme tous les romans de Sarah Lark, j'ai passé un très bon moment de lecture. On y retrouve la Nouvelle-Zélande et on mesure le chemin parcouru depuis l'arrivée d'Helene et Gwyneira. Cependant, j'ai trouvé ce titre un peu moins bien. L'histoire d'amour était trop prévisible et prenait trop le pas sur le reste. Peut être l'Autriche a-t-elle manqué de pages ? Il faut dire que ce 4e tome est deux fois moins épais que les précédents et cela se ressent par un traitement plus superficiel de l'histoire et des personnages à mon sens.

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