Love on the brain

📚 Chronique AudioBook Time ! 📚
Hey les papoteuses et papoteurs de l'audio ! 🎧
Aujourd’hui, on replonge dans l’univers geek et scientifique de "Love on the Brain" d’Ali Hazelwood, lu par l’incroyable Marie Bouvet (9h40 de pure délice) et édité par Bragelonne & Audiolib ! 🌌
Alors, imaginez Bee Königswasser, une Jedi vengeresse aux cheveux violets, qui se demande à chaque situation "Que ferait Marie Curie ?" 👩‍🔬 (Oui, oui, vous avez bien lu !). Et là, la NASA lui propose de bosser sur un projet de neuro-ingénierie super balèze. Mais y’a un hic (évidemment !), elle doit codiriger le projet avec son ennemi juré de la fac, le ténébreux et mystérieux Levi Ward. 😱 Le mec qui, pendant des années, a gardé ses distances comme si elle était une supernova prête à exploser 💥. Mais devinez quoi ? À Houston, Levi commence à se détendre, et Bee remarque qu’il la regarde... vraiment beaucoup 👀. Est-ce que notre geekette de choc va tomber dans le piège des yeux verts hypnotiques de Levi ? Ou est-ce qu'elle va sortir son sabre laser et garder la tête froide ? 🤔
Déjà, un grand merci à #NetGalleyFrance et Audiolib pour cette pépite audio qui m’a complètement séduite ! 😍
Pour celles et ceux qui avaient kiffé "Love Hypothesis", vous allez retrouver cette vibe fun et ce ton résolument scientifique qui détonne et romantique. Ali Hazelwood reste fidèle à son style avec des anecdotes à gogo sur Marie Curie (sa crush absolue !), un humour qui fait mouche, et des comparaisons historiques complètement WTF mais tellement pertinentes ! 🧠
Bee est juste trop attachante avec sa manie de se demander ce que Marie Curie ferait à sa place avant de prendre une décision (Franchement, qui n’a jamais eu une obsession chelou ? 😂). Mais c’est aussi son esprit féministe ultra cool qui donne encore plus de peps à l’histoire. Oui, il y a des clichés et des stéréotypes, mais on va pas se mentir, c’est carrément savoureux et ça marche à fond ! 💥
Bref, "Love on the Brain" c’est la romance parfaite : pétillante, bienveillante, et tellement mignonne qu’elle file direct des papillons dans le ventre et un sourire XXL aux lèvres 😍. Si vous ne l’avez pas encore écoutée, foncez ! Vous allez adorer ! 💖
Alors, prêts à embarquer pour une mission à la Nasa avec Bee et Levi ? 🚀💫
#Loveonthebrain #NetGalleyFrance

Dans ce second opus, nous allons suivre Bee une neuro-ingénieure de génie et Levi un ingénieur avec autant de géni qu’elle et bien sur, aussi peu doué pour les relations humaines …

Bee et Levi, se sont déjà croisés à la fac, et les voilà des années plus tard sur le même projet, “le” projet, celui que l’on ne peut refuser …celui qui se passe dans un endroit contenant les fameuses quatre lettres …

Bée et Levi sont des électrons, et pas de ceux qui gravitent autour du même point, non ils sont les électrons les plus éloignés qu’il soit possible de l’être.

Bee Königswasser vit selon une règle simple …elle se demande toujours « que ferait Marie Curie » , oui oui elle se pose toutes les questions sous cet angle, dans cette situation comment la célèbre scientifique agirait …{ça m’a rappelé la boule oracle que j’avais reçue étant petite et que l’on secouait en espérant voir apparaître la réponse attendue mais revenons à notre sujet}.

