Les Sept Morts d'Evelyn Hardcastle
par Stuart Turton
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Date de parution 16 mai 2019 | Archivage 12 juin 2019
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Résumé
Mixez Agatha Christie, Downton Abbey et Un jour sans fin… voilà le roman le plus divertissant de l’année.
Lauréat du prestigieux Costa Award, le premier roman de Stuart Turton est à la fois un formidable jeu de l'esprit et un régal de lecture.
Ce soir à 11 heures, Evelyn Hardcastle va être assassinée. Qui, dans cette luxueuse demeure anglaise, a intérêt à la tuer ? Aiden Bishop a quelques heures pour trouver l’identité de l’assassin et empêcher le meurtre. Tant qu’il n’est pas parvenu à ses fins, il est condamné à revivre sans cesse la même journée. Celle de la mort d’Evelyn Hardcastle. Prêt pour un plaisir de lecture comme vous n’en avez pas connu depuis longtemps ?
Plongez dans ce labyrinthe des délices. Chaque personnage, chaque recoin obscur de la maison cache un mystère. Chaque page ou presque offre un rebondissement inattendu. Et il y a 500 pages.
Mixez Agatha Christie, Downton Abbey et Un jour sans fin… voilà le roman le plus divertissant de l’année.
Lauréat du prestigieux Costa Award, le premier roman de Stuart Turton est à la fois un...
Formats disponibles
FORMAT | Grand Format |
ISBN | 9782355847264 |
PRIX | 22,00 € (EUR) |
Chroniques partagées sur la page du titre
Suspens et originalité. Pouvoir revivre plusieurs fois la même journée dans des rôles différents cela pourrait faire rêver mais la limite entre rêve et cauchemar est parfois fine.
Un très très bon roman.
Lord Peter et Lady Helena Hardcastle, ainsi que leurs enfants Michaël et Evelyn, ont convié des amis et connaissances à un bal masqué dans leur propriété de Blackheath. Cette dernière n'est plus utilisée par la famille car elle fut le lieu d'un terrible événement dix-neuf plus tôt. Et il semble que le lieu soit maudit. Sebastian Bell, invité à la soirée, se réveille dans la forêt après avoir reçu un coup sur la tête. Il ne sait plus ce qu'il fait là mais ses souvenirs fragmentés le mettent en alerte. Une femme du nom d'Anna a été assassinée dans ces bois, il en est certain. Sebastian rejoint la demeure des Hardcastle pour demander à ce que des recherches soient lancées pour retrouver la mystérieuse Anna. Mais peut-on réellement se fier aux souvenirs d'un homme qui ne sait plus qui il est ?
Il est difficile de parler des "Sept morts d'Evelyn Hardcastle" car il faut préserver les nombreuses surprises qui attendent son lecteur. Au premier abord, le roman de Stuart Turton est un classique whodunit dans le plus pur esprit britannique. Nous sommes dans un manoir géorgien décrépi au début du XXème siècle. La famille aristocratique organise une grande soirée avec de nombreux invités. Ils sont entourés d'un majordome, de valets de pied, de femmes de chambre et de palefreniers. Un meurtre va entacher les réjouissances et l'ensemble du roman consistera à trouver l'assassin et ses motivations. "Les sept morts d'Evelyn Hardcastle" est une sorte de mixte entre" Downton Abbey" et le Cluedo !
Mais Stuart Turton réinvente totalement le genre du whodunit. Il nous invite dans une narration à la construction labyrinthique, tortueuse qui demande une certaine concentration (je dirai même qu'il nécessite quelques notes pour ne pas perdre le fil et en profiter totalement). En effet, le lecteur va voyager entre différents personnages et dans le temps. C'est vertigineux mais également très réjouissant pour le lecteur s'il accepte les règles du jeu. Et Stuart Turton réussit l'exploit de tenir un rythme effréné sur 544 pages sans que sa narration en pâtisse. Le dispositif est tellement original, tellement bien mené que j'ai craint la déception à la fin. Et cela n'a pas été le cas, le cap est tenu jusqu'à la dernière page. Chapeau à Stuart Turton d'avoir réussi son challenge !
"Les sept morts d'Evelyn Hardcastle" est un whodunit d'une grande originalité, totalement addictif pour le lecteur qui accepte le postulat de départ et qui tient totalement ses promesses de la première à la dernière page. Un premier roman ambitieux et audacieux qui renouvelle le genre et que je ne peux que vous conseiller si vous aimez les romans policiers à la Agatha Christie.
Coup de cœur de Camille: La couverture fait penser à un plateau de jeu de société et c’est bien d’un jeu qu’il s’agit ici… Un jeu ô combien cruel et tordu. Notre narrateur s’appelle Sebastian Bell et est docteur. Ou bien serait-ce Edward Dance avocat de la famille Hardcastle? Ou alors Jonathan Davies, mondain? Il est multiple et pour cause sa mission est la suivante: coincé au sein de la demeure des Hardcastle, il a jusqu’à 23h00 pour découvrir qui va assassiner Evelyne, fille des propriétaires et des hôtes pour la soirée. Sa mémoire perdue, il ignore qui il est et chaque jour le projette dans le corps d’un nouvel hôte, changeant ainsi son point de vue sur la journée qui par ailleurs ne cesse de se répéter encore et encore jusqu’à ce qu’il trouve la solution. Huit jours, c’est le temps imparti pour élucider le meurtre, huit hôtes pour mener l’enquête. Voici les règles du jeu pour notre protagoniste amnésique qui n’est peut-être pas le seul à jouer cette partie…
Grandiose! Un roman ambitieux qui ne va pas dans la facilité de par son mélange des genres mais qui s’appuie pourtant sur un intrigue solide et tortueuse. Malgré l’épaisseur de l’ouvrage, les pages défilent sans compter et on est vite happé par la demeure Hardcastle qui a plus d’un secret à révéler. Les lecteurs de polar les plus assidus eux-même seront menés en bateau!
*Mal de tête à prévoir à la fin de la lecture.
(Camille et Magali se sont disputées pour savoir qui allait écrire le coup de cœur, c’est vous dire si le livre est bien)
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