Veuillez vous inscrire pour partager votre précieux avis.
Connectez-vous ou inscrivez-vous ici !
Bye bye Dubaï
par Muriel Zürcher
Connectez-vous pour accéder au titre. Connectez-vous ou inscrivez-vous ici !
Envoyer des titres NetGalley directement à votre Kindle ou votre application Kindle.
1
Pour lire sur votre Kindle ou dans votre application Kindle, merci d'ajouter kindle@netgalley.com en tant qu'adresse e-mail approuvée pour recevoir des documents dans votre compte Amazon. Veuillez cliquer ici pour des instructions détaillées.
2
Ensuite, retrouvez votre adresse e-mail Kindle dans votre compte Amazon et ajoutez-la ici.
Date de parution 18 sept. 2024 | Archivage Aucune
Vous parlez de ce livre ? N'oubliez pas d'utiliser #ByebyeDubaï #NetGalleyFrance ! Cliquez ici pour plus de conseils
Résumé
La popularité de Léonie tient en trois syllabes : Tatara. Avec cette petite chienne, elle fait craquer tous les abonnés de son compte TakTam ! Sa célébrité l’a conduite à Dubaï, aux côtés d’influenceurs aussi ambitieux qu’elle.
Devant la caméra, Léonie respire le bonheur et la gloire. Mais la réalité est bien différente : son agente est obsédée par les chiffres, et sa vie de rêve est rythmée par les mises en scène. Alors quand Tatara déclare une allergie aux teintures et que Léonie se retrouve en concurrence avec les autres talents de son agence, tout s’effondre.
Quels sacrifices est-elle prête à faire pour rester dans la ville de tous les possibles ?
La popularité de Léonie tient en trois syllabes : Tatara. Avec cette petite chienne, elle fait craquer tous les abonnés de son compte TakTam ! Sa célébrité l’a conduite à Dubaï, aux côtés...
Formats disponibles
FORMAT | Autre |
ISBN | 9782278128785 |
PRIX | 15,90 € (EUR) |
PAGES | 224 |
Disponible sur NetGalley
Chroniques partagées sur la page du titre
Léonie est une jeune influenceuse de 17 ans devenue célèbre grâce aux vidéos réalisées avec sa petite chienne Tatara. Repérée par une agence, elle est « invitée » à Dubaï avec d’autres talents. Elle qui auparavant voyait ces vidéos comme le moyen de gagner beaucoup d’argent et de se redonner confiance en elle réfléchit de plus en plus à son rôle et devient réticente face aux exigences sans scrupules de son agent. Jusqu’où est-elle prête à aller pour gagner quelques likes ?
Les personnages qui au début semblent lisses et caricaturaux semblent gagner en profondeur au cours du récit. Ce roman montre la contrepartie du succès des influenceurs entraînés dans une spirale infernale et faire toujours plus pour gagner des followers, ou tomber de leur piédestal.
J’ai apprécié ce récit dynamique sur l’univers impitoyable des influenceurs et le recommande aux jeunes lecteurs.
Merci aux Editions Didier Jeunesse et à Netgalley pour cette belle découverte
Plongée dans le monde des influenceurs, j'ai dévoré l'histoire de Léonie, une jeune fille propulsée à Dubaï grâce à sa popularité sur les réseaux sociaux... et à sa petite chienne Tatara 🐶.
Mais quand la façade parfaite se fissure, tout s'effondre pour Léonie.
Que faire quand ta vie est une mise en scène permanente ?
J'ai vraiment aimé ce roman qui nous montre l’envers du décor des influenceurs et de la vie à Dubaï.
Les émotions de Léonie et des autres personnages sont si bien décrites qu’on ne peut qu’être touché par leurs épreuves. Muriel Zürcher a une plume fluide et agréable, qui rend cette lecture captivante du début à la fin.
Un récit plein de rebondissements qui soulève de vraies questions sur la pression des réseaux sociaux et la quête de la perfection. La dure réalité des conditions des travailleurs immigrés poussent également à s'interroger sur ce qui ce cache derrière les paillettes et les belles photos. ✨
Un grand merci à @didierjeunesse et @netgalleyfrance pour cette découverte enrichissante ! 🙏
📢 Et vous, que pensez-vous de l’univers des influenceurs ?
