Un prince à aimer
par Annie West
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Date de parution 1 janv. 2016 | Archivage 14 juin 2016
Harlequin France | Harlequin
Résumé
Un prince à aimer, Annie West
Chargée par le prince Alaric de Ruvingie d'étudier l'histoire de sa famille, Tamsin découvre bientôt de vieilles archives qui pourraient bien remettre en cause l'ordre de succession du royaume, et placer Alaric sur le trône ! Pourtant, elle hésite à poursuivre ses recherches. Car non seulement elle éprouve un trouble grandissant en présence du prince, un play-boy invétéré, mais ce dernier manifeste un étonnant manque d'enthousiasme pour les découvertes dont elle lui a fait part. Pis, il semble même se méfier d'elle...
Un prince à aimer, Annie West
Chargée par le prince Alaric de Ruvingie d'étudier l'histoire de sa famille, Tamsin découvre...
Formats disponibles
FORMAT | Ebook |
ISBN | 9782280360234 |
PRIX | 2,99 € (EUR) |
Chroniques partagées sur la page du titre
Harlequin lance un Hors Collection numérique avec des rééditions et des nouvelles couvertures sexy, intitulée Calendrier 2016. Jusqu’en décembre, un auteur différent dans toutes les collections de la maison. De quoi attirer tout le monde.
C’est Annie West qui inaugure l’année.
J’ai beaucoup aimé son histoire, avec des personnages très sympathiques. Le héros est plutôt sombre mais quand on connaît son passé, on comprend pourquoi et on excuse même son comportement envers l’héroïne. Cette dernière est effacée, pas très sûre d’elle, et essaie de panser son cœur, et surtout son orgueil blessé. On comprend qu’elle ait du mal à faire confiance au héros, d’autant qu’elle n’a pas entièrement tort de se méfier.
On se demande pendant un bon moment comment elle va réagir quand le héros avoue certaines choses, et on n’est pas déçu. Tout comme j’ai apprécié les excuses du héros. La fin est toute belle également, et la décision du héros est tout à fait acceptable.
A titre d’information, Annie West a également écrit l’histoire de Raul, le cousin de notre héros, dans son roman Chantage pour une princesse (Prince of Scandal)
Il faut savoir que ce ne sont pas romans mais plutôt des mini-romans ou nouvelles qu’on aura dans ce calendrier et que ce sont des rééditions de livres qui sont déjà sortis. Ici, pour « Un prince à aimer », l’histoire fait 130 pages et c’est une réédition car elle est déjà sortie en juin 2011 sous le même titre. Pour ma part, j’avoue que ça ne me dérange pas du tout que ce soit des histoires qui ont déjà été publiées dans le passé car ça nous permet de les découvrir ou les redécouvrir. Je sais que ça sera pour moi 12 découvertes pour 12 mois.
Annie West était une auteure que je ne connaissais pas du tout alors j’étais impatiente de commencer cette lecture. Je savais que ça se lirait rapidement vu que c’est assez court et qu’on entrerait rapidement dans le vif du sujet. Et définitivement… J’étais aussi impatiente de rencontrer le prince Alaric parce qu’on a tous rêver un jour du prince charmant.
Ce roman, c’est une belle surprise même si c’est assez court et que j’aurais voulu que des choses soient un peu plus développés… Néanmoins, à mes yeux, ce n’est pas la faute de l’auteure, mais plutôt du format court de l’histoire.
On fait la rencontre de Tamsin qui est une jeune femme passionnée par les livres et qui est une sorte de conservatrice. Elle découvre, par hasard, une information capitale dans l’histoire de la famille du prince Alaric et elle doit lui en faire part et faire des vérifications d’usage. C’est comme ça qu’elle rencontre le prince Alaric qui est loin d’être un prince charmant. En effet, quand celui-ci la rencontre pour la première fois, il se bat entre son désir pour elle et le fait que l’information qu’elle détient peut-être très dangereux pour sa famille et pour lui.
C’est vrai que dès le début de l’histoire, on entre dans le vif du sujet avec la première rencontre entre Tamsin et Alaric. Il n’y a pas de temps mort et heureusement car comme je l’ai dit précédemment l’histoire n’est pas très longue. Alaric est loin d’être un prince charmant mais on ne peut que s’attacher à lui rapidement car il n’a pas une vie très facile malgré le fait qu’il soit prince. J’ai vraiment apprécié le fait qu’on en apprend un peu plus sur passé et sur les démons qui le hantent.
