Le cercle de Finsbury

Le Cercle de Finsbury... ou la ronde des secrets et mensonges entre voisins de bonne société.
Alice et Leo viennent d'emménager dans une récente résidence sécurisée, où les maisons uniformes cachent toutes le quotidien et le passé de leurs habitants. S'intégrant à ce nouvel environnement, tant bien que mal, ce couple fraîchement formé va se trouver propulsé, un peu malgré lui, dans un univers d'amitiés et de camaraderies, de déjeuners et soirées, de relations bien établies et d'affinités diverses, de réceptions et de fêtes.
Jusqu'au jour où un inconnu s'invite dans ce cercle fermé, semant le trouble. Jusqu'au jour où Alice découvre que son chez elle n'est pas uniquement le sien. Jusqu'au jour où elle apprend qu'une femme, Nina, a été assassinée dans sa chambre. Démarrent alors les questions, les doutes, faisant voler en éclats ce microcosme pas si protecteur pas si jovial pas si aimable.
Jusqu'où Alice est-elle prête à mener son enquête ? Jusqu'où doit-on laisser les secrets reposer et les vérités enfouies ? Il y a certaines révélations qu'il vaut mieux cacher.
Ce cinquième thriller de B.A. Paris tient toutes ses promesses, avec un rythme à l'image de la narration, d'abord ralenti, comme l'installation et l'insertion du couple au cercle d'amis de Finsbury, puis effréné ainsi que les rebondissements d'un personnage à l'autre et la tombée des masques. Ce suspense psychologique tient bien en haleine et jusqu'au dernier souffle, on reste aveugle car les hypothèses se télescopent à la vitesse de la lumière, pour finalement voir ce dévoilement ultime aller crescendo dans l'horreur, la stupéfaction et l'originalité. On en revient abasourdi, satisfait de s'être encore laissé tromper par cette auteure, qui excelle véritablement dans ce genre : elle en est devenue une valeur sûre dans le cercle fermé des romancières anglaises.
Un merci infini aux éditions Hugo Thriller et à NetGalley pour leur confiance, et pour l'accès à ce nouveau roman très divertissant et réussi !

Je remercie tout d'abord NetGalley et les éditions Hugo Roman pour m'avoir envoyé le nouveau roman de BA Paris, je les ai tous lu depuis le début avec des coups de cœur notamment pour « le Dilemme » et « Derrière les portes ».
Une trame simple propre à l’auteure avec un couple toujours au centre de l’intrigue ; Alice et Léo emménagent ensemble dans une résidence : le Cercle de Finsbury. Dans ce cercle, de nombreux couples aisés y vivent également. C’est tout nouveau pour Alice qui arrive en ville et qui n’arrive pas à faire le deuil de sa sœur Nina. Mais Alice doit apprendre à vivre seule encore, car Léo à un métier qui l’accapare et part souvent sur Londres la semaine. Elle se lie d’amitié avec les autres femmes du cercle (vous voyez l’ambiance Desperate Housewives un peu) et de fil en aiguille, elle va apprendre l’impensable : cette maison à moindre coût à une raison : la femme Nina Maxwell, qui habitait ici avant elle, a été assassinée (soi-disant) par son époux, Oliver, qui s'est ensuite suicidé en prison… La confiance envers Léo s’écroule et Alice cherche à mener l’enquête car Oliver semble innocent. Un détective va l’embarquer dans cette quête et Alice envers et contre tous va déterrer des secrets de voisinages qu’elle aurait dû laisser…
Ce n’est peut-être pas le meilleur de BA Paris, mais j’ai passé un bon moment, fan des Thriller domestique et « des bandes de copines » j’avais envie de connaître le dénouement final, qui peut paraître assez simple de primes abords, mais entre 2 thrillers, j’ai apprécié vraiment. La plume de l’auteure, est fluide et addictive ce qui fait vraiment la force de ses romans.

Je remercie tout d'abord NetGalley et les éditions Hugo Roman pour m'avoir permis d'avoir accès à ce nouveau roman de BA Paris.
Et là, je suis bien ennuyée, car bien que j'ai beaucoup apprécié les précédents romans de l'auteur, pour celui-ci, je cale.
L'histoire est simple : une jeune femme, Alice Dawson, traductrice en free-lance, traumatisée après la mort de sa soeur Nina et de ses deux parents, de nombreuses années auparavant, vit à la campagne, à Harlestone loin du tumulte de la ville. Elle rencontre Léo Curtis, en percutant son véhicule : c'est un charmant jeune homme, qui travaille dans le secteur boursier et la gestion du risque. Ils emménagent rapidement ensemble dans la maison qu'il vient d'acheter au sein d'une résidence sécurisée : le Cercle de Finsbury, près du parc qui porte le même nom. C'est un autre-soi entre gens du même niveau financier, la misère n'existe pas, les pauvres sont loin et de toutes façons, ils ne peuvent pas entrer dans cette enclave de paix et de verdure qu'est le cercle entre codes, bip, barrières .... Alice quitte sa campagne pour vivre à Londres.
Il y a plusieurs couples qui occupent chacun une maison et jardin : des personnes âgées, Edouard, qui se remet d'une crise cardiaque et Lorna dont le fils est mort en Irak, et des jeunes couples : Eve Jackman et Will (comédien), Tasmin et Connor (négociant en alcool), leurs 2 petite filles (Amber et Pearl), Maria Conway (orthophoniste) et Tim (psychothérapeute en devenir), leurs 3 garçons et leurs golden retriever. Il y a aussi Geoff, divorcé. Alice et Léo sont vite intégrés dans le cercle où tout le monde pense se connaître.
Léo est souvent pris par son travail sur Birmingham, mais Alice peut compter sur son amie Ginny et son compagnon, Mark.
D'autant plus qu'Alice découvre que si le prix de la maison était aussi raisonnable, c'est qu'il y avait une raison : Nina Maxwell, une psychothérapeute, est morte, ici, assassinée par son époux, Oliver, qui s'est ensuite suicidé en prison.. Alice est stupéfaite de l'attitude de celui qu'elle pensait connaître, Léo qui était au courant et ne lui a rien dit. A partir de là, elle perd confiance en lui et en leur couple. En même temps, la similarité des noms Nina, va faire qu'Alice va enquêter sur la mort de la jeune femme, monter les hypothèses les plus folles et suspecter tout le monde sauf le coupable. Il faut avouer qu'elle a une motivation particulière, en la personne de Thomas Grainger, détective privé beau gosse, qui à la demande d'Helen, la soeur d'Olivier (le meurtrier présumé), est tente de trouver les preuves pour disculper ledit Olivier.
Comment exprimer l'agacement que me provoque le personnage d'Alice ? Traumatisée par des morts brutales, mais faisant confiance au premier chien coiffé qui passe ? Nous avons droit à une visite de Londres, très touristique et des lieux branchouilles, mais pour la première fois, j'ai été irritée de relever des incohérences entre le personnage d'Alice et ce qu'elle est censée vivre (entre autres, des visites nocturnes et diurnes d'une personne dans la maison qu'elle occupe). Le livre se lit rapidement, mais l'héroïne ne m'a pas semblé sympathique, je ne lui ai pas trouvé de texture. Je suis d'autant plus déçue que j'apprécie cet auteur, fort distrayant. Il aurait peut être fallu un peu plus de temps pour laisser mûrir les personnages principaux et leur donner cette densité que j'avais apprécié précédemment. Cela ne m'empêchera pas néanmoins de continuer à suivre l'auteur.

