Manipulation - Tome 1 - Corbeaux
Les Corbeaux
par Juliette Lemaître
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Date de parution 22 févr. 2017 | Archivage 20 mars 2017
Résumé
Liza vit avec sa sœur, à l’écart de la Société. Elle a promis de toujours la protéger, elle, la petite Anna qui n’a jamais su marcher.
Mais en quelques heures, leur destin bascule. Anna est capturée par la Milice.
Liza n’a pas le choix. Si elle veut revoir sa sœur, elle va devoir quitter le monde qu’elle connaît et entrer dans cette Société qui retient Anna prisonnière. Quitte à tomber dans le piège tendu par son président, un homme manipulateur et sans scrupules…
L’auteur :
Née en 1997, Juliette Lemaître est une auteur précoce. Elle a écrit Manipulation alors qu’elle était encore au lycée, et a reçu plusieurs prix d’écriture.
Liza vit avec sa sœur, à l’écart de la Société. Elle a promis de toujours la protéger...
Note de l'éditeur
Née en 1997, Juliette Lemaître est une auteur précoce. Elle a écrit Manipulation alors qu’elle était encore au lycée, et a reçu plusieurs prix d’écriture.
L’auteur :
Née en 1997, Juliette Lemaître est une auteur précoce. Elle a écrit Manipulation alors qu’elle était encore au lycée, et a reçu plusieurs prix d’écriture.
Formats disponibles
FORMAT | Ebook |
ISBN | 9782011613448 |
PRIX | 12,99 € (EUR) |
Disponible sur NetGalley
Chroniques partagées sur la page du titre
Une dystopie haletante, intrigante, bien méchante et menaçante. Le rythme est soutenu, l’écriture rapide et facile à lire, sans fioriture ni prétention.
Pour moi il a quelques faiblesses. D’abord j’ai trouvé un peu dommage que l’auteur nous donne toutes les pistes, trop vite, dès le début de roman, en quelques phrases, dans un dialogue naïf , trop rapidement sans nous laisser le temps d’apprécier ce nouveau monde. Ensuite les évènements sont très prévisibles, les actions et les personnages sont facilement décelables, pour la majorité des personnages ont détecte leur rôle à plein nez, dès leur apparition. Enfin, les actions s’enchainent trop vite et ce manque de transition entache parfois la crédibilité de l’action.
Malgré cela, on est vite embarqué dans l’histoire dramatique de Liza et Anna, enfants livrées à elles-mêmes, seules survivantes en dehors de la Société. Sous le joug d’un président dictateur, sadique, voyeur et cruel qui manipule très bien la manipulation psychologique, soutenu par ses Corbeaux, soldats préservant la « sécurité » de la ville.
Les jeunes filles, malgré leur lien familial et leurs iris oranges, sont très différentes l’une de l’autre, Liza est calme, manuelle, sauvage, elle s’occupe de la ferme, des animaux, des champs. Anna, 8 ans, l’enfant génie et tant désirée par ses parents, est plus intelligente mais plus fragile et dispose d’un mystérieux don : ses présages deviennent toujours réalité. Elles ont une relation de parfaite osmose, complices et solidaires elles ont toujours su se débrouiller toutes seules surtout grâce à Liza, qui a su s’occuper de sa petite-sœur handicapée, Liza qui a toujours mis de côté son propre bonheur pour celui de sa sœur.
Anna est très intrigante, malgré sa faiblesse physique c’est une enfant remarquablement intelligente qui va éveiller la curiosité du Président. Beaucoup de mystère l’entoure, autour de ce don qu’elle possède mais également sur sa faculté à survivre. On sait dès le début que toute l’histoire tourne autour d’elle, elle est un élément clef non seulement pour ce premier tome mais on le devine pour le suite de l’histoire. Liza passe, selon moi, plus au second plan, elle a un rôle de sauveur et de protectrice mais se rend bien compte que malgré sa force physique n’est pas aussi importante que Anna.