Fascinant ou terrifiant ? 🤔
#ByebyeDubaï #MurielZürcher #Influenceurs #RéseauxSociaux #Bookstagram #LectureJeunesse #DidierJeunesse #NetGalleyFrance #NosAventuresLittéraires #RomanJeunesse #CoulissesDesInfluenceurs #CoupDeCoeur #bookreview
Léonie fait le buzz avec des vidéos mettant en scène sa petite chienne. Régulièrement, elle colorie ses poils et c'est le succès. Elle est même invitée à Dubaï ! Quand l'animal déclare une allergie aux teintures, et ne cesse de se gratter, la jeune fille voit son agent prendre un autre ton, la concurrence est rude. Est-elle prête à sacrifier la santé de son chien pour le succès ?
Un regard sur le show bizz, le succès, les recherches de clics à tout prix. Léonie semble superficielle au départ, mais se trouve un peu prise dans un engrenage mais son amour pour son chien va lui ouvrir les yeux.
Le livre aurait pu être un peu trop didactique ou caricatural mais l'autrice réussit à éviter beaucoup d'écueils. Léonie et sa chienne Tatara ont été repérées sur TakTam par une agente qui les a fait venir dans une villa à Dubaï. Elles y côtoient une influenceuse lifestyle et un influenceur sport. le créneau de Léonie c'est sa chienne grâce à laquelle elle a percé sur TakTam en lui faisant des teintures. Mais quand Tatara commence à faire une grosse réaction allergique à celle-ci cela remet tout en cause.
On a différents points de vue sur l'activité d'influenceur, la vie à Dubaï, etc Tout est bien documenté, assez nuancé. Malgré tout il y a aussi des rebondissements et même une fin haletante qui rendent le livre vraiment prenant et intéressant au-delà du sujet principal traité.
Un roman pour ados sympa car il fait réfléchir sur cette situation et ce nouveau "métier": influenceur"
Léonie a 16 ans et part avec son agent sur Dubaï pour vivre de son influence sur les réseaux sociaux avec son chien qu'elle teint avec des teintures.
La chienne est populaire et le compte de Léonie grimpe. Elle habite avec d'autres jeunes qui sont ici pour la même chose faire grimper leurs comptes!
Jusqu'au jour où la chienne fait de graves allergies aux teintures et la jeune fille est prête à se mettre toute nue pour sauver sa chienne et ses abonnées!!
Son agent fait tout pour qu'elle gagne des followers jusqu'à lui mentir...
Jusqu'où Léonie est-elle prête à aller pour gagner en popularité?
Comment cette histoire va-t-elle se finir?
Que faut-il penser de tout cela?
Ce roman est à mettre dans beaucoup de mains d'adolescents car il montre bien l'envers du décor de ce "métier"
Jusqu'où sommes nous prêt à aller pour avoir de la popularité sur les réseaux sociaux? Protège -t-on assez nos jeunes contre cela?
Ce roman fait réfléchir .
Un roman original, une plongée vertigineuse dans le monde déformé des influenceurs sur les réseaux sociaux. La vie de luxe à Dubai et la célébrité cachent de sombres coulisses et une réelle distorsion entre vie filtrée et vie réelle. L’ultra superficiel ne tiendra pas face à la vague de la réalité. Ce roman peut être un excellent support d’éducation aux médias et à l’information, à l’heure où les créateurs de contenus sont adulés comme des stars.
Merci aux éditions Didier Jeunesse et à Netgalley pour l’envoi de ce roman.
Hello ! Aujourd’hui on se retrouve pour la chronique d’un roman contemporain qui met à mal les clichés autour de l’influence sur les réseaux : Bye bye Dubaï de Muriel Zürcher.
J’avais déjà beaucoup aimé la plume de l’autrice avec Robin des graffs (qui, fun fact, fait partie des chroniques les plus lues du blog) et j’étais donc curieuse de la redécouvrir avec un sujet très différent, autour de l’influence.
Sans surprise, Bye bye Dubaï se lit tout seul (j’ai été tellement absorbée que j’ai lu la moitié en une soirée sans m’en rendre compte). Il y a une belle morale mais pas niaise, un cadre de rêve pas si magique et une intrigue simple mais prenante. Bref, une très bonne lecture, rapide et facile qui plus est, qui plaira aisément aux fans de contemporain !
