Avec l'espoir pour horizon

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Date de parution 22 août 2024 | Archivage 11 août 2024

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Résumé

Irlande, 1851. Depuis que la maladie de la pomme de terre a frappé le pays, les paysans crient famine. Comme nombre de métayers, Ellen Kittrick et son mari peinent à nourrir leurs enfants et craignent de perdre leur toit.
Touchée par des drames successifs, la jeune femme choisit l’exil.
Grâce à Ralph Hamilton, un ami du propriétaire du manoir où elle est domestique, Ellen embarque avec ses enfants à bord d’un navire en partance pour l’Australie, pays de tous les espoirs.
Sur place, l’associé de Ralph dans une affaire d’import-export la prend sous son aile. Sa nouvelle vie lui apportera-t-elle la sécurité et le bonheur auxquels elle aspire ? Ellen pourra-t-elle s’épanouir en terre étrangère ou a-t-elle commis la plus grande erreur de sa vie ?

Irlande, 1851. Depuis que la maladie de la pomme de terre a frappé le pays, les paysans crient famine. Comme nombre de métayers, Ellen Kittrick et son mari peinent à nourrir leurs enfants et...


Note de l'éditeur

Née en Australie de parents anglais originaires du Yorkshire, AnneMarie Brear vit en Nouvelle-Galles du Sud, à une centaine de kilomètres de Sydney. Elle est l’autrice d’une vingtaine de sagas traduites avec succès dans cinq pays, dont l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie. Cette nouvelle saga a été finaliste en 2022 et 2024 du RNA Romantic Saga of The Year.

Née en Australie de parents anglais originaires du Yorkshire, AnneMarie Brear vit en Nouvelle-Galles du Sud, à une centaine de kilomètres de Sydney. Elle est l’autrice d’une vingtaine de sagas...


Ils recommandent !

« Un cadre historique bien dépeint, et cette femme qui force l’admiration. Un roman coup de cœur ! » Goodreads

« Un cadre historique bien dépeint, et cette femme qui force l’admiration. Un roman coup de cœur ! » Goodreads


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782809848625
PRIX 22,00 € (EUR)
PAGES 352

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Chroniques partagées sur la page du titre

Un roman qui aurait pu être vraiment intéressant. Le début racontait bien l'horreur due à la famine en Irlande dans les années 1850. J'étais également intriguée par l'arrivée des émigrés irlandais en Australie : comment le voyage était organisé ; quelles possibilités leur étaient effectivement offertes; comment étaient-ils accueillis ? Malheureusement, l'histoire a vrillé très vite vers la romance, un peu comme un conte de fées aux princesses... Pour moi, ce roman est trop léger, on devine le déroulement de l'histoire ainsi que le développement des personnages. Ce livre enchantera les lecteurs qui apprécient les histoires d'amour comme thème principal.
J'ai reçu une copie digitale de ce roman de NetGalley en échange d'une critique honnête.

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"Avec l'espoir pour horizon" est un roman historique captivant !
Le premier tome d'une nouvelle saga familiale qui donne envie de découvrir la suite !
« Un cadre historique bien dépeint, et cette femme qui force l’admiration. Un roman coup de cœur ! » (Goodreads)

Née en Australie de parents anglais originaires du Yorkshire, AnneMarie Brear vit en Nouvelle-Galles du Sud, à une centaine de kilomètres de Sydney. Elle est l’autrice d’une vingtaine de sagas traduites avec succès dans cinq pays, dont l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie. Cette nouvelle saga a été finaliste en 2022 et 2024 du RNA Romantic Saga of The Year.

Irlande, 1851. Depuis que la maladie de la pomme de terre a frappé le pays, les paysans crient famine. Comme nombre de métayers, Ellen Kittrick et son mari peinent à nourrir leurs quatre enfants et craignent de perdre leur toit.
Touchée par des drames successifs, la jeune femme choisit l’exil.

Grâce à Ralph Hamilton, un ami du propriétaire du manoir où elle est domestique, Ellen embarque avec ses enfants à bord d’un navire en partance pour l’Australie, pays de tous les espoirs.

Sur place, l’associé de Ralph dans une affaire d’import-export la prend sous son aile. Sa nouvelle vie lui apportera-t-elle la sécurité et le bonheur auxquels elle aspire ? Ellen pourra-t-elle s’épanouir en terre étrangère ou a-t-elle commis la plus grande erreur de sa vie ?

