C'était juste un jeu

Simon et ses amis, sont des collégiens comme la plupart d'entre eux, ils sont en 3e, travaillent correctement, voire très bien, même si ça ne les passionne pas ... Leur vie familiale est parfois compliquée, entre le cancer de la mère d'une, la séparation des parents de l'autre .. Mais ce qui les différence, ce qui les unie dans leur amitié c'est leur goût pour l'exploration des vieux bâtiments abandonnés, l'urbex. Ils ont établi des règles afin que tout se passe au mieux, mais un jour, l'un d'un transgresse une des règles et là, tout se dérègle.

Roman bien sympathique, avec ce qu'il faut de suspens, mais je suis un peu restée en dehors de la lecture. J'ai trouvé que l'action mettait un peu trop de temps à démarrer vraiment. Mais l'histoire se lit bien et est agréable

Un bilan mitigé avec une impression de premier roman jeunesse et les faiblesses qui l'accompagnent habituellement ... Et pourtant non, je viens de me rendre compte que j'avais déjà lu cet auteur (avec le dossier Handle que j'avais bien aimé il me semble).

Du coup je suis revenue sur ma lecture et au final l'ensemble se lit bien.

Premier constat, quoique orienté plutôt 4eme/3eme sur le fond (violence, enlèvement, drogue) ce livre reste très facile à lire donc accessible même aux petits lecteurs. Ce qui n'est pas mal pour des livres à destination de cette tranche d'âge d'élève !

C'est l'histoire de 4 ados super potes qui se retrouvent sur leur temps libre pour faire de l'urbex, la visite de zones désaffectées. Alors que l'un d'eux veut faire une petite blague au petit nouveau du groupe un enchaînement de petits actions va faire un effet boule de neige et cela va vite dégénérer !

Du coup assez rapidement la lecture devient addictive et on a rapidement envie de savoir la suite. Un bon livre jeunesse du coup, mais qui reste surtout à destination de la jeunesse ... J'ai trouvé qu'il y avait de grosses ficelles, une intrigue et des personnages un peu clichés. Mais cela plaira aux 4eme/3eme sans problème !

Pépite ! J'ai adoré la plume que je connaissais déjà, l'intrigue est prenante, un très bon roman d'enquête. Petit bonus pour les Sarthois, ça se passe au Mans et personnellement c'est un gros point bonus !

Simon, Hina, Zia et Tom forment un groupe d'amis inséparables et adorent pratiquer l'urbex. L'équilibre du groupe est perturbé par l'arrivée d'un nouvel élève, Jack. Un brin jaloux, Simon donne rdv à Jack dans une usine désaffectée pour lui faire peur sauf que la blague tourne vite au drame et l'un d'entre eux va disparaitre. Entre l'enquête de police et celle des jeunes, le lecteur est pris par l'intrigue.
Bon roman jeunesse qui se lit facilement. Il est court et on est embarqués dans l'histoire, on a envie de savoir ce qui va arriver à ce petit groupe d'amis.

Une fois n'est pas coutume, je vous parle aujourd'hui d'un roman jeunesse avec « C'était juste un jeu » de David Moitet aux Éditions Didier Jeunesse.

Simon, Zia, Tom et Hina sont, comme eux même se définissent, les 4 fantastiques, inséparables, depuis petits, ils sont tous les 4 passionnés par l'urbex. Régulièrement, ils vont en secret, visiter des lieux abandonnés, jusqu'au jour où après une simple blague stupide, l'un d'eux disparaît.

Court roman de moins de 200 pages, j'ai aimé les personnages fouillés où chacun à sa propre personnalité. Un groupe d'ados de 3ème qui ont pour la plupart quelques problèmes familiaux (maladie, divorce...). Si quelques réactions m'ont parfois parus caricaturales, les protagonistes, eux, m'ont semblé crédibles, d'ailleurs, je n'ai eu aucun mal à m'attacher aux jeunes qui m'ont rappelée à quel point, on peut être insouciant et immature à cet âge.

Pour ceux qui ont connu, ce roman m'a parfois fait penser « au club des cinq » que je dévorais gamine, en plus ados du coup. Abordant divers sujets auxquels les adolescents d'aujourd'hui sont parfois confrontés, le décor est réaliste.

Puis vient le côté polar, qui si au début m'a convaincue a fini par me sembler surréaliste, car si le dénouement m'a plu, la façon dont il est amené m'a laissé mitigé, car il faut avouer qu'il y a quelques failles dans l'intrigue.

