Chroniques des lecteurs
Chronique par
Julie C, Rédacteur
Sandrine Collette est une autrice française que j’aime particulièrement. Choisir de se plonger dans un de ses livres est une valeur sûre, je n’ai jamais été déçue par ses romans !
Paru lors de la rentrée littéraire de l’année dernière, « On était des loups », poursuit ce cap. Je suis, à chaque fois, épatée par la justesse des mots utilisés pour exprimer tant de sentiments au travers de ses livres.
Comptant seulement près de 200 pages, c’est pourtant une histoire complète, où aucun passage n’est de trop et malgré tout, le lecteur n’est pas frustré d’avoir certaines questions laissées sans réponse.
Véritable évasion littéraire dans des forêts sauvages, on y fait la rencontre de Liam qui, au retour d’une chasse, découvre le corps sans vie de sa femme, Ava, mortellement blessée par un ours et donc la dépouille cachait leur fils, Aru, âgé seulement de 5 ans. Le désir d’avoir un enfant venait principalement de sa défunte femme. Mais Liam, le solitaire un peu rustre, se doit alors de découvrir ce fils qu’il ne connaît que si peu mais dont l’existence risque d’apporter tant de difficultés dans ses contrées magnifiques mais si hostiles.
Sous la forme d’un long monologue de Liam, ce livre imagine cette nouvelle naissance d’Aru par rapport à Liam, son père ayant grandi dans une famille toxique et violente. Comment apprendre à aimer cet enfant dont il ne voulait pas ? Comment vivre avec ce fils alors qu’on est un trappeur taciturne et en campagne de chasse la plupart du temps ? Est-ce qu’il est possible de changer des sentiments si fortement ancrés ?
J’ai beaucoup aimé la justesse de ce livre. Ne tombant jamais dans le larmoyant, Sandrine Collette offre un roman quelque peu solaire malgré le caractère de Liam, si taiseux dans ces décors dans lequel le lecteur a l’impression lui-même d’évoluer.
Quant à l’écoute du livre, la voix de Thierry Hancisse se confond parfaitement bien par rapport à qu’on pourrait imaginer pour Liam, personnage principal. C’est un peu comme si le lecteur nous confiait un pan de sa propre vie. J’ai trouvé que le choix de confier la lecture à Thierry Hancisse était parfaitement judicieux.
Paru lors de la rentrée littéraire de l’année dernière, « On était des loups », poursuit ce cap. Je suis, à chaque fois, épatée par la justesse des mots utilisés pour exprimer tant de sentiments au travers de ses livres.
Comptant seulement près de 200 pages, c’est pourtant une histoire complète, où aucun passage n’est de trop et malgré tout, le lecteur n’est pas frustré d’avoir certaines questions laissées sans réponse.
Véritable évasion littéraire dans des forêts sauvages, on y fait la rencontre de Liam qui, au retour d’une chasse, découvre le corps sans vie de sa femme, Ava, mortellement blessée par un ours et donc la dépouille cachait leur fils, Aru, âgé seulement de 5 ans. Le désir d’avoir un enfant venait principalement de sa défunte femme. Mais Liam, le solitaire un peu rustre, se doit alors de découvrir ce fils qu’il ne connaît que si peu mais dont l’existence risque d’apporter tant de difficultés dans ses contrées magnifiques mais si hostiles.
Sous la forme d’un long monologue de Liam, ce livre imagine cette nouvelle naissance d’Aru par rapport à Liam, son père ayant grandi dans une famille toxique et violente. Comment apprendre à aimer cet enfant dont il ne voulait pas ? Comment vivre avec ce fils alors qu’on est un trappeur taciturne et en campagne de chasse la plupart du temps ? Est-ce qu’il est possible de changer des sentiments si fortement ancrés ?
J’ai beaucoup aimé la justesse de ce livre. Ne tombant jamais dans le larmoyant, Sandrine Collette offre un roman quelque peu solaire malgré le caractère de Liam, si taiseux dans ces décors dans lequel le lecteur a l’impression lui-même d’évoluer.
Quant à l’écoute du livre, la voix de Thierry Hancisse se confond parfaitement bien par rapport à qu’on pourrait imaginer pour Liam, personnage principal. C’est un peu comme si le lecteur nous confiait un pan de sa propre vie. J’ai trouvé que le choix de confier la lecture à Thierry Hancisse était parfaitement judicieux.