À qui la faute

On retrouve ici les thèmes de prédilections de Ragnar Jonasson : des personnages peu sympathiques, du secret, des amitiés de jeunesse et toujours la nature Islandaise.
Cela donne un huis clos oppressant magnifié par la voix du conteur.

Ragnar Jonasson est l'un de mes auteurs préféré, alors lorsque que j'ai vu que son dernier roman aller sortir je n'ai pas hésité une seconde pour le sollicité.
J'ai apprécier retrouver le style de l'auteur et son écriture simple et fluide. Cependant je dois bien avouer que ce nouveau titre ne m'a pas du tout convaincu.
Je suis rester sur ma fin car le dénouement n'en ai pas vraiment un. J'aurai aimer que la fin soit un peu moins ouverte pour que l'on sache exactement ce qui va arriver aux différents personnages. Peut être qu'une suite est prévu afin de pouvoir clarifier certaines chose.

Mon premier Ragnar Jonasson !
Quand je l'ai vu sur netgalley je n'ai pas hésité, car c'est un auteur que je voulais découvrir en 2023.
L'ambiance glaciale est présente très rapidement avec une tempête de neige, on est en immersion en Islande y a aucun doute, j'ai adoré ce voyage.
Les questions sont présentes assez longtemps, on découvre vraiment lentement ce que chaque personne cache et ça rend la lecture addictif parce que malgré certaines découvertes on se demande encore "oui, mais pourquoi ?" C'est un huis clos qui passe très bien, l'histoire tient la route jusqu'au milieu, j'ai trouvé certaines découvertes un peu simples, et la fin me laisse un goût d'inachevé, j'en attendais plus et je n'attendais pas la fin là.
J'en ai parlé à plusieurs personnes et on est toutes d'accord. Comme une impression de vite fini... malheureusement.
Je ne me suis pas attaché aux protagonistes, j'avais du mal à comprendre le comportement de certains, choses qu'on comprend plus tard.
Je n'ai pas pour habitude de prendre des notes, mais là, j'ai mis chaque prénom et j'ai fait une liste des choses qu'on apprenait sur eux au fur et à mesure et y a des révélations chocs !
Pourquoi une randonnée entre amis qui sur le papier à l'air plutôt sympathique tourne elle petit à petit en cauchemar ?
C'est une bonne histoire, on ne se prend pas la tête et ça va vite, ce n'est pas un coup de cœur à cause de la fin mais j'ai aimé l'ambiance et les révélations.
(@slimaneyefsah) Le narrateur est très bon, il a su me plonger dans l'atmosphère glauque de ce livre. J'ai passé un bon moment d'écoute.

J'hésite entre noter 2,5/5 et 3/5. Il y a des choses qui m'ont vraiment déplu, et d'autres plutôt intéressantes, mais seulement sur la fin. Tout d'abord, je me suis ennuyée une grosse partie du roman, au moins les 3/4: il ne se passe pas grand chose, les personnages sont là à attendre que je ne sais quoi se produise, c'est vraiment ennuyeux, j'avais envie de les secouer. Parlons des personnages: ils sont bien travaillés car j'ai réussi à les détester haha. Héléna est une parfaite manipulatrice et peste, Daniel est trop mou, Horman est trop prétentieux, et Gunnleyur (je ne sais pas comment s'écrivent ces deux derniers prénoms) est trop bête selon moi, trop suiveur, trop impulsif. Les chapitres sont divisés selon leurs 4 points de vue, c'est bien.
C'est un huis-clos, habituellement j'adore ça, le résumé me tentait trop, ça avait l'air palpitant, mais pas tant que ça. Les personnages passent leur temps à se tirer dans les pattes, et on se rend compte qu'une rancune/rancoeur passée les divise.
Ce que j'ai apprécié, c'est la fin, les questionnements que cela découle, selon les actions des personnages. Je me suis demandée ce que j'aurais fait à leur place, et j'aime quand dans les romans on s'interroge. Ici, cela nous interroge sur la morale, les valeurs d'un être humain, sans spoiler, mais les sujets abordés sont intéressants. Jusqu'où serions nous capable d'aller?
Globalement, c'était la première fois que je découvrais la plume de l'auteur, j'espère que tous ces romans ne sont pas trop lents comme celui-ci, je serais quand même curieuse de lire un de ses autres romans.
Merci pour cette opportunité tout de même, cela faisait un moment que je n'avais pas écouté de livres audio donc j'étais contente. La voix du narrateur est bien.

L'ouvrage:
Islande. Quatre amis se retrouvent pour un week-end. Armann a vanté les joies de la chasse à la perdrix aux trois autres. Seulement, le samedi, une tempête de neige éclate, ce que la météo n'avait pas prévu. Au lieu de chasser, les personnages se retrouvent aux prises avec le blizzard, mais aussi avec les ressentiments des uns envers les autres...

Critique:
Ce roman m'a plu, mais moins que «La dame de Reykjavik».

J'ai apprécié que l'auteur alterne, grâce à de courts chapitres, le point de vue des quatre protagonistes. Ainsi, le lecteur sait ce que pense chacun au long du week-end, et se fait une opinion quant à eux. Je ne les ai pas appréciés. Certes, il y en a que j'aimais moins que d'autres, mais globalement, ils ne m'ont pas été sympathiques.

J'ai apprécié que Ragnar Jonasson fasse peu à peu monter la tension. Entre les pensées et répliques des personnages, la tempête, et les remous causés par la présence d'un inconnu, l'ambiance est assez oppressante. De plus, le romancier révèle certaines choses alors que ces éléments ont distillé cette atmosphère: cela rend ces révélations d'autant plus marquantes. Je reconnais qu'il en est une qui, à y bien réfléchir, n'est pas si incroyable (elle n'est une surprise que pour le lecteur) mais elle m'a beaucoup étonnée, Justement parce que l'auteur avait préparé les circonstances dans lesquelles il la ferait.

La fin est logique lorsqu'on connaît les personnages. Je me demande comment l'un d'eux va accomplir ce qu'il souhaite, mais apparemment, l'histoire ne le dira jamais. Ragnar Jonasson ne pourrait pas écrire une suite, car le lecteur saurait immédiatement de quoi il retournerait. Il ne pourrait pas y avoir de suspense.

Il est dommage que l'auteur ait fait ce que j'appelle «un prologue insipide qui ne sert qu'à ennuyer». Le roman commence le vendredi soir, et le prologue est une scène du samedi. Il ne fait que dire des choses qu'on aurait pu apprendre au fil du déroulement du week-end, et créer du faux suspense.

La version audio que j'ai entendue a été enregistrée par Slimane Yefsah.

C'est le premier roman que je lis enregistré par ce comédien. Pourtant, voilà plusieurs années que je vois son nom sur des notices de livres audio. Je ne sais pas encore si j'irai facilement vers d'autres livres qu'il a enregistrés. En effet, j'ai trouvé qu'il manquait de naturel lorsqu'il s'agissait de dire les propositions incises (répondit-il, dit Machin, cria Truc...). Cela m'a gênée. De plus, je n'ai pas apprécié que, souvent, il prononce «Helena» en marquant le «h». Certes, peut-être ce choix est-il une demande de l'éditeur audio.

