Le Jour des Morts
par Kent Harrington
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Date de parution 19 juin 2018 | Archivage 2 juil. 2018
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Résumé
Ville frontière entre le Mexique et l’Eldorado américain, Tijuana est une improbable Gomorrhe des temps modernes où tout s’achète et se vend pour une poignée de dollars. C’est dans cette cité-fournaise gangrenée par la corruption, le bruit, la misère, la violence et le sexe qu’a fini par échouer Vincent Calhoun, un ancien Marine devenu agent de la DEA, les Stups américains. Accro au jeu et endetté, Calhoun se maintient à la surface en monnayant ses services de passeur. Immigrants clandestins, criminels condamnés, barons de la drogue : peu importe la cargaison pourvu que l’argent rentre.
La veille du jour des Morts, Céleste Stone débarque d’un car de prisonniers nouvellement libérés sur la grand-place de Tijuana. Dix ans après un premier coup de foudre fatal et une condamnation pour viol sur mineure, alors qu’il est professeur d’espagnol et Céleste lycéenne, Calhoun retombe instantanément, viscéralement amoureux de la jeune femme. À bout de course, épuisé par une fièvre infectieuse, il veut croire au retour de sa bonne étoile ; la réapparition de Céleste précipitera pourtant sa descente aux enfers.
Le Jour des Morts de Kent Harrington est un grand thriller noir, une œuvre puissante qui explore les profondeurs de la corruption humaine en quête d’un peu de lumière, celle d’une possible rédemption.
Édition révisée : Cette édition de Le jour des Morts comprend des révisions éditoriales.
Ville frontière entre le Mexique et l’Eldorado américain, Tijuana est une improbable Gomorrhe des temps modernes où tout s’achète et se vend pour une poignée de dollars. C’est dans cette...
Note de l'éditeur
Kent Harrington est né à San Francisco en 1952. Scénariste et amoureux du Mexique, il est l’auteur d’une dizaine de romans, dont sept ont été traduits en français. Le Jour des Morts, un classique du...
Formats disponibles
FORMAT | Grand Format |
ISBN | 9781542047173 |
PRIX | 9,99 € (EUR) |
Vos liens
Chroniques partagées sur la page du titre
Ce roman est trop spécifique pour être lu par le grand public. Néanmoins, pour les lecteurs spécialistes du genre, cette lecture est une pure merveille.
Je me réjouissais à l'idée de lire « Le Jour des Morts », un polar ayant pour cadre Tijuana-la-dépravée, juste à la frontière du Mexique et des USA, avec pour personnage principal un (encore) jeune agent de la DEA (l'agence anti-drogue américaine), corrompu, accro au jeu et malade. Chic, me disais-je, un bon petit polar de derrière les fagots alimentant les feux de l'enfer, bien noir, amer et brûlant comme le café du matin, qui se déroule dans l'une des villes les plus pourries de la planète, près d'une frontière qui laisse tout passer (surtout le pire) si on sait s'y prendre (càd payer).
Eh bien... en fait de roman noir, c'est certes très sombre, mais c'est surtout psychédélique. En effet, Vince Calhoun, l'agent susnommé de la DEA en poste côté mexicain, gagne sa croûte en jouant les « coyotes », càd les passeurs, pour tout qui voudrait entrer illégalement aux Etats-Unis, ce paradis pré-11Septembre. Il enchaîne plusieurs passages par jour, et autant de fusillades, de courses-poursuites et de sauvetages héroïques in extremis, jusque là sans y perdre trop de plumes. Mais ledit plumage est de plus en plus menacé parce que Vince, accro aux paris sportifs (pauvres lévriers, quand j'y pense), est endetté jusqu'au cou et doit gérer un créancier pas exactement accommodant. Et qu'en plus Vince est atteint de dengue, qui pourrait devenir hémorragique et le tuer (ou pas), et dont les symptômes le handicapent de plus en plus lourdement. Et qu'en plus, en cette veille de 2 novembre, jour des morts, il retrouve par hasard son amour de jeunesse, la sublime Celeste, qui sort tout juste de prison. Arc-en-ciel, violons et bisounours car, même si jadis la lycéenne Celeste a laissé le professeur Vince se faire condamner pour détournement de mineure, il suffira d'une étincelle pour rallumer les feux de l'amour.