Je remercie les @Editionsdelarchipel et @NetGalleyFrance de leur confiance.

J'ai trouvé la plume fluide de l'autrice très agréable à lire et j'ai aimé la partie historique qui traite de la famine en Irlande en 1851 qui n'a pas été si souvent abordée. je me suis attaché facilement à Ellen, une femme forte et courageuse qui veut que ses enfants aient une vie meilleure en s'installant en Australie à Sydney. Même si l'intrigue est assez prévisible, ce roman dépaysant tient toutes ses promesses et il plaira aux amateurs de sagas familiales. Je lirai la suite des aventures d'Ellen, Ralph et tous les autres personnages avec plaisir. A suivre !

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Vous avez froid, faim, et peur du lendemain? Vous êtes en Irlande lors de la famine de 1850. Chaque jour est une lutte pour la survie, il faut trouver de quoi manger dans cette terre qui fait pourrir les pomme de terre, de quoi se chauffer, de quoi payer le loyer..
Ellen à la force de son caractère et ne lâche rien. Chaque jour elle lutte pour les siens, jusqu'à ce que le sort s'acharne tellement, qu'elle prend la décision d'émigrer en Australie avec sa famille, loin de la famine, des morts et des injustices, où du travail et une vie meilleure les attends Enfin elle y croit plus que tout car si ce n'est pas le cas, elle n'est pas sûre de tenir encore.
Une bonne première moitié qui nous rend bien compte de la situation à l'époque et de la force qu'il fallait pour s'en sortir. On découvre les modalités d'émigration, le déchirement que cela peut être d'être dans l'obligation de quitter son pays après avoir tout perdu, avec seulement l'espoir et aucune garantie. Ensuite la traversée et l'installation, où la romance prend un peu le pas sur l'historique mais que j'ai bien aimé car il rend compte quand même des préjugés et de la vie à cette époque.

Seul bémol pour moi, je ne savais pas que c'était une saga. Dommage que ce ne soit pas mieux signalé car j'avoue en avoir un peu marre de lire des livres dont je n'ai pas la fin.

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Avec l’espoir pour horizon de AnneMarie Brear, nous partons en Irlande en 1851. Ellen fait tout pour survivre avec ses 4 enfants pendant la grande famine. Son mari, souvent absent pour essayer de trouver un travail, la déçoit de plus en plus. De son côté, elle travaille comme domestique chez un riche et sympathique Anglais ( n’oublions pas les tensions déjà existantes entre Anglais et Irlandais). Petit à petit, et après bien des malheurs, elle va se résoudre à partir avec sa famille en Australie pour trouver une vie meilleure.
Avec l’espoir pour horizon est une lecture plaisante et agréable. Très rapidement, on se prend d’affection pour Ellen et on souhaite qu’elle s’en sorte . La partie historique est très intéressante à savoir la famine en Irlande, le voyage des Irlandais, puis l’installation en Australie. Ellen est une femme forte et ambitieuse qui coûte que coûte veut tout faire pour que ses enfants aient une vie meilleure que la sienne. Bien sûr, il y a de la romance mais cela rend cette lecture encore plus agréable. Cependant, même si la vie d’Ellen est difficile, j’ai trouvé quand même que tout se passait bien pour elle. Ellen rencontre les bonnes personnes quand il faut et qui vont lui permettre de continuer sa route.
La fin laisse présager une suite que je lirai avec plaisir afin de poursuivre les aventures d’Ellen.
Je recommande vivement ce roman aux fans de sagas historiques.

Je remercie NetGalley et les éditions de l’Archipel pour cette lecture.

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Quelle magnifique histoire! J’ai été scotché a ce livre du début à la fin! Je suis très contente d’avoir donné à ce livre une chance! D’habitude ce genre de roman n’est pas dans ma PAL alors ça a été une belle découverte !!