Alice a quitté sa belle campagne pour suivre Leo, en effet, son compagnon leur a déniché une maison cossue dans le Cercle de Finsbury, un quartier londonien huppé et verdoyant où tous se connaissent et se fréquentent.
Un jour un détective privé aborde Alice, il enquête sur le meurtre de Nina assassinée dans cette maison même il y a un an. Choquée par cette nouvelle, Alice fustige Leo qui lui a caché ce drame par crainte qu'elle ne refuse d'habiter cette maison (voie royale pour la faire doublement fuir)
Ce mensonge introduit une brisure dans leur couple et une brisure dans le coeur d'Alice car sa soeur, tuée dans un accident, s'appelait aussi Nina
Dès lors, la jeune femme ne cesse d'interroger ses voisins sur Nina et ce meurtre violent, mais ses questions gênent ou irritent. Que taisent-ils donc tous? Alice partage ses recherches avec le détective privé qui l'encourage
Et quelle est cette ombre qui, de nuit, s' infiltre dans sa maison ?

Cette lecture facile ne brille pas par son originalité ni par sa profondeur, par contre elle nous plonge dans l'ambiance d'un quartier résidentiel clos où les familles se voient forcément, s'invitent donc souvent, mais se dissimulent l'essentiel
Le suspens se maintient grâce à l'alternance du soupçon et aux visites nocturnes. Certes la recette est connue mais elle se laisse savourer avec plaisir et constance avec, en finale, une belle révélation sur l'héroïne

Aussitôt reçu , aussitôt lu . Rien de bien étonnant avec un roman de B A Paris. Mais je dois avouer que cette fois ci je reste sur ma fin et suis un peu déçue par ce thriller. En effet j'ai trouvé l'héroïne presque insupportable à la limite de la femme enfant. Elle ne prend pas de décision et se laisse mener par le bout du nez ce qui a un peu entâché ma lecture. La plume reste habile et les chapitres

Quel plaisir de retrouver l’ambiance pesante, angoissante que j’avais tant aimé dans « derrière les portes » !

J’ai dévoré ce thriller tant je voulais savoir qui avait tué la précédente propriétaire du numéro 6 de la résidence du cercle de Finsbury.

Alice, qui semble décidée à prendre un nouveau départ avec Léo dans une maison d’un quartier résidentiel de Londres, découvre, une fois installée, qu’une femme, Nina, y a été assassinée. Or Léo le lui a caché.

Entre des réveils nocturnes, les dissimulations de Léo, les messes basses de ses voisines, l’ambiance est lourde et angoissante au sein de cette communauté.

Alice va mener son enquête car elle doute de l’identité du tueur de Nina et elle va soupçonner tour à tour Léo et ses voisines.

Moi aussi j’ai soupçonné chacun des protagonistes et ce n’est pas une mais deux révélations finales que nous réserve l’auteure !

La plume fluide et addictive et l’ambiance angoissante du récit font que c’est un thriller psychologique difficile à lâcher. En résumé, j’ai adoré !

Voici un thriller haletant à souhait. L’histoire d’un jeune couple qui s’installe dans un appartement dans une propriété privée. Les appartements se ressemblent tous et tout le monde se connaît. Alice la nouvelle arrivée apprend très vite que son compagnon Léo lui a menti: l’ancienne propriétaire a été assassinée dans sa chambre. Alice est dans tous ses états et commence à suspecter tous le voisinage, son compagnon, l’agent immobilier. Bref tout le monde y passe.

Dans ce thriller, l’ambiance monte crescendo. C’est anxiogène et les pages se tournent avec frénésie.

Un très bon moment de lecture même si j’ai trouvé Alice quelque peu naïve, et peu crédible. À sa place, j’aurai agi autrement. D’où mes 3 étoiles.

Alice et Léo sautent le pas, ils achètent une maison pour vivre ensemble. Ils emménagent dans un quartier résidentiel haut de gamme et sécurisé. On sent dès le début qu'Alice n'est pas à l'aise avec ce choix de maison, mais elle veut faire plaisir à Léo. Et quand elle apprend que la précédente propriétaire a été assassinée, son malaise grandit. Elle ne pourra rester dans cette maison sans découvrir la vérité.
L'ambiance m'a fait penser à Desperate Housewives, dans ce quartier où tout le monde se connaît, mais avec beaucoup de non-dits. Alice va essayer de lier une amitié avec ses voisines, mais sans forcément trouver sa place. La narration est à la première personne, du point de vue d'Alice. On suit ses pensées, ses doutes. J'ai pu m'identifier à elle assez facilement. Dans cette ambiance tendue, les suspects et les mobiles s'enchaînent. Il y a peu d'action, tout repose sur les déductions et les hypothèses. Ce roman est habilement construit, l'auteure nous fait soupçonner tout le monde, et personnellement, je n'ai pas deviné le coupable avant la fin.
J'ai apprécié ma lecture, bien que certains points manquent de crédibilité à son sens. On aurait pu avoir la même intrigue, mais sans autant de révélations. Pour moi, le trop est l'ennemi du bien.

Le cercle de Finsbury -- BA Paris

#LecercledeFinsbury #NetGalleyFrance

Suspenses et apparences trompeuses sont les ingrédients principaux de ce thriller psychologique rondement mené par l'auteure britannique avec ce dernier opus.
Une résidence privée très sécurisée composée de 12 maisons ou se côtoient voisins et voisines de bonne société.
Comme à son habitude, l'attention de l'auteure va se porter sur une intrigue aux multiples rebondissements et fausses pistes pour bâtir son recit appréciable mais inconsistant tant les personnages auraient mérité plus de consistance et de profondeur.

Le Cercle de Finsbury est une résidence londonienne sécurisée où 12 maisons identiques implantées tout autour d’une placette centrale semblent se regarder, voire s’épier. Impossible de passer inaperçu dans ce cocon, il existe même un groupe Whatsapp réservé à tous ses habitants qui forment un noyau plutôt soudé ! En s’installant au n°6, Alice a fait « le grand saut », elle a tout quitté : sa ville natale, son cottage, ses amies, pour vivre en couple avec Léo qu’elle a rencontré assez récemment… C’est d’ailleurs lui qui a choisi et acheté cette maison au prix étonnamment attractif.
Mais très vite, Alice s’inquiète et se sent mal dans sa maison : certaines nuits, une présence se fait sentir dans leur chambre… Elle a même découvert qu’on peut passer facilement d’un terrain à l’autre grâce aux haies clairsemées à cet effet. De plus, un « pique-assiette » pourtant sympathique, lui a soufflé que l’ancienne propriétaire de cette maison y a été assassinée !
Comment savoir à qui faire confiance parmi les résidents du Cercle qui interrompent leurs conversations sur son passage ? Parmi ses voisines, la belle Tamsin semble l’éviter, Lorna, terrorisée, lui a soufflé de se méfier … De son côté, Léo semble craindre qu’on ne découvre le contenu de son armoire métallique qu’il n’ouvre que seul… Pourquoi Léo voulait-il à tout prix cette maison ? Alice est bien décidée à découvrir la vérité sur cet horrible crime … Qui ment ? Est-ce un complot ?
Merci à Netgalley et aux éditions Hugo Thriller pour l’envoi de ce roman psychologique très bien mené. Suspense et apparences trompeuses garanties !
#LecercledeFinsbury #NetGalleyFrance

B.A. Paris est une autrice que je voulais découvrir depuis un moment. Eh bien voilà qui est chose faite avec ce tout nouveau roman et je ne suis pas déçue, car j’ai passé un bon moment en compagnie de la plume de l’autrice. Soit, il ne faut pas s’attendre à des meurtres à répétition, à du glauque et à du sang à volonté, car nous sommes ici dans un thriller domestique, mais ça ne m’a pas empêché d’apprécier, même si c’est un style que je lis beaucoup moins.