Bref, le Jour des Morts sera celui de la dernière mission de Vince, la fin de sa descente aux enfers, le jour (ou la nuit) où sa décadence se terminera par la mort ou la rédemption dans l'amour, à vous de lire.
Hum... Sinon, à part ça, beaucoup d'action, de drogue, de sexe, de violence, de castagne et d'escopette entre sales types corrompus jusqu'à l'ADN, au milieu de touristes en mal de folklore exotique. Pas fondamentalement mauvais mais rien de transcendant.
En partenariat avec les éditions AmazonCrossing via Netgalley.
PS#1 : pour un très bon roman noir dans ce coin-là du continent, lire « Tijuana Straits » de Kem Nunn
PS#2 : je déconseille totalement l'édition numérique de ce bouquin, dont la mise en page est ratée : les notes de bas de page, les en-tête et pieds-de-page avec titre, nom de l'auteur et numérotation se retrouvent dans la continuité du texte, càd en plein milieu de celui-ci, bonjour la lisibilité, sans compter les renvois à la ligne intempestifs. Peut-être est-ce parce que je n'ai pas la liseuse vendue par la plate-forme de l'éditeur ?
PS#3 : je ne suis pas sûre d'avoir lu la version intégrale du roman. le Jour des Morts a en effet été édité en 2000 par Pocket, dans une édition comptant 282 pages. La version rééditée que j'ai lue (en numérique donc) en compte 186 (très aérées), et la future édition brochée en comptera 300. Je me pose des questions...
PS#4 : quant à cette réédition, il paraît qu'elle « comprend des révisions éditoriales ». Pourrait-on savoir lesquelles, svp ? Est-ce la postface du traducteur ? Celles qui consistent à indiquer toutes les 10 pages « en français dans le texte » (horripilant vu le mauvais confort de lecture, cf supra), alors qu'il aurait suffi d'un avertissement initial du style « les mots en italique suivis d'un astérisque sont en français dans le texte » ? Ou des notes de bas de page aussi édifiantes que celle qui nous éclaire sur les chaussures Hush Puppies : « sorte de mocassins très souples que portent les membres de gangs à Los Angeles et ailleurs ». Mazette, rappelez-moi de ne jamais emporter mes pantoufles rose bonbon de cette marque dans ma valise quand j'irai aux USA...
A la vue du cadre où se déroulait l'intrigue du thriller Le Jour des morts, je ne pouvais qu'avoir envie de lire ce roman de Kent Harrington. Et l'ambiance particulièrement sombre n'a pas été sans me déplaire, j'avoue. Et pourtant... J'ai vite compris que je ne trouverais pas mon compte dans ce roman. En effet, j'ai trouvé Vince Calhoun assez caricatural. Malade, corrompu, accro au jeu, menant une double vie... Déjà vu, non ? Cela va avec l'ambiance générale : action, drogue, sexe, violence... Rien de révolutionnaire, quoi.
Peut-être pour les novices du genre.
#ChallengeNetGalleyFR
Personellement, le contenu du livre ne corresponde pas mon genre de lecture. Par contre, je crois que le livre saura charmer les lecteurs qui aiment les livres touchant la violence entre les groupes armés à la frontière entre les États-Unis et le Mexique un peu comme la série de NetFlix Narco
Le jour des morts de Kent Harrington , traduction de Nordine Haddad est tout d'abord paru en 1999 chez Murder Inc. ,collection initiée par Gérard de Villiers ..
Les éditions Amazon Publishing France le réédite , il parait le 19 juin 2018 . je les remercie pour cette lecture en avant-première via NetGalley.
