Connaissant l’auteur, je me suis plongée dans ce roman en cherchant où il allait me surprendre. Si vous avez déjà lu Sébastian Fitzek, vous savez qu’il réussit toujours à nous tromper.

Ses thrillers nous plongent dans les tourments psychologiques de ses personnages principaux, dont nous savons pertinemment qu'on ne peut ni se fier à eux ni leur accorder notre confiance, et pourtant…

Marla souffre d’une maladie qui l’empêche de reconnaître les visages des gens. À la suite d’un accident, dont l’existence est remise en question par son thérapeute, elle est invitée à un week-end dans un chalet, à l’occasion d’une réunion d’anciens élèves. Mais ce week-end prend vite des allures de jeu d’évasion, où une des règles fixées dès le départ est qu’il ne pourra y avoir qu’un seul survivant. Mais pourquoi toute cette mise en scène ?

Comme à son habitude, l’auteur dissimule habilement les rouages de l’intrigue, et au final, il m’a encore bien eue.

Je tiens tout d'abord à remercier les éditions @L'archipel et @Netgalley pour l'envoie de ce thriller.

On peut définitivement dire que Sebastian Fitzek a réussi à m'embarquer dans une histoire de malade dès les premières pages ! Je l'ai littéralement dévoré en seulement 2 jours. Une fois commencé, on ne peut clairement plus le lâcher car l'histoire nous hante, on atterri dans un univers glauque où la réalité n'est peut-être pas si facile à comprendre.
C'est cette étrangeté qui m'a poussé à le lire quasiment d'une traite, les questions, les suppositions, les hypothèses se sont enchaînées jusqu'au dénouement final.
Un final haut en couleur, épatant, bluffant. Je me suis retournée le cerveau, triturée les méninges durant tout le roman.

Finalement, les apparences peuvent se révéler bien trompeuses.
Un grand bravo à Sebastian Fitzek, qui signe un thriller mené d'une main de maître, où la tension est à son comble et où la pression ne faiblie pas.

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