On commence avec un prologue écrit en italique. Nous sommes dans le cabinet d’un psychothérapeute qui reçoit une de ses patientes. Nous avons beaucoup de descriptions de la patiente et du cabinet et nous suivons leur discussion. Notre thérapeute pose une question à sa patiente « Savez-vous ce que disait Henry David Thoreau ? » et la réponse est une magnifique citation que j’ai beaucoup aimée et que j’ai trouvée tellement vraie: « Le bonheur est comme un papillon, plus on le poursuit et plus il nous échappe. Mais si l’on s’intéresse à autre chose, alors il vient se poser doucement sur notre épaule. »

Ensuite, vient le premier chapitre. Nous suivons l’emménagement de Léo et Alice à Londres, au Cercle Finsbury, une résidence où tout est calme. Mais ce calme ne va pas durer, je vous rassure. Sinon à quoi bon lire un thriller ? Alice découvre visuellement ses voisines et voisins tout en rangeant ses cartons, elle ne peut s’empêcher de regarder par la fenêtre. Ce roman est raconté à la première personne du point de vue d’Alice. Du coup, on a l’impression que c’est elle qui nous fait les descriptions des lieux et nous pouvons nous les imaginer sans soucis. Les descriptions sont vraiment au top, que ce soit le décor ou les autres protagonistes, on a l’impression de tout visualiser.

Petit à petit, Alice et Léo vont faire la connaissance de leurs voisins en commençant par Maria. Mais Alice va se rendre compte que Léo n’est très enthousiaste à l’idée de faire la rencontre de leurs voisins et que Tasmin, dont nous allons faire la connaissance petit à petit, est aussi assez distante. Alice entend certaines paroles qui font mal et, tout comme elle, nous cherchons à comprendre pourquoi Léo et Tasmin ont ce comportement. Finalement, Alice et Léo reçoivent leurs voisins et tout se passe plus ou moins bien… sauf pour ce mystérieux individu qui n’était pas invité à la fête et qui n’a fait qu’y passer. On se pose déjà énormément de questions et l’autrice nous en rajoute !

À part les questions qui nous trottent dans la tête autant que dans celle d’Alice, tout se passe bien pour notre couple. L’autrice nous explique même à un moment comment ils se sont rencontrés. Enfin, c’est le début et ce n’est pas trop long, c’est juste le temps de faire connaissance avec tous nos protagonistes et après tout démarre. L’autrice distille crescendo et avec brio un peu de suspense dans l’histoire pour que le lecteur puisse avoir envie de continuer et puisse toujours se poser plus de questions. Enfin, vient la révélation principale. Dans la charmante maison qu’Alice et Léo occupe, il y a eu un meurtre. Alice ne savait rien de ce meurtre avant d’emménager et se renseigne pendant que Léo travaille et elle découvre que lui le savait mais qu’il voulait à tout prix cette maison-là, du coup il lui a caché.

Et c’est là que tout va commencer, on va se mettre à douter de Léo avec Alice et on va lui en vouloir. D’autant plus que certaines choses vont énormément perturber Alice et on ne peut que la comprendre. L’autrice va nous montrer qu’un mensonge peut en cacher bien d’autres et qu’il peut détruire un couple à jamais. Alice n’arrive plus à faire confiance à Léo même après avoir discuté avec lui. Elle s’imagine tellement de choses et, nous aussi, on pense même avoir trouvé qui a assassiné Nina dans leur maison. Et puis, tout comme Alice, on va se mettre à suspecter tout le monde et on va s’imaginer que n’importe qui peut être l’assassin. On va découvrir des choses chez l’un et chez l’autre qui peuvent le rendre suspect et on va devenir méfiant. L’autrice va nous mener en bateau, nous mener vers une piste puis l’autre et on va émettre des milliers d’hypothèses.

Bon, il faut avouer que la rencontre de Thomas, le détective privé, va aider à nous mettre sur des fausses pistes avec Alice. C’est le seul en qui on a confiance, car il est vraiment là pour aider notre protagoniste principale. Il va lui rendre visite pour l’aider dans son enquête, car Alice est décidée à aller jusqu’au bout et à prouver que ce n’est pas Oliver qui a tué sa femme, Nina. Alice et Thomas sont tellement motivés que nous les suivons avec beaucoup d’entrain et nous voulons nous aussi savoir. Sans compter qu’Alice pense recevoir des visites nocturnes… Elle n’en est pas certaine jusqu’à ce qu’on ait la confirmation que quelqu’un rentre tous les soirs chez elle pendant qu’elle dort. Voilà un mystère de plus à résoudre, même si on se doute qu’il est lié à l’assassinat de Nina. Et puis, nous arrivons à la révélation finale et là, j’avoue que je suis restée bouche bée tant j’ai été scotchée par ce dénouement, j’ai tout imaginé sauf ça. L’autrice m’a complètement bluffée.

Alice et Léo se sont rencontrés il y a peu de temps mais ils décident quand même d'emménager ensemble dans une résidence tout confort, au Cercle de Finsbury, un quartier conçu comme un fer à cheval, une résidence cossue et sécurisée près de Londres... les voisins semblent accueillants.
Alice va découvrir que Nina, l'ancienne propriétaire, a été assassinée dans la chambre parentale.
Dès lors, elle ressent une présence la nuit... des objets sont déplacés... si bien que, terrorisée, elle envisage de partir de ces lieux et décide de mener son enquête auprès du voisinage pour comprendre ce qui est arrivé dans cette villa.
Que se passe t'il dans ce quartier d'apparence si paisible?? L'insécurité devient vite oppressante et se transforme en terreur.
Une atmosphère anxiogène... un appartement oppressant... l'assassinat de l'ancien propriétaire... pour un quartier paisible, on va y trouver notre compte d'angoisse!
Même s'il y a des passages moins rythmés que d'autres, j'ai adoré ma lecture. On se laisse rapidement emporter par les peurs des personnages, par l'oppression de la résidence et du voisinage. On cherche à comprendre, on se laisse mener par le bout du nez par l'auteur dans la recherche de la vérité et du coupable. Il y a de l'action, des rebondissements... quelques scènes sont parfois too much et incohérentes mais ça passe.
Merci beaucoup à #netgalleyfrance et à #lecercledefinsbury pour cette découverte.

Alice et Léo sont en couple depuis 18 mois mais ne se voient que le we pour des raisons professionnelles.
Leo prend en main leur projet de vie commune et achète une maison ds le cercle de Finsbury, une résidence sécurisée à Londres.
Rapidement, Alice ne sent pas à l’aise dans cette maison et au milieu de ses nouveaux voisins... d’autant plus lorsqu elle apprend le drame qui s est passé dans la chambre parentale.

On s’installe au milieu du Cercle. On observe les voisins, ces couples, ces familles... Les soupçons d Alice sont ils légitimes ? Ont ils des secrets ? Qqs uns ? Tous ?