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Je suis en général très friande des romans historiques qui se déroulent en Australie, malheureusement, pour celui-ci, j'ai eu du mal à prendre du plaisir. Cela est en partie dû à une première partie très difficile et crue en Irlande : famine, violence et misère. Difficile de se dépayser avec des sujets aussi lourds, évidemment.
La longue transition à bord du bateau est sans plus. Je m'étonne que la traductrice ait choisi "périodes" pour traduire "periods" qui signifie "règles/menstruations". Mais à part ça, rien de transcendant.
Quant à la seconde partie en Australie, elle était longuette, ennuyeuse et peu intéressante à la sauce Cendrillon… Bref, je n’ai pas été emballée par cette lecture.

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Le récit commence pendant la Grande Famine en Irlande au XIXème siècle, alors qu’Ellen fait tout son possible pour permettre à sa famille de survivre malgré la faim, le dénuement, l’hostilité de l’armée. Car la Grande Famine ce n’est pas seulement un problème de pénurie de nourriture, c’est aussi l’opposition entre Anglais et Irlandais, catholiques et protestants.
J’ai trouvé que c’était très bien raconté par AnneMarie Brear, avec de nombreux détails poignants qui illustrent bien l’horreur de la période.

Lorsqu’il ne reste plus d’autre choix que d’émigrer, Ellen décide d’emmener les siens en Australie où elle espère leur offrir un avenir meilleur. Mais il faut d’abord affronter la traversée, dans l’entrepont pour les troisièmes classes, entre promiscuité, tempêtes, fièvres…
Là encore, l’autrice dépeint un tableau réaliste des émigrants partagés entre espoir et peur.

J’ai moins apprécié la dernière partie qui se déroule en Australie et qui marque une vraie rupture avec le début du livre. Tout s’arrange un peu trop facilement, un peu trop vite. Après les épreuves endurées en Irlande et pendant la traversée, j’aurais préféré découvrir le parcours d’un nouvel arrivant lambda qui doit se construire une nouvelle vie tout en s’adaptant à un environnement très différent. A la place, l’intrigue tourne à la romance, avec des rebondissements peu convaincants.
C’est vraiment dommage de terminer la lecture ainsi…

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Irlande, 1851 :Ellen et sa famille subissent de plein fouet la grande Famine. Tout le pays sombre dans la plus grande pauvreté et nombreux sont les Irlandais qui font le choix d’émigrer vers les États-Unis, le Canada ou l’Australie.

Après moult péripéties, Ellen fait le choix de partir en Australie avec ce qui reste de sa famille, bien aidée pour préparer son voyage par son employeur anglais et un de ses amis, Ralph…

On suit donc les difficultés d’Ellen en Irlande, la difficile traversée en bateau, son installation à Sidney et le début de son ascension sociale. Une grande partie des éléments l’intrigue sont évidemment largement prévisibles ; on devine également qu’il s’agit du premier tome de ce qui se révélera probablement une grande saga familiale. Même si le roman ne recèle pas de surprises, il remplit parfaitement son office et ne décevra pas les adeptes du genre. Je me laisserai certainement tenter par le prochain , curieuse de connaître la suite des aventures d’Ellen, Ralph et tous les autres.

Je remercie vivement les éditions de l’Archipel et NetGalley pour cette lecture.

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Globale : ⭐⭐⭐
Écriture : ⭐⭐⭐⭐
Originalité : ⭐⭐⭐⭐⭐
Pédagogie : ⭐⭐⭐
Personnages : ⭐⭐⭐⭐
Scénario : ⭐⭐⭐⭐
Suspense : ⭐⭐⭐⭐⭐
Addictivité : ⭐⭐⭐
Créativité : ⭐⭐⭐⭐⭐
Humour : ⭐⭐⭐⭐

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Ellen Kittrick n’a plus rien. La famine pourrit l’Irlande aussi sûrement que l’infection qui tue les pommes de terre. Mère de famille, et désespérée, elle décide de quitter sa terre natale, et d’emmener avec elle sa famille, en direction de l’Australie.

Des personnes bien intentionnées seront là pour aider à accomplir ce projet de vie. Il s’agit tout de même d’un déracinement complet, pour aller s’installer dans un pays dont elle ne sait rien.

Mais la jeune femme est courageuse et pugnace: elle ne laissera plus jamais ses enfants avoir faim.

A sa suite, nous embarquons sur un navire qui voyagera plusieurs mois, avant de poser le pied sur un nouveau continent. Avec elle, nous construirons des rêves, des projets qu’elle veut voir se réaliser.

