Un printemps en moins
par Arnaud Dudek
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Date de parution 18 sept. 2024 | Archivage 29 sept. 2024
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Résumé
Le roman déchirant d’une enfance percutée par le harcèlement scolaire.
Quatorze ans : l’âge de l’insouciance, des parties de foot, des copains, des premiers flirts. Pour tout le monde, sauf pour lui. Gabriel est à l’hôpital, inaccessible aux mots de réconfort et aux remords de son père et d’une prof de son collège. Car les adultes n’ont rien vu venir. Ni les injures en classe ou sur les réseaux sociaux, ni ce matin de mai où Gabriel n’a plus supporté de voir son adolescence volée par ses harceleurs. Mais dans cette saison en suspens se puisent aussi des trésors pour l’avenir.
Le roman déchirant d’une enfance percutée par le harcèlement scolaire.
Quatorze ans : l’âge de l’insouciance, des parties de foot, des copains, des premiers flirts. Pour tout le monde, sauf pour lui...
Formats disponibles
FORMAT | Grand Format |
ISBN | 9782383110255 |
PRIX | 18,00 € (EUR) |
PAGES | 121 |
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Disponible sur NetGalley
Chroniques partagées sur la page du titre
Un printemps de moins, c’est un roman qui évoque le harcèlement scolaire. Et je dois dire que je trouve que c’est bien amené dans le livre.
Le sujet est d’actualité. J’ai beaucoup aimé l’idée de donner les points de vue de l’enfant, mais aussi de son entourage : son père, une prof, un de ses amis, l’officier de police judiciaire. Par ce biais, il y a le côté harcèlement mais aussi l’entourage qui n’a rien vu du mal-être de son fils ou ami. Il y a l’incompréhension, la culpabilité, le questionnement et forcément à un moment donné la question de la reconstruction, de l’après.
Et puis il y a surtout le point de vue de Gabriel, celui qui est harcelé. Et là aussi, j’ai trouvé ça assez bien vu. On commence par comprendre qu’il est à l’hôpital avant de comprendre qu’il y a eu tentative de suicide puis finalement d’en avoir les circonstances.
Le livre, de par sa construction, suit assez bien ce qui se passe dans la réalité. On découvre l’ampleur du harcèlement au fur et à mesure des pages et j’ai trouvé ça proche du réel avec un mécanisme insidieux. C’est violent, mais c’est aussi caché. Les enfants qui le subissent ne le disent souvent pas, pour ne pas inquiéter les proches mais aussi parfois par honte, alors que le harcèlement se subit dans et en dehors de l’école. Et en même temps, on ressent la détresse, l’envie que ça s’arrête.
Le livre aborde aussi, brièvement je le reconnais, l’autre côté : celui de harceleurs qui se retrouvent en garde à vue après la tentative de suicide d’un autre élève, et qui finalement sont en pleurs parce que ce sont des gamins. Enfin, il y a aussi la question de pouvoirs publics avec des effets d’annonces : des grenelles etc mais au final comment agissent-ils au quotidien ? Quelles solutions proposent-ils face au phénomène ?
C’est à mon sens un texte intéressant à lire. A paraître le 18 septembre.
Gabriel, Martin, Romane. L’un est un ado dans le coma à l’hôpital, l’autre est son père et la dernière est une professeur.
Les chapitres alternent d’un personnage à l’autre, nous permettant de découvrir petit à petit les personnalités de chacun et comment Gabriel est arrivé dans une chambre d’hôpital suite à une tentative de suicide.
Le père, Martin, séparé de la mère de Gabriel, auteur de poèmes qui ne se vendent pas et qui vit grâce à un boulot à mi-temps dans une agence de voyage. Un père qui voit son fils une semaine sur deux, un père qui n’a rien vu venir, qui ne comprend pas, tout allait bien, tout au plus quelques problèmes d’adolescents. Un père qui s’en veut et qui culpabilise.
