A prendre ou à laisser
par Lionel Shriver
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Date de parution 26 janv. 2023 | Archivage 15 févr. 2023
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Résumé
Lionel Shriver met toute son ironie, son acuité et sa tendresse dans cette nouvelle bombe de provocation. Hilarante et touchante, une œuvre explosive doublée d’une réflexion mordante sur notre rapport à la vieillesse et sur l’art délicat de préparer sa sortie.
Pendant dix ans, Kay a assisté son père atteint de la maladie d’Alzheimer. À la mort de ce dernier, le soulagement l’emporte sur la tristesse et une question surgit : comment gérer sa propre fin de vie ?
Une discussion avec son mari Cyril, quelques verres de vin et les voici qui en viennent à nouer un pacte. Certes, ils n’ont que cinquante ans, sont en bonne santé et comptent bien profiter encore de leurs proches, mais pas question de faire peser sur ceux-ci et sur la société leur inéluctable déliquescence. C’est décidé, le jour de leurs quatre-vingts ans, Kay et Cyril partiront ensemble.
Le temps passe et voici qu’arrive la date fatidique.
Une date, douze possibilités et une conclusion : dans la vie, tout est à prendre ou à laisser…
Née en 1957 en Caroline du Nord, Lionel Shriver a fait ses études à New York. Diplômée de Columbia, elle a été professeure avant de partir parcourir le monde. Elle a notamment vécu en Israël, à Bangkok, à Nairobi et à Belfast. Belfond a publié la plupart de ses livres, dont Il faut qu’on parle de Kevin (2006), lauréat de l’Orange Prize en 2005, La Double Vie d’Irina (2009), Double faute (2010), Tout ça pour quoi (2012), Big Brother (2014), Les Mandible : une famille, 2029-2047 (2017), Propriétés privées (2020), Quatre heures, vingt-deux minutes et dix-huit secondes (2021), À prendre ou à laisser est le neuvième ouvrage de l’autrice traduit en français.
Lionel Shriver vit entre Londres et New York avec son mari, jazzman renommé.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Catherine Gibert
Lionel Shriver met toute son ironie, son acuité et sa tendresse dans cette nouvelle bombe de provocation. Hilarante et touchante, une œuvre explosive doublée d’une réflexion mordante sur notre...
Ils recommandent !
« Lionel Shriver est une écrivaine de l’inavouable. Ce que l’on n’ose se confesser à soi-même, elle en fait la matière même de son écriture. Les sentiments les moins nobles, les mouvements d’âme les plus mesquins qui peuvent saisir chacun... L’Américaine semble avoir fait le serment d’aller les dénicher les uns après les autres dans le tréfonds des cœurs, pour les exposer en pleine lumière, les observer sous toutes les coutures, avec autant de précision et de sagacité ironique que d’intelligence romanesque. »
Raphaëlle Leyris, Le Monde (à propos de Propriétés privées)
« Lionel Shriver est une écrivaine de l’inavouable. Ce que l’on n’ose se confesser à soi-même, elle en fait la matière même de son écriture. Les sentiments les moins nobles, les mouvements d’âme les...
Formats disponibles
FORMAT | Grand Format |
ISBN | 9782714495846 |
PRIX | 22,00 € (EUR) |
PAGES | 288 |
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Chroniques partagées sur la page du titre
Lorsque le père de Kay décède après de longues années de maladie, son cher et tendre époux Cyril lui propose un pacte : lorsqu'ils auront tous les deux 80 ans, ils se suicideront pour ne pas vivre le même calvaire et ne pas le faire supporter à leur entourage et à la société toute entière.
A partir de là 12 scénarios se succèdent sur ce qu’il pourrait se passer le jour de l’anniversaire des 80 ans de Kay, des plus plausibles au plus farfelus.
Une critique désopilante de la vieillesse, du système anglais, de la crise Covid et post-covid, du Brexit, de la NHS….
Un roman drôle, des situations cocasses, des relations humaines acerbes, parfois émouvantes.
Des personnages au caractère bien trempé, caricaturales parfois mais tellement authentiques.
Bref on s’amuse, on rigole, un très bon moment de lecture.
Lorsque Lionel Shriver s’attaque à un thème, elle ne donne pas dans la demi-mesure ! Cette fois, elle aborde avec brio une période délicate de la vie, le grand âge.
Ses deux personnages principaux Kay et Cyril approchent de leur quatre-vingt printemps. Le père de Kay a vécu une fin dégradante, et la résolution du couple, à l’initiative de Cyril est de se suicider lors de l’anniversaire des quatre-vingt un an de Kay. Le Séconal est dans une petite boite au frigo, leur rappelant la résolution à chaque fois qu’il en ouvrent la porte.