Le personnage de Calim est très attachant, tel un « Aladin Prince des Égouts », on s’attache à ce garçon abandonné par la société, livré à lui-même qui a su apprendre à survivre par ses propres moyens. J’ai bien aimé ce côté « meilleur ennemi », cette relation difficilement qualifiable qu’il entretien avec Jake, le Corbeau, toujours à se poursuivre, à se battre mais soucieux l’un de l’autre.
Cette dystopie est le moyen de louer les bienfaits de la lecture pour développer son sens critique et de la réflexion. C’est aussi un roman prônant les libertés individuelles, les libertés de pensée et d’agir, contre des sociétés trop autorités et dirigistes, assouvissant son peuple et réglementant les mariages, les naissances ou le choix d’un métier.
C’est un roman qui porte également sur les dérives des guerres, des conflits géopolitiques et leurs conséquences dévastatrices sur les populations, sur des éléments destructeurs de l’Histoire qui nous rappelle beaucoup notre histoire à nous.
Il y aussi un message écologie, sur les effets du nucléaire et de la pollution : la Terre actuelle ayant subi des dommages graves et irréversibles.
Quand j'ai commencé ce livre, j'ai eu peur, je me suis dit "encore une dystopie young adult qui va pas voler très haut..."
Parce que bon, il faut être honnête, la dystopie Young Adult marche très bien depuis Hunger Games et Divergente, et on a un flot de romans publiés, avec du bon et du beaucoup moins bon
Mais ce livre est clairement dans la bonne moyenne :) Dans une Australie post guerre nucléaire, on suit deux soeurs, Liza 16 ans et Anna 8 ans, qui vivent en dehors de la Société. La Société est l'une des 10 colonies où vivent, sous des régimes totalitaires, les survivants de la guerre nucléaire qui a réduit à 0 la population du reste du monde. Les deux soeurs, qui vivent en dehors de cette société, vont s'y retrouver et devoir se confronter à ce système.
L'histoire est ryhtmé, sans longeur, et l'écriture est fluide. On ne croule pas sous les twists mais tout est plutôt bien amené, on y croit et on s'attache immanquablement à nos héro-ïne-s . On sent venir la suite à la Hunger Games, comment faire flancher la Société, mais y a-t-il d'autres options ?
Bref, un livre sans surprise mais pas sans saveur, qui se laisse lire et détend ! J'attends la suite :)
J’ai malheureusement été déçue par ce roman, qui ne reste pour moi qu’une introduction trop faible à une saga dont l’univers est largement sous-exploité, et où les personnages ne sont qu’une série de clichés. Oui, désolée, c’est un peu cash, mais sincèrement ma lecture fut laborieuse. Il est rare que je projette d’abandonner un roman, mais là j’ai pensé le faire dès 40 pages… sachant que le roman en fait 350… Je pense que je ne suis pas la cible de ce roman, je suis trop vieille et ayant maintenant l’habitude des dystopies, j’aime avoir des romans où l’univers est bien développé, ce qui n’est pas le cas ici, l’auteure ayant préféré développer l’action.
C’est assez mal parti dès le départ, à cause des personnages. Je les ai trouvé très caricaturaux, plus clichés que clichés : le méchant dictateur vicieux et sans pitié, les deux héroïnes – l’une faible et l’autre pleine de ressource mais manquant de confiance, le rebelle plein de courage et d’humour, etc. Et surtout ils sont tous très jeunes, ce qui rend leurs actions dans le roman totalement non crédibles ! Si vous connaissez une petite fille de 8 ans qui saura résister à des jours de torture physique, présentez-la moi !
Je n’ai pas trouvé l’histoire crédible du tout, que toute la soit-disant manipulation jouée par Connor, le méchant de l’histoire, était vraiment d’un faible niveau, et que tout était prévisible à 125 kilomètres. Par ailleurs c’est un dystopie post-apocalyptique, mais dont l’univers n’est pas du tout exploité ! Ce qui est dommage car ça aurait pu tendre vers un thriller un peu politique, mais là pas du tout, on entrevoit à peine la façon dont la Société fonctionne.