Romane, prof au collège, qui a tout vu, le corps désarticulé, le sang, et qui visite Gabriel régulièrement pour prendre de ses nouvelles. Dans la salle des profs, on avait vu qu’il n’allait pas bien, qu’il était bousculé mais on avait dit : « ca va passer, demain ce sera un autre ». Ce n’était pas son élève mais elle se sent coupable de n’avoir rien vu venir ou de n’avoir rien fait.
Gabriel était harcelé par d’autres, au collège, sur les réseaux. C’est parti d’un rien et puis ça a pris de l’ampleur.
Comment les autres (ceux qui l’entourent de près ou de loin) passent-ils à côté des signes annonciateurs d’une catastrophe ? Comment, en tant que parent, ne peut-on rien voir ?
Harcèlement scolaire, cyber harcèlement, des faits, des écrits qui laissent des traces parfois indélébiles et qui poussent certains à passer à l’acte.
Un court roman où tout est dit en douceur malgré le thème ô combien difficile.
Un essentiel pour tout établissement scolaire, « juste » pour savoir et être au courant de ce qui pourrait se passer si …
Gabriel, 14 ans, est plongé dans un coma artificiel après s'être défenestré; son père, Martin et une professeur de français de son établissement qui lui a porté secours après sa chute, Romane, lui rendent visite chaque jour à l'hôpital.
Le roman aborde un thème malheureusement d'actualité, le suicide d'enfants ou d'adolescents suite à harcèlement scolaire au moment où un décret vient d'être signé, qui essaye d'apporter une solution, certes incomplète, en autorisant le transfert d'un élève coupable de harcèlement dans un autre établissement. Ce n'est plus à l'élève harcelé de partir pour se protéger, ce qui est déjà une reconnaissance du statut de victime et de ce qu'il a subi.
Les chapitres alternent les pensées des trois personnages et nous permettent, petit à petit, de comprendre ce qui a pu conduire Gabriel à une telle extrémité. Sentiment de culpabilité pour les adultes qui n'ont rien vu venir, rien compris malgré quelques signes épars difficiles à déchiffrer pour qui n'a pas été formé, malgré tout l'amour d'un père et toute l'attention d'une enseignante. Douleur insupportable de Gabriel face à la hargne gratuite, à l'humiliation continuelle, qui ne voit pas d'autre échappatoire que la mort. Quelques personnages secondaires apparaissent à la faveur d'un chapitre; ils symbolisent l'amitié qui ne suffit pas pour aider ou pour protéger, le modérateur des réseaux sociaux qui n'a pas saisi les conséquences dramatiques que peut avoir un cyber-harcèlement haineux et un policier qui insiste sur la nécessaire formation à ce fléau afin de mieux le comprendre et le gérer.
Ce printemps en moins, volé à la vie des trois personnages principaux est bien sûr celui de la peur, de la peine, des interrogations mais aussi celui de la renaissance, d'un lien très fort qui se noue entre eux, d'un échange qui permettra à chacun d'aller de l'avant, plus fort, plus conscient de ses forces et de ses faiblesses.
Un très beau roman sur un thème douloureux.
Un printemps en moins aborde le thème du harcèlement scolaire à travers un récit choral où les voix de plusieurs personnages, dont Gabriel, Martin et Romane, se relaient au fil des chapitres.
Gabriel, un jeune collégien, est plongé dans le coma après une tentative de suicide causée par le harcèlement incessant de ses camarades.
L’histoire se déroule pendant cet entre-deux, en explorant tour à tour les émotions et les perspectives du collégien, de son père, de sa prof et des autres impliqués de près ou de loin , offrant une vision immersive et humaine de cette tragédie. Bien que le récit du jeune Gabriel soit bouleversant, c’est la voix de Martin, son père, qui m’a émue aux larmes.
Malgré la gravité du sujet, l’écriture d’Arnaud Dudek, empreinte de poésie et de pudeur, parvient à insuffler une douceur accrochante et un peu d’espoir au récit.