J’ai aimé me plonger dans cet environnement et suivre Alice, malgré ses peurs, ses interrogations, ses angoisses...
Et le dénouement... maîtrisé !
Un très bon thriller domestique comme je les apprécie !

Ce livre nous fait partager la vie d'Alice qui emménage avec son petit ami Léo dans une résidence sécurisée. Un jour, elle apprend qu'un meurtre a eu lieu dans la maison.

A partir de cet évènement, leur vie va être chamboulée... La résidence qu'elle pensait sécuriser l'est-elle réellement ?

J'ai beaucoup aimé l'intrigue du livre.
La lecture est addictive, on ne peut s'empêcher d'enchaîner les chapitres une fois celle-ci commencée.

Tous les personnages sont suspects, on soupçonne tout le monde, et ce, dans une ambiance oppressante. On finit par se demander si Alice devient folle ou si ce qu'elle vit est vraiment réel.

La fin est surprenante, je n'ai rien vu venir pour mon plus grand plaisir.

Je remercie le site "NetGalley" et les éditions "Hugo Thriller" de m'avoir fait découvrir cette chouette lecture.

Alice a tout pour être heureuse. Un compagnon intentionné, un métier de traductrice qui lui permet d’organiser ses journées comme elle l’entend. Elle a accepté de s’installer à Londres avec Léo car leur liaison souffrait de leur éloignement en semaine. Elle a gardé ses anciennes amies et va sans aucun doute s’en faire de nouvelles dans cette résidence « sécurisée », où tout le monde de côtoie, s’entraide … du moins lui semble-t-il. Est-elle vraiment la bienvenue ? Cette micro-société aurait-elle des secrets ? Elle n’en doute plus quand elle découvre que Léo lui a caché le meurtre de l’ancienne propriétaire dans la chambre qu’elle partage maintenant avec lui. Un huis clos va s’installer, les non-dits vont surgir et elle arrivera à entretenir sa propre paranoïa à force de secrets qu’elle n’arrive pas à percer et d’une suspicion généralisée. A moins qu’il ne s’agisse d’une conspiration.
Dès lors, toutes les extrapolations sont possibles et Alice va projeter ses craintes tour à tour, sur chaque résident, potentiel meurtrier !
B.A. Paris sait très bien ce qui se passe dans le cerveau de ces femmes seules, en proie à leurs fantasmes. Les hommes ne sont pas mieux traités d’ailleurs. Alice saura-t-elle se faire un ami de Tom ?
Un suspense implacable et dans la tête d’Alice, une foule de scénarios alternatifs coupent court aux possibles alliances avec ces Desperate Housewives version « so british ». J’ai beaucoup aimé me faire embarquer dans ce roman psychologique noir et plein de rebondissements, comme j’avais été séduite par Derrière les portes.

Tout d'abord, je remercie la plateforme Netgalley et les éditions Hugo Thriller de m'avoir transmis ce dernier roman de B.A. Paris que j'attendais de lire avec impatience !
Comme avec la plupart de ses romans, j'ai été happée dès les premières lignes par son écriture qui distille ça et là quelques indices et joue avec les nerfs du lecteur chapitre après chapitre.
Alice et Leo s'installent dans une résidence londonienne calme et sécurisée, appelée le Cercle de Finsbury. L'ensemble, bien clôturé, compte douze propriétés bâties autour d'un square central. Tous ces voisins se connaissent et entretiennent des relations cordiales et amicales. Une vie de rêve en apparence... Très vite, Alice ressent un malaise indéfinissable dans cette demeure, que Leo a acquise pour qu'ils y construisent leur vie de couple. De chez soi, chacun peut observer, épier les allées et venues de ses voisins... Derrière les sourires de façade, à qui faire confiance ? De qui se méfier ? Que tragique et mystérieux passé cache cette maison ?
Comme Alice, j'ai passé mon temps à suspecter les uns et les autres et j'en ai oublié le titre de la version originale, The Therapist, qui n'est pourtant pas sans importance. Merci B.A. Paris pour ce thriller encore une fois bien ficelé !

Merci à Netgalley et aux editions Hugo Publishing pour cette lecture. B.A. Paris . L'autrice connu pour ses retournements de situation et ses polars bien ficelés, revient en s'attaquant au polar domestique, et c'est à nouveau une réussite. Je m'explique....

Le cercle de Finsbury est le nom d'une résidence londonienne sécurisée où se côtoient des familles en quête de sécurité et de convivialité. C'est ici que s'installe Alice et Léo, jeune couple à qui tout semble sourire. Belle maison, charmants voisins, tout paraît pour le mieux, jusqu'à ce qu'Alice découvre l'histoire de sa maison. Celle-ci a été le théatre d'un meurtre brutal...Peu à peu la suspicion s'installe et de drôles de phénomènes se multiplient. Et si le tueur rôdait encore ? 

Ce polar se place bien dans la catégorie domestique , son action se situant principalement dans la résidence. Agrémenté d'une ambiance lourde et pesante, il nous plonge au coeur de la vie de ses quartiers dans lesquels tout semble si policé, mais qui cache bien des secrets. Et cette ambiance fait beaucoup à la réussite de ce thriller, car on a l'impression que la seule issue consiste à tourner les pages pour se rapprocher du dénouement. 

La trame de l'histoire est très bien ficelé, on ne voit pas forcément venir l'identité du tueur , même si certaines ficelles sont bien visibles. Le suspense est bien présent, et bien construit, se partageant entre l'histoire principale, et la découverte peu à peu du passé des personnages. Léo notamment, occupe bien sa place : il détourne l'attention, permettant à la tension de rebondir. 

Les personnages sont bien écrits, on trouve en chacun d'eux, l'image des voisins tels qu'on pouvait l'imaginer: la star du quartier, le sportif, la maman débordé, la mamie bienveillante. Au final seul l'héroïne , par certains atermoiements répétitifs, ne m'a pas convaincue. 

Mais un ensemble cohérent qui donne un polar domestique réussi. Avis aux amateurs!

Alice et Leo s'installent ensemble après 18 mois d'une relation à distance. L'endroit : le Cercle de Finsbury, une résidence récente située à Londres, composée de 12 maisons et sécurisée.
Premier souci pour Alice : cette maison est le choix de Leo, pas le sien… Et elle ne s'y sent pas complètement à l'aise.
Autre souci : la vie en vase clos, entourée de peu de voisins, au comportement parfois étrange, distant, voire franchement hostile…
Lorsqu'un inconnu s'incruste à la fête d'Alice et Leo, puis revient pour annoncer qu'un meurtre a été commis dans leur nouvelle maison, Alice nage en plein doute… Que s'est-il réellement passé ? Peut-elle toujours faire confiance à Leo ? Les voisins protègent-ils l'un d'entre eux ???
J'ai trouvé qu'Alice manquait parfois de cohérence, de profondeur, que certains passages pouvaient un peu tourner en rond, mais globalement, l'auteur tisse sa toile lentement, pour jouer avec nos nerfs. J'ai été prise dans les filets de cette histoire, formulant des tas d'hypothèses sur le meurtrier, revenant toujours en arrière, hésitant à chaque idée… Jusqu'à la confirmation, finalement peu avant le dénouement… Un très bon thriller domestique signé, encore une fois, par B.A.Paris. Merci @NetGalleyFrance et @Hugothriller pour cette lecture.