Mais pour traiter ce sujet, Lionel Shriver ne s’en tient pas à un déroulé unique. Elle décline de multiples issues à cet engagement mutuel, n’hésitant pas à se projeter dans un avenir extrêmement lointain, dans la version où les époux ont choisi de se faire cryogéniser.
Ces alternatives variées permettent d’argumenter l‘affaire et réussissent de plus à ne pas plomber l’ambiance. Après tout, libre au lecteur de choisir son dénouement préféré.
Lionel Shriver n’hésite pas à s’auto-citer, par le truchement d’un échange entre les deux époux ! Cet artifice n’est pas le seul trait d‘humour présent dans ces pages .
Le roman est aussi l’occasion d’égratigner les options politiques récentes de l’Angleterre, à savoir le Brexit, sur lequel le couple s’oppose et de critiquer ouvertement le système de couverture sociale anglo-saxon, dont elle projette le futur avec un malin plaisir, et sur les conditions d’hospitalisation en psychiatrie, qui ne semblent pas avoir évolué depuis Family Life. Tout cela n’est pas sans conséquence sur la vie familiale . Il y a du Ken Loach derrière les propos de l’autrice.
Nous avons donc sous les yeux un roman foisonnant, imaginatif mais sérieux. Lionel Shriver m’a une fois de plus éblouie !
288 pages Belfond 19 janvier 2023
Traduction (Anglais) : Catherine Gilbert
#LionelShriver #NetGalleyFrance
Merci aux éditions Belfond et à Netgalleyfrance de m'avoir permis de découvrir cette auteure.
Kay, 59 ans, infirmière, vient d'enterrer son père : une délivrance ? Dans ce cas précis, un peu, il était atteint de la maladie d'Alzheimer et depuis dix ans toute la famille se mobilisait pour le choyer, l'aider bien qu'il ne reconnaisse plus personne.
Alors malgré la tristesse, Kay et son mari Cyril, 60 ans, médecin généraliste, réfléchissent à leur mort à eux. Ils ne veulent pas finir leurs jours, malades ou diminués et que cela coûte à leurs enfants ou la société.
Quand quelques temps plus tard, c'est la mère de Kay qui montre des signes alarmants d'Alzheimer, les deux époux scellent un pacte , pour eux ce sera différent : ils se suicideront le jour de leur 80 ans ...
... Et le jour fatidique arrive, les années sont passées très vite et Kay a aujourd'hui 80 ans, mais les deux époux sont encore en très bonne forme : quelle décision vont-ils prendre ?
L'auteure nous livre alors une multitude de fins possibles ...
Roman émouvant, mordant, parfois drôle, caustique et grinçant.
De son talent d'observatrice, l'auteure traite sans ménagement de sujets comme la vieillesse ou la fin de vie.
Je n'avais jamais lu de romans de Lionel Shriver mais j'ai très envie de découvrir d'autres de ses œuvres.
J'ai adoré.
Un roman pour passer un bon moment et s'interroger sur la fin de vie! Une fois passé l'incipit assez mal écrit, on chemine avec Kay et Cyril, gentil couple de quinquagénaires qui opte pour une solution radicale concernant leurs vieux jours: tirer leur révérence à 80 ans. On suit ensuite le déroulement des années les amenant à la fameuse date butoir puis, fantaisie centrale du roman, différentes issues à cette décision tragique. Du futurisme aux situations les plus sordides, l'exploration des différents possibles questionne le sens que l'on accorde à la fin de vie et ce, non sans humour et pointes de dérision sur les personnages.
Merci à Netgalley et aux éditions Belfond pour cette lecture. Depuis maintenant quelques années Lionel Shriver s'est fait une place importante sur la scène de la littérature mondiale avec une certaine façon de s'attaquer à la société, et d'en décortiquer les questions brulantes.
Au programme de ce nouveau roman un thème pour le moins controversé puisqu'il s'agit de la fin de vie. Kay et Cyril, confronté à la déchéance et à la maladie du père de Kay passent un pacte. Pour éviter de se voir devenir dépendant, ils mettront fin à leurs jours à 80 ans. Mais devant eux s'offrent différentes possibilités: 12 chemins que l'autrice nous fait emprunter....
Tout d'abord, il convient de saluer bien bas l'écriture de l'autrice qui coche toutes les cases: sarcasme, humour, et précision sont à l'ordre du jour. Le lecteur, sensible sur les thèmes de la fin de vie, et du vieillissement a interêt à bien accrocher sa ceinture avant d'ouvrir ce roman. En plus d'une plume acérée, l'organisation du roman est originale: 12 chapitres, empruntant chacun une option proposée à Kay et Cyril...