Je recommande ce roman court mais intense, pour mieux comprendre les signes de détresse chez les jeunes et l’impact du harcèlement.
Martin, Romane et quelques autres prendront la parole les uns après les autres. C’est le tutoiement d’un interlocuteur imaginaire qui permettra au lecteur de s’immiscer dans la peau de cet ado malmené par la stupidité des adeptes de la haine en ligne.
Le style est percutant, les vérités sont énoncées, la culpabilité fait des ravages, trop tard. Chaque interlocuteur est mis au pied de son mur, un mur d’incompréhension et de regret. La rage de ne pas avoir agi à temps, de n’avoir par perçu le danger, de n’avoir rien empêché.
Ce n’est pas le premier roman écrit sur le harcèlement scolaire, mais c’est un des plus marquants. Pour la finesse de la transcription des ressentis, et pour l’économie de l’écriture qui évite la dilution du propos.
Un coup de coeur pour ce roman, pour lequel on aimerait penser qu’il pourrait changer les choses.
122 pages Les Avrils 18 septembre 2024
#Unprintempsenmoins #NetGalleyFrance
Gabriel, toi qui devrais courir sur les terrains de foot, rire avec tes amis, découvrir les premières lueurs des amours adolescentes, tu es aujourd’hui allongé, silencieux, dans un lit d’hôpital. « Un printemps en moins » qui t’a été volé, ton corps se repose, en suspens, mais ton esprit, lui, navigue entre les souvenirs, les douleurs, les non-dits, et les voix. « Il n’est pas désagréable, cet état flottant. Il est même infiniment plus agréable que l’état dans lequel tu te trouvais avant. » Ton coma est un silence assourdissant, un cri étouffé que personne n’a su entendre à temps. Pourtant, tout était là, à portée de regard, à portée de mots.
Les moqueries ont commencé doucement, comme elles le font souvent. Un commentaire, un geste, un rire en coin. Puis, elles ont pris de l’ampleur, se sont amplifiées, ont envahi ton quotidien, ton esprit, ta vie entière. Elles ont quitté les couloirs du collège pour se glisser sur les réseaux sociaux, cette arène impitoyable où l’on se cache derrière des écrans pour frapper plus fort. « Dormir un peu la nuit ? Si tu as les yeux cernés, si tu as le visage pâle, ce n’est pas parce que tu joues à la console. Ce sont les menaces et les insultes qui te font dormir d’un sommeil perturbé par de mauvais rêves, des rêves épuisants, c’est la haine qu’ils t’adressent depuis de faux comptes qui détruit ta confiance, te persuade que tu ne sers à rien. » Chaque insulte, chaque photomontage te blessait plus profondément que la veille, chaque jour était un nouveau combat contre l’humiliation. Un combat que tu as mené seul, sans armure, jusqu’au jour où la charge est devenue trop lourde, où tu as baissé les bras. C’est « Un printemps en moins » que tu as refusé de vivre… « Tu te demandes s’ils arrêteront quand tu seras mort. »
Tu n’as rien dit, Gabriel, parce que tu pensais sûrement que personne ne t’écouterait, que tout cela finirait par passer, comme ils disent souvent. Mais rien ne s’est arrangé. Au contraire, cette violence invisible s’est accumulée comme une pluie acide, ravageant tout sur son passage. Et maintenant, c’est toi qui es là immobile, dans une pièce où le silence fait écho à la douleur de ceux qui t’aiment. Tu flottes en équilibre, entre la vie et la mort, entre un passé trop lourd à porter et un avenir que l’on espère encore possible.