Quelles sont les motivations cachées de ces voisins (trop ?) amicaux ? Et celles de votre conjoint qui semble dissimuler de lourds secrets ? Un thriller addictif !

Une lecture anxiogène où chaque protagoniste a ses secrets et où tous sont susceptibles d’être le tueur. Des non-dits qui forcent à la paranoïa au point de ne plus savoir à qui se vouer, à qui faire confiance. Dès le départ on est tenu en haleine puis la tension ne fait que monter pour atteindre son paroxysme au moment du dénouement.

Alice, une jeune femme très attachante dont les fêlures du passé font d’elle une personne d’autant plus sensible au terrible drame qui s’est produit dans sa maison. Et parce que la victime porte le même non que sa sœur défunte le besoin de savoir qui est le meurtrier lui devient vite vital. C’est à la fois malsain et compréhensif. Mais voilà que ses questions dérangent et que des faits assez inquiétants se produisent dans l’habitation. J’ai admiré sa détermination parce qu’à sa place j’aurais déjà fuit depuis longtemps.

L’auteure a su créer une ambiance lourde et inquiétante. Les jours passent et avec eux le nombre de suspects augmente. On ressent une réelle appréhension et on a peur. Peur parce qu’on comprend bien avant Alice que le danger est bien plus proche qu’il n’y paraît. Nombreux sont les petits quiproquos qui la mènent sur de mauvaises pistes et qui font d’elle une proie d’autant plus facile à atteindre.

Un récit dans lequel on sent que l’attention est primordiale et qu’un tout petit élément peut nous amener à découvrir qui est le tueur. J’ai résolu ce mystère avant la révélation mais je n’imaginais pas l’ampleur de celle-ci. J’ai adoré l’intensité de la dernière partie, celle où on comprend, où tout s’éclaire mais où Alice, elle, tarde à ouvrir les yeux. Et une fois la menace dévoilée, c’est en retenant notre souffle qu’on dévore les dernières pages.

Malgré quelques longueurs je me suis laissé prendre par ce roman en quasi huis-clos, dont l'intrigue nous réserve un très beau suspense.
L'auteure a également l'art de manipuler ses lecteurs pour mieux les égarer afin de maintenir leur attention jusqu'au final . Vous êtes prévenus !

Le personnage central de ce roman et la narratrice est Alice Dawson , une jeune femme d'une trentaine d'années, traductrice de son état , qui vient de débarquer dans une résidence ultra sécurisée constituée de douze maisons identiques.
Elle a quitté la campagne et son cottage d'Harlestone dans le Sussex pour emménager avec son compagnon Léo Curtis, consultant en gestion de risques, au Cercle de Finsbury. Léo, en voyage pour son travail à Birmingham jusqu'au jeudi , Alice se retrouve seule une bonne partie de la semaine . Grâce à une soirée organisée à leur domicile , le couple va faire connaissance avec leurs voisins , Ève et Will , Maria et Tim , Tamsin et Connor ou Cara et Paul .
Alors que rien ne semble vouloir troubler le bonheur d'Alice et Léo dans leur nouvelle demeure , l'ambiance dans le couple va pourtant vite se dégrader quand Alice va apprendre par hasard que la maison dans laquelle elle vit , a été le théâtre d'un meurtre . Une psychothérapeute du nom de Nina Maxwell, a été tuée et son mari accusé du meurtre s'est suicidé. Un grain de sable supplémentaire va apparaître quand elle va apprendre qu'un parfait inconnu s'est immiscé lors de la soirée qui s'est déroulée chez elle il y a quelques jours .
Comme une accumulation de mauvaises nouvelles qui semblent vouloir submerger Alice . Au proie aux doutes , l'esprit perturbé par une atmosphère de plus oppressante, le sentiment qu'elle est épiée la nuit et que Léo comme les voisins lui cachent de lourds secrets , le souvenir coupable de la mort de sa soeur Nina décédée dans un accident de voiture qui vient la hanter . Tous ces éléments négatifs vont mettre à rude épreuve les nerfs d'Alice qui sait que la seule manière de retrouver la sérénité est de mener sa propre enquête sur la mort de Nina Maxwell.

L'auteure britannique nous offre une nouvelle preuve de sa virtuosité. Une descente aux enfers pour l'héroïne et un scénario diabolique pour ses lecteurs. le rythme semble faire du sur-place , mais instille à l'aide de petites touches le décor du drame . La psychose s'installe peu à peu dans l'esprit d'Alice , sa confiance s'émousse et de vieux démons resurgissent mais le besoin de vérité reste un moteur efficace de motivation.
Un roman où l'intensité psychologique remplace un déluge d'actions . Difficile de lâcher ce livre quand vous êtes pris dans l'absolue nécessité de découvrir le bouquet final . Et je peux vous dire que vous allez être surpris !

Alice a décidé de quitter sa campagne anglaise pour suivre son compagnon Léo à Londres. Ils s'installent au Cercle, une résidence qui compte une dizaine de maisons, ce qui permet de recréer une petite communauté en plein Londres. Alors qu'Alice tente d'établir un lien avec ses voisins, et elle fait une surprenant découverte...La maison dans laquelle elle vit désormais a été le témoin d'un affreux meurtre, celui d'une jeune femme, Nina...
Alice est alors perdue, elle ne sait plus qui croire et à qui faire confiance, et le prénom de Nina déclenchez chez elle une obsession...Ses relations avec son entourage s'en trouvent alors fortement affectées...
Comme tous les livres de cet auteur, celui-ci est encore une réussite. Les rouages du thriller pyschologique sont habilement mis en place, et comme Alice, le lecteur se retrouve perdu et ne sait plus qui ni quoi croire. C'est un vrai page turner dont on ne veut plus sortir jusqu'à avoir la réponse...

De secrets en mensonges, l’a tension monte insidieusement... Je me suis laissée prendre au piège de ce thriller distillant son suspense tranquillement mais sûrement!

Je remercie tout d’abord les Editions Hugo Roman pour m’avoir donner l’opportunité de découvrir ce livre via le site Netgalley.

B.A. Paris est une auteur que j’apprécie énormément et que j’ai eu la chance de rencontrer au salon PolarLens en 2019. J’ai bien entendu dévoré ses 4 autres livres et c’est donc avec impatience que j’ai commencé la lecture de son nouveau livre.

Lors de cette lecture nous faisons connaissance d’Alice, qui s’installe avec son compagnon Léo dans une maison trouvée par celui – ci. Une maison dans une résidence très sécurisé.

Alice emménage dans cette maison sans l’avoir visitée, en ayant aucune information sur ce cercle qui est composé de plusieurs maisons et ou tout le monde à l’air de très bien se connaître.

Très vite elle va apprendre que Nina l’ex propriétaire de la maison à sauvagement été assassinée chez elle. Si les autres habitants du cercle lui certifient que c’est le mari de Nina qui l’a tué, Alice doute de plus en plus.

Elle ne sait plus quoi penser… Il se passe des choses étranges dans cette maison mais elle découvre en plus que Léo ne fait que lui mentir.

Elle se méfie également de chacun des habitants de ce cercle qui se connaissent tous mais qui semblent cacher beaucoup de choses.

La narration à la première personne du point de vue d’Alice nous permet de nous mettre dans sa peau, de vivre les choses avec elle, son intégration auprès de ses voisines, sa rencontre avec la personne qui va lui apprendre comment Nina est morte, son ressentie suite aux mensonges de Léo, ses doutes,… L’auteur a vraiment ce don dans chacun de ses livres de nous accrocher totalement au personnage principal.