TJ comprenez Tijuana est une ville frontière située au Nord-Ouest du Mexique , lieu de passage à l'époque très fréquenté entre les U.S.A et le Mexique . Tijuana est bien vite devenue une plaque tournante de tout ce qui peut se vendre ou s'acheter , drogue, sexe , et bien sur trafic de clandestins prêts à tout pour gagner les U.S.A ..Egalement là pour se faire le maximum d'argent les gringos, en poste officiel ou pas . C'est le cas de Vince Calhoun ex-Marine, devenu agent de la DEA , les stup américains. Mais voilà cet homme traine derrière lui un passé inoublié et inoubliable. L'appat du gain, la folie des courses , le goût du risque l'ont entrainé dans une spirale infernale et un précipice béant.
Le Jour des morts , le 2 novembre, est au Mexique un jour de fiesta , de débauche, de délire , ce sera aussi le jour de tous les dangers pour Calhoun . Un roman dur , impitoyable , un monde séparé en deux univers distincts, les exploitants et les exploités .
Roman noir, souvent à la limite du supportable .Une lecture qui ne me correspond pas vraiment rendue encore plus difficile par la mise à disposition d'une version entrecoupée n'importe comment de notes en plein milieu des phrases , de notes de bas de pages nous prenant parfois pour des non-francophones.. bref une lecture qui ne m'a guère enthousiasmée
Chronique de Diana :
Voici un thriller noir, son atmosphère va vous coller à la peau comme le soleil brulant et implacable de Tijuana. D’ailleurs vous verrez ô combien la ville est partie intégrante de cette enquête.
Tijuana pourrit tout, les gens, les commerces, les administrations. Notre héros n’échappe pas à ce monstre vorace et tombe au plus bas en frayant avec la lie de la population. On va suivre la descente aux enfers de Calhoun,
Le destin se fait cruel quand Céleste son amour de toujours réapparait en ville. Dès lors, il n’a plus qu’une seule idée en tête la sortir de sa condition de prisonnière et construire une vie avec elle. Pourtant Céleste n’est plus la jeune étudiante qui lui a volé son coeur et sa vie.
Cependant nos personnages courent après une rédemption ou une vie meilleure sans jamais pouvoir échapper à la corruption ambiante. Calhoun rêve d’une vie meilleure avec Céleste, de rebâtir sur les cendres du passé un avenir lumineux. Mais comme toute l’ambiance du roman, la cruauté, la corruption les collent à une réalité sordide.
Ce récit est extrêmement bien écrit, tout est minutieusement orchestré pour vous faire ressentir la lourdeur, le fait qu’on ne peut réécrire son histoire malgré les bonnes intentions. C’est assez dur à lire mais tellement réaliste. J’ai apprécié le fait qu’on se retrouve spectateur en immersion totale en voyant arriver le pire sans jamais pouvoir changer la trame. C’est un peu comme regarder une voiture se crasher sans détourner les yeux. On dépérit avec Calhoun qui est un personnage détruit entièrement mais qui arrive à sublimer ses actions par amour. C’est seulement ainsi qu’il trouve sa rédemption tant recherchée.
Ce roman est palpitant, angoissant, prenant et suffocant. La plume est une merveille et d’une efficacité sans faille dans le genre. Un récit pour les amateurs de thriller noir et brut avec une ambiance qui vous pousse à bout.
Confus et très cliché. Je me suis profondément ennuyée à lire cette accumulation de scènes tirés des pires polars américains. Franchement à éviter.
Le jour des morts de Kent Harrington m'a été envoyé par Amazon Publishing France et net galley.
Tijuana, Mexique, la ville où la frontière américaine rend fou, la tour de Babel où tout, absolument tout, peut s'acheter pour trois dollars : la drogue, le sexe, la déchéance aussi.
C'est ici qu'a échoué Vincent Calhoun, un flic américain malade et corrompu, un de ces "coyotes" qui arrondissent leurs fins de mois en jouant les passeurs vers le prétendu Eldorado américain...