Nous la verrons tomber amoureuse, faire des choix dramatiques, et d’autres très réussis.

La fortune peut être à portée de main, mais à quel prix?

Depuis ma découverte des premiers romans de Sarah Lark, qui m’avait emmenée en Nouvelle-Zélande, j’avoue avoir un faible dès qu’un roman se place dans ces contrées.

Aussi, ce titre me tentait évidemment beaucoup!

C’est une histoire qui se lit assez vite. Le décor est rapidement planté et bien compréhensible: nous sommes dans les années 1850, en pleine période noire de l’Irlande et de l’Ecosse, qui font face à une infestation massive des cultures, provoquant les ruines de tous les petits propriétaires terriens. Les villageois meurent par milliers, et c’est d’ailleurs plutôt bien exposé dans ce roman.

Face à cette situation, la population de l’époque n’avait qu’une solution: s’expatrier. Et c’est ce qu’ils ont fait. Emportant leurs quelques maigres possessions, et allant vers un inconnu total, ils ont embarqué par milliers en direction des Amériques ou de l’Australie, espérant trouver un avenir meilleur.

Ce pan historique est bien tracé dans cette histoire, et j’apprécie énormément ce fait.

L’histoire d’Ellen reflète tout à fait l’ensemble de cela.

L’auteur y ajoute un peu de romance, un peu de chance, et des opportunités rapides, et nous voilà avec un mélange de romance dramatique.

Je pense qu’il s’agit d’un premier tome, et si c’est le cas, je serais ravie d’en lire la suite!

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Une histoire d'émigration d'Irlandais vers un nouveau pays je dirai plutôt un nouveau continent il y avait longtemps que je n'en avais lu et de temps en temps c'est bien agréable.
Même si des les premières pages on devine le dénouement , ce roman est plein de rebondissement.
De toute façon ce roman qui raconte la vie d'une jeune femme pleine de volonté qui a décidé qu'elle sortirait sa famille de la misère ne pouvait que me plaire.

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Ce roman débute en Irlande, en 1851, lors de la terrible famine qui a plongé tout un peuple dans la misère à cause de la maladie décimant les champs de pommes de terre. Les descriptions de cette précarité sont poignantes.
Ellen et ses enfants appartiennent à cette population criant famine, leur détresse est bouleversante. Elle devient rapidement attachante. Courageuse, elle est déterminée à sortir sa famille de cette épreuve. Un vrai chef de famille responsable.
Refusant que le sort ne continue à s'acharner sur ses proches, Ellen prend les choses en main et décide de s'exiler avec le reste de sa famille vers l'Australie, avec pour objectif de les mettre à l'abri de la faim, de la misère. De ne plus avoir à dépendre d'un propriétaire qui pourrait lui prendre ses terres.
La pauvreté vécue en Irlande influencera ses décisions parfois prises à la hâte. Son cœur de mère prenant le dessus sur son cœur de femme.
J'ai largement préféré la partie irlandaise et le long voyage en bateau dans des conditions de promiscuité et météo difficiles au reste de l'histoire. À partir du moment où Ellen pose un pied sur le sol australien, tout devient un peu trop facile. Il m'a manqué le dépaysement et une période d'acclimatation pas assez développée. La plume est agréable à lire mais l'intrigue reste assez prévisible.
J'aurais également aimer savoir à l'avance qu'il s'agissait du 1er tome d'une saga, ce qui m'aurait permis de mieux apprécier la fin que j'ai trouvé un peu précipitée et lisse.
Un roman dans la lignée de ceux d'Anna Jacobs, d'Elizabeth Haran, de Tamara Mc Kinley, qui retracent l'émigration de milliers de personnes vers l'Australie, en quête d'une nouvelle vie. Avec une différence dans cette histoire sur le fait qu'Ellen entreprend ce voyage avec sa famille et non en jeune fille seule et sans attache.