Mais Gabriel, sache-le, ceux qui t’entourent, même s’ils n’ont pas vu à temps, même s’ils n’ont pas compris, ils t’aiment. Ton père, Martin, est là, à ton chevet. Il n’a rien vu, lui non plus. Il se sent coupable, terriblement coupable, comme tous les parents qui n’ont pas vu venir l’effondrement de leur enfant. Il se demande comment cela a pu se produire. Il se dit qu’il aurait dû être plus attentif, qu’il aurait dû deviner, qu’il aurait dû poser plus de questions. Il se répète que, peut-être, un mot, une étreinte, un geste de sa part auraient pu tout changer. « (…) c’est à mon fils que je pense en soufflant sur ma fourchette, au coma de mon fils, à la souffrance de mon fils, au drame de mon fils, et ça me broie le plexus, et ça irradie chacun de mes os (…) »
Mais Gabriel, ton père n’a jamais cessé de t’aimer. Il est juste humain, lui aussi, avec ses fragilités, ses failles, ses manques. Il est cet homme qui jongle entre ses poèmes qui ne se vendent pas, ce travail à mi-temps qui lui permet tout juste de survivre, et ses moments avec toi, où il tente, maladroitement parfois, de te faire sentir que tu comptes pour lui. Il pensait que tout allait bien, il se disait que tu traversais une phase d’adolescence comme tant d’autres. Il n’a pas vu les ombres s’étendre sur ton sourire, il n’a pas entendu le silence qui s’installait entre vous. « Un printemps en moins », c’est le sien aussi, un moment où le temps s’est figé.
Aujourd’hui, il se bat avec cette culpabilité qui le ronge. Il voudrait revenir en arrière, refaire chaque instant, être plus présent, t’écouter mieux, voir les signes. Il se demande comment il a pu être si aveugle, comment il a pu passer à côté de ta souffrance. Et pourtant, ce n’est pas lui qui t’a blessé. Ce ne sont pas ses mains qui ont frappé ni sa voix qui t’a insulté. Lui aussi est victime de cette violence sourde, de cette brutalité qui s’infiltre dans les vies sans prévenir. Ton père, lui aussi, est plongé dans une forme de coma, paralysé par les « si seulement », les « et si ».
Il n’est pas le seul à se sentir responsable. « Elle pense : responsable, on l’est tous. » Romane, cette professeure qui passe parfois te voir à l’hôpital, elle non plus n’a rien vu venir. Pourtant, elle sait. Elle sait ce qui se passe dans les couloirs, dans la cour, dans cette jungle qu’est devenue l’école pour certains élèves. Elle savait que tu étais bousculé, que quelque chose n’allait pas. Mais on lui a dit, comme on le dit trop souvent « Oh, ça va tourner, aujourd’hui c’est Gabriel, mais demain, ce sera un autre. Faut pas prendre ces histoires au sérieux. » Elle a fermé les yeux, comme tant d’autres, pensant que ce harcèlement n’était que temporaire, une mauvaise passe. Elle regrette. « (…) elle avait pensé au garçon, à la souffrance qu’il devait ressentir, à ce que cela devait être, d’endosser l’habit du souffre-douleur. Non, ça ne forge pas, (…) Ça isole, ça brise, ça détruit. C’est sérieux. » Chaque jour, elle se remémore cette scène où ton corps s’est effondré, désarticulé, sous le poids de tout ce que tu portais. Chaque jour, elle se demande pourquoi elle n’a pas réagi plus tôt, pourquoi elle n’a pas osé intervenir.« Elle n’était pas au programme du Capes, l’impuissance. »
Ce « printemps en moins » qui t’a été volé, Gabriel, est aussi celui de ton père, de Romane, de ceux qui t’aiment et qui n’ont pas su te protéger. Mais maintenant, ils sont là, à ton chevet, à t’attendre. Ils revisitent leurs propres vulnérabilités, plongent dans leurs propres peurs, pour essayer de comprendre. Et peut-être, dans ce cheminement, trouveront-ils la tendresse nécessaire pour reconstruire ce qui a été brisé. Peut-être que, dans le silence de cette chambre d’hôpital, une forme de réconciliation est en train de naître.
« Environ 80 % des parents reconnaissent ne pas savoir exactement ce que leurs enfants font sur leur téléphone ou leur tablette ; je fais partie de cette immense majorité. Je ne flique pas, moi. Ne contrôle pas. Cela ne fait pas partie de mes valeurs. » Interrogeons-nous, cherchons sous les façades des rires artificiels, écoutons les silences.