Cette lecture mérite totalement son titre de huis clos glaçant, et pas seulement parce qu'elle se déroule au fin fond de l'Islande. Certes, les températures vont chuter. On va ressentir pleinement la chair de poule. Et vraiment pas à cause du froid !

L'histoire nous donne à suivre quatre amis qui partent quelques jours pour une simple chasse à la perdrix. Mais une tempête de neige vient compromettre leurs projets. Et les voilà contraints de se réfugier dans un pavillon abandonné. Sauf qu'en ouvrant la porte, ils tombent sur un inconnu inerte.

Après le choc, vient l'inquiétude. Puis les doutes. Ajoutez qu'au phénomène de l'isolement, agrémenté d'une pointe d'alcool, se joint un sentiment proche de la paranoïa. Bref. Tout bascule. Finalement, ces quatre-là vont se révéler et réaliser que le passé a laissé de vieilles cicatrices. Ça sent les secrets enfouis, la rancune et la vengeance à plein nez !

Dans ce bal des maudits, dites-vous qu'ils sont tous détestables et pourris jusqu'au trognon. C'est aussi ce climat de faux-semblants qui a su me séduire. L'intrigue est plutôt banale, le rythme lent et la résolution odieuse. Toutefois, j'ai aimé ce piège qui m'est tombé dessus au cours de la lecture. Je me sentais complice malgré moi, quand bien même je tentais de sonder les uns et les autres pour les percer à jour. (Peine perdue)

J'en profite pour souligner que le format audio a sûrement contribué à cette bonne appréciation, car c'était comme écouter une pièce de théâtre, avec mise en scène soignée et ambiance flippante. J'étais aux aguets tout du long, attentive et suspicieuse sans réussir à m'en extirper. Bravo !

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J'ai écouté ❄ : A qui la faute

❄ Quatre amis qui se retrouvent pour un week-end de chasse. Mais déjà que les affinités entre eux ne sont plus ce qu'elles étaient, les voilà pris dans une tempête glaciale qui va encore plus compliqué et perturbé leur week-end.

❄ Le rythme du thriller est mené en choral par les quatre protagonistes. Ajoutez à ça la tempête qui se déchaîne, cet élément glaciale qui va prendre le rôle d'un cinquième personnage.
Le tout dans un chalet perdu, ce qui donne un huis-clos effrayant.

❄ J'ai trouvé que la voix narrative correspondait au roman, donnant les accents sur ce qui était important, jouant avec le suspens et la pression que l'écriture de l'auteur avait mis en évidence.

❄ Bien que tout le roman soit palpitant et angoissant, je reste un peu déçue de la fin que je trouve trop brutale comme précipité.

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4 amis partis chassés, une tempête de neige, un refuge déjà occupé par un homme mystérieux...La tension va faire ressortir bien des rancœurs!

Un bon thriller agréable à écouter

J’ai beaucoup accroché à la voix du narrateur qui correspondait parfaitement au récit, seule l’intonation des personnages féminins me paraissait mal réalisée. Pour le récit en soit il est bien construit, pour ma part un peu longué. L’idée du huis clos était intéressante et faisait augmenter l’angoisse ce qui fonctionnait bien. Je n’ai cependant pas décelé de véritable plot twist ou de révélation qui, à mon sens, manquait.

Une bande d'amis d'enfance se retrouve pour un week-end en montagne.
Les chapitres courts s'enchaînent très vite, il donne un rythme effréné à l'histoire.
On avance dans le froid avec eux, et arrivé à un certain point de l'histoire, on va quand même avoir une impression d'invraisemblance due à des réactions un peu particulières où je pense qu'aucun être humain ne réagirait comme ça.
On sent monter l'attention leur tension sans la ressentir le danger qu'ils deviennent les uns par rapport aux autres.
Ça monte doucement pour un final un peu trop rapide au niveau des explications, j'aurais aimé un peu plus d'approfondissement sur la fin.
Conclusion j'ai tout de même passé un très bon moment, je ne peux que vous conseiller l'audio

À qui la faute
Ragnar Jónasson

Amateurs de grand froid, vous avez intérêt à bien vous couvrir pour partir explorer le dernier livre de Ragnar Jónasson car une grosse tempête est prévue. Vous risquez d'être coupé du monde pendant quelques heures et l'issue va se révéler plus qu'incertaine alors même que vous serez accompagné d'un groupe de vieux amis...
Si vous désirez vivre une expérience encore plus immersive, je ne peux que vous conseiller de vous lancer dans la version audio de ce roman car celle-ci va vous tenir en haleine pendant de nombreuses heures...

Habituée au rythme assez long des policiers scandinaves j'ai trouvé que les courts chapitres de ce roman choral rendaient le récit dynamique et assez vivant avec une impression d'actions perpétuelles.

Même si j'ai pris beaucoup de plaisir en écoutant la voix grave et aussi mordante que le froid de Slimane Yefdsah, finalement j'ai été un peu déçue par cette fin qui m'a laissé un goût d'inachevé. J'aurais voulu continuer un peu plus cette aventure que j'ai trouvé très agréable avec Slimane Yefsah.

Je tiens à remercier Audiolib de proposer régulièrement plusieurs titres de ses collections sur Netgalley France car c'est toujours pour moi de formidables moments d'écoute. "A qui la faute" ne fait pas exception à la règle, et ce, pour mon plus grand plaisir 😁

À qui la faute
Ragnar Jónasson
Lu par Slimane Yefsah


Résumé :

Ils pensaient se retrouver le temps de quelques jours paisibles. Une simple chasse à la perdrix dans les hauts plateaux de l’est de l’Islande… Mais le voyage tourne au cauchemar. Une tempête de neige violente et inattendue s’abat sur eux et les oblige à se réfugier dans un pavillon de chasse abandonné. À l’intérieur, une découverte macabre changera à jamais le cours de leur existence – et de leur amitié. C’est le début d’une longue nuit, où les quatre amis voient ressurgir ce qu’ils ont de pire en chacun d’eux.


Mon avis :

Quatre amis d'enfance partent en randonnée au cœur de ce que l’Islande a de plus sauvage. L’un d’eux a organisé une chasse à la perdrix et nous les suivons à travers ce huis-clos d’où vont surgir de lourds secrets et de nombreuses trahisons cachées.

Ces amis ne se sont pas vus depuis des années. Au fur et à mesure, nous pouvons nous demander s' ils sont aussi amis que cela.

Se réunir le temps d’un weekend pour se retrouver, passer du temps ensemble mais en ont-ils tous réellement envie ? Une chasse à la perdrix ? Mais sont-ils tous des chasseurs ?

Ce weekend va-t-il se passer comme chacun se l’est imaginé ?

Lors de leur partie de chasse, une énorme tempête de neige survient et les empêche d’avancer. Ils se retrouvent obligés de se réfugier dans un refuge de chasse autre que le leur. Des disputes surgissent entre les personnages dont les relations sont de plus en plus tendues à chaque pas…

Que vont-ils y trouver ?
Une bombe de secrets va finir par exploser, imploser ! Un ensemble en huis clos éblouissant !

Réussiront-ils tous à survivre à cette nuit ? C’est à vous de le découvrir.