L’une des choses positives à relever dans ce roman, car oui tout de même il y en a, c’est le rythme. Effectivement, il est impossible de s’ennuyer pendant cette lecture ! Chaque chapitre voit son petit rebondissement arriver, il y a énormément d’action, et c’est très agréable d’avancer de cette manière.
Et évidemment, je ne peux que lever mon chapeau à la jeune Juliette Lemaître, qui malgré son jeune âge, a su mettre sa plume efficace au service de son imagination et à sortir une histoire rythmée et qui saura plaire à beaucoup !
Liza s'occupe comme elle le peut de sa petite sœur Anna, très intelligente. Orphelines, elles ne doivent leur survie qu'à leur débrouillardise et courage. Repérées par les Corbeaux, milice de la ville voisine, Anna va être enlevée. La jeune femme décide, malgré le danger, d'aller la chercher. Est-ce un piège ?
Nous sommes en 2374, après la Troisième Guerre Mondiale, il ne reste plus qu'un million d'habitants en Australie. Ils sont répartis dans dix villes. L'une d'elles, la Société, est gouvernée par un régime autoritaire.
Une dystopie assez réaliste, le portrait des deux sœurs est bien dessiné, on s'attache vite à elles, à leur histoire. Des scènes difficiles comme les séances de tortures subies par la petite fille. Entraide, intelligence, secret de famille, résistance et espoir : tous les ingrédients pour lancer une belle série.
Bravo au jeune auteur, un premier roman prometteur.
Cela faisait un moment que je n’avais pas lu de dystopie. Je me suis penchée sur cette nouveauté qui a fait un peu de bruit sur la toile.
C’est un univers qui ressemble à beaucoup d’autre au départ. Un pouvoir dictatorial, une société soumise et quelques rebelles. Mais très vite, l’autrice se démarque en créant un univers autour des deux héroïnes, Liza, Anna, Calim (un hors la loi) et le président Connor.
Le rythme est ultra soutenu, on passe d’action en révélation tout au long du roman. Cependant, je regrette parfois un flot de révélation, j’ai à peine eu le temps d’assimiler une révélation, qu’une autre arrivée. J’aurai aimé que l’autrice nous ménage un peu plus.
Les personnages sont attachants. Liza est une jeune fille qui a dû assumer sa sœur lorsque ses parents ont disparu. Elle est débrouillarde mais manque cruellement de confiance en elle. Anna est présenté comme le génie de la famille. J’ai admiré sa force de caractère avec toutes les horreurs qu’elle subit. Calim est un jeune homme débrouillard pour échapper aux corbeaux (l’armée de cette société). Il a lui aussi subit cette société dictatoriale.
Si l’ensemble des personnages sont attachants, j’ai cependant regretté l’irréalisme de leur réactions. On leur annonce quelque chose de grave, et ils le prennent normalement comme si on leur annonçait qu’il allait pleuvoir demain.
L’univers construit est original, cette société où tout le monde vit dans une grande ville où un dictateur est à la tête de cette société qui opprime toutes les personnes.
Ce roman est présenté comme un premier tome mais je ne comprends pas pourquoi il y aura une suite. Ce livre se suffit à lui-même.
En bref, un roman avec de bonnes idées mais le flot de révélations et d’action ainsi que le comportement des personnages rendent ce roman peu crédible.
"Manipulation" est le premier roman dystopique de Juliette Lemaître. Un grand bravo. C'est un premier tome qui se lit facilement et donc rapidement. J'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir les différents personnages de ce premier opus car ils sont tantôt sympathiques, attachants et drôles tantôt tyranniques, cyniques voire immoraux. L'histoire avance vite, le rythme m'a bien convenu. Les épreuves se succèdent et l'on découvre peu à peu les différentes facettes des personnages. J'ai hâte de commencer la lecture du second tome et j'espère qu'il sera aussi haletant et que je le dévorerais comme ce premier roman.