Malgré tout, j'ai passé un bon moment, je ne doute pas qu'il puisse plaire autant aux jeunes qu'aux adultes friands de romans jeunesse.

En bref, hormis quelques couacs, c'est une belle découverte..

En librairie le 8 mars.

J'ai apprécié cette lecture, où l'on suit les aventures de 4 collégiens, fans d'urbex, qui parcourent les sites manceaux abandonnés.
Ces 4 ados, auxquels les jeunes lecteurs pourront facilement s'identifier, ont chacun leur caractère, leur parcours de vie parfois compliqué et sont liés par leur passion commune. Lorsque l'arrivée d'un nouvel élève vient semer le trouble dans leur amitié, leur histoire prend des allures de thriller.
Si certains passages peuvent parfois sembler un peu gros dans la résolution des événements, il ne faut pas oublier qu'il s'agit d'un roman jeunesse et que de jeunes lecteurs seront probablement moins tatillons et se laisseront entraîner sans problème dans l'action.
Si David Moitet m'avait plus convaincue avec son roman 'la longue nuit' , ce roman n'en reste pas moins une lecture très sympathique. J'ai adoré retrouver la ville mancelle où j'ai vécu quelques années, en arpenter les rues et les quartiers, en retrouver les détails et rechercher l'ancienne chocolaterie, qui existe vraiment !

J'ai passé un agréable moment de lecture avec ce nouveau roman jeunesse de David Moitet. J'apprécie beaucoup les récits de cet auteur et celui-ci n'a pas dérogé à la règle. La première de couverture est attirante et le titre du roman intrigant. Les personnages sont bien travaillés, les chapitres du récit sont courts et le style rythmé de l'histoire est très plaisant. Le suspense est maintenu jusqu'à la fin du récit. Cette lecture sympathique ravira probablement les lecteurs à partir de 12 ans.

J'ai eu un peu plus de difficultés à rentrer dans l'histoire qu'usuellement avec les livres de David Moitet.

Je pense que plusieurs petits éléments sont venus se mettre en travers de ma route.
Le côté absolument détestable de Simon qui me rappelle trop les élèves harceleurs avec cette tentative d'explication par ce qu'il subit chez lui qui vient un peu comme une excuse.
La répartition des équipes en EPS selon la technique datée du choix des élèves qui renforce ce sentiment d'humiliation qu'ont les adolescents mal à l'aise avec leurs corps...
Et d'autres petits détails qui m'ont un peu dérangée lors de ma lecture.

Cependant l'intrigue reste intéressante et bien menée. Le scénario fait sens sans être prévisible, il y a des rebondissements et Zia est attachante.
L'histoire pourra plaire à des élèves issus d'un établissement semblable. Pour ce qui est de ceux issus des cités et autres milieux sociaux difficiles... pas sûre qu'ils parviennent à s'identifier.

Simon, Zia, Tom et Hina sont en 3e et adorent pratiquer l'urbex en secret de leurs parents, ç 'est à dire explorer des sites abandonnés (anciennes usines, maisons ...) et en faire des vidéos. L'arrivée d'un nouvel élève vient semer la zizanie dans leur groupe et Simon va se trouver mêlé malgré lui à une histoire de drogue.
Le thème de l'urbex est original en jeunesse (il y a une BD sur le même thème), les autres thèmes sont récurrents : adolescence, relation avec les parents, maladie, amour ...
L'histoire n'est pas trop longue, se lit vite mais l'histoire se résout un peu trop facilement.
C'est le 4e live que je lis de cet auteur mais j'ai préféré Alice ou le dossier Handle.

C’est l’histoire de 4 adolescents qui s'adonnent en cachette à de l’Urbex, c'est-à-dire la visite de lieux abandonnés, afin de faire des vidéos sur Internet. Pour cela, les ados ont 4 règles à respecter : ne pas entrer par effraction, ne toucher à rien, toujours regarder où l’on met les pieds, et ne jamais partir seul en exploration. Jusqu’au jour où après une blague idiote faite à un nouvel élève, l’un d’entre eux transgresse une des quatres règles et disparaît…