Séverine @eliorajoub
@lireetsortir


#Àquilafaute #NetGalleyFrance #audiolib #livreaudio #policier #thriller #neige #tempête #huisclos #islande #secrets #trahison

Ce roman s’annonce sous la forme d’un huis clos sous haute-tension. Le début tient bien ses promesses. Cependant, à partir des deux tiers du roman, j’ai trouvé des événements trop « télescopés » et cela m’a me douter de plusieurs petites choses.
J’ai été complètement fan de la trilogie de « la dame de Reykjavik » de l’auteur mais, comme avec celui de l’année dernière, « dix âmes, pas plus », j’ai du mal à être complètement embarquée dans les one shot de l’auteur 😕 Je n’ai pas de raison précise expliquant cela…
L’audio m’a permis de mieux m’immerger dans l’histoire notamment dans la prononciation des noms ou lieux …

Je ne connais pas vraiment l'univers des polars nordiques, j'ai donc découvert cet univers avec celui-ci. L'ambiance est tendue, tout devient oppressant, chaque geste peut faire déraper les personnages et cette tempête de neige qui vient nous glacer jusqu'aux os! Il y est question d'amitié qui vire au cauchemar. J'ai particulièrement apprécié le procédé narratif de l'auteur: les événements sont vus du point de vue de chaque protagoniste, Ragnar Jonasson brouille ainsi les repères et nous tient en haleine jusqu’à la dernière page! Une lecture immersive, merci à l'éditeur et NetGalley pour ce moment.

J’avais très envie d’écouter ce roman sans savoir à quoi m’attendre ! J’ai toujours entendu beaucoup de bien des romans de l’auteur, Ragnar Jónasson, le titre et l’ambiance de la couverture, on suffit pour que je me lance. Totalement à l’aveugle, sans lire le résumé.

On va découvrir quatre amis de longue date en pleine randonnée dans la nature sauvage islandaise. Les années les ont éparpillés mais ils ont toujours gardés plus ou moins le contact. Quand l’idée de cette randonnée est lancée, tous semblent content de se retrouver. « Sembler » est bien le mot.
Car rien ne va se passer comme c’était prévu.

Une tempête de neige se lève et les oblige à dévier de leur trajet pour se réfugier dans une cabane. Mais celle-ci est fermée à clé. Ils parviennent à y rentrer mais quelqu’un est déjà à l’intérieur. Un homme. Assis. Totalement silencieux. Avec une arme entre les mains. Qui les regarde. Mais qui reste silencieux.

Les quatre amis sont sous tension. Cette présence fantomatique, inquiétante les fait monter en pression. La peur grimpe. L’inquiétude.

L’auteur alterne des chapitres courts : le narrateur omniscient passe d’un personnage à l’autre. On est dans leur pensée. Au première loge pour assister aux dégâts du stress sur les pensées des uns et des autres. Et chacun se met à repenser au passé, à leurs rencontres, à leur vie, aux relations qu’ils entretiennent. Et on se rend compte que chacun à son petit jardin secret. Que finalement certains d’entre eux préféreraient être loin d’ici.

Et si l’angoisse monte entre eux, chez le lecteur aussi il se passe quelque chose : et si ils n’étaient pas là par hasard ? et qui peut bien être cet homme immobile et silencieux ?

J’ai adoré l’ambiance oppressante de ce huis clos au cœur de l’Islande sauvage.

Dans la version Audiolib, c’est Slimane Yefsah qui porte ce roman avec une voix grave, passant d’un personnage à l’autre. Il ajoute au rythme rapide de ces courts chapitres. Un ping-pong d’émotions, de questions, de ressentis, de stress… Les instincts de survie, de défense qui se mettent en place face à un danger potentiel. Et j’ai trouvé que la voix de Slimane Yefsah est en parfaite harmonie avec l’ambiance préoccupante de ce thriller psychologique pas comme les autres !

Un thriller psychologique qui joue sur le stress et les instincts de survie et de défense. Un huis-clos qui révèle le vrai visage de chacun des personnages ! Très ingénieux !

je remercie les éditions Audiolib et Netgalley pour m'avoir donné la chance de pouvoir lire ce thriller qui me faisait très envie.

Malheureusement, ce fut pour moi une écoute mitigée. Je ne sais pas pour vous mais pour moi les thrillers en huis clos, c'est toujours pile ou face, soit j'aime car j'ai réussi à rentrer tant du début jusqu'à la fin sans me lasser, soit je me suis lassée au bout d'un moment et j'en ressors mitiger. Ce fut le cas pour celui-ci.

Malgré le fait que ce soit un bon thriller, avec une bonne intrigue et des personnages intéressants mais pas attachants. Je me suis perdue dans ses salles et venues de temporalité, ainsi que pas mal de longueurs qui m'a fait décrocher pendant l'écoute.

Je ne suis pas du tout attaché aux personnages, ce qui n'a pas été non plus. J'ai ressenti pas mal de longueurs et d'incohérences par moment, même si j'ai apprécié l'intrigue qui pour moi était assez bien menée. J'ai trouvé que le dénouement n'en est pas vraiment, on nous laisse sur notre faim. Après je sais pas si c'est parce que c'était en audio et si je l'avais peut-être plus apprécié en le lisant mon livre. Mais je me connais je suis très difficile quand il s'agit de huis clos, il faut vraiment que je sois happée des le départ.

Mais comme je dis toujours, ce n'est que mon opinion, mon ressenti personnel. Ça ne veut en aucun cas dire que vous n'allez pas l'apprécier. Je suis une personne qui pense toujours qu'il faut mieux se faire une opinion par soi-même, c'est la meilleure manière de savoir si on aime un roman ou pas. Alors moi je n'ai pas totalement apprécié, mais ça se trouve vous vous apprécierez ce roman comme pas mal dont j'ai dû la vie et qui ont énormément aimé.

Daniel est comédien, il est parti s’installer à Londres ; Gunnlaugur est un juriste respecté ; Helena est ingénieure et Armann, organisateur de séjours dans la lande islandaise. Ils se connaissent depuis leurs études.
Alors qu’ils avaient prévu de partir randonner pour deux jours, les quatre amis sont pris dans une tempête qui va les isoler du reste du monde. Et avec une surprise de taille. A partir de là, tout s’enchaine : qui va aller chercher de l’aide, au péril de sa vie ? Qui va rester dans le refuge ? Qui va prendre le lead sur la gestion de la crise ? Mais surtout, il est question de confiance… Car quand on est acculé, c’est à son instinct que l’on se fie. Et ce n’est pas toujours pour le meilleur…
A qui la faute ? est un huis-clos en pleine nuit et en pleine tempête. Deux bonnes raisons d’avoir peur de ne pas s’en sortir ! Et la lecture audio nous plonge au coeur des pensées des différents personnages. Roman choral, chacun prend la parole à son tour et nous – lecteurs – ne sommes pas au bout de nos peines.
Si l’intrigue m’a happée dès le début, j’ai néanmoins trouvé que le roman tournait en rond. Un livre audio de 6h c’est court, et pourtant j’ai fini par trouver le temps long. Et puis surtout, si je ne retiendrai pas ce polar dans mes préférés pour le Prix, c’est à cause de sa fin qui m’a beaucoup déçue. Je suis restée sur ma faim et je n’aime pas ça. Dommage !