Chaque chapitre présente une palette d'émotions variées: l'un se fait plutôt drôle, le suivant touchant, le suivant triste, et cela continue comme ça pendant presque 300 pages... Le lecteur passe par des montagnes russes incessantes. On s'interroge et on se questionne sur nos choix. Que ferions-nous confrontés à la situation des héros ? Comment agirions-nous ?
Le sujet est décortiqué de fond en comble...
Et en plus des questions de société, on nous décrit avec brio l'évolution de la société britannique sur la fin du 20ème siècle, et le début du 21ème.
Un roman brillant qui ouvre les esprits et nous force à réfléchir sur une thématique essentielle et plus que jamais d'actualité.
à lire absolument!
Alors qu’elle rentre de l’enterrement de son père, Kay fait un amer constat : le décès de son père est un soulagement pour elle qui l’a accompagné alors qu’il était atteint de la maladie d’Alzheimer et elle se refuse à subir la même fin de vie que lui. Nous sommes alors dans les années 1990, Kay a la cinquantaine comme son mari Cyril. Ils ont une vie assez douce à Londres et trois enfants. Kay et Cyril vont alors passer un pacte : se donner la mort lorsqu’ils atteindront tous les deux leurs quatre-vingts ans afin de s’éviter, et d’éviter à leurs enfants, la déchéance du grand âge.
A partir de ce postulat, Lionel Shriver va décliner douze scenarii aux vies de Kay et Cyril, du plus simple au plus futuriste. Autant d’alternatives qui vont présenter différentes façons d’accueillir la vieillesse, de l’accepter ou non, d’honorer le pacte passé trente ans plus tôt ou pas.
Une fois encore Lionel Shriver nous régale avec ce couple qui refuse de vivre la vieillesse comme une fatalité et qui veut maîtriser la fin de sa vie.
L’ensemble des alternatives proposées explore notre rapport à la vieillesse, ausculte les rapports familiaux qui basculent entre les enfants et les parents et pose un regard extrêmement réaliste sur un sujet qui nous concerne tous avec beaucoup de drôlerie et de causticité mais aussi une certaine tendresse.
Le roman ne pose aucun jugement sur les différents choix qui sont faits par le couple et expose avec un œil acéré la réalité d’une vie arrivée à son terme. Lionel Shriver sait poser les mots justes et dose habilement l’humour noir, les émotions et l’ironie que peuvent faire naître certaines situations. L’auteure fait d’ailleurs preuve ici d’une inventivité débridée avec des issues très variées dont une qui flirte avec la science-fiction en mettant en scène un futur lointain où Cyril et Kay, qui se sont fait cryogénisés, se retrouvent aux prises avec des descendants bien étranges !
Avec ce roman incisif, Lionel Shriver démontre, bien sûr, une fois de plus sa virtuosité littéraire mais surtout sa capacité à s’emparer d’un sujet de société (ici la fin de vie et la possibilité de choisir son issue) pour amener son lecteur à une réflexion personnelle et profonde.
Lionel Shriver creuse ainsi son sillon d’auteure en phase avec son époque, capable d’une analyse lucide et percutante de nos sociétés contemporaines sans se départir d’un humour salutaire.
Kay et Cyril ont une cinquantaine d’années. Ils ont dû faire face au vieillissement de leurs parents qui a été éprouvant. Le père de Kay, en particulier, est devenu totalement dépendant et insupportable. Quant à sa mère, elle semble bien suivre le même chemin. Les époux décident alors de se suicider le jour du 80e anniversaire de Kay et de profiter du reste de leur vie — et tant pis si leurs enfants n’hériteront de rien.
À partir de ce choix, l’auteur varie la suite de l’histoire : Kay change d’avis ou Cyril change d’avis ou ils changent d’avis tous les deux. Le thème paraît clair : on ne peut pas prendre le contrôle de sa vie, mais est-ce si certain ?
Ce ne sont pas les seuls paramètres avec lesquels Lionel Shriver joue, elle joue aussi avec tout ce que pourrait réserver — ou non — notre avenir : sortie de la crise économique du Covid, flux migratoires, jeunesse éternelle, cryogénisation… et j’en passe. L’imagination de l’auteur semble sans limites. Sur un ton léger, elle en explore toutes les conséquences et nous met face à nos problèmes.
A l’exception d’une variation qui verra leur amour se déliter, leur amour les portera jusqu’au bout de leurs différents avenirs. Kay et Cyril sont très attachants, plus que leurs enfants, du moins dans certaines histoires.
Le dernier roman de Lionel Shriver n'est pas un exercice de style, mais un véritable exercice de genre.