~ Retour sur cette lecture ~
Léonie et Tatara
Léonie est une influenceuse TakTam (réseau fictif mélangeant Tiktok et Instagram). Avec sa petite chienne trop mignonne, elle génère des millions de vue qui lui ont valu d’être repérée par une agence et de déménager à Dubaï.
Du haut de ses 16 ans, elle profite pleinement de ce qui lui arrive avec une certaine innocence. Elle aime véritablement sa chienne, Tatara, et se sent souvent en décalage avec le décor luxueux dans lequel elle évolue.
J’aime le fait que même si elle est à fond dans la course aux likes, elle se soucie également de Tatara et l’aime sans concessions, ne la considère pas comme un accessoire. C’est d’ailleurs sa morale et son attachement pour sa chienne qui vont devenir un problème aux yeux de son agente, alors qu’elle refuse de faire les teintures qui lui rapportent tant de vues sur TakTam…
Loin du cynisme qu’on a pu voir dépeint dans certains romans avec des thèmes similaires (Les enfants sont rois par exemple), Léonie est spontanée et veut juste être aimée. Contrairement d’ailleurs à certains personnages secondaire du roman, beaucoup plus calculateurs !
Des fragments d’autres points de vue
Aux endroits clés du récit, Muriel Zürcher fait surgir le temps d’un chapitre d’autres points de vue. La manager de Léonie, sa mère, la maid de la villa… Et même Tatara ! Ces coupures intelligemment placées nous permettent de mieux comprendre la situation et l’histoire, avant d’en revenir à Léonie. On découvre ainsi les inégalités à Dubaï, les conditions et le milieu social dans lequel Léonie a grandi, le plan ourdi par Angélique… Le fait qu’on puisse prendre du recul sur l’histoire et découvrir un peu de la psychologie des personnages secondaires est un vrai plus à mes yeux !
Les dessous de l’influence
Mise en scène permanente, obsession pour les chiffres, calculs et coups bas font partie du quotidien à la villa. Léonie partage cette résidence avec Angélique, sa manager, et Paulo et Pimprenelle, deux autres ados influenceurs.
Le roman livre un quotidien derrière les paillettes qui ne fait pas du tout rêver : une course aux likes et à la création du contenu le plus engageant, un souci permanant pour son image, la pression de la manager sans compter l’impact écologique de leur mode de vie… On découvre des personnages prêts à tout pour percer (ou dans le cas de Léonie, prête à tout pour Tatara) et des échanges hauts en couleur entre les coups bas (pas forcément surprenants mais bien malveillants), la stagiaire qui n’aime pas son job (une pépite ce personnage !) et la manger qui menace ses talents (vous allez adore la haïr).
Je ne savais pas trop où l’autrice allait nous emmener avec l’intrigue et je suis agréablement surprise du résultat. C’est à la fois presque too much et inattendu, avec quelques surprises bien pensées. J’aime l’évolution des personnages, les révélations, et la morale de l’histoire qui est prévisible mais bien ammenée.
En conclusion
Avec Bye bye Dubaï, Muriel Zürcher signe à nouveau un contemporain surprenant à la lecture fluide. Un roman qui pourra vous plaire si la thématique vous intéresse, et une autrice que je vais continuer de suivre !
Léonie ne brillait pas en cours, elle n’avait pas d’amis et sa mère ne l’aidait pas non plus à surmonter ses difficultés. Quand les vidéos qu’elle tournait avec sa chienne Tatara, une femelle Coton de Tuléar, ont commencé à faire le buzz sur les réseaux sociaux, elle y a vu une opportunité de devenir populaire et de tracer sa propre voie. Aujourd’hui déscolarisée et hébergée à Dubaï par son agente aux côtés de Paulo, le fan de muscu, et Pimprenelle, adepte de lifestyle, elle est poussée à produire du contenu à longueur de journée, quitte à être hors-sujet vis-à-vis de son feed de petfluencer. Les statistiques de chacun de ses posts sont passées au peigne fin, et vient bientôt le moment tant redouté où ces fameux chiffres sur TakTam ne suffisent plus à justifier les dépenses liées à ce quotidien extraordinaire qu’elle savoure ces derniers mois à Dubaï. Quand Tatara déclare une allergie aux teintures que Léonie utilise sur sa belle fourrure blanche et qui sont depuis le départ sa marque de fabrique, c’est l’intégralité de ses rêves d’avenir qui s’écroule tout à coup.
