Ce qu'il faut de haine

Ce titre a été archivé. Il est désormais indisponible sur NetGalley.

Commandez ou achetez ce livre dans votre point de vente préféré !

Envoyer des titres NetGalley directement à votre Kindle ou votre application Kindle.

1
Pour lire sur votre Kindle ou dans votre application Kindle, merci d'ajouter kindle@netgalley.com en tant qu'adresse e-mail approuvée pour recevoir des documents dans votre compte Amazon. Veuillez cliquer ici pour des instructions détaillées.
2
Ensuite, retrouvez votre adresse e-mail Kindle dans votre compte Amazon et ajoutez-la ici.
Date de parution 12 oct. 2023 | Archivage 4 déc. 2023

Vous parlez de ce livre ? N'oubliez pas d'utiliser #Cequilfautdehaine #NetGalleyFrance ! Cliquez ici pour plus de conseils


Résumé

Ce matin-là, comme tous les dimanches, Alice Pernelle s’éclipse de la maison de ses parents pour aller courir avec son chien dans la campagne environnante. Mais en arrivant au bord de la Cure, cette rivière qui traverse le village de Pierre-Perthuis, une scène terrible lui coupe les jambes et lui soulève l’estomac. Un corps écartelé entre quatre arbres et grouillant de vers.

Alors que les enquêteurs en charge de l’affaire font d’étranges découvertes lors de l’autopsie et se confrontent à de nombreux témoignages décrivant la victime comme une femme prétentieuse et impitoyable, Alice, elle, est incapable de renouer avec l’insouciance de sa vie étudiante. Hantée par les images de ce cadavre, elle aussi va avoir besoin de réponses pour avancer.

Ce matin-là, comme tous les dimanches, Alice Pernelle s’éclipse de la maison de ses parents pour aller courir avec son chien dans la campagne environnante. Mais en arrivant au bord de la Cure, cette...


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782265156852
PRIX 20,90 € (EUR)

Disponible sur NetGalley

Application NetGalley Bibliothèque (EPUB)
Envoyer vers ma Kindle (EPUB)
Télécharger (EPUB)

Chroniques partagées sur la page du titre

Novembre 2022, Alice jeune étudiante en visite chez ses parents dans le Morvan fait une macabre découverte lors d'un jogging avec son chien.

La mise en scène de ce cadavre est abominable, le corps grouille de vers ... Pas de doute la personne est là depuis plusieurs semaines. D'instinct, elle appelle son père et directement l'enquête prends le relais. Petit à petit, on se rends compte que la victime n'avait que des ennemies, c'était pour la plupart des gens de son entourage une vraie garce ; personne ne la regrette, ce qui rend l'enquête de plus en plus périlleuse...

Alice de son côté n'arrive pas à avancer et veut découvrir la vérité ... Mais cette jeune femme va remuer un peu de trop près ce village et parfois la vérité est plus surprenante qu'il n'y parait ;)

Une fois de plus, l'auteur tape fort et nous surprend ... Alors, oui, il nous balade, mais pour un final explosif comme on les aime :)

Cet avis vous a-t-il été utile ?

Résumé : Corps en putréfaction dans la forêt

Dans une forêt du Morvan, un cadavre en putréfaction démontre l'acharnement d'une haine féroce pour atteindre ce paroxysme d'horreur.

Alice Pernelle, une étudiante en médecine à Paris revient régulièrement le week-end dans le Morvan chez ses parents. Or, lors d’une promenade avec son chien dans la forêt, elle découvre un cadavre dans un état de détérioration avancée. Aussitôt après la saisie de la police scientifique et militaire, l’identité de la victime va être révélée. Il s’agit de Valérie Freysse dont la notoriété en matière de management n’a pas laissé que de bons souvenirs dans son entourage, à cause de ses décisions radicales.
Ébranlée par le spectacle dont elle a été témoin, Alice Pernelle désire enquêter de son côté pour trouver le criminel de ce terrible meurtre. Ainsi, prise de pitié pour elle, elle contacte la fille de la défunte pour tenter d’obtenir des informations relatives à sa mère.
 En parallèle, la police cherche à comprendre la haine à l’encontre de la victime pour lui infliger une fin pareille. Il faut dire qu’elle a alimenté des rancunes durant son activité professionnelle qui avait engendré des suicides. Payerait-elle aujourd’hui la facture de ces décisions ? Et comment établir le lien entre cette Parisienne et le Morvan ?
Mon avis.