Comme Alice, j’ai soupçonné plusieurs personnes et j’ai émis des hypothèses jusqu’à ce que j’arrive à ce final que je n’avais pas vu venir mais alors pas une seule seconde je ne m’étais attendue à ce final.

Bémol pour moi sur la couverture à laquelle je n’ai vraiment pas accrochée.

Alors même si j’ai trouvé quelques petites longueurs par moment et que ce ne sera pas mon préféré de B.A. Paris, j’ai vraiment passé un agréable moment malgré tout.

📖 Avis perso : 💙💙💙💙🤍

J'ai eu du mal à me mettre dans ce récit mais j'ai adoré les 100 dernières pages.
Alice m'a presque exaspérée les 2 premiers tiers de l'histoire et elle est vraiment très présente en tant que personnage principal.
L'histoire est originale, je n'avais pas deviné la fin tellement il y a de coupables éventuels et nous avons la révélation vraiment à la toute fin.
J'ai passé un très bon moment… malgré Alice !

J’ai retrouvé avec plaisir l’imagination de B.A. Paris dans ce thriller domestique passionnant. Après avoir beaucoup apprécié l’an passé Le Dilemme, je me suis laissée prendre au suspense bluffant de ce nouvel opus: Le Cercle de Finsbury est machiavélique !

Le Cercle de Finsbury est une résidence sécurisée de Londres comprenant une douzaine de maisons idéales et accueillantes, dans laquelle vivent paisiblement plusieurs familles. C’est là qu’Alice Dawson, traductrice, emménage avec son petit ami Léo Curtis, spécialiste dans la gestion de risque. Un grand pas pour la jeune femme qui quitte sa campagne natale pour vivre avec l’élu de son cœur. Désireuse de s’intégrer parmi ses voisins qui semblent tous s’être liés d’amitié, Alice décide de les inviter à un apéritif. Les choses se gâtent lorsqu’elle se rend compte sur le tard qu’un parfait inconnu qu’elle a confondu avec un de ses voisins, s’est immiscé dans leur petite fête, allant jusqu’à visiter leur maison… Est-ce un simple pique-assiette ou un homme qui nourrit de sombres desseins?

Lorsqu’Alice apprend qu’une jeune psychothérapeute a été sauvagement assassinée dans la maison avant qu’ils n’y emménagent, le sentiment d’insécurité s’amplifie. Elle a l’impression qu’une présence hante les murs, et que quelqu’un vient les épier pendant leur sommeil… D’autant plus que Léo, qui doit s’absenter quelques jours par semaine pour effectuer des déplacements professionnels semble lui cacher certaines choses… Perturbée par le fait que la jeune femme assassinée porte le nom de Nina, tout comme sa propre sœur décédée par sa faute dans un accident de voiture, Alice s’intéresse de près à cette tragédie et questionne le voisinage sur la mort de Nina. Tout accuse le mari de celle-ci, Oliver, qui après avoir clamé son innocence, s’est suicidé. En emménageant dans cette résidence finalement pas si paisible que cela, Alice est prise dans un engrenage infernal.

Comme le suggère son nom, la résidence a la forme d’un cercle, où toutes les maisons se font face, permettant à chacun d’avoir une vue sur son voisin, voire de l’épier… Dans cette atmosphère qui s’avère rapidement étouffante, Alice, encore bouleversée par un passé qu’elle ne parvient pas à oublier, semble véritablement obsédée par le meurtre qui a eu lieu sous son toit, et que son compagnon a préféré lui cacher, pour acquérir cette maison sans son avis, à un prix très attractif… Entre les deux tourtereaux, ce n’est pas la joie : Alice ne parvient plus à faire confiance à sa moitié. Les relations avec les voisins deviennent rapidement oppressantes: entre messes basses, mensonges, manipulations et apparences trompeuses, tout est là pour créer une ambiance anxiogène.

L’auteure surprend une nouvelle fois dans sa capacité à captiver son lectorat, elle nous prend en otage car on ne peut lâcher ce livre avant d’en connaître la fin, nous laisse le temps de faire nos suppositions avant de nous dévoiler un dénouement totalement imprévisible.

Je remercie Net Galley et les Editions Hugo Thrillers pour cet excellent moment de lecture!

Alice et Léo sont un jeune couple qui s'installe dans la maison achetée par Léo dans une résidence haut de gamme et hautement sécurisée d'un quartier de Londres : le cercle de Finsbury.
Alice, qui au tout début apprécie de pouvoir travailler tranquillement chez elle, déchante rapidement et ne se sent pas à l'aise dans cette maison. Elle apprend donc qu'un meurtre, celui de Nina, a été commis dans celle ci, ce dont Léo, qui était au courant, avait négligé de l'informer.
Lors d'une soirée organisée par Alice, un détective privé embauché par la soeur du mari de Nina qui fut accusé du meurtre et s'est suicidé à la suite de ces accusations, parvient à s'introduire dans la résidence et fait part de ses doutes à Alice.
Celle ci va désormais vivre dans la peur et dans la suspicion envers tous ces voisins et même envers Léo.
Comment parviendra t'elle a se sortir de cet engrenage?

C'est un roman qu'on a du mal à lâcher car à l'instar d'Alice on se prend à soupçonner tout le monde. Les habitants de cette résidence ont l'habitude de vivre les uns à côté des autres, d'être amis et de se confier leurs tourments. Le meurtre de Nina a changé certaines donnes et meurtri les esprits.
L'écriture est vive et entrainante, quelques petites longueurs mais rien qui ne puisse freiner l'enthousiasme de cette lecture bien prenante et construite d'une façon passionnante.

Un grand merci aux Editions Hugo & Cie et à NetGalley pour cette lecture que j'ai vraiment appréciée et dévorée.

#LecercledeFinsbury #NetGalleyFrance

Merci beaucoup à Netgalley et aux éditions Hugo thriller. Le cercle de Finsbury m’a rappelé pourquoi j’adore B. A. Paris et les thrillers psychologiques. J’ai été très, très déçue par le dilemme, mais l’intrigue de ce nouveau thriller est clairement à la hauteur de derrière les portes. J’ai eu un mal fou à le poser une fois commencé. Gros coup de cœur. J’ai adoré la fin qui est dans la lignée de tout le récit et fait s’interroger le lecteur sur ce que lui aurait fait à la place de l’héroïne.

Les chapitres alternent entre des sessions de thérapie entre un psychologue et des patients et le quotidien d’Alice, une jeune femme qui emménage à Londres avec son petit ami avec qui elle entretenait jusque là une relation longue distance. Alice et Léo emménagent dans une maison d’un quartier sécurisé, le cercle de Finsbury d’où elle pourra travailler comme traductrice. En théorie, tout semble parfait, mais Alice découvre ensuite qu’un assassinat violent à eu lieu dans sa maison. Presque tout le récit se déroule au sein du cercle, renforçant ce sentiment de claustrophobie et de surveillance permanents.

