Dans À l'ombre des choses, Anatole Edouard Nicolo nous plonge au cœur d'une enfance à la fois lumineuse et chaotique, entre mélodies et désillusions. Issus d'une famille d'artistes, Anatole et son frère G. grandissent dans un univers artistique jusqu'au jour où le divorce de leurs parents brise cette belle harmonie. La vie se scinde alors entre un foyer social modeste avec leur mère et un squat de luxe où réside leur père. C’est dans ce tumulte que les deux frères tracent chacun leur chemin : G. s'épanouit rapidement dans le rap, tandis qu'Anatole se cherche, tiraillé entre ses rêves et une vie marquée par la précarité et l’isolement.

Le roman, d'inspiration largement autobiographique, analyse avec sensibilité les thèmes de la fratrie et de la quête identitaire. Anatole grandit dans l'ombre de son frère, figure lumineuse et charismatique. La lumière est une métaphore omniprésente : celle que l’on cherche dans l’ombre des autres, celle que l’on tente de s’approprier malgré un parcours semé d’embûches.
Un très beau et touchant témoignage.
J’ai beaucoup aimé la musique également !

Je l'avoue, ce roman a beau être autobiographique, je n'ai pas du tout aimé. L'écriture est belle, mais je n'ai pas réussi à m'attacher à cette famille et à ses nombreuses luttes...

Autofiction ou autobiographie, je ne sais pas. Anatole Edouard Nicolo raconte, dans A l'ombre des choses, la jeunesse assez chaotique d'un Anatole aux parents plus ou moins artistes et très bohèmes. Son frère ainé G. (le rappeur Georgio) s'en tire assez bien après quelques années de galère. Lui aussi aimerait réussir. Après s'être essayé au foot, il vit de petits boulots et s'exerce à l'écriture. La chance, il la croise avec un certain Kamille qui croit en son talent, le prend en charge et le pousse sur cette voie. Et me voilà en train d'écouter son texte.
Le style est simple et c'est Anatole, lui-même, qui lit de manière touchante mais bien scolaire. C'est vite lassant, heureusement le récit est très court. En fait, je n'ai pas trouvé un grand intérêt à la vie d'Anatole. Certes, il manquait de l'argent à la maison, mais il y avait toujours de l'amour, même si les parents se sont vite séparés.
En résumé un récit sympathique mais sans grande originalité. Tant d'autres ont déjà raconté à peu près la même chose !

🎧 Chronique Audiobook 🎧

Titre : À l’ombre des choses

✍️ @anatole_enicolo
🎙lu par l'auteur, avec la participation de son frère, le rappeur @georgioxv3 pour @audiolib, Musique composée par Orava.
📚 @calmann.levy
🎛️ @safeandsound_paris

Ma note : 3.5/5

Mon avis : Je pense que ce livre mérite vraiment que l'on se penche sur sa version audio, pour pouvoir être immergé dans ce récit de vies, grâce à la musique composée par Orava et aux petits morceaux de rap de Georgio.

Dans ce récit autobiographique, Anatole revient sur son enfance.
Il y a G., son frère, qui vit pour le rap et secoue la famille de sa colère. Mais qu'Anatole adule, de la tendresse et de l'amour d'un petit frère tellement fier.
Il y a Papa, qui squatte à droite à gauche, mais qui reste présent comme il le peut pour ses enfants.
Il y a Maman, qui fait son possible pour joindre les 2 bouts et élever ses fils du mieux qu'elle peut.
Il y a des souvenirs de rires, de chansons, de rythme de reggae.
Il y a des choses plus douloureuse, la honte, la pauvreté, le fait d'être un peu à part avec la précarité.
Il y a les gens du foyer social, dont on se souviendra toute la vie. De par leur visage, de part leurs attentions.

Et il y a Anatole, qui se construit sans trop de repère. Qui fait ses erreurs et ses choix, qui essaie de s'en sortir. Il ne sait pas trop ce qu'il aime, ce qu'il sait et peut faire, si ce n'est qu'au fil du temps, un lien avec l'écriture et la littérature l'appelle.

À l’ombre des choses, c’est une immersion dans la vie d'un garçon sensible et touchant, qui nous montre que si l'on se donne les moyens d'y arriver, on peut le faire.
C'est un très beau récit de vie, moi je trouve qu'il m'a bien remonté le moral.


Merci #NetGalleyFrance @netgalleyfrance Pour cette découverte !

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Un récit très intimiste.
L’auteur se confie sur sa vie, son enfance, sa famille.
J’ai aimé la façon dont il raconte les choses.
La rencontre de ses parents, ses péripéties avec son groupe de copains, la relation avec son frère.