Quant à Levi Ward, il est taciturne, d’une taille au dessus de la moyenne et sportif …

Bref, après s’être soigneusement évité pendant des années, ils vont devoir collaborer …mais si tout ça n’avait été qu’une succession de quiproquos …

Et bien, même conclusion pour ce deuxième volet que pour le premier…j’ai beaucoup aimé, j’ai souris, ri et pleuré, tout ça dans cet ordre et dans le désordre… j’ai adoré le côté totalement déjanté de Bee et la force tranquille de Levi …au delà de la romance, on est interpellé par le fait qu’il existe toujours des discriminations dans le monde scientifique, que les « sexes » ne sont pas égaux mais aussi dans la recherche pour avoir accès à certaines bourses permettant plus tard d’obtenir des postes clés… «  la classe sociale » qui est mise en cause, une romance mais pas que …

Mots clés 🔑 Romance NASA Féminisme Humour

N’ayant encore jamais lu les romances de cette autrice et étant moi-même ingénieure en sciences de formation, ce livre avait tout pour me plaire.

Un début prometteur : Bee chercheuse en neurosciences qui s’apprête à travailler sur LE projet qui lancerait sa carrière, une relation houleuse avec Levi, son binôme de recherche, de l’humour (y compris les vannes sur les ingé 😉) et des références à l’abnégation de Marie Curie face au sexisme permanent. Et en audio, la lectrice, Marie Bouvet, met tout son cœur à l’ouvrage pour une écoute agréable.

Mais vers la moitié du livre patatras…
Quelques longueurs, les échanges de sms avec les prénoms des expéditeurs à chaque début de phrase qui sont malheureusement pénibles à l’écoute et les scènes de smut torrides qui n’apportent strictement rien à l’histoire (ne doit-on rien nous épargner comme détails ?) voire même qui sont en contradiction avec le portrait des personnages brossé jusque là. Des célibataires endurcis qui deviennent des bêtes de s*xe 😂. J’ai plusieurs fois levé les yeux au ciel avec le vocabulaire employé dans ces scènes. Pitié, j’espère que ce livre n’est pas conseillé aux ados ? 🙉
Et un twist final sorti d’on ne sait où comme si la soucoupe du thriller avait débarqué de l’espace pour se poser sur la Terre-romance. 😳😂

En bref, une lecture agréable avec un humour plaisant mais une deuxième partie décevante.
J’ai malgré tout apprécié les mentions de neurosciences, la place occupée par les femmes dans ce milieu difficile, la difficulté à atteindre des bons postes et certaines formations,…

J'ai développé une relation d'amour mêlé de haine pour les romans de Ali Hazelwood. Je trouve génial qu'elle mette en avant des femmes scientifiques brillantes, souvent intégrées dans des milieux professionnels très masculins, une occasion immanquable pour évoquer le sexisme quotidien auquel elles sont souvent exposées. J'aime également la manière qu'elle a de faire naître les sentiments entre ses personnages. Les romances sont certes prévisibles mais également pleine de tendresse, basées sur la découverte de l'autre, le respect et la complicité au quotidien. Mais il faut bien admettre qu'il y a une chose qui gâche tout : les scènes de sexe.
Je n'ai rien contre ce qu'on appelle dans la blogosphère littéraire le "smut". Mais pourquoi Diable faut-il si souvent sur le love interest soit un type brun, immense, au larges épaules, taciturne qui "en a une énorme" et devient soudainement vulgaire quand l'objet de ses désirs s'offre à lui?
Lors de mes lectures audio j'ai à chaque fois eu l'impression que Tyler Durden avait casé une scène à sa sauce. C'est dommage. Développer l'intimité des couples dans les romances, je trouve ça important. Mais, parfois, elle est écrite avec maladresse et ne rend pas justice à la relation entre les deux protagonistes que l'on ne reconnaît même plus, comme si ces moments n'appartenaient pas à leur réalité.
Fort heureusement j'ai des dizaines de contre exemples sous la main mais ce n'est pas d'eux dont il est question aujourd'hui.
J'ai passé un très bon moment avec "Love on the brain". Bee est aussi peu perspicace et douée dans ses relations qu'elle est brillante dans le domaine scientifique, elle est également touchante et drôle.
Levi - un peu comme Adam dans TLH - se traîne une réputation désastreuse pour une raison bacale mais ça permet d'offrir un vrai contraste avec ce qu'il est vraiment, les codes de la romcom sont respectés et on aime les clichés ici.
Parce que, oui, il faut l'admettre, les romans que j'ai lu de Ali Hazelwood sont incroyablement clichés. Ses héroïnes ont beau mettre en avant leur combat contre le patriarcat, leur sentiment d'être à l'écart des normes de notre société, on reste quand même sur des filles qui vont tomber sous le charme du type qui remplit tous les critères du héro de comédie romantique standard. Et puis il est parfait et irréprochable tandis que tous les autres hommes autour ont été violents, menteurs, manipulateurs, etc. J'exagère à peine mais vous voyez l'idée. Puis elle est "la seule", pas comme les autres, toussa toussa. Je referme la parenthèse.
Ensemble, ils sont adorables, un concentré de guimauve pleine de neurones, je n'en demandais pas plus. La fin complément excessive et wtf m'a à peine fait tiquer. J'avais besoin de poser mon cerveau avec quelque chose de léger, c'est ce que m'a offert cette lecture et j'en suis ravie. J'ai même envie de poursuivre mon exploration des autres romans de l'autrice qui a également touché au YA et à la romantasy alors allons-y !
Marie Bouvet, lectrice du livre audio, a fait un travail remarquable d'interprétation qui colle parfaitement au style fluide et dynamique de l'autrice!
Un grand merci à Netgalley et Audiolib pour ce Service de Presse.