Je suis fan de l’écriture de cette autrice qui parvient parfaitement à transmettre un sentiment permanent d’urgence mêlé de suspicion. Ce récit parvient à mêler les fausses pistes et à soupçonner tout le monde, car Alice en vient à se méfier de tous au fur et à mesure qu’elle découvre la vérité, y compris d’elle-même. La psychose s’installe progressivement et à la fin, on en vient à ne pas se sentir soi-même tranquille dans sa propre chambre à coucher. Les cent dernières pages étaient particulièrement rythmées et insupportables en terme de suspense. J’ai pourtant dû m’arrêter quand j’ai réalisé qu’il était prêt d’une heure du matin en pleine semaine de travail avec la tentation permanente de rallumer pour le finir. On reconnaît un bon livre au fait qu’il continue de nous torturer bien longtemps après et je n’ai pas arrêté de penser à ce titre depuis que je l’ai terminé. C’est vraiment un énorme coup de cœur et la lecture qui m’a le plus enthousiasmé pour l’instant en 2021.

Coucou bonjour les amis lecteurs me voici avec un nouveau livre: Le cercle de Finsbury de B.A Paris des éditions Hugo Publishing.
Je remercie NetGalley ainsi que les éditions Hugo Publishing de m'avoir permis de lire ce beau thriller , j'ai vraiment été happer par cette histoire pleine de suspens , une très belle plume , facile a lire , une très belle intrigue .
L'auteur a su bien mener cette intrigue jusqu'au bout .
Le cercle de Finsbury et un ensemble de maison sous protection ou l'on rentre avec un badge avec un numéro ou réside des couples ou il y a des secrets et mensonges cacher entre les voisins .
Puis un jour Léo achète une maison sans s'avoir ce qu'il c'est passé avant leur arriver .
Il va trouver la maison a son gout et veut faire profiter Alice sa petite amie et veut qu'elle vienne s'installer avec lui dans cette maison .
Donc le couple vie ensemble en s'intégrant a ce nouvel environnement tant bien que mal .
Après bien des soirées et déjeuners fait avec les voisins, puis un jour a une fête est donnée et un inviter surprise s'invite a cette fête, personne ne la jamais vue , il sème le trouble dans ce cercle fermer et c'est Alice apprend par mégarde qu'il se serait passer un événement grave dans cette maison, que l'ancienne propriétaire Nina a été assassiné dans la chambre qu'elle a fait transformer ou ils dorment .
Alice est très secoué par ce qu'elle vient d'apprendre , elle va se poser pas mal de questions et en vouloir a Léo de lui avoir cacher cela ,elle va avoir des doutes sur la protection des lieux et de l'environnement et voit ses voisins moins aimable et jovial .
Puis elle décide de mener sa propre enquête, a la suite de cela va t'elle reprendre la vie courante avec Léo et découvrir les secrets de cette tragédie ?
Je remercie l'auteur pour ce beau thriller que j'ai beaucoup aimé , une très belle intrigue avec pleins de suspens, de surprises .
Vraiment un très bon thriller.
Un coup de cœur pour moi .
Je vous le recommande vivement une très belle intrigue .
Ma note : 5/5

J'ai beaucoup aimé ce roman qui commence tout doucement avec l'aménagement d'Alice dans sa nouvelle maison dans le Cercle, véritable enclave sécuritaire au coeur de Londres et va glisser peu à peu dans le thriller et la paranoia pour Alice qui finit par soupçonner tout le monde, à commencer par son compagnon et ses voisins de lui dissimuler des choses.

Qui a tué Nina, la précédente occupante de la maison ? L'ambiance est celle d'un huis clos, étouffante, car Alice sort très rarement de son enclave et elle se lance dans une enquête involontaire après avoir été contactée par un détective ( qui ne lui est pas indifférent). Présences nocturnes, sensations d'oppression, des voisins qui se comportent étrangement, à commencer par Edward et Lorna, le charmant couple âgé qui vit à côté de chez Alice. A mesure que l'histoire progresse, comme Alice, on soupçonne un peu tout le monde jusqu'à ce que la vérité explose. Certes, il y a eu quelques moments où j'ai eu des doutes mais, au final, la révélation m'a surprise et je me suis bien laissée balader par l'auteure. Une réussite

Ce que j'aime : le scénario maitrisé, la manière dont l'angoisse monte, le personnage d'Alice

Ce que j'aime moins : La fin d'Alice et sa relation avec Leo

Pour résumer

Un très bon thriller qui tient en haleine jusqu'au bout

Ma note

8,5/10

Je vais vous présenter cette fois-ci "Le Cercle de Finsbury", roman de l'auteure franco-irlandaise B.A. Paris, traduit de l'anglais par Vincent Guilluy, paru aux éditions Hugo Thriller.

Beaucoup de mégapoles possèdent quelques havres de paix, sélects et sécurisés, très recherchés par les plus aisés. Le Cercle de Finsbury en est un exemple londonien parfait. C'est en tout cas ce que pensaient Alice et Léo en aménageant au numéro 6...

Cette adresse est synonyme de nouvelle vie pour Alice qui se met ainsi en couple avec Léo qu'elle fréquente depuis plusieurs mois. Alors qu'elle commence à côtoyer ses nouveaux voisins, elle décide de faire une petite réception chez elle pour briser la glace. C'est ainsi qu'un homme se fait insidieusement passer pour un voisin et en profite pour visiter la maison. Dans quel but ?

Ce n'est que le début des questions pour Alice. Ses voisins chercheraient-ils à lui cacher quelque chose ? Ses sensations de présence autour d'elle la nuit sont-elles pure imagination ? Cette adresse est-elle si sûre ?

Chaque page nous emmène un peu plus loin dans un labyrinthe psychologique. Alice va devoir démêler le faux du vrai. Saura-t-elle faire confiance aux bonnes personnes ? Léo va très vite en faire les frais mais n'est-ce pas mérité avec de tels secrets ?

Le lecteur n'est jamais au bout de ses surprises en lisant ce roman. Tout comme Alice, on se retrouve nous aussi en plein trouble. Nos sentiments sont mis à rude épreuve chapitre après chapitre jusqu'à un dénouement final à la hauteur de nos attentes !

Si vous n'avez pas peur de voir vos voisins d'un tout autre regard, je vous souhaite une très bonne lecture !

Après avoir lu Le dilemme de B. A. Paris, qui fut pour moi une véritable révélation, je me suis précipitée sur ce dernier titre sans hésiter une seule seconde, avide de découvrir si l’auteure était capable de récidiver et croisant les doigts pour que ce soit le cas. C’est là son cinquième roman et, si j’en crois les retours que j’ai pu lire sur la toile, à chaque fois elle fait mouche. Le thriller psychologique est pour l’heure le genre que je préfère et il n’est donc pas étonnant que j’affectionne ses romans à suspense puisqu’elle y excelle réellement.
Dans Le cercle de Finsbury, j’ai eu un peu l’impression de me retrouver dans Desperate Housewives, que j’avais beaucoup apprécié lors de sa diffusion car, comme la série, le roman prend place au sein d’une petite communauté résidentielle et fourmille de non-dits, de secrets, de voisins curieux ou un peu étranges, voire de squelettes dans les placards, l’humour en moins bien sûr puisqu’on est résolument dans du noir. Mais j’y ai bien retrouvé tout ce que j’attendais : une construction au cordeau qui permet à l’auteure de nous emmener exactement là où elle le désire, de nous faire soupçonner, comme Alice, chaque protagoniste tour à tour, de nous faire errer de déductions en hypothèses, de nous égarer, de tomber dans ses pièges et surtout de ne rien voir venir de ses rebondissements et retournements de situation. Même si je l’ai trouvé peut-être un poil en dessous du précédent (est-ce parce que c’était le premier ? Je ne saurais le dire), ce fut une lecture très addictive, qui m’a passionnée de bout en bout. L’auteur décortique les schémas de pensée de son personnage principal, chaque acte ou phrase est disséqué, analysé, pesé, les questions sont légion et les réponses, livrées seulement au compte-gouttes. Cela ne fait aucun doute pour moi : B. A. Paris est bien la reine du thriller psychologique et je vais me ruer sur ses trois premiers opus !
Je remercie chaleureusement Les Éditions Hugo Thriller et NetGalley pour cette lecture captivante.