« Un printemps en moins » est une ode à cette tendresse, celle qui, malgré tout, nous permet de nous relever, d’apprendre de nos erreurs, de réapprendre à aimer, à écouter, à voir. C’est un roman sur le harcèlement, mais c’est aussi un roman sur l’amour, celui qui ne s’éteint jamais, même lorsqu’il semble trop tard. Gabriel, sache que ce printemps volé n’est pas une fin en soi. Peut-être qu’un jour, tu te réveilleras, et que tu sentiras de nouveau la chaleur de ceux qui t’aiment, malgré tout.
Il reste la littérature, les mots d’Arnaud Dudek, son regard extérieur sur la cellule familiale, sa plume délicate pour dire les maux du monde, la tendresse et l’espoir de ceux qui restent « En revanche, la littérature panse merveilleusement les plaies. Elle est la bouée des chagrins grands comme des verres d’eau, des chagrins petits comme des océans. »
Je ne pouvais pas passer à côté de ce roman qui parle de harcèlement scolaire.
C’est un sujet qui me touche profondément et qui, selon moi, doit être mis en avant pour informer et sensibiliser le plus grand nombre.
Un Printemps en moins aborde le thème du harcèlement scolaire à travers l’histoire de Gabriel, 14 ans, qui, après avoir été harcelé à l’école et sur les réseaux sociaux, finit par commettre l’irréparable en tentant de mettre fin à ses jours.
Le roman alterne entre les points de vue de son père Martin, de son enseignante Romane, et de Gabriel lui-même.
Ces voix permettent de comprendre la souffrance vécue par l’adolescent, ainsi que la culpabilité et l’impuissance ressenties par les adultes qui n’ont rien vu venir.
Ce récit bouleversant nous immerge dans la tragique réalité du harcèlement et de ses conséquences dévastatrices.
Toutefois, malgré la puissance de ce texte, il laisse entrevoir une lueur d’espoir : celle de la résilience et de la reconstruction, malgré la souffrance.
Un texte puissant, sensible et émouvant, qui trouve une résonance particulière à une époque où, malheureusement, des enfants perdent encore la vie à cause du harcèlement qu’ils subissent.
Merci à l’auteur pour ce magnifique roman.
A lire évidemment.
Que s’est-il passé pour que Gabriel soit immobilisé en ce 8 mai férié ?
Pour que Martin soit impossible à consoler ? Pour que Romane se sente pleine de culpabilité ?
📱 Un roman court et percutant !
Voilà un roman qui ne laissera pas indifférent parce que Gabriel peut être partout : dans votre famille, parmi vos amis, vos connaissances, vos élèves…
Gabriel est victime d’un mal très actuel : le harcèlement. Et non contents de le malmener « de visu », ses bourreaux le poursuivent via son téléphone portable et sur les réseaux sociaux.
Ce roman fait entendre la voix de Gabriel, bien sûr, mais aussi de son entourage.
Regrets et culpabilité les envahissent alors que petit à petit l’auteur revient en arrière pour comprendre ce qu’il s’est passé.
Parmi les parents, le parti pris est de ne faire entendre que la voix du papa et j’ai adoré avoir son point de vue. Il est touchant dans son énorme amour pour son fils, dans sa maladresse, dans ses souvenirs d’enfance où lui aussi n’était pas
tout à fait comme les autres…
Un roman indispensable que je vous conseille mille fois 🖤
Un texte coup de poing sur les dégâts que peuvent provoquer le harcèlement sur les réseaux sociaux. Gabriel, 14 ans, s'est defenestré au collège. Tour à tour, son père, une infirmière, une professeur de français, se relaient à son chevet d'hôpital. On y entend la culpabilité, l'affaire de tous, mais aussi l'espoir.
Un roman marquant, à lire à voix haute.
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