Avec ce roman, Muriel ZÜRCHER démontre le caractère éphémère de la gloire sur les réseaux sociaux, où l’ascension d’un compte est souvent aussi fulgurante que sa chute. Rien n’est jamais gagné, il faut sans cesse innover, maintenir l’attention d’un public qui a si vite fait de passer à autre chose parmi l’infinité de contenu disponible en ligne. Il faut ruser, calculer, planifier, et la passion en vient alors à tristement ressembler à un business plan. Léonie est encore si jeune, elle est de surcroît mal encadrée entre une mère laxiste et une agente qui ne se montre gentille que lorsqu’elle peut en retirer quelque chose. L’autrice dépeint avec justesse cette naïveté qui caractérise Léonie, bien normale de par son âge et son manque d’expérience. Dans son entourage, plusieurs personnes complotent contre elle par ambition, elles tissent leur toile autour de Léonie sans que cette dernière ne voit rien venir… jusqu’à ce qu’il soit trop tard.
Muriel ZÜRCHER expose sans concession les pressions subies, les manipulations de tout bord, les jalousies, les comportements opportunistes qui mènent à d’écœurantes trahisons. Tout ceci amène Léonie à douter d’elle-même et de ses choix au lieu de se fier à son instinct. Des doutes qui vont l’amener au pire endroit possible. Sans s’en rendre de suite compte, elle donne raison à ses détracteurs qui l’accusent d’instrumentaliser Tatara pour son profit personnel. Pour moi qui adore mes chiens, certains passages m’ont mise mal à l’aise, en colère même parfois, mais ils étaient nécessaires pour mieux alerter la jeunesse des risques encourus à vouloir surfer sur ces vagues de célébrité illusoire et de faux-semblants. Le risque de compromettre sa réputation contre de simples likes, celui de se perdre soi-même à force de vouloir plaire à des inconnus, celui de perdre ce qu’on a de plus cher dans la vie à trop courir après des chimères, en perdant de vue ce qui fait vraiment le sel de la vie.
Avec ce titre, l’autrice invite son lectorat à rester authentique, envers et contre tout. Un message d’autant plus engagé qu’elle en profite pour évoquer la précarité des petits employés de Dubaï. Eux qui évoluent en cuisine, au ménage ou sur les chantiers, loin des paillettes, du glamour et de l’argent qui coule à flot, voient leurs conditions de vie et leurs contrats de travail s’apparenter à de la traite d’êtres humains. Si les interactions au sein de la villa suivent des schémas classiques, le récit prend vers la fin un virage à 180° difficile – voire impossible – à anticiper, tout en restant fidèle au message qu’il véhicule. Une belle prouesse que l’on ne peut qu’applaudir, et qui confirme mon intérêt pour la construction un soupçon atypique des romans de Muriel ZÜRCHER, que j’avais récemment découverte dans « La fille qui creusait un trou dans la forêt » .
Dans ce roman, nous faisons la connaissance de Léonie, une très jeune influences, installée à Dubaï. Elle est accompagné de Tatara, son fidèle compagnon à quatre pattes? Quand la petite chienne va faire une réactions aux produits utilisés par sa propriétaire, la jeune influences voit les problème arrivaient...
Ce roman jeunesse m'a beaucoup plu tant par la forme que par le contenu. Je suis maman d'un adolescent et tata d'adolescentes et autant vous dire que de devenir Influenceur/Influenceuse est le métier IDEAL ... Chacun de mes ados auront sans hésiter ce livre au pied du sapin !!
Léonie est une influenceuse reconnue grâce à Tatara, sa petite chienne. Elle vit à Dubaï avec d'autres influenceurs, dans une villa louée par l'agence de talent qui l'emploie. Mais quand sa chienne fait une allergie aux produits qu'elle utilise, Léonie voit son monde s'écrouler et va devoir faire des choix.
J'ai été très agréablement surprise par ce roman jeunesse. Car si la quatrième de couverture promettait une plongée dans l'envers du décor des réseaux sociaux, le roman est assez féroce dans sa description. Alors, attention, çà reste un roman jeunesse, mais Léonie va traverser des épreuves qui mettent en lumière les pratiques douteuses du milieu.