Je remercie infiniment les éditions Hugo Roman et la plateforme #netgalleyfrance pour ce service presse.

Vous est-il déjà arrivé qu'un livre hante vos nuits au point de vous empêcher de dormir ? Eh bien, moi oui !!! Cela a été le cas avec le dernier B.A Paris qui est juste une bombe !!

Quoi, vous avez peur ? Moi je vous dis que vous allez vérifier plusieurs fois que votre porte d'entrée est bien fermée à double tour et qu'il n'y a personne dans votre chambre, c'est ce que j'ai fait ! Oui, j'avoue je suis un peu trouillarde sur les bords.

Revenons-en au cercle... C'est un livre qui m'a tenu en haleine, vous l'aurez compris. L'auteure, par son écriture fluide, ses mots percutants arrive à nous manipuler ! Ce livre aux faux airs de " Desperate Housewives" a de quoi vous retourner le cerveau. Nous voici plongé au cœur de la vie des résidents du cercle, là où un drame s'est joué. L'auteure installe un climat inquiétant dès le départ et la tension monte au fil des pages. B.A Paris distille petit à petit les ingrédients d'un thriller domestique efficace. C'est si additif, que ce livre je ne voulais plus le lâcher !

L'intrigue est rondement menée avec des personnages bien travaillés. J'ai soupçonné tout le monde. Au fond, connait-on réellement ses voisins ? J'ai apprécié le fait que le roman soit écrit à la première personne, du point de vue d'Alice. De ce fait, je me suis rapidement attachée au personnage. Celle-ci m'a touché pour sa sensibilité et son désir de savoir ce qui s'est passé réellement le soir du drame.  J'ai ressenti toutes ses émotions et frissonné avec elle car l'atmosphère est anxiogène ! Personnellement, je ne serai pas resté dans l'appart après avoir découvert la vérité ! Et la fin ? Quel fin ! Elle est à la hauteur du roman ! J'ai passé un excellent moment de lecture, ce livre est de la même veine que "Derrière les portes" alors n'hésitez pas une seule seconde !

J’ai découvert B.A. Paris il y a quelques mois avec Le dilemme, que j’avais adoré. Ses autres romans sont depuis venus alimenter ma fameuse Pile à Lire et quand j’ai eu l’opportunité de découvrir son dernier roman, Le cercle de Finsbury, je me suis bien évidemment jetée dessus...
Ici, on fait connaissance avec Alice, qui à son insu, emménage dans une maison dans laquelle une jeune femme a été sauvagement assassinée quelques mois plus tôt. Dès le départ, elle sent comme une présence, et plus particulièrement la nuit lorsque son compagnon est en déplacement professionnel...
Dans une atmosphère toujours plus oppressante, l’auteure confirme une nouvelle fois son don incontestable pour faire monter l’angoisse et nous faire tourner les pages en restant quasiment en apnée ! J’ai réussi à soupçonner chacun des personnages (hormis le bon biensûr) et j’ai été complètement bluffée par le dénouement ! Un thriller domestique de haut niveau !

Le cercle de Finsbury est le nom du quartier ou plutôt de la résidence sécurisée où emménagent Alice et son nouveau compagnon, Léo. Douze maisons identiques organisées en cercle où tout le monde peut voir tout le monde... Alice a quitté sa campagne mais se retrouve souvent seule puisque Léo, consultant en gestion de risques est absent du lundi au jeudi. Elle veut alors faire la connaissance de ses voisins mais certaines femmes ne semblent pas ravies de l'accueillir. De plus un mystérieux voisin se serait invité lors d'une soirée mais personne ne semble le connaitre... Alors quand Alice apprend qu'une femme est morte dans cette maison, que son compagnon le lui a caché et qu'elle a la sensation d'être épiée, sa vie prend un nouveau tournant. B.A Paris nous emmène dans ce huis-clos très bien construit, nous distille des révélations tout au long du récit jusqu'au dénouement, somme toute original. J'ai trouvé quelques longueurs dans le récit et l'héroïne m'a parfois semblé un peu naïve. Mais la psychologie des personnages et le suspens sont présents. Un livre qui, une fois ouvert, ne se lâche pas !

C'est un thriller qui fait monter la pression. Au fur et à mesure de l'histoire l'environnement ce fait de plus en plus anxiogène. J'ai beaucoup aimé le fait que tout se fasse crescendo, même si j'ai trouvé Alice un peu trop femme-enfant. Mais la plume est sûre et l'intrigue prenante.

Londres - Léo achète une maison à un prix dérisoire sans vraiment consulter Alice, sa concubine.
La demeure a l'air parfaite et le voisinage accueillant.
Pourtant, dès son emménagement, Alice est mal à l'aise et se sent épiée.
Que cache le passé de ce domicile?

B.A Paris est spécialisée dans les thrillers psychologiques et réitère l'exercice avec ce roman.
Elle plante le décor dans une résidence sécurisée haut de gamme où tout le monde se connaît.
Pourtant, malgré la fiabilité de ce petit quartier de 12 maisons, l'héroïne est persuadée que quelqu'un s'introduit, la nuit, dans la maison et comprend vite qu'il vaut mieux éviter de poser des questions à son entourage.
Grâce à une intrigue racontée à la 1ère personne, l'auteure nous immerge dans la vie, les pensées et les craintes d'Alice.
En parallèle, un autre récit se dessine mais ....chut!
Malgré quelques lenteurs et un personnage principal qui aurait mérité plus de profondeurs et est parfois énervant, la romancière garde le lecteur en haleine du début à la fin en créant un climat pesant où la paranoïa se renforce petit-à-petit.

Il faut savoir que dans notre Club de lecture Books and Brest, on attend les sorties des livres de BA Paris avec beaucoup d'impatience. C'est une auteure que l'on aime beaucoup. Nous avons dévoré le Cercle de Finsbury en quelques jours seulement ! On avait l'impression de vivre aux côtés des personnages. La peur et la suspicion s'installent rapidement et on commence à douter de tout et de tout le monde. BA Paris manipule le lecteur du début à la fin. Difficile de le lâcher une fois commencé car on a très vite envie de connaître le dénouement final.
Vous l'aurez compris, on vous recommande chaudement cette lecture 😊
Merci à NetGalley et aux éditions Hugo Thriller pour leur confiance.

Première lecture d'un roman de cette auteure.

Un bon rythme, une bonne histoire qui m'a bien menée en bateau. Un huis clos résidentiel, qui donne une atmosphère particulière et rend certaines scènes bien angoissantes.

Je me suis sentie proche de l'héroïne et comme elle, j'ai élaboré des stratégies, en vain !

Alice ira de découvertes en déconvenues jusqu'au dénouement final.

Un thriller psychologique qui fait le job, pas un coup de cœur mais une lecture qui ne déçoit pas