Un jour il voit débarquer son grand amour Céleste.. d'un bus de la prison... la veille de la fête des morts...
La couverture m'a attiré, le résumé aussi, malheureusement j'ai là encore l'impression d'être passée à coté de ma lecture !
J'étais ravie de lire un roman se déroulant à Tijuana, une petite virée au Mexique la veille de mes vacances (je l'ai lu hier) me tentait bien :) Mais j'ai rapidement déchanté !
Ce roman est très noir, il est très rythmé mais du coup je trouve que c'est trop.
Trop de violence, de sexe, de drogue, de violence encore et toujours...
Roman court heureusement mais pas du tout à mon goût tellement c'est violent et déjanté.
Je n'ai pas accroché à l'histoire, aux personnages, au ton du roman, bref malheureusement je n'ai pas été convaincue par Le jour des morts.
Je mets deux étoiles, et c'est tout.
À la veille du Jour des morts, journée traditionnelle mexicaine, Tijuana s’apparente encore davantage à une jungle humaine entre les manipulateurs et les manipulés. Vincent Calhoun, un flic américain véreux, a depuis longtemps compris que les bons sentiments n’étaient pas de mise de ce côté de la ville. Et alors qu’il doit une grosse somme d’argent, il se retrouve contraint de faire passer la frontière clandestinement à un bandit de première, ce qui n’est pas sa première mission illégale. Portant aveuglément foi à sa chance, sa suerte, Calhoun tombe toujours plus bas au milieu de ce décor entaché par la pauvreté et l’argent sale. Et lorsque Céleste Stone débarque dans sa ville, elle qui l’a autrefois accusé de viol, la vie du flic continue de dégringoler.
Kent Harrington nous plonge au fin fond du trafic d’êtres humains dans une atmosphère sale et poisseuse qui colle parfaitement à l’histoire. Empli d’un réalisme, cette partie du récit captive par ses détails et son ambiance particulière et prenante. Le début m’a paru un peu lent, tentant personnellement de comprendre tous les aboutissements au sujet de Vincent Calhoun, le personnage principal, qui est malheureusement loin d’être sympathique. Ses réflexions m’ont parfois ennuyé voire énervé au plus au point tout en m’intéressant à son présent davantage qu’à son passé où l’on découvre les désillusions d’un homme qui l’ont mené à cette vie de criminel.
Je remercie NetGalley et Amazon Publishing pour cette nouvelle lecture même si la mise en page affreusement décousue n’aura pas aidé à rentrer facilement dans l’histoire de ce roman. Des retours à la ligne en plein milieu de phrase, le nom de l’auteur et le titre du livre en plein milieu de chaque page, les chapitres mal organisés, etc… Il a fallu que je m’accroche pour continuer ma lecture dans ces « conditions ». Heureusement, j’ai pu avoir la confirmation sur sa page Amazon, la mise en page du livre définitif (papier ou numérique) ne possède pas ces défauts. Donc, si vous décidez de découvrir ce roman à l’atmosphère particulière et pesante à souhait, n’ayez pas peur, vous ne devriez pas fournir le même niveau de concentration que moi !
Je remercie Netgalley et les Éditions Amazone Publishing France de m" avoir permis de lire ce policier qui ne ma pas du tout plu
L'Auteur na pas su développer son histoire.Pourquoi je ne l ai pas apprécier, car le début commence lentement:on a du mal à suivre cette histoire car il y a trop de personnages et on s' y perd un peu.
La fin est vraiment très mal amenée,j'ai eu du mal a m' y retrouver
Je ne le recommande pas
Ma note : 2/5
"Le jour des morts" se déroule à Tijuana, ville assoiffée, de par la proximité américaine. S'y retrouvent tout un tas de dépravés, de dealers, de passeurs (dont Calhoun, le héros, flic corrompu, malade de la dengue, sorte de déchet de la société). Calhoun lutte contre la maladie qui pourrait le tuer, compte sur le jeu, maladivement, pour lui apporter son pognon mais doit beaucoup d'argent à un pourri. Par hasard, il retrouve à la sortie d'un bus Céleste, son grand amour, qui lui a valu une condamnation pour détournement de mineurs.