Né au sein d’une famille d'artistes.
On sent que la vie n’a pas toujours été très tendre.
Mais on sent que l’amour fraternel est toujours présent, quelque soit les épreuves.

J’ai apprécié cette courte écoute d’environ 2h30.
Où les chapitres sont entrecoupés par des bout de chanson de son frère Georgio.
Et c’est d’ailleurs par son frère que j’ai connu ce livre.

Issus d'une famille d'artistes, Anatole et Georges grandissent dans le bruit, les mélodies et les rires. Quand leurs parents divorcent, l'innocence des deux frères, ballottés entre le foyer social de leur mère et le grand squat de leur père, s'évapore. Malgré tout, le lien qui les unit demeure.

Un texte autobiographique sur l'enfance puis la jeunesse de l'auteur qui se cherche entre la notoriété de son frère rappeur, son amour des mots et l'amour en général. Évidemment, j'ai vite reconnu la «ville moyenne» dans laquelle il vit. Il s'agit d'Angers, ma ville, avec sa «douceur» toute relative, sa tapisserie, son château et les lacs sans fond des Ardoisières dans lequel il se rafraîchissait l'été.

L'évocation des souvenirs d'enfance amène de jolis passages, plein de douceur. Malgré la précarité, il est entouré de beaucoup d'amour de la part de ses parents, de ses potes et surtout de son grand frère.

Malgré toute cette tendresse et une certaine naïveté touchante, il m'a manqué quelque chose. Le texte, très court, survole et reste en surface. J'aurais aimé plus de pages sur le personnage de Kamille avec un K qui apporte du relief à cette histoire.

Dans la même veine, j'ai préféré les textes de Magyd Cherfi ou de Payanotis Pascot, qui nous offrait un roman d'auto-fiction poignant avec «la prochaine fois que tu mordras la poussière».

J'ai découvert ce texte en version audio, agrémenté d'extraits de slams de son frère Georgio. Je ne sais pas si ces passages sont présents dans la version papier, mais ça a bien agrémenté mon écoute et cassé la monotonie de la voix d'Anatole Édouard Nicolo qui s'est prêté à l'exercice périlleux de la lecture de son propre texte.

Je parie que ce premier récit frais et candide trouvera son public. Il a d'ailleurs été récompensé du Prix envoyé par la Poste 2024.

Anatole Edouard Nicolo nous raconte, dans " A l'ombre des choses ", la jeunesse assez chaotique d'un Anatole aux parents plus ou moins artistes et bohèmes. Son frère aîné G. (le rappeur Georgio) S'en sort bien après même après quelques années de galère.

Le style de narration est simple et c'est Anatole, lui-même qui lit. On suit sa vie, ses erreurs et ses choix, les moments où il essaie de s'en sortir. Il ne sait pas trop ce qu'il aime. Mais au fil du temps, un lien avec l'écriture et la littérature l'appelle.

Heureusement que le récit est très court, car ça devient vite lassant. Il faut dire que je n'ai pas vu un grand intérêt de suivre la vie d'Anatole. 

Un récit sympa, mais sans grand intérêt, ni grande originalité. J'ai pas du tout été touché par cette autobiographie lue par l'auteur. 

Après, c'est mon ressenti. N'oubliez pas, on n'a pas tous les mêmes goûts donc n'hésitez pas à le découvrir s'il vous intéresse.

Voici un livre que j'ai bien aimé même s'il ne le laissera pas un souvenir impérissable.

Ce roman est bien écrit et relate une histoire assez commune malheureusement. Un couple se sépare et chaque membre de la famille essaie de trouver son chemin. Ce n'est pas chose facile et on va suivre les personnages dans leur évolution.

Personnellement j'ai trouvé les protagonistes intéressants car même si je ne me suis pas attachée à eux, j'ai apprécié découvrir leurs parcours avec des hauts et des bas.

Pour l'histoire, elle est agréable à suivre et j'ai passé un bon moment d'écoute mais je ne l'ai pas trouvée très prenante. Je l'ai découverte mais sans avoir une envie folle de connaître la fin.

En ce qui concerne le narrateur, il est plaisant à écouter et à bien su transmettre les émotions des personnages.

Petit plus, j'ai apprécié les pauses musicales. Il y avait de bons textes.

Je remercie AudioLib et NetGalleyFrance pour cette découverte.

Cette lettre ouverte aux petits derniers de fratrie et ceux qui ne savent pas où ils vont et doivent aller m'a plu par son postulat initial. C'est une très belle ode à la découverte de soi même et aux liens familiaux, y compris dans leurs aspérités. J'ai adoré le fait que l'auteur lise son propre texte. Les passages rapés m'ont néanmoins surprise. Je ne sais toujours pas si j'y ai pris goût. C'était, à posteriori., un peu trop expéditif à mon goût. Même si l'alliance des deux voix et le parcours chronologique relaté, la brieveté m'a laissé un goût d'inachevé. J'ai cependant beaucoup aimé la plume et suis curieuse de découvrir de futurs textes

Un récit simple et touchant sur la résilience.