Au départ, un postulat simple: au retour de l'enterrement de son père, Kay, cinquante ans, est épuisée. L'avoir vu dépérir d'Alzheimer lui fait craindre de devenir à son tour un poids pour ses proches. Cyril, son mari, lui propose le pacte de se suicider en couple à 80 ans, pour ne pas subir l'interminable déliquescence de la vieillesse. Ils vont profiter de la vie jusque là, et ils passeront ensemble de l'autre côté en mars 2020.
Mais l'épidémie de Coronavirus qui secoue le monde à ce moment va contrarier leurs plans.
S'ensuivent toutes les variations possibles sur leur décision de franchir ce cap du suicide conjoint....on passe du drame à la comédie, voire à la dystopie.
L'un meurt, l'autre reste, ou ils décident de se faire admettre dans une maison médicalisée de manière anticipée, ou encore un médicament permet de rajeunir et rend par là même leur objectif de suicide obsolète...
Lionel Shriver explore diverses pistes, c'est un roman cynique, qui suscite la réflexion, imaginatif, j'ai beaucoup aimé retrouver des points communs entre les diverses possibilités, ainsi qu'un clin d'oeil à Sérenata, le personnage de son précédent roman ( qui analysait déjà la sensation de se sentir vieillir). On sent que l'auteure s'est amusée, et même si il y a parfois quelques longueurs, ( au vu du nombre de fins alternatives) son ironie mordante fait toujours mouche.
Kay revient de l'enterrement de son père. Atteint d'Alzheimer, elle s'en ai occupé pendant des années et à sa mort elle ne ressent pas la tristesse qu'elle pense devoir ressentir. Cyril, son mari, lui propose un pacte : se suicider ensemble, à quatre-vingts ans,pour éviter de peser sur leurs proches et la société. Et si, au dernier moment, quelque-chose changeait le cour des choses ?
J'ai beaucoup aimé et j'en suis surprise car vers le milieu du livre je me demandais où l'auteur voulait nous mener.
J'ai trouvé la façon de traîter le sujet de la fin de vie de nos proches très juste. C'est un sujet qui n'est vraiment pas facile à aborder et chapeau à l'auteur de l'avoir fait avec autant de justesse et sans cliché. La dépendance des parents qui vieillissent et tombent malades, dont les proches doivent prendre soin. La charge financière, la douleur des proches de voir son parent décliner, tout cela est abordé sans concession.
La plume est parfois cynique et acide, et sans fioriture mais assaisonnée de beaucoup d'humour.
La façon dont est traité cette histoire est assez originale quoique déjà vue. L'histoire reprend souvent au même point et seul un détail change et le futur s'en trouve définitivement modifié.
Ce texte pose la question du choix de la fin de vie, thème qui est d'actualité en ce moment.
Une seule hypothèse qui n'est pas envisagée par l'auteur : que le couple ne s'aime plus.
C'est,en fait, avant tout une très jolie histoire d'amour de deux êtres qui refusent de vivre l'un sans l'autre.
Bref, j'ai passé un très joli moment et j'ai refermé le livre avec un sourire aux lèvres.
Je recommande !
Je remercie Netgalley France et les éditions Belfond pour cette lecture.
Dans ce nouveau roman décapant, Lionel Shriver nous emmène vivre aux côtés de Kay et Cyril un couple londonien qui, effaré par la décrépitude successive des parents de Kay atteints de la maladie d'Alzheimer, concluent un pacte par lequel il s'engagent à se suicider ensemble le jour de leur quatre-vingtième anniversaire.
Pas de souci pour trouver les pilules adéquates, Cyril est médecin, Kay a quitté son poste d'infirmière pour reprendre des études à la cinquantaine et réaliser son rêve de devenir décoratrice d'intérieur
Sauf que Cyril est plus âgé que Kay, encore en forme, ce jour-là, ils décident de reporter l'échéance.
Et l'échéance arrive, juste après la pandémie de COVID, en plein feuilleton du Brexit (Cyril y est farouchement opposé, Kay a voté pour)
Et c'est ainsi qu'au quart du livre, après avoir évoqué la vie de nos deux héros, ce roman qui semblait tout simple, nous propose DOUZE suites possibles !
Dans ces alternatives, il y aura toutes les variantes, l'un avale les pilules, l'autre pas ; aucun des deux ne se sent assez mal et ils choisissent ensemble de repousser encore l'échéance jusqu'au moment où ils jugeront le moment venu ; ils entreront ensemble en maison de retraite de luxe ; ou dans une des pires ; la science permettra de vivre quasi éternellement ..
Bref, je ne vais pas dévoiler l'ensemble des variantes proposées par l'auteur dont l'imagination a tourné à plein régime !
Un roman que j'ai dégusté, un chapitre après l'autre, car il ne se prêtait pas du tout à une lecture rapide.
Je remercie NetGalley et les Editions Belfond qui m'on offert cet ouvrage
#LionelShriver #NetGalleyFrance
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