❤️ Un très bon roman d’action sur le sujet très actuel qu’est l’urbex et ainsi qui pourra plaire à beaucoup d’ados aujourd'hui. D’autant plus que notre bande est très attachante avec une amitié sincère. On finit par s’attacher au moins à l’un d’entre eux, ils ont tous des problèmes de leur âge entre l’école et une vie familiale parfois compliquée..
Ce roman commence d’abord par plusieurs scènes d’urbex, où la tension monte petit à petit car on se demande à quel moment l’un d’entre eux va avoir un problème et lequel parmi les 4. 😅 Ensuite, le roman prend une tournure d'enquête car on suit deux policiers qui travaillent sur la disparition. Sauf que, pendant cette enquête, nos ados ne vont pas rester les bras croisés malgré les dangers…
Un format très addictif ! Bon en tout cas, froussarde que je suis, ce roman ne m’a pas donné envie de tenter de faire de l’urbex, entre les lieux abandonnés aux descriptions effrayantes et les dangers que l’on peut y rencontrer, je passe mon tour 😂 En plus d’avoir passé un bon moment, j’ai surtout bien retenu la leçon : ne jamais partir en urbex seul !!

Un roman qui plaira aux ados à partir de 12 ans, mêlant aventure, action, enquête policière mais aussi amitié et entraide, de quoi passer un très bon moment de lecture !

J'ai déjà lu d'autres romans de l'auteur.
Ici, nous avons une bande d'adolescents particulièrement "courant". Des héros auxquels on peut s'identifier.
Quatre adolescents avec leur vie et leurs problèmes : le divorce, le travail, le deuil, la maladie…
Pour échapper au quotidien, ils pratiquent l'urbex, l'exploration de lieux abandonnés, puis montent les vidéos qu'ils mettent en ligne sur le net.
Simon, le leader, est un peu perdu. L'adolescence est difficile, éduquer un enfant est compliqué et son père essaye de faire au mieux avec ce qu'il connait. Il a tendance à être un peu cruel avec les autres, pas forcément volontairement. Il est lourd, dirait-on, sans être harceleur mais "relou".
Jusqu'à la farce de trop. Jaloux, il envoie le nouveau de la classe dans une usine abandonnée pour lui faire peur.
Puis, pris de remords, il y va seul et voit ce qu'il n'aurait jamais du voir.
Commence alors une enquête pour retrouver l'adolescent disparus.

J'ai beaucoup aimé la construction des personnages, peut être un peu caricaturaux mais diversifiés et facilitant l'identification.
L'histoire a une résolution peut être rapide, voir facile, mais franchement crédible. On passe un bon moment et je recommanderai facilement ce roman à mes élèves du club.

"C'était juste un jeu" est un roman de type jeunesse vraiment très addictif !

On y découvre une histoire plutôt simple : des jeunes fans d'urbex qui aiment squatter une vieille usine, comme une sorte de quartier général.

Des personnages très bien travaillés, tourmentés, avec des problèmes en tout genre : familiaux, sociaux, caractériels. Nous avons un joli panache de protagonistes qui m'a vraiment beaucoup plu !

Et puis nous avons cette petite blague vis-à-vis du nouvel élève qui va tourner très ... très mal ! Et c'est à partir de ce moment là que le roman prend une toute autre tournure totalement surprenante. J'avoue avoir été surprise jusqu'à la dernière page !

Je m'attendais à un énième roman d'urbex avec une petite dose "horrifique", style couloir faussement hanté, objets qui bougent tout seul, mais non, l'auteur a décidé de suivre une autre voie, et c'est franchement une belle réussite !

L'écriture est fluide, accessible et plaisante, j'ai tourné les pages sans m'en rendre compte, je voulais toujours en savoir plus. La tension était palpable par moment, les retournements de situations donnent un bon rythme, l'alternance narrative via les chapitres entre les différents protagonistes a un côté intime et immersif.

En résumé, ce roman est très plaisant à lire, l'histoire et les personnages sont surprenants. Je ne peux que le conseiller !

Le terrain de jeu de Simon et ses amis, ce sont les usines désaffectées, les lieux abandonnés, qu'ils explorent avec les papillons de l'interdit et du danger dans le ventre. Ils font de l'urbex. Tout en respectant quelques règles de sécurité, tout de même. Jusqu'au jour où Simon brave une des règles histoire de jouer un mauvais tour à un nouveau de la classe. Et quand il n'y a plus de règles, ce qui n'était qu'un jeu devient...dangereux....
Un thriller tel que David Moitet sait si bien les faire, qui parle d'amitié, d'amours, de complicité, de jalousie,... bref tout ce qui fait vibrer les ados. Avec le suspens et l'aventure.