On est pris par un récit plein de rebondissements, qu'on peine d'autant plus à lâcher qu'on s'attache facilement à Léonie, et surtout à sa petite chienne. Les personnages secondaires sont intéressants, certains attachants, d'autres détestables, et apportent tous vraiment quelque chose à l'intrigue.
Un roman prenant à mettre dans les mains des ados pour leur montrer l'envers de la vie pas si rêvée des influenceurs.
Voici mon retour de lecture sur "Bye bye Dubaï" de Muriel Zürcher.
La popularité de Léonie tient en trois syllabes : Tatara.
Avec cette petite chienne, elle fait craquer tous les abonnés de son compte TakTam ! Sa célébrité l’a conduite à Dubaï, aux côtés d’influenceurs aussi ambitieux qu’elle.
Devant la caméra, Léonie respire le bonheur et la gloire.
Mais la réalité est bien différente : son agente est obsédée par les chiffres, et sa vie de rêve est rythmée par les mises en scène.
Alors quand Tatara déclare une allergie aux teintures et que Léonie se retrouve en concurrence avec les autres talents de son agence, tout s’effondre.
Quels sacrifices est-elle prête à faire pour rester dans la ville de tous les possibles ?
"Bye bye Dubaï" est un roman pour ados qui nous emmène dans le monde impitoyable des influenceurs, à Dubaï.
Influenceur, un métier qui fait rêver certains, et amusent ou en agacent d'autres.
Ce "métier" me laisse un peu perplexe.
Cela me fait sourire quand j'entend certaines étudiantes avec qui je travaille le week-end ou pendant les vacances scolaires me dirent qu'elles ont un compte sur Instagram ou Tik Tok et qu'elles essayent de le faire grandir. J'avoue que c'est un monde qui me laisse un peu dubitative.
Quand ma petite cousine de 11 ans se cache dans un mariage pour faire une vidéo sur Tik Tok alors que ça lui a été interdit.. qu'en penser ??
Appréciant la plume de Muriel Zürcher, j'étais curieuse de découvrir son regard sur ce monde très particulier et sur Dubaï. Je n'ai pas été déçue :)
Tatara est une petite chienne qui a rendue sa propriétaire de 16 ans, Léonie, célèbre. Quelques teintures sur l'animal, un peu de chance et la jeune fille est repérée par Angélique, agent de célébrités à Dubaï.
A 16 ans, donc, la jeune fille quitte sa maman et s'installe au soleil avec trois autres influenceurs et leur agent.
Mais, exercer ce métier est loin d'être facile. Il faut faire beaucoup de vidéos, scroller, contrôler son image et sans cesse vérifier le nombre de ses followers. il fait envie ce travail, pourtant le paradis peut rapidement se transformer en enfer, comme le découvre rapidement Léonie.
16 ans, livrer à elle même ou presque, avec une maman qui ne voit que les paillettes pas la réalité..
Quand la petite chienne fait une allergie aux teintures, la pression est de plus en plus là. Résultat : l'adolescente commence à se poser de plus en plus de questions..
J'ai beaucoup aimé ma lecture. Je me suis facilement mise dans la peau de Léonie. Ce qu'elle vit est une vraie chance, toutefois comme dans tout travail il faut donner de soi. Encore plus quand les paillettes brillent un peu trop facilement.
L'autrice nous montre l'envers du décor et certaines scènes m'ont fait mal au cœur. La chienne n'a rien demandé ! A un moment on a son point de vue (tout comme on a celui de la ville, de la bonne à tout faire, etc..) et ça m'a mis mal à l'aise. Sur les réseaux sociaux on instrumentalise les animaux, sans penser à mal mais parfois cela peut s'apparenter à de la maltraitance.
L'autrice montre également que loin des paillettes, cette ville n'est pas un paradis pour tous, notamment pour les travailleurs de l'ombre. Les gouvernantes peuvent être séparées de leurs familles pour une "vie meilleure" qui n'est qu'une illusion. En effet, ces personnes travaillent pour une misère sans compter leurs heures.
Bye Bye Dubaï est un bon roman, avec une fin différente de ce que je m'attendais en démarrant ma lecture ; mais je n'ai pas été déçue.
Il y a de nombreux rebondissements, à aucun moment je ne me suis ennuyée.
Je le recommande et le note quatre étoiles :)