Love on the Brain est mon premier roman de la célébrissime Ali Hazelwood et j’étais très curieuse de le découvrir. Même si le résumé est tout ce que je déteste, j’en avais entendu du bien, alors j’ai profité du service de presse de NetGalley pour écouter le livre audio.

Premier point positif : la science. L’autrice maîtrise son sujet et m’a totalement plongée dans l’univers de la NASA, de la physique et dans les séminaires scientifiques. Et pour ça, c’était génial. Même le fanatisme de Bee pour Marie Curie était amusant, en plus d’être peu commun et intéressant. J’ai adoré les différentes anecdotes sur la physicienne.

Ensuite, la narration. N’étant pas une adepte de la première personne, surtout en romance, j’ai trouvé que dans Love on the Brain, la narration et la plume simple n’étaient pas mal. Pour une lecture audio, c’était parfait. En revanche, si on compte le nombre de redites (oui, Levi tu es grand, tu es baraqué et ténébreux), le roman pouvait bien faire 100 pages de moins.
Je veux bien que l’on soit dans la tête de (la toute petite) Bee, qu’elle soit complètement obsédée par (le colosse) Levi, mais nous rabâcher ce genre de détails en boucle a gâché ma lecture. Si j’avais voulu comptabiliser le nombre de fois que j’ai levé les yeux, j’aurais fini par m’endormir.
Et je le place ici, mais les références à la pop culture, ça passe ou ça casse. J’avoue que par moment j’ai pu trouver lourd cette passion pour Star Wars, alors que c’est loin d’être la seule œuvre du genre. D’autant qu’entre ça et le « style alternatif » de Bee, j’avais juste l’impression que l’autrice voulait la mettre en avant comme étant « pas comme les autres filles ». Ce n’est pas un mal en soi, dans les romances, c’est souvent le cas, mais dans ce roman, ça a pu être agaçant.

Cependant, je n’ai pas détesté Bee ni Levi. Ce ne sont pas des personnages qui vont établir domicile à côté d’Aren et Lara, MAIS j’ai apprécié leurs conversations. Quand elles ne tournaient pas autour de leur, soi-disant, haine mutuelle. Ils m’ont été plutôt sympathiques et l’attitude de Levi m’a plu, il avait un côté « faux ténébreux ».
Pour ce qui est des autres personnages… Bon. Il y en a un certain nombre et ils sont globalement inutiles. C’est dommage, car on ressent qu’ils sont là uniquement pour tel et tel événement, ils ne font pas intégralement partie de l’histoire, je ne sais pas si je suis la seule à avoir ressenti ça. Ce sont plus des prénoms que des personnalités.