Un bon roman pour ado petit lecteur car l'intrigue se met en place assez rapidement et les personnages ne sont pas des adolescents caricaturaux ce qui est très appréciable. Je regrette des résolutions parfois cousues de fil blanc et quelques réactions de personnage un peu bancales mais l'ensemble reste très plaisant à lire.

Quatre ados, Simon, Tom, Zia et Hina, se réunissent régulièrement pour faire de l'urbex. Quand un nouveau venu, Zach, se rapproche de Zia, Simon est jaloux. Il décide alors de jouer un tour à Zach en lui donnant rendez-vous dans une usine désaffectée pour lui faire peur. Malheureusement, cette usine ne sera pas vide comme elle aurait dû l'être...

J'ai beaucoup aimé la première partie, le vécu des quatre ados, leurs vécus familiaux, leurs liens, l'urbex. J'ai trouvé cette partie authentique et prenante. La deuxième partie m'a semblé moins crédible, avec plus de grosses ficelles. Pour finir, j'ai trouvé la conclusion étonnante : pourquoi les parents lèvent-ils finalement la punition ? pour récompenser leurs enfants de leur immense maturité d'avoir voulu affronter tous seuls un gang ?

Néanmoins, c'est un livre facile à lire, avec du suspens. Je pense qu'il plaira à un public de collégiens. Il rejoindra sans doute les rayonnages du CDI.

En gros fan de polar que je suis, j'ai été très intrigué par la couverture et le titre de ce roman qui m'ont donné envie de le découvrir.

Nous allons suivre un groupe de 4 jeunes dans leur dernière année de collège.
Ces 3ème ont pour passion l'urbex, l'exploration de lieux abandonnés (vieux manoirs, usine désaffectées...), un passe temps qui s'il ne représente pas un grand danger, ce doit tout de même d'être pratiqué selon quelques règles que ce sont fixés ces collégiens, comme par exemple la règle n°4, ne jamais pratiquer l'urbex seul.
Ce que bien sûr un des membres du groupe va se retrouver à faire suite à une mauvaise blague qui va mal tourner.
Et la, c'est le drame !

Si j'ai vite accroché au début du récit, de par ses personnages et son histoire à laquelle on se laisse prendre, j'avoue avoir été un peu moins fan de la deuxième partie, que j'ai trouvé un peu trop convenue, bien sûr on est dans du récit jeunesse mais ce que l'auteur appellera lui même le syndrôme Stranger Thing, qui veut que les ados se prennent pour des héros et affronte les problèmes seuls peut vite déranger si cela est mal géré, et c'est en cela que j'ai trouvé la fin en dessous du reste.

Lors d'un urbex, une exploration d'un lieu abandonné, un adolescent disparaît. Ses amis, inquiets de ne pas le voir revenir, se lancent à sa recherche.

C'était juste un jeu de David Moitet est un roman jeunesse qui se lit rapidement. Le sujet est original. Je crois que c'est la première fois que je lis un roman avec comme thème principal l'uberx.

L'histoire se met naturellement en place dès les premiers chapitres. On rencontre la petite bande d'adolescents, qui ont tous leur particularité. S'ils sont assez caricaturaux, ils sont aussi facilement attachants. Le dénouement de l'histoire m'a semblé trop rapide, mais le roman met en avant des qualités humaines intéressantes qui enrichissent le récit de messages positifs sur l'acceptation de soi de l'importance de la communication avec ses proches.

C'était juste un jeu plaira sans aucun doute aux enfants et adolescents qui apprécient l'urbex : ils passeront un bon moment à suivre l'enquête sur la disparition de Simon.

David Moitet nous livre un roman pour adolescent bien mené. L'histoire de quatre amis qui ont pour passion l'urbex, autrement dit l'exploration de lieux abandonnés, évidemment dans la plus grande discrétion (pour des raisons bien diverses, aucun n'a révélé à ses parents leur passion peu commune) mais quand pour l'un d'eux l'exploration tourne au drame, il faudra bien faire toute la vérité !

Second roman que je lis de David Moitet et c’est à nouveau un régal.


Simon est sa bande de potes sont des férus d’urbex. Après les cours ou pendant les week-ends, ils partent à l’aventure dans leur ville et aux alentours. Les règles, ils les connaissent par cœur et en aucun cas ils ne les dérogent. Il en va de leur sécurité. Alors quand un nouveau, bien trop proche d’une des filles de la bande, souhaite intégrer la bande, la farce ne va pas se dérouler sans accroc et le pire pourrait survenir.