En ce qui concerne Tamsin, j’ai apprécié que derrière le côté jeune femme sage, sérieuse et même un peu coincée, se cache une femme sûre d’elle et qui sait ce qu’elle veut. Elle m’a surprise à plusieurs reprises et c’est agréable. Elle ne se laisse pas faire et n’hésite pas à remettre le prince Alaric à sa place même si pas encore assez à mon goût. En même temps, c’est un prince… Pas si facile que ça.
Pour résumer et conclure cette chronique, je dirais que cette première nouvelle pour le mois de janvier est une belle découverte et que je suis impatiente de découvrir les autres tout au long de l’année 2016. Ce calendrier est vraiment l’occasion de découvrir ou de redécouvrir des mini-romans tombés dans l’oubli. Pour ma part, j’adhère vraiment à ce concept.
Lorsque je suis allée fin décembre sur Paris aux Harlequeen Days, j'ai eu l'immense plaisir d'avoir en cadeau ce vrai calendrier et j'avais donc hâte de découvrir quelles histoires et quels héros se cachaient derrière ce premier mois. Janvier commence donc très bien avec une romance Harlequin comme je les aime. Certains diront que les ficelles sont trop grosses et qu'on sait très bien où on va finir mais j'ai tout de même apprécié ce délicieux moment de lecture.
On découvre en premier lieu Tamsin Connors , une jeune femme de 25 ans qui vit sa passion en travaillant en tant que spécialiste de vieux livres. De ce fait, elle a fait une découverte d'un texte très important qui pourrait bien révolutionner le royaume de Maritz. Tout au long du roman, on voit à quelle point elle est impliquée dans son travail qui est un véritable refuge . Elle se cache derrière ses recherches, ses découvertes, ses traductions pour fuir un passé où elle a été profondément blessée. Sa confiance en elle a été réduite à néant et elle ne parvient pas à se reconstruire sentimentalement parlant. Ce que j'ai aimé dans ce personnage c'est son aspect bivalent : d'un côté , on voit en elle ce rat de bibliothèque, un peu coincé , peu féminine mais d'un autre côté , elle peut être passionnée et vivre pleinement des choses quand elle aime. J'ai donc aimé chez elle sa force et sa fragilité et sa rencontre avec le prince Alaric de Rovingie risque bien de chambouler son quotidien si rodé. Tamsin c'est un peu Cendrillon des temps modernes. Elle peut se transformer en un coup de baguette magique en superbe femme qui brille en société mais attention à quand sonnera minuit, le réveil pourrait être brutal. Parviendra t-elle à accomplir sa mission jusqu'au bout? Pourra t-elle obtenir la confiance d'Alaric? Saura t-elle ouvrir son coeur à nouveau au risque de le voir définitivement brisé?
Alaric de Rovingie a tout du play boy de pacotille. Lorsqu'on lit les premières lignes de ce roman, on s'imagine un homme à femmes qui passe de conquêtes en conquêtes . Mais Alaric est loin d'être un personnage creux et insipide. On sent dès le début chez lui un passé aux lourdes conséquences. Il y a chez lui un côté très sombre et une noirceur qui devient très vite évidente. Au fil de notre lecture, on constate qu'Alaric supporte sur ses frêles épaules une pression familiale incroyable. La culpabilité de ses actes passés, la peur d'un futur à honorer chamboule complétement le jeune homme. Alors oui il aime jouer de ses charmes avec les femmes mais telle n'est pas sa surprise quand il fait face à une femme pas comme les autres en la personne de Tamsin. Elle n'est pas insensible à son charme mais contrairement aux autres, elle ne recherche ni sa gloire, ni sa fortune , ni son statut. Elle est elle même tout simplement mais peut il pour autant lui faire confiance? Il va donc se lancer dans un jeu dont il n'est plus la maître et les conséquences pourraient être désastreuses sur bien des points. Le Prince Alaric va t-il monter sur son cheval blanc pour sauver sa propre princesse? Va t-il sortir de sa tour d'ivoire et affronter ses démons?
Bref Annie West a su créer un univers féérique digne des contes de fées. Le prince est à tomber, la princesse est à sauver . Les scènes nous font au fur et à mesure succomber aux charmes de cette jolie romance.