J'ai trouvé que l'ambiance était très bien mise en place, on ressent l'angoisse des différents personnages et la tension qui monte tout le long de l'histoire.
J'ai trouvé ce huit clos assez intéressant mais reste un peu déçue par la chute qui laisse en fait beaucoup de place à l'imagination sur la suite des évènements.
J'ai tout de même passé un bon moment de "lecture" !

Ils sont 4 amis à partir dans le froid Islandais pour une session de chasse. Mais surpris par une tempête, ils vont se retrancher dans un refuge de montagne. Un homme immobile et armé est déjà là… sentant la menace, ils vont chercher à se sortir de cette situation stressante, quitte à mettre leurs vies en danger.
On y découvre les personnages et leur passé, leurs liens, leurs tempéraments opposés, leurs faiblesses. On se doute vite qu’il est question de règlements de compte dans ce huis-clos. L’écoute est bien rythmée puisque les chapitres sont courts et que le narrateur est à chaque fois un personnage différent. On vit les positions et réflexions de chacun à tour de rôle.
Mon bémol est la fin que j’aurais souhaité plus surprenante.

Tout d'abord je remercie NetGalley.fr pour ce livre audio. Merci vraiment pour #Aquilafaute #NetGalleyFrance.
Ha j'ai bien frissonné, encore plus, j'ai bien gelé en lisant ce titre de Ragnar Jonasson. Mais c'est à peu près tout. J'ai subi le vent, le froid, la neige et la tempête durant ce huis-clos où quatre personnages se gèlent les fesses dans un refuge. Il me semble là que l'on très bien que le climat de l'Islande étonne et surprend. Il enveloppe souvent l'ambiance . C'est intéressant en autant qu'il y ait une histoire, un récit pour y vivre.
Dans À qui la faute, il n'y a pas grand chose. Il y a quatre amis se retrouvant pour une excursion et se réfugiant dans une cabane. Une cabane qui leur réservera une petite surprise. Comme dans tous les huis-clos, ils en profiteront pour régler leurs comptes, les rancoeurs de l'amitié. Toutefois, je n'ai trouvé aucun des personnages sympathiques, intéressants ou attirants. Ils se plaignaient tous de tout, des autres et du froid. Ce fut un livre audio qui a accompagné mes promenades et ce fut juste correct, pas de coup de coeur.
Merci encore pour #Aquilafaute #NetGalleyFrance.

Ce livre audio est en lice pour le Prix Audiolib alors j’ai voulu le lire pour m’en faire une idée. Je ne connaissais pas du tout Ragnar Jónasson qui est apparemment un des maitres du polar islandais. J’aime ce genre de roman en version audio car on est plongé dans l’histoire immédiatement. Dans cette histoire, on suit quatre amis (enfin, sont-ils vraiment amis?) qui se retrouvent bloqués dans une cabane pour un weekend où tout ne se passe pas comme prévu. Avec des flashbacks et les pensées des uns et des autres, on comprend mieux leur relation très bancale. J’ai préféré la prestation de Slimane Yefsah dans ce roman par rapport aux soeurs de Montmorts de l’an dernier.

Un groupe d'amis part en randonnée/chasse dans la montagne islandaise et se retrouve pris en pleine tempête de neige.
Ils arrivent à rejoindre un refuge mais découvrent à l'intérieur un homme armé, immobile et muet.
A partir de là, les amis se mettent à paniquer, les uns veulent partir, les autres rester.... ils ont peur, froid, ils sont fatigués ...
Des flashs backs nous relatent le passé des 4 protagonistes, leurs liens et leurs conflits.
Peu à peu, on comprend qu'ils ne sont pas aussi amis que ça.
J'ai bien aimé la tension et l'angoisse des personnages très bien décrite, je n'ai pas deviné la fin, mais je trouve qu'elle était un peu tirée par les cheveux et qu'elle n'est pas à la hauteur de ce que l'auteur nous a fait croire. Mais ce n'est que mon avis ^^

Les romans où les personnages trouvent refuge dans une cabane perdue au milieu de nulle part, avec la tempête de neige qui se déchaîne à l'extérieur, ont le vent en poupe. C'est normal, la saison est propice à ce genre d'intrigue. Un plaid, le café à portée de main et la promesse d'un huis-clos bien angoissant, il ne m'en fallait pas plus. Ou peut-être que si...

Le scénario m'a paru bancal dès le départ. La "surprise" que les quatre amis trouvent à l'intérieur m'a semblée invraisemblable. Mais bon, pourquoi pas. Il ne se passe pas grand chose, mais l'auteur fait naître un certain suspense. Je m'accroche donc et poursuis l'écoute mais ça ne le fait pas. Il peine à faire monter la tension. Tout manque de crédibilité et de profondeur y compris les personnages. Et pour terminer, j'ai trouvé la fin expéditive, limite bâclée.

Ce qui a sauvé ma lecture, c'est l'excellente performance du narrateur, Slimane Yefsah. En plus d'avoir une superbe voix, son interprétation est parfaite. Il module sa voix pour chaque personnage que l'on identifie immédiatement. Ils prennent vie et l'on voit chaque scène se dérouler sous nos yeux. Un pur bonheur !

Finalement, il m'aurait fallu bien plus que ce que l'auteur m'a proposé : un scénario qui tienne la route, la tension propre au huis-clos, de la profondeur et une fin digne de ce nom. Pour moi, un roman pas abouti qui m'a laissé un goût d'inachevé.

Avec les livres de Ragnar Jónasson, ça passe ou ça casse. Celui-ci ne figurera pas parmi ses meilleurs c'est certain. Je vais terminer la trilogie de la dame de Reykjavik à laquelle j'avais plutôt bien accroché et on verra pour les prochains.

Bon samedi soir! Je vous parle de l’audiolib #àquilafaute de @ragnarjo que je vient juste de terminer et je remercie #netgalleyfrance pour l’opportunité accordée une nouvelle fois. (Sois dit en passant pour ceux qui n’ont pas trop l’habitude qu’écouter un livre audio en conduisant ou en voyageant est vraiment génial!)
J’ai bien aimé le mystère qui a duré quasiment jusqu’à la fin, je n’ai toutefois pas réussi à m’attacher aux personnages qui sont froids comme le lieu du récit. Enfin la conclusion laisse un point d’interrogation.
L’amitié de ces 4 amis est-elle sincère? Quel est le vrai but de ces retrouvailles?
Pour le découvrir, lisez- le!!

Si l’ambiance était bien réussie, j’ai eu un gros manque d’intérêt pour l’intrigue.

L’ambiance : Comme souvent avec l'auteur, on est en Islande, en pleine tempête et une forme de huis clos glacial se met en place. Rien de neuf donc avec mon expérience avec cet auteur, mais l’ambiance était plutôt bien réussie.

Les personnages : Je n’ai absolument rien ressenti pour les personnages, donc je me suis pas sentie concernée par ce qui leur arrivait. Malgré tout, objectivement, ce sont des personnages nuancés intéressants. Mais malgré le côté choral, ça n’a pas fonctionné avec moi.