Dans son premier roman autobiographique, Anatole Edouard Nicolo raconte son enfance marquée par le divorce de ses parents, le déclassement social, et sa quête de lumière dans un quotidien difficile. Entre foyer social et "squat de luxe", il puise sa force dans le lien avec son frère et dans l’art, qu’il soit musical ou littéraire.

Avec des mots sincères et émouvants, Nicolo montre comment on peut se relever malgré les épreuves.

J’ai découvert ce roman en format audio, lu par l’auteur lui-même. L’histoire d’Anatole, marquée par les épreuves de la vie et la résilience, est sincère et émouvante.

Cependant, malgré la sensibilité du texte, je n’ai pas été complètement transportée par cette lecture, sans pouvoir vraiment expliquer pourquoi.

Cela dit, je recommande ce livre à ceux qui apprécient les récits de parcours de vie et les témoignages authentiques.

Roman en grande partie autobiographique, si j'ai bien compris, A l'ombre des choses retrace le parcours d'Anatole, de son enfance bousculée par le divorce de ses parents, des conséquences de celui-ci, jusqu'à l'arrivée vers l'écriture, en passant par une parenthèse de désillusion avec le passage avorté dans une école pour futurs footballeurs professionnels... et toujours, en ligne de fond, comme soutien, le frère aîné, G., qui trouvera, lui, sa voie dans le rap.

L'écriture est sobre, mais touchante de ce fait, notamment en ce qu'elle nous conte, finalement, une vie comme beaucoup, et les intermèdes "musicaux", laissant de la place aux paroles de G., montrent avec justesse la relation unissant les frères. La lecture qu'en propose son auteur est tout aussi sobre et donne ainsi parfaitement corps et sens au récit.

Je remercie les éditions Audiolib et NetGalley de m'en avoir permis la découverte.

Une jolie découverte dans sa version audio, un roman court et touchant sur les rencontres, les espoirs, les rêves de changer de vie, le tout inspiré de la vie de son auteur, un jeune homme un peu perdu, en quête de son avenir et d'une meilleure vie que celle qu'il a connu jusque là.
L'écriture brute et poétique m'a plue.
On aurait voulu encore un peu plus des passages en musique de son frère, le rappeur Georgio, qui répondent très bien au récit.

Anatole, le narrateur, est un jeune garçon au début du livre. Fin observateur, il pose un regard sincère et souvent lucide sur son quotidien. Après le divorce de ses parents, entre les sacrifices de sa mère, qui se démène pour offrir un avenir à ses fils, et l’influence rassurante de son grand frère G., Anatole avance. Un jour après l’autre. Il se perd parfois, mais il apprend, il mûrit, et surtout, il cherche sa place. Ainsi va la vie !
Ce récit est une mosaïque d’instants. Les chapitres, comme autant de petits moments qui façonnent une vie, montrent l’évolution d’Anatole et de ceux qui gravitent autour de lui. De sa famille à ses amis, en passant par ses voisins, chaque contact le façonne et l’aide à comprendre ce qui le distingue.
Le lien avec son frère, G. – sa boussole, rappeur connu sous le nom de Georgio, est le fil rouge de cette histoire. Anatole, longtemps resté dans l’ombre de ce frère brillant, trouve peu à peu sa propre lumière.
J’ai beaucoup entendu parler de ce roman avant de le lire ! Je ne sais jamais si c’est une bonne chose, mais ce qui est sûr c’est que sans savoir de quoi il en retournait, je l’ai démarré et dévoré en une journée.
La plume de l’auteur est d’une justesse rare : chaque mot, chaque image semble pensés pour toucher le lecteur en plein cœur. J’ai été captivée par cette capacité à mêler observation et réflexion, à offrir une histoire personnelle tout en invitant chacun à prendre du recul et à s’interroger sur ses propres choix et liens.
"J’ai compris que les êtres humains étaient faits pour migrer, que stagner les tuait à petit feu."
À l’ombre des choses, c’est l’histoire d’un gamin sensible, raconté par un jeune homme, avec la maturité d’un adulte. Un récit d’une profonde humanité, qui parle de famille, de résilience et de quête de soi. Une fresque intime où la musique et les relations humaines prennent toute leur place. J‘ai beaucoup aimé que la couverture du livre soit un morceau du puzzle de l’histoire.
La version audio, lue par l’auteur, avec des intermèdes musicaux de Georgio, est un plaisir inégalable ! Pour nous toucher au plus profond de notre coeur. Et ne jamais l’oublier.