Avant de parler de l’intrigue et des rebondissements, je dois évoquer les scènes de sexe. Elles sont omniprésentes à partir de la moitié du roman. Je sais qu’elles peuvent plaire à certain.e.s or, elles sont bien trop détaillées à mon goût. J’étais extrêmement mal à l’aise. Qu’une scène soit détaillée, pourquoi pas. Mais il s’agirait de doser quand le sexe devient le cœur du roman…

Je le dis franchement, absolument rien ne m’a surprise au cours du roman. On est capables de tout deviner à la seconde où un élément est évoqué (que ce soit l’histoire du donut ou le « plot twist »).
Les motivations de l’antagoniste sont tellement bancales. Le monde tourne littéralement autour de Bee et Levi ou quoi ?
Alors, je sais que Love on the Brain est une comédie romantique, que l’intérêt est le couple, mais même tout ce qui touchait à la relation entre Levi et Bee ne m’a pas étonnée…

J’ai un peu le cul entre deux chaises, parce que j’aurais voulu adorer ce roman, vu la popularité d’Ali Hazelwood. Or j’ai été assez refroidi et je pense me concentrer sur son œuvre plus jeune adulte (Check & Mate).

Pour finir, la version audio était très bien lue. Pas de voix caricaturées pour les hommes, Marie Bouvet a su s’approprier le roman et en faire une lecture agréable et addictive. (je n’aurais pas aimé être à sa place pour lire les scènes x…)

J'ai adoré cette audio lecture !! Je suis devenue fan de Ali Hazelwood ! Il faut absolument que je lise ses autres romans !
De plus la narratrice est pétillante et ajoute des intonations parfaites, au bon moment ! Un régal !
Bee jeune femme extravertie, aux cheveux violets, est experte en neuro sciences, et se voit proposer le boulot de ses rêves : travailler pour la NASA sur un projet de casque pour les astronautes. Le Hic c'est qu'elle se retrouve dans l'équipe de celui qu'elle considère comme son pire ennemi depuis l’université : Levi Ward...
L'écriture est enlevée et bourrée d'humour. Les phrases intérieures de Bee a Bee sont hilarantes !
Les situations et quiproquos n'arrêtent pas de se succéder et malgré tout l'émotion est très présente.
Levi est attachant dès les premières lignes même s'il ne dit pas un mot. Bee est irrésistible et drôle, même si parfois ses choix m'ont un peu fait lever les yeux au ciel j'avoue ^^
Les personnages secondaires sont aussi savoureux.
Le processus de création et d'élaboration du casque sensoriel m'a aussi beaucoup intéressé.
Le talent de l'auteure permet de nous intéresser aussi au sujet de la neuro science et de la rendre accessible aux incultes ^^
Bravo !!
J'ai avalé le roman en 2 jours, et je le conseille pour passer un délicieux moment d'écoute romantique et bien écrit.

Pépite !
Les personnalités des protagonistes sont merveilleusement bien décrites.
Levi est parfait dans son imperfection, tout comme Bee. Et ils se complètent à merveille.
Tout ça dans un domaine peu abordé : les Sciences, La Neuro-Ingénierie… ! Et avec des chats !
J’ai aussi beaucoup aimé l’intégration de Twitter dans le quotidien de Bee. On en apprend beaucoup.
Tropes :
- ennemies to lovers
- he falls first

Bee Königswasser est une jeune chercheuse américaine, une spécialiste en neurologie. Depuis l'obtention de sa thèse, elle vivote sur des petits contrats et subit le manque de reconnaissance de ses pairs et en particulier de ses supérieurs masculins. Pourtant Bee est brillante, extrêmement brillante mais comme elle est une femme, elle n'est pas reconnue à sa juste valeur. Bee est une fan absolue de Marie Curie, à tel point qu'à chaque moment de sa vie elle se pose toujours la question de savoir ce qu'aurait fait Marie à sa place. Et elle a utilisé ce mode de penser pour créer un compte twitter @QueferaitMarie sur lequel elle met en avant tous les problèmes que rencontrent les femmes STEM (Sciences, Technologie, Ingénierie, Mathématiques) au cours de leurs carrières. Elle a créé ce compte tel un défouloir, mais contre toute attente ce compte est devenu un énorme succès et elle est suivie par des milliers de personnes. Bien sûr, personne ne sait qu'elle est derrière les manettes ...