L’intrigue : J’ai trouvé l’intrigue assez plate et j’ai eu du mal à m’y intéresser. Même le dénouement m’a laissée de marbre.

Le style : le style est simple, efficace, bien que peut-être un peu trop froid, ce qui n’aide pas à s’accrocher aux personnages.

En conclusion : une lecture en demie teinte avec des éléments que j’aime (ambiance, roman choral) mais avec une réalisation assez moyenne au global.

Ma première incursion dans l’univers de l’auteur islandais Ragnar Jónasson avec À qui la faute, grâce à Audiolib, via NetGalley

Drôle de titre… J’aurais bien mis un point d’interrogation. Sans doute n’y-a-t-il pas ici de véritable interrogation…
En effet, aucun des protagonistes de cette histoire n’est blanc comme neige…

Quatre amis d’enfance se retrouvent pour une chasse à la perdrix dans les hauts plateaux de l’est de l’Islande… Une tempête de neige violente et inattendue les oblige à se réfugier dans un refuge isolé. À l’intérieur, une découverte macabre changera à jamais le cours de leur existence et de leur amitié.

Personnellement, j’aime bien les huis-clos, les récits de vengeance, les ambiances où les personnages révèlent peu à peu ce qu’ils ont de pire dans leur passé et leur personnalité…
Eh bien, cette fois, ce schéma narratif n’a pas du tout fonctionné pour moi : je ne me suis attachée à aucun des héros, plutôt antipathiques dans l’ensemble, j’ai trouvé le scénario peu crédible…
Je ne me suis pas ennuyée parce que c’est court, à peine plus de six heures en format audio et que la voix du narrateur, Slimane Yefsah, est agréable à écouter…

Une déception, donc… Dix âmes, pas plus est dans ma PAL ; je vais exhumer ce roman assez vite pour invalider (ou pas) cette première impression.

#Àquilafaute #NetGalleyFrance

Je découvre, à travers ce roman, Ragnar Jonasson dont j'avais entendu beaucoup parler. Cette écoute tombait à point nommé pour partir enfin en Islande à la rencontre de cet auteur.
Quatre amis décident de partir en randonnée en Islande mais malheureusement une grosse tempête de niege va changer leurs plans. Obligés de se retrancher dans un refuge, ils tombent nez à nez avec un homme pour les plus étranges. Coincés là, sans réseau, ils vont devoir faire face à leur côté sombre et mettre leur amitié en péril.
On plonge ici complètement dans le huis clos avec une ambiance glaciale, oppressante, où la volonté de survivre prend le dessus sur le reste. J'avoue avoir été moyennement séduite par cette histoire. L'histoire met du temps à se mettre en place et j'ai eu du mal à m'attacher aux personnages. Mais si j'en lis les avis sur d'autres romans de l'auteur, il semblerait que ce soit sa marque de fabrique que de créer des personnages peu sympathiques.
J'ai trouvé la deuxième partie plus intéressante, lorsque les premières révélations commencent à arriver. Que de noirceur chez chacun des personnages. On entrerait presque dans un concours de celui qui aura l'idée la plus sombre.
J'ai tout de même été curieuse de connaître la fin, l'auteur sait tenir le suspense jusqu'aux dernières lignes. Et même nous mener un peu plus loin avec une fin ouverte. On peut se questionner sur ce qui aurait pu arriver par la suite.
J'ai apprécié la lecture du narrateur, dont les nuances vocales nous permettent de reconnaitre facilement chaque personnage et entrer dans l'ambiance du roman.
Une écoute agréable mais un peu en demie teinte. Il faudra que je lise un autre roman de l'auteur pour me faire réellement un avis sur son style.

Même si , j'ai apprécié l'écriture de l'auteur. qui parvient a recréer le froid de cette randonnée mortel avec brio, qui parvient a nous faire détester tout les personnages, j'ai détesté l'histoire. oh mon dieu. A partir de la moitié du livre, j'ai la sensation qu'on tourne en rond. Qu'il n'y a pas d'enjeux, ni de surprise. C'est de la haine, de la haine et de la haine sans aucune explication et quelle fin ... Oh non. Non. non. Désolée.

Et dans les livres en huis clos, pourquoi est-ce que nos héros partent toujours en vacances avec des gens qu'ils n'aiment pas. Et ils nous le montrent dès le début. L'aspect le plus intéressant dans un huis clos, c'est de voir des gens qui en apparence s'aiment beaucoup et se soutiennent, se retourner les uns contre les autres. Si ils se détestent et commencent a se cracher dessus dès les 10 premières pages, il n'y a pas d’intérêt a lire. Il n'y a pas d'enjeux, ni d'émotion dans la perte de l'amitié, etc ... bref... J'ai été bien déçue sur cet aspect. Si on découvre Ragnar Jónasson, c'est pas avec celui-là qu'il faut commencer. Parce que l'homme écrit bien, faut juste trouver une histoire intéressante.

Je n'ai pas réussi à aller au bout du livre à cause de la voix du narrateur, qui m'a parfois agacée, parfois oppressée, parfois ennuyée.
C'est dommage car j'aime bien cet auteur, mais je pense que je découvrirai le fin mot de l'histoire avec la version papier.
je remercie néanmoins audiolib pour cette découverte, mais elle n'a pas pris sur moi

À qui la faute, un thriller glaçant entre amis

Quatre amis d’enfance se retrouvent dans les hauts plateaux d’Islande pour un weekend de chasse à la perdrix. Ils se retrouvent pris dans une tempête de neige à devoir trouver un refuge en urgence pour ne pas mourir de froid au milieu de nulle part. Quand enfin ils trouvent un refuge, la panique les envahit car un homme, inconnu, est déjà là. Il est assis sur une chaise, un fusil à la main, il ne bouge pas, ne parle pas. Commence alors une sorte de huis clos angoissant et frissonnant durant lequel les quatre amis vont devoir faire des choix : aller chercher du secours ? se séparer ? rester dans cet abri avec cet homme qui a tout du psychopathe ?

Rencontre avec la plume de Ragnar Jónasson

Je n’avais encore jamais lu de roman de Ragnar Jónasson et j’étais très curieuse de découvrir cet auteur car je l’avais beaucoup vu passer. J’ai choisi d’écouter la version Audiolib de cette lecture, racontée par Slimane Yefsah.

J’ai beaucoup aimé la façon dont le roman est construit. On jongle entre les différents points de vue des personnages. On voit les scènes à travers les yeux de chacun d’entre eux, tour à tour, et on découvre l’intrigue petit à petit. J’ai trouvé que le lecteur rendait plutôt bien ce changement de narrateur, ce qui n’est pas forcément évident à faire. On a quelques flashbacks qui nous permettent de mieux comprendre la relation entre les personnages, cela apporte un enrichissement intéressant au récit.

La seule chose que j’aurais à redire au niveau de la lecture audio serait que le lecteur a un peu caricaturé les personnages. L’exercice de parler pour quatre personnages reste compliqué, mais pour avoir écouté d’autres livres audio, j’ai trouvé qu’ici ce n’était pas très bien fait. J’ai trouvé que ça desservait un peu l’histoire car les réactions et les intonations étaient trop exagérées.