Ce n'est pas mal écrit, mais il y a un peu trop de sexe, de violence, de baston et de vulgarité au goût de Madame Aigre-Douce.
Et surtout, le gros problème, c'est que le livre numérique est quasiment illisible : titres, bas de pages, notes, sont mélangés au sein du texte, la mise en page est terrible et Madame Aigre-Douce n'a rien pu faire pour y remédier. Il faut donc s'accrocher à la lecture, ce qui dessert certainement ce polar, sordide et somme toute assez banal.
Merci à Netgalley et aux éditions Amazon Publishing pour cette lecture. Ce roman est une réédition du roman d'origine paru à la fin des années 90.
Dans "Le jour des Morts", on découvre Vincent Calhoun , agent américain, en poste à Tijuana, au Mexique. Bien adapté à la vie locale, il s'est adapté à cette ville aux protes de l'Enfer, en se mêlant à tout un tas de trafics . Sauf qu'en ce jour veille du Dia de los Muertos, tous bascule.
Dans l'ensemble cette lecture reste pour moi une déception.
Du côté des points positifs, j'ai trouvé la description de la ville de Tijuana, et ses vices, très instructive et très fouillée. On se verrait presque au coeur de ses rues, aux côtés de ses habitants. C'est d'ailleurs cette ville et ses codes, qui prend très vite le pas sur l'histoire. On plonge dans la noirceur de ses allées, de ses embrouilles, et du caractère de ses habitants, obligés de s'adapter face à une situation toujours plus dangereuse.
Car c'est là le point négatif, je n'ai pas réussi à accrocher à l'histoire principale, ni à ses personnages. Même s'ils sont loin d'être lisses et inintéressant, je n'ai adhéré ni à leurs actions , ni à leurs destinées. L'intrigue m'a semblé longue, et j'ai eu du mal à finir ce récit très sombre pourtant bourré d'action .
Un polar bien sombre donc , sur lequel je vous laisse vous faire une idée.
Pour moi c’est une confirmation, je ne parviens pas à rentrer dans le polar, au moins en roman, peut-être que le film passerait mieux.
Sur ce texte numérique en plus la mise en page aléatoire ne m’a pas facilité la chose et pourtant j’ai essayé de m’interesser à ce Vince Calhoun, agent de la DEA, en poste à Tijuana, prêt à tout pour faire du fric. Mais le trafic humain, les références au sexe, dès le début, la noirceur des personnages, décidément je n’y arrive pas.
Je laisse ce titre, qui doit pourtant être bon puisqu’il a été réédité, aux spécialistes du genre.
Le Jour des Morts est un court roman noir qui se déroule à Tijuana, une ville mexicaine à la frontière des Etats-Unis. Tijuana est une ville dépravée. Vincent Calhoun, agent de la DEA ( brigade anti drogue américaine), accro aux jeux, il est aussi également passeur pour rembourser ces dettes. C'est un flic, malade, corrompu avec un passé sombre.
La violence (parfois gratuite), le sexe, la drogue sont omniprésents dans ce roman. L'histoire est sombre , un peu décousu dans la succession des événements. Tout la durée du roman se déroule le Jour des Morts et comment Calhoun va faire pour s'en sortir.
Mais ce qui me rend encore mitigée à la lecture de ce roman, je l'ai lu en format numérique et pendant toute ma lecture j'ai été polluée par des notes en plein milieu des pages et une mise en page où le titre et le nom de l'auteur apparaît en plein milieu des paragraphes. Cela m'a gênée pour entrer dans l'histoire. J'ai eu beaucoup de mal à en suivre le fil.