Alors quand l'opportunité de co-diriger une équipe de neuro-ingénierie à la NASA à Houston se présente, elle bondit de joie ... jusqu'à ce qu'elle découvre qui est en charge de ce projet avec elle: Levi Ward ! Le même Levi Ward qui l'a consciencieusement ignorée et évitée pendant ses études. Le Levi qui a refusé de collaborer sur un projet avec elle du temps de sa thèse et qui visiblement la déteste pour une raison qu'elle ignore. Six années sont passées mais dès le premier contact, BBeeee réalise que le géant sombre et beau gosse, la déteste toujours autant. Pas de soucis, elle en fera de même et restera professionnelle jusqu'au bout des ongles.

Ce que j'adore avec les romans d'Ali Hazelwood c'est son univers. Un univers de laboratoire de recherche que je connais bien et qu'elle retranscrit à la perfection. Même si son domaine n'est pas le mien, le fonctionnement des labos, les relations entre collègues et avec la hiérarchie sont très similaires. Et la conditions des femmes en sciences aussi ... Et là dessus Ali Hazelwood ne mâche pas ses mots. Bee est une combattante, contre les poncifs dans la recherche, contre les "pouvoirs des saucisses" (je pense que c'est assez clair pour ne pas avoir à expliquer), contre les politiques inefficaces mises en place etc etc ... Une idée proposée en labo par une femme ne sera respectée que si un homme la valide (ou s'il l'a soumet lui même). C'est partout pareil.

Mais n'imaginez pas que le roman n'est que militantisme, non loin de là. C'est drôle et enlevé. Et torride aussi ...
Levi est un ingénieur de renom, dont la réputation n'est plus à faire, mais aussi un sacré beau gosse. Bref, il est doué, mais aussi très respectueux et s'il évite Bee c'est qu'il a une bonne raison ou du moins il pense avoir une bonne raison.

Les interactions entre les deux sont délicieuses, mais le roman ne serait pas complet sans les personnages secondaires dont l'assistante de recherche de Bee, une jeune femme gothique à l'humour ravageur qui donne une touche très drôle à la lecture (ou plutôt à l'écoute).

Et puisque je parle d'écoute, on y vient. Marie Bouvet est juste parfaite ! Elle incarne Bee avec un talent de fou et il m'est maintenant impossible de dissocier la voix de cette narratrice du personnage de Bee. Pour être parfaitement honnête, je ne suis pas sûre que j'aurais donné la note maximale à cette romance parce que l'arc final est un peu grossier et venu de nulle part. Mais le talent de Marie Bouvet est tel qu'il magnifie le roman et j'en fais un coup de cœur. Sans hésitation !

C'est d'ailleurs souvent le cas en audio, je trouve qu'une romance moyen ++ devient carrément magnifique si l'interprète est bon (coucou Slimane Yefsah).

"Love on the brain" est une romance à découvrir en audio. Le support permet d'amplifier le plaisir et les talents conjugués de la narratrice et de l'autrice rendent l'écoute absolument délicieuse. Foncez, ça vaut le détour.

J'avais adoré The Love Hypothesis alors je n'ai pas hésité une seconde à découvrir cette nouvelle comédie romantique de Ali Hazelwood et une nouvelle fois je n'ai pas été déçue ni de l'histoire, ni de sa version audio, ni de sa narratrice qui a su rendre le roman addictif.

Dans cet opus, on a peut-être un peu moins de sciences, par rapport au premier roman, toutefois on a des supers sujets abordés dont notamment le sexisme dans ce milieu où le système de sélection qui est décrié et favorise certains rangs sociaux au détriment d'autres. Bref, vous l'aurez compris, même si on tombe dans les codes de la romance et de la comédie romantique avec des malentendus etc, on a tout de même quelques messages en toile de fond.