Du point de vue de la forme, ce roman était une belle découverte du style de l’auteur, même si je pense qu’il ne s’agit pas du meilleur roman de Ragnar Jónasson.

Mon avis sur “À qui la faute”

En ce qui concerne le fond de l’histoire, je suis beaucoup plus mitigée. J’ai trouvé le début de l’intrigue assez long à se mettre en place. En outre, j’ai trouvé que la relation entre les personnages était un peu bancale. Ils partent en weekend tous les quatre ensemble mais on sent bien qu’ils ont beaucoup de choses à se reprocher les uns les autres, ce qui m’a fait un effet un peu étrange.

J’ai trouvé les personnages assez antipathiques, cela dit je ne sais pas si ça tient au roman en lui-même ou bien à la lecture qui en est faite en version audio.

Pour ce qui est de l’intrigue, je n’ai pas été très conquise. J’ai rapidement vu où l’auteur voulait nous amener et du coup je n’ai pas eu beaucoup de surprise, ni par les différents twists, ni par la fin du roman.

J’ai très envie de découvrir un autre roman de Ragnar Jónasson, mais cette fois-ci en version papier. Je ne conseille pas forcément ce roman aux amateurs de thrillers car vous pourriez être déçus par l’intrigue, cependant cela peut être un bon roman d’introduction au genre.

Hauts plateaux de l’est de l’Islande. Une nuit.
Armann, devenu un voyagiste renommé, a organisé une simple chasse à la perdrix dans pour des retrouvailles avec son groupe d’amis… Ainsi, vu sa compétence en la matière, Daniel, comédien, Gunnlaugur, juriste, et Helena aujourd’hui ingénieure, le suivent en toute confiance. Ils sont prêts à vivre ensemble une nouvelle expérience pendant quelques jours.
Mais le voyage tourne au cauchemar quand surgit une tempête de neige virulente. Les quatre amis trouvent refuge dans un pavillon de chasse abandonné. Mais l’intérieur pétrifiant et tout à fait inhospitalier va anéantir le peu de réconfort éprouvé par cet abri providentiel. En attendant la fin des intempéries, l’angoisse du froid et de la nuit interpose les quatre amis, où les décisions sont conduites par les pires réactions.
livre audio
La voix grave et virile du comédien lecteur retranscrit bien l’ambiance dramatique où la gent masculine prédomine et la rude froideur de ce refuge isolé dans les montagnes enneigées. Ses intonations parfois plus fortes, plus agressives dynamisent l’intrigue et accentuent à bon escient la rage des antagonistes. Personnellement, j’ai trouvé que la version audio a su animer l’action statique du huis clos, et je pense que j’aurais moins apprécié ce roman lu en papier ou en numérique.

Le découpage des chapitres, courts et intitulés par le prénom des protagonistes permet de cerner celui du moment. L’énoncé dans le flux narratif est bien marqué et même si j’ai pu rater des bribes de phrases par manque de concentration, la compréhension du récit est restée claire. La brièveté de chaque partie assouplit la pesante atmosphère qui règne au sein du groupe où l’ambiance oppressante ressort bien sur la formule « audio ».

J’admets aimer les retrouvailles surtout en huis clos, mais ici, la barre est haute et je pense que le format audio se prêtait bien au récit. Je ne regrette pas de l’avoir découvert en « audio ».

Mon avis
Le thème du huis clos et de l’amitié présuppose toujours des rancœurs tapies, sources de perfidies plus ou moins mûries. Comme prévu, le lecteur et les protagonistes sont enfermés dans un univers hostile, et la tension monte peu à peu tandis que les températures extérieures descendent. Cependant, malgré des dialogues animés et des actions brutales, une impression d’immobilisme règne. Pourtant la violence est présente, tant verbale que physique.

Mais ici, tout est annoncé dès le départ, car l’on se demande même si ce groupe est constitué d’amis. En effet, une animosité perse chez chacun d’eux pour les uns ou les autres. Du coup, leur état d’esprit les rend tous moins sympathiques et supprime l’aspect bon enfant et convivial du périple.

J’avais déjà apprécié l’écrivain islandais Ragnar Jonasson (écrivain, avocat et traducteur) avec👉📖 « 10 âmes pas plus ». Ici, j’ai pu profiter du confort de l’audio. Avec la liberté accordée par l’écoute, j’ai évité l’écueil de la lenteur de l’action. Donc, cette forme de lecture où le suspense n’est pas trépidant permet de modérer la sévérité de ma chronique.

Par ailleurs, les personnages sont loin d’être attachants. Seul, Daniel, inspire de la compassion, car il semble douter de lui dès le début et être sincère, malgré sa carrière de comédien, certes, médiocre.

Je vous conseille pour conclure de choisir le livre audio pour découvrir ce roman si vous voulez tirer le meilleur de ce thriller glacial.



merci pour ce service de presse #Àquilafaute #NetGalleyFrance

Islande, le froid, la neige, la tempête.
Quatre amis partent pour un week end en randonnée mais tout ne se passera pas comme prévu.
Et puis, sommes-nous sûrs qu’ils soient véritablement amis ?
Entre l’ambiance morbide et la météo, nous voici dans une histoire bien angoissante.

J’adore la littérature nordique et les livres de l’auteur.
Mais celui-ci ne sera pas mon préféré, peut-être à cause du format. Et oui, il y des livres qu’il vaut mieux lire plutôt que de les écouter, ou l’inverse.

Par contre j’ai beaucoup aimé la voix de Slimane Yefsah.

Comme chaque année, Daniel a accepté de participer à un weekend où il retrouve traditionnellement ses quelques amis d’enfance.
Le début du séjour est tendu.
Armann a organisé une session de chasse dans la montagne qui ne le réjouit pas vraiment.
Il ne tire pas au fusil, il n’aime pas la randonnée, tout cela s’annonce compliqué mais Daniel est prêt à faire des concessions maintenant qu’il est là…

Évidemment, comme il faut s’y attendre, tout ne va pas se passer comme prévu.
Une tempête imprévue surprend le groupe en pleine montagne et les oblige a s’abriter dans un refuge spartiate.
Je ne vous en dis pas plus, ce serait dommage que vous perdiez le plaisir de la découverte mais l’auteur va ensuite s’amuser à surprendre son lecteur en introduisant des éléments imprévus.
Parallèlement, il retrace la vie de chaque personnage et permet au lecteur de les connaître un peu mieux.
On découvre ce que chacun a vécu auparavant, leurs relations avec les autres, ce qu’ils ressentent.
Chaque chapitre est vu sous l’angle d’un des personnages pour renforcer cette focalisation, à la fois en direct pendant les évènements et dans le passé.

Cela aurait pu fonctionner mais malheureusement, j’ai trouvé le récit un peu laborieux.
L’idée de départ est chouette, j’aime bien découvrir les personnages petit à petit, mais ici, cela manque de rythme et certains évènements étaient un peu trop prévisibles.
Il y a peu de surprise, on tombe dans des effets classiques du genre avec trop de facilité.
Il y a également des répétitions dans le texte, une insistance sur les émotions de certains personnages qui sont agaçantes.
Une histoire un peu resserrée, plus efficace aurait été une bonne chose.
Les droits du roman sont d'ailleurs déjà vendus pour une adaptation ciné, ce qui pourrait donner un film sympa.