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Dans cette saga familiale, l’auteure nous offre une photographie de l’Irlande en 1850. La famine, la pauvreté, le pouvoir de l’église, les luttes anglais/irlandais… Une peinture dure et très réaliste.
Elle nous explique ensuite comment l’Australie a été peuplée de bagnards puis de pauvres rêvant d’un monde meilleur.
La description du long trajet en bâteau, que beaucoup ont vécu en troisième classe, ressemble beaucoup à celle du film Titanic (le naufrage en moins bien sûr) qui pourtant décrit un bâteau ayant appareillé 60 ans plus tard. On y retrouve les cabines partagées par plusieurs familles et sans hublots, cabines où les amitiés se lient.
Et arrive la découverte de l’Australie, si différente de l’Irlande et où tout semble possible.
Ellen est une femme forte et on se doute qu’elle y réussira, tout comme on se doute du dénouement des intrigues amoureuses qui se jouent tout au long du roman.

Je dirai pour conclure que cette saga familiale m’a fait passer un très bon moment et que j’en lirai volontiers la suite.
A lire entre deux romans moins légers.

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J’ai aimé le début, j’étais dedans. Ellen est une force de la nature. La famine en Irlande a redistribué les rôles dans son foyer. Depuis quelque temps, c’est elle qui porte le pantalon. Son mari n’est bon qu’à se soûler avec les quelques pièces qu’il a réussi à gagner. La famine a détruit l’homme qu’elle aimait. Elle est aussi énervée contre lui, elle ne le comprend plus. Austin, Bridget, Thomas et Patrick sont des enfants qui ont grandi trop vite. Austin se sent en devoir de remplacer son père. Il est prêt à défendre sa mère ainsi que ses frères et sœurs bec et ongle. 
Combien de temps durera cette famine ? Ellen a de la chance d’avoir un travail chez un Anglais aisé du coin. Ce travail lui permet de nourrir ses enfants une fois dans la journée, mais elle n’arrive pas à économiser assez pour payer le loyer du mois. Peut-être que son mari pourra lui à condition qu’il n’ait pas tout bu… Heureusement, elle peut compter sur sa mère, Birdie, sa sœur Riona pour faire face à la dureté de la vie. 
Ses voisins et amis dépérissent à vue d’œil. Et dans le meilleur des cas, ils partent émigrer aux États-Unis ou au Canada ou encore en Australie. Ellen n’est pas encore prête à envisager cette solution. Pourtant, a-t-elle le choix ? Elle en parle avec son mari, mais il rejette l’idée et parle d’aller vivre chez son frère Colm. Ellen s’y oppose, elle le craint plus que tout. Les rumeurs sur Colm attirent l’attention, il ferait affaire avec les Anglais en vendant les indépendantistes. Ce point précis aurait presque mérité d’être plus creusé par Anne Marie Brear. L’étau se resserre autour d’Ellen et ses enfants. Les jours au manoir de Mr Wilton lui donneront peut-être des idées sur le moyen de sauver sa famille. 
J’ai eu beaucoup d’admiration pour Ellen, cette jeune femme accomplie, à la langue bien pendue et à l’amour débordant pour ses enfants. Austin et Bridget sont les plus marquants, l’aîné et la plus jeune, sont mignons et touchants, car démunis et pourtant unis. Les autres personnages sont aussi un beau panel. Je regrette simplement l’évolution d’Ellen dans la seconde partie du livre. Elle devient arrogante et légèrement vénale. Certes, elle ne veut plus jamais connaître la misère, mais sa manière d’y échapper ne m’a pas convaincue. J’avais l’impression étrange d’avoir à faire à une autre. Une fois passée cette petite déception, la suite a su m’offrir quelques petits plaisirs, car Bridget est toujours égale à elle-même et que Riona est là pour aider sa sœur à garder les pieds sur terre. La fin avait un goût amer, mais juste au vu de la tournure des événements. 
En résumé 
Ce récit était super bien parti. C’est rare de commencer avec une héroïne qui a déjà mari et enfants. Ellen est attachante, sa situation a tout de suite attiré ma sympathie. C’est une maman lionne, elle fait face à l’adversité avec courage et détermination. Son évolution dans la seconde partie du roman m’a quelque peu agacée.

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*lecture terminée*

Avec l’espoir pour horizon de Anne Marie Brear publié aux éditions de L’Archipel.

En 1851, Helen et sa famille subissent la grande Famine qui decime l’Irlande. Beaucoup d’Irlandais n’ont plus qu’une idée en tête, fuir et refaire leur vie à l'étranger. Après de nombreux rebondissements et de nombreux drames, Helen en viendra également à cette conclusion.
L’homme pour qui elle travaillait et son ami, Ralph Hamilton, lui organise la traversée jusqu’en Australie.