J’ai toujours aimé l’ambiance des urbex, je regarde énormément de vidéo sur les réseaux sociaux. J’adore cette appréhension mêlée à la peur qui crépite, découvrir des immeubles magnifiques et parfois l’histoire des lieux. David Moitet retranscrit à merveille cette atmosphère une bonne partie du roman. Une intrigue vient se greffer et le ton du livre change radicalement. Le point fort de l’histoire est sans contexte ces adolescents. Les premières blessures de la vie marquent au fer rouge, les tourments prennent le pas sur la raison et le bon sens, la méchanceté, l’abandon, l’amitié, les fautes, les doutes, la peur. Cette épreuve est un véritable crève-cœur pour eux, mais ils foncent innocemment vers les emmerdes. David Moitet signe un nouveau roman ado avec de nombreuses thématiques que j’aime retrouver dans ce genre de lecture. L’urbex sert de décor et je trouve cela très original. L’honnêteté est ce qui caractérise le plus les personnages et les mène vers une transformation totale où l’humilité serait le point d’orgue.


Un chouette roman qui m’a plu où la tension est plus pressante au fil des pages. J’adore !

l'urbex, l'exploration de lieux abandonnés. Le passe temps que 4 adolescents pratiquent pendant leur temps libre. La règle qui n'est pas pour eux la première mais qui s'avèrera la plus importante est de ne jamais pratiquer l'urbex seul. L'un d'eux a transgressé cette règle et le voilà face à un danger qu'il n'aurait pas imaginer. Heureusement la solidarité s'opère.
Ce roman étant un roman jeunesse, il devrait plaire à de jeunes adolescents avec une âme d'aventurier. En tant qu'adulte, j'ai trouvé la finalité légère mais n'est-ce pas le moyen de faire doucement entrer les ados dans la lecture de policier ?

J'ai découvert la plume de David Moitet avec La longue nuit. Je remercie les éditions Didier Jeunesse de m'avoir permis de lire son nouveau roman via la plateforme NetGalley.

Dans cette histoire, nous suivons une bande d'amis au collège passionnés par l'urbex. Afin de pratiquer ce passe-temps, des règles ont été instaurées. Malheureusement, une de celles-ci a été brisée par l'un de ces jeunes. C'est de là que tout le récit découle.

La première partie du roman m'a plu. J'ai apprécié découvrir cette activité ainsi que les relations entre ces jeunes. Les personnalités de nos héros décrivent avec justesse la vie intérieure en ébullition de l'adolescence.
Toutefois, la suite m'a un peu moins emballée. Elle m'a paru quelque peu irréaliste. J'ai conscience qu'il s'agit d'un roman destiné à la jeunesse mais certaines résolutions m'ont semblé un peu gros.

En bref, C'était juste un jeu m'a fait passer un agréable moment de lecture. Ce roman transmet des messages importants et plaira aux jeunes adolescents.
Petit bonus : j'ai apprécié que l'histoire se déroule au Mans. Je vis en Sarthe depuis quelques années et c'est agréable de trouver des références qui me sont connues.

Un excellent roman jeunesse que j'ai pris autant de plaisir à boire que Les mots fantômes !
Ce livre est un régal, offrant une plongée captivante dans la vie d'un groupe d'adolescents aux personnalités diverses. Son empathie palpable en fait une lecture inoubliable.

L'histoire nous entraîne dans une aventure palpitante, qui aborde de nombreuses thématiques. Les relations parents-adolescents occupent une place centrale, mettant en lumière défis et tensions. La maladie est également traitée avec finesse. De même, le roman explore les conséquences d'un divorce sur les enfants, mettant en évidence les tourments et les ajustements nécessaires pour trouver un nouvel équilibre familial.

L'amitié, le sens de la vie, l'entraide et le courage sont des thèmes qui se déploient tout au long de l’histoire. Les liens qui se tissent entre les protagonistes sont à la fois touchants et inspirants, montrant l'importance de s'appuyer les uns sur les autres pour surmonter les épreuves. Les questionnements sur le sens de la vie, si présents chez les adolescents, sont abordés de manière subtile, incitant les lecteurs à réfléchir à leurs propres aspirations et valeurs.
En conclusion, ce roman jeunesse est à la fois divertissant et profond.