Heureusement, la version audio permet d'écouter en vitesse légèrement accélérée, ce qui donne un peu plus de tension.
Slimane Yefsah lit les 4 voix mais on se repère assez bien, même si on n'a maqué d'attention au début du chapitre pour écouter qui parle.
La traduction est claire, le style est efficace, ce que renforce l'écoute du roman.

C’est donc un roman qui promettait beaucoup mais qui ne tient malheureusement pas ses promesses, surtout quand on sait que l'auteur est un "maitre du polar".
Si toutefois vous aimez les thrillers pas trop effrayants, cela pourrait vous plaire et la version audio est vraiment pas mal.

A qui la faute est un roman choral qui suit quatre personnages, quatre amis dans un huis clos glacial. Daniel, Gunnlaugur, Helena et Armann se retrouvent pour un week-end de chasse à la perdrix dans la campagne islandaise. C’était sans compter sur un invité de dernière minute : une terrible tempête de neige qui les bloque dans un petit pavillon de chasse, sans réseau, sans personne. Dans cet espace exigüe les langues finissent par se délier, les secrets inavoués sont dévoilés égratignant la bande d’amis.

Je dois dire que le résumé de l’intrigue m’a fait très envie. Néanmoins, j’ai eu un peu de mal à entrer dans l’histoire, la narration se fait à reculons, ce qui m’a un peu fait perdre le fil de l’écoute. De plus, chaque personnage n’est pas dépeint de la meilleure des manières, de ce fait, je ne me suis pas vraiment attachée à l’un d’entre eux. Cette mise à distance, le changement de personnages rapide, la chronologie changeante, tout cela m’a demandé un bon temps d’adaptation.

Cependant, une fois que l’histoire a démarré, j’ai fini par passer un bon moment et à me demander comment cette histoire malheureuse sur fond de révélations aussi tragiques les unes que les autres, allait bien s’achever. Car l’ambiance du huis-clos grâce à la tempête (qui devient un personnage à part entière dans A qui la faute) est parfaitement ressenti. On étouffe avec ces quatre amis qui se cachent tant de choses, on a peur du pire, l’avenir devient incertain.

La voix de Slimane Yefsah m’a bercée avec ce polar islandais. Même si le début de l’histoire était déroutant de part sa construction, la voix du lecteur m’a permis de m’accrocher et l’écoute n’en a été que des plus agréables. En plus avec tous ces noms nordiques, je suis bien contente de ne pas avoir eu à les lire moi-même !

Quatre amis d’enfance décident de s’organiser une petite virée en Islande. Ils partent alors faire une randonné et sont surpris par une tempête de neige. Ils parviennent à rejoindre un refuge où les attend un homme mystérieux qui pointe une arme droit sur eux. Apeurés, perdus et n’ayant aucun moyen de regagner la civilisation les quatre amis vont essayer de survivre à cette nuit étrange. Cette nuit sera alors le théâtre de révélations et de secrets qui se dévoilent et qui pourront changer le cours de leur vie et de leur amitié.
Un huis clos glacial où quatre amis se retrouvent bloqués dans une tempête de neige. Au programme de la tension et des révélations qui pourront bien tout changer. Une seule question se pose alors : qui arrivera à sortir vivant ?

« À qui la faute » est un thriller qui monte en puissance et dont le dénouement est aussi étonnant que bien amené. J’ai pris un grand plaisir à l’écoute de ce livre!

Je ne savais pas vraiment dans quoi je m’embarquais quand j’ai demandé cet audio. Je savais que c’était un thriller. Que c’était en Islande… et c’est tout!

Donc oui, j’avais bon pour ces deux points. Mais en plus, on y suit un groupe d’amis enfermés dans une cabane à cause d’une tempête de neige. Sauf que chacun cache des choses aux autres…

J’ai bien aimé l’ambiance huit-clos. On sent vraiment l’oppression dans la plume de l’auteur. Et c’est ce que je recherchais au moment de ma lecture.
J’ai bien ressenti le froid aussi. En même temps, en hiver en Islande, ca aurait été d’hommage d’avoir chaud ^^
Le fait que cela soit narré ajoute un plus car nous avons le jeu de voix ce qui permet de nous imaginer un peu plus les personnages.
Et les révélations de fin! Même si je sentais qu’il y avait un truc, je ne me doutais pas du tout de l’annonce de fin! J’ai été vraiment surprise!

Une enquête qui nous tient jusqu'à la fin avec un narrateur au ton juste qui sait maintenir le suspense et donner corps au personnage

A qui la faute de Ragnar Jónasson fait partie des dix romans en lice pour le prix Audiolib 2023.

Quand A qui la faute est sorti, je me suis dit qu’il était temps de lire le précédent qui prenait la poussière sur une étagère. Donc, j’ai commencé par lire Dix âmes pas plus avant d’enchaîner sur la lecture d’A qui la faute, Quand j’ai découvert que le livre audio était dans la sélection Audiolib, j’ai enchaîné sur l’écoute, un bon moyen de comparer.

A qui la faute est un roman choral islandais dans lequel on suit quatre amis d’enfance qui ont prévu de se retrouver pour un week-end comme au bon vieux temps. Daniel est comédien et il vit à Londres, Gunnlaugur est juriste, Helena ingénieure et Armann quant à lui est dans le tourisme. Armann et Helena proposent de partir chasser la perdrix des neiges. Pas de bol, le week-end tourne à la catastrophe. Une tempête de neige les surprend, ils n’ont pas de réseau. Le froid et la neige les obligent à changer les plans et à se rabattre sur un refuge de fortune. Pensant se protéger du danger, ils vont en trouver un encore plus grand à l’intérieur.

Dans ce roman, on passe de ce présent en pleine tempête de neige aux souvenirs du passé. On découvrent comment les amis se sont rencontrés, comment ils ont grandi, mené chacun leur vie… Et surtout, on découvre que ces quatre-là ont pas mal de secrets et ne s’aiment peut-être pas tant que ça. Dommage car ils vont devoir compter les uns sur les autres s’ils veulent s’en sortir. « Quatre amis, une nuit, tous n’en reviendront pas ». Ne gardez donc pas espoir, ils ne vont pas tous s’en sortir, la question est qui va s’en sortir…

Cette tempête crée une ambiance oppressante, dangereuse et crispante. On se demande bien pourquoi ils se sont embarqués dans cette galère. Comme si personne n’avait regardé la météo ! Surtout celui qui est sensé être guide expérimenté. Mais admettons ! Malheureusement, les prévisions météorologiques ne seront pas les seules petites incohérences de ce roman…

Pendant que la tempête fait rage et risque de transformer les quatre en statues de glace, nous revenons sur leur passé commun et ce qui les a amenés à se retrouver aujourd’hui dans ce week-end foireux.

Ne vous attendez pas à des personnages lumineux, inoubliables et super sympathiques. Ils se la racontent sur leur réussite, ils jalousent les autres et n’ont pas toujours été honnêtes par le passé et franchement des amis comme ça, moi je n’en veux pas. Non, parce que je ne vous raconte pas tout ! Si vous saviez, vous n’en voudriez pas non plus.