Bee se voit offrir une opportunité en or pour sa carrière avec une collaboration avec la NASA, mais le côté pile de la médaille apparait quand elle découvre qu'elle va devoir bosser avec Levi. Levi la déteste depuis toujours, ce qui pose un léger souci pour le travail d'autant qu'il ne répond à aucun de ses mails et ne fait même pas livrer le matériel dont elle a besoin. Bref, ça part mal !

Bon, je n'ai pas boudé mon plaisir, c'était prévisible, mais délectable, une petite vibe Vous avez un message également avec l'histoire des comptes Twitter. Il y avait des chats, des évanouissements, des assistantes un peu cinglées, du sexe (toujours trop, dans le sens où c'est pas dosé dans le roman, on a un loooong passage quand ils se décident, comme dans son 1er roman).

Bref j'ai hâte de lire une nouvelle romcom de cette autrice !

Bee est une jeune neuroscientifique dont l'idole est Marie Curie. Quand elle décroche le job de ses rêves, elle est aux anges. Quand elle apprend qu'elle va devoir codiriger la mission avec Levi Ward, son ennemi de la fac, elle tombe de haut. Mais Bee ne se laisse pas abattre et Levi pourrait bien devenir un allié.
Ali Hazelwood est décidément une excellente autrice. Car non seulement elle met au coeur de son récit une romance pleine de charme, mais elle n'oublie jamais de dénoncer les travers du milieu scientifique aux États-Unis, où les femmes sont particulièrement malmenées. Évidemment si tout finit par s'arranger, mais le message est toujours intéressant à répéter.
Mais revenons à nos moutons, où plutôt à nos héros qui vont devoir mener à bien leur mission malgré les bâtons qu'on va leur mettre dans les roues, tout en réussissant à s'avouer leurs sentiments. L'intrigue est menée d'une main de maître, prenante et pleine de rythme, rendant le roman difficile à lâcher.
J'ai écouté cette audiobook, porté par la voix de Marie Bouvet qui prête son timbre fluet à Bee (le roman est écrit à la première personne) et porte avec talent les péripéties de la jeune femme.
J'ai une nouvelle fois beaucoup aimé ce roman d'Ali Hazelwood et je suis curieuse de poursuivre mon exploration de son univers.

J'ai adoré ! Vraiment, je me sentais heureuse tout en lisant cette histoire. J'ai tout aimé. Et j'ai tellement ri.

Je suis tombée amoureuse de l'héroïne. Bee Königswasser et sa fascination pour Marie Curie. Ses traits d'humour. Ses angoisses face l'abandon. Son refus d'accorder sa confiance. Ses obsessions pour les colibris et les chats fantômes. Sa passion pour l'Empire contre-attaque. Et son aversion pour le beau Levi Ward.

En fait, elle ignore pourquoi celui-ci la méprise autant, mais tout a commencé à l'université. Aujourd'hui ils se retrouvent pour bosser ensemble. De quoi susciter quelques séquences de quiproquo très, très opportuns. Haha. Le lecteur a évidemment compris que Levi en pince pour Bee depuis belle lurette et qu'elle ne comprend rien car elle ne sait pas lire entre les lignes.

La relation va se nouer très naturellement. Avec du temps, des disputes, des explications. Il n'y a pas de drame, pas de rupture, parce qu'ils oublient de communiquer. Le schéma narratif rappelle certes The Love Hypothesis et c'est tout aussi bien, sans sentir le réchauffé.

J'aime aussi la façon dont Ali Hazelwood évoque les sciences et le monde universitaire, en dénonçant les travers et les incohérences, tout en rappelant que les sciences restent sexy et passionnantes ! Je suis également complètement fan des dialogues et des répliques des personnages. Ça balance comme une partie de ping-pong. C'est génial. J'ai d'ailleurs souri tout du long tellement je passais un bon moment.

Un dernier mot sur l'adaptation audio : impeccable. Le texte lu par Marie Bouvet donne à notre héroïne une saveur colorée si éclatante. C'est un bonheur à écouter. Je recommande, sincèrement.