J’ai adoré la première partie qui se déroule en Irlande. Je ne connaissais pas du tout ce pan de l’histoire alors j'ai été vite passionné et j'ai même fait 2/3 recherches complémentaires. Les pages se tournent à une vitesse folle!
Vient ensuite la traversée jusqu'en Australie et j'ai également beaucoup aimé ce passage. Cela m’à rappelée une lecture que j’ai lu il n’y a pas si longtemps 🤭.
Après l’arrivée en Australie, j’avoue avoir vu deux possibilités dont l’une c’est réalisée. Ce n’était pas ma préférée et j’aurais voulu une autre fin 😂. J’ai trouvé que l’autrice précipité un peu l’histoire mais j’ai trouvé que le message était beau et porteur d’espoirs.
Helen est une femme très courageuse, indépendante et pleine de résilience. Même si defois ces choix sont discutables elle fait tout pour mettre ses enfants à l’abri du besoin.


Cette histoire est dans la lignée des grandes autrices comme Tamara Mckinley ou Sarah Lark qui nous conconctent beaucoup d’histoires sur l’Australie avec des femmes fortes, courageuses et indépendantes à travers des histoire addictives et immersives !! J’ai passé un excellent moment de lecture 😍.

Je remercie netgalley et les éditions de l’Archipel pour l’envoi de cet ebook!

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L'Irlande pauvre, le peuple exploité par les anglais souffrant de famine à cause de la maladie qui détruit les cultures depuis plusieurs années...
Toutes conditions mènent une famille à quitter le pays pour commencer une nouvelle vie en Australie. Cette famille c'est Ellen sa soeur sa mère et ses trois enfants...
Mais que vont ils trouver à leur arrivée?
Ce pays est-il si bienveillant pour ces irlandais survivants?

Une très belle aventure humaine et historique.
j'ai beaucoup aimé ce roman..

Merci pour cette belle lecture

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En 1851, l'Irlande est durement touché par une épidémie qui détruit les cultures de pommes de terres. Les agriculteurs perdent tout, meurent de faim. Ellen doit elle aussi affronter ces événements terribles. Son mari, abattu par les événements, se laissé emporté par la boisson. Elle doit nourrir seule ses quatre enfants. Mais le malheur continue de s'abattre sur elle et elle perd coup sur coup cinq membres de sa famille et sa chaumière. Aidée par le chatelain chez qui elle est domestique, elle décide de partir avec les siens pour l'Australie, qu'elle voit comme une terre promise. Rafe Hamilton, un ami du chatelain qui a une affaire d`import-export, tombé sous son charme, l'aide dans ses démarches. Arrivée là bas, une nouvelle vie s'offre à elle mais elle va devoir faire des choix....Et comme c'est le démarrage d'une saga, le lecteur va devoir être patient !

J'ai beaucoup aimé ce livre. Il permet de découvrir la famine en Irlande, le dénuement dans lequel elle a poussé des centaines de milliers de gens. La traversée en bateau, l'arrivée sur une nouvelle terre promise sont aussi très intéressants. Le personnage d'Ellen est fort, résilient, décidé, sans être donneur de leçon. J'ai adoré la suivre et je la retrouverai avec plaisir dans la suite de ses aventures.

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Irlande, 1851. Depuis que la maladie de la pomme de terre a frappé le pays, les paysans crient famine. Comme bon nombre de métayers, Ellen Kittrick et son mari peinent à nourrir leurs quatre enfants et craignent de perdre leur toit. Touchée par des drames successifs, la jeune femme choisit l’exil pour tenter une vie meilleur pour les siens.

Une plume agréable et fluide nous embarque dans ce roman historique qui aborde un sujet peu mis en avant en littérature. J'ai aimé découvrir le destin de cette jeune mère mais aussi l'Irlande et l'Australie.

Ellen est une jeune femme très forte qui malgré les déboires et le contexte affronte avec courage et prend les décisions qui s'imposent pour elle et ses enfants.

J'ai aimé le voyage et ce roman somme toute assez prévisible mais très beau à lire. J'ai hâte de découvrir le tome 2 de cette saga et retrouvée tous les personnages.

Bref, un roman historique doux et dépaysant qui augure une bien agréable saga à lire.

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