Le roman se lit, le roman s’écoute. Il n’est pas exceptionnel, mais je l’ai trouvé quand même un peu mieux que Dix âmes pas plus. En ce qui concerne la crédibilité, il faudra quand même repasser. Mais personnellement j’ai eu envie de savoir comment tout cela allait se terminer, parce que je ne voyais pas trop comment Ragnar Jónasson allait retomber sur ses pieds honnêtement.

J’ai quand même préféré écouter A qui la faute. La voix de Slimane Yefsah est parfaite pour plonger l’auditeur dans une ambiance glaçante, étouffante et pleine de suspense. Et même si je connaissais déjà l’histoire, j’ai profité de ce livre audio pour tenter de voir si quelques petits trucs m’avaient échappée. Mais non ! C’est pas crédible, c’est pas crédible, c’est tout. En tout cas, je vous imagine bien l’écouter – si vous n’êtes pas trop sévères avec les scénario un peu tirés par les cheveux – en pleine canicule, en buvant une bonne citronnade bien fraîche à l’ombre d’un bel arbre.

Mais si vous préférez l’écouter ou le lire l’hiver à la montagne, menacés par une tempête de neige, c’est OK aussi. Petit conseil toutefois : les expériences d’immersions ont leurs limites. Par exemple, j’ai lu un roman qui commençait par un crash d’avion dans un avion (sans le savoir) et lu un livre qui parlait de l’épidémie de polio au début du confinement (sans le savoir non plus) et je ne vous conseille pas.

Premier roman que je lis de cet auteur islandais très apprécié des lecteurs qui sont férus de polar. C’est pour moi, une excellente découverte.

J’ai beaucoup aimé ce roman et l’écoute a été passionnante du début à la fin.

Quatre amis d’enfance se réunissent pour un week-end en montagne, pour une partie de chasse. C’est l’hiver et les conditions climatiques sont rudes mais le petit groupe semble plus ou moins motiver à passer les deux prochains jours ensemble. Ce petit séjour a pour but de se « retrouver » et de vivre une nouvelle expérience.

Cependant, la veille du départ, l’ambiance semble lourde et quelques tensions se font sentir entre les quatre protagonistes, Daniel, un acteur, Armann, un chef d’entreprise, Helena, ingénieure et Gunnlaugur, un avocat. Des retrouvailles à l’atmosphère pesante, laissant deviner quelques discordes sous-jacentes. Cela ne les empêche pas de maintenir cette sortie et tous partent pour une marche de plusieurs heures.

Mais lorsqu’une tempête inattendue arrive sur eux, c’est à bout de forces et frigorifiés qu’ils atteignent un refuge de secours. Et c’est à partir de cet instant, que les choses vont commencer sérieusement à se gâter.

Non seulement ils sont coincés dans cette cabane, sans électricité, sans chauffage et sans nourriture mais ils ne sont pas seuls à l’intérieur. Un homme à l’allure inquiétante et muni d’une arme, est assis sur une chaise et les regarde silencieusement.

A partir de cet instant, des événements dramatiques vont avoir lieu, mettant en évidence des vérités, des conflits, des blessures ou encore des rancunes, donnant petit à petit des indices sur une affaire que l’on est loin de soupçonner !

Le piège se referme…

Le danger rôde mais d’où vient-il ? De la nature hospitalière et dangereuse ou de l’homme ?

Un thriller glaçant, addictif et captivant que j’ai adoré suivre. L’intrigue est rondement bien ficelée avec un bon enchainement de surprise, de suspense et d’une tension palpable.

Un dépaysement total avec cette lecture addictive, énigmatique et réussie.

L’écoute a été super agréable grâce à la belle voix de Slimane Yefsah que j’ai déjà entendue en écoutant le magnifique livre audio, Les Vertueux de Yasmina Khadra.

J’aime beaucoup la voix du comédien qui a beaucoup de talent pour arriver à interpréter quatre personnages différents.

Un très bon polar.

On lui avait toujours appris à faire les choses correctement,,à obéir à ses parents,à travailler,à ne jamais faire de vagues, et il y était parvenu -presque trop. Parfois il avait eu la sensation de passer à côté de sa vie, de rater toutes les aventures de la jeunesse. Désormais il avait vécu une expérience extrême, un acte effroyable qui l'avait fait basculer vers le mal." Un roman choral, un huis clos glacial, quatre amis d'enfance Daniel, Gunnlaugur, Helena et Armann se retrouvent le temps d'un week-end dans la campagne islandaise pour chasser la perdrix. Malheureusement une tempête de neige les contraint à se réfugier dans un pavillon de chasse abandonné au milieu de nulle part. Dans cette promiscuité contrainte les secrets des uns et des autres remontent à la surface et aucun ne sortira indemne de cette expérience...

Quatre amis d’enfance se retrouvent pour un week end dans le Grand Est islandais. Armann, qui gère une entreprise touristique a organisé une chasse à la perdrix. Il a tout prévu, sauf une terrible tempête de neige que la météo n’avait pas annoncée. Si la première soirée, entre retrouvailles et beuveries s’est bien passée dans l’ensemble, l’ambiance se dégrade rapidement quand le groupe se perd et erre dans une nature sauvage des heures durant. Les portables ne servent à rien et ils ne peuvent appeler les secours. Finalement ils arrivent épuisés dans un vieux refuge de chasse sans confort, mais une mauvais surprise les y attend. Dans ce huis clos, les rancoeurs et les vieux secrets remontent à la surface.

Ce thème n’est pas nouveau et j’ai un avis mitigé sur ce polar. On se doute dès le début que l’histoire va tourner au vinaigre, comme on peut s’y attendre avec cette thématique. Le début est assez lent, ce qui est habituel avec les polars nordiques, par contre la fin est très abrupte, pour ne pas dire bâclée et peu crédible. Les personnages sont peu attachants, ils ont une drôle de conception de l’amitié, il semble que leurs conflits larvés durent depuis des années et que ce week end est l’occasion du grand règlement de compte, on a l’impression qu’ils sont liés plus par la haine et les non dits que par l’amitié. C’est un roman choral qui alterne les points de vue des quatre personnages, une construction que j’apprécie.

La nature est le cinquième personnage de l’histoire et le plus intéressant à mon avis. La tempête et l’environnement hostile sont vraiment très bien décrits, on a vraiment l’impression de se trouver en Islande. Sans doute que la lecture en audio renforce le dépaysement. J’ai apprécié le narrateur de cette histoire, Slimane Yefsah. Le côté nature writing est vraiment le point fort de ce livre, car l’intrigue manque de vraisemblance. J’ai lu il y a quelque mois Blizzard de Marie Vingtras sur la même thématique et je l’ai trouvé nettement plus réussi. Ce polar n’est pas désagréable mais il sera vite oublié, il lui manque une profondeur. J’ai un autre livre de l’auteur dans ma pal, je verrai s’il est plus convaincant. Même si je ne suis pas entièrement conquise par ce roman, j’ai apprécié de l’écouter. Merci à Netgalley et Audiolib pour cette découverte.

#Àquilafaute #NetGalleyFrance !