Je n'ai pas été enchantée de ma lecture, mais peut-être que d'autres lecteurs prendront du plaisir
Calhoun est un agent / criminel de la DEA qui est entre autre passeur. Il souffre de fièvre de la dengue, d'un problème de'addictions au jeu et d'un amour aveuglant pour une femme dangereuse. Il y a des tonnes d'actions, de sexes et un homme obèse qui roule sur un chariot.
cela à l'air excitant, n'est-ce pas? Malheureusement. . . cela n'a jamais vraiment pris avec moi, et je l'ai trouvé difficile à lire. Je ne sais pas pourquoi, car c'est bien écrit et Harrington fait un excellent travail en peignant la corruption endémique. Ici, personne n’est innocent - même le médecin de Calhoun est un pédéraste louche. Alors, pourquoi est-ce que je ne me souciais d'aucun de ces personnages? Je cherche normalement un bon anti-héros, mais je voulais que notre protagoniste meure le plus tôt possible. je n'ai vraiment pas accroché, dommage.
Alors que ce livre me faisait très envie, une histoire se passant au Mexique, pays que j'adore, un résumé plus que tentant, j'ai été très déçue par ce livre.
L'histoire est plate, tout est presque cousu d'avance, il ne se passe rien de bien intéressant, je n'ai pas du tout adhéré à cette histoire.
Je n'ai pas grand chose de plus à rajouter malheureusement car à peine lu, l'histoire est presque déjà sortie de ma mémoire, à part raconter quelques scènes, je ne suis même pas sûre de pouvoir raconter l'histoire de ce livre et cerise sur le gâteau j'ai eu une édition numérique très mal présentée, avec des phrases coupées n'importe comment, des numéros de pages en plein milieu de page et du coup le titre du livre et le nom de l'auteur en plein milieu également.
Je ne suis pas fâchée avec l'auteur, mais j'espère qu'il ne me décevra pas une nouvelle fois quand j'attaquerais Point de non-retour.
J'étais heureuse de pouvoir lire une histoire se situant au Mexique, c'est tellement rare !
Malheureusement, j'ai l'impression d'avoir un peu raté ce voyage..
J'ai trouvé que tout allait trop vite, que tout s'enchaînait, voir s’emmêlait. Les actions sont nombreuses et trop rapides souvent pour qu'elles soient appréciées chacune à leur juste valeur.
Néanmoins, on ne peut pas reprocher à ce roman d'être plat. Au contraire, les rebondissements se succèdent, on ne s'ennuie jamais !
De plus, les scènes "dures" ne sont pas décrites en profondeurs, il n'y a pas de risque de trouver ce livre gore, ce qui est positif puisqu'il peut convenir à un public plus large.
Je pense justement ne pas être la cible de ce roman, mais beaucoup d'autres seront sans aucun doute touchés par ce livre !
Dans un premier temps je souhaite remercier les éditions Amazon Publishing France pour m'avoir permis de lire ce roman de Kent Harrington.
Le Jour des morts est un thriller / policier, genre que je ne connais que très peu. D'habitude lorsque je me penche sur un thriller du genre je suis embarqué et ne peux lâcher le livre avant de l'avoir fini. J'attendais vraiment que cette magie opère avec celui-ci mais...cela n'a pas été le cas. J'ai eu beaucoup de mal a entrer dans l'histoire de Vincent Calhoun, américain habitant à Tijuana et policier corrompu. J'avouerai que la mise en page du roman n'a pas du tout aidé, je ne sais pas pourquoi mais je me suis retrouvé avec des en tête en pleins milieu de pages, des notes de bas de pages n'importe où dans le texte etc..Ce qui avait tendance à me sortir de ma lecture.
De plus, Vincent étant atteint d'une forte fièvre le livre en est quelques fois un peu psychédélique, cela est interressant car on voit plutôt bien ce que ressent le personnage principal mais cela a rendu l'histoire encore plus difficile à suivre.