Cet auteur de thriller prolifique a montré son talent et son imagination grandiose dans le sordide, voire de l’ignominie dans le meurtre.

Ce dernier livre, comme ceux de T. Clearlake chroniqués sur ce blog, ne s’adresse pas aux lecteurs sensibles. Ici, la mise en scène d’une condamnation macabre pensée avec une ingéniosité redoutable inflige un supplice ignoble. On retrouve alors la plume incisive de Saussey pour faire souffrir ses personnages, et nous tenir en haleine jusqu’à la fin.

Un scénario complexe.

L’enquête prend 3 directions différentes et parallèles en apparence. Ainsi le lecteur, du déballage d’informations se demande comment vont se regrouper les avancées pour découvrir le véritable coupable.

Certains chapitres écrits à la première personne « je » nous éclairent sur le mode opératoire employé par le narrateur, c'est à dire le criminel. Cependant, malgré ses confidences qui insufflent peu à peu son identité, ses motivations restent obscures. Alors, pourquoi tant de haine ?  D'ailleurs, cette interrogation nous captive… et ne manque pas de nous stupéfier.

Pourtant, Jacques Saussey nous garde une dernière carte pour nous surprendre à la toute dernière page. Il nous apprend à être patients pour comprendre le dénouement d’une intrigue parfaitement bien maîtrisée.

De Paris au Morvan.

On part de Paris pour arriver dans le Morvan dans un petit village où tout le monde se connaît bien. Accessoirement, ce roman qui devient régional nous permet de situer une scène du film « La Grande Vadrouille » avec Bourvil et de Louis de Funès.

Une victime détestée et détestable.

Personne ne la regrette et l’on se demande même comment elle n’a pas disparu avant vu la telle haine qu’elle a pu déclencher autour d’elle au cours de toutes ces années ! Même sa propre fille, ne la regrette pas.

En effet, après l’étude de sa vie, le lecteur à compatit presque avec le criminel. Or, la fin tragique de Valérie Freysse suscite quelques émotions à la description de ses souffrances insoutenables. Donc, âme sensible à s’abstenir pour être capable d'assister à une putréfaction accélérée !

Et comme j’apprécie beaucoup cet auteur, j’en lirai d’autres. Par ailleurs , je vous conseille sa page Facebook. D’ailleurs, je vous proposerai une future chronique de « Cinq doigts dans la glace ».

Pour conclure, Jacques Sausset est un expert en crime… en crime parfait. Un auteur découvert grâce aux éditions Fleuve Noir et du site Netgalley que je remercie pour leur proposition de ce service de presse.

Cet avis vous a-t-il été utile ?

Lecture 98 de 2023

🌟Sorti le 12 Octobre 2023 🌟

J'ai lu 𝓒𝒆 𝓺𝓾'𝓲𝓵 𝒇𝓪𝓾𝓽 𝓭𝒆 𝓱𝓪𝓲𝓷𝒆 écrit par @jacques_saussey et publié chez @fleuve_editions. [Résumé en commentaire].

Tout d'abord, je tiens à remercier @netgalleyfrance, @fleuve_editions et @jacques_saussey pour m'avoir donné la chance de découvrir ce roman en avant-première.

Alice Pernelle est étudiante à Paris mais revient régulièrement chez ses parents dans le Morvan. C'est lors d'un de ses séjours qu'elle tombe nez à nez avec un cadavre, mutilé, dans un état de putréfaction avancé avec des vers qui s'y attaquent. Mais qui peut en vouloir à ce point à cette femme ?

Tout au long de ce roman, les points de vue vont alterner en fonction des chapitres : on suivra à la fois Alice dans ses propres recherches, les enquêtes de police et de gendarmerie et, chose qui m'a beaucoup plue, les pensées de l'assassin lui-même. On s'immerge complètement dans la psychologie de ce personnage, qui est d'ailleurs le seul qui s'exprime à la Première personne du singulier.

Dans ce roman, c'est également notre société qui est critiquée par l'auteur qui exprime les décisions difficiles que l'on doit parfois prendre dans le milieu professionnel, ce qui peut amener au harcèlement moral et à des situations dramatiques.

La construction est bluffante, le lecteur est tout de suite pris dans cette histoire grâce à une écriture très immersive (et des chapitres courts) et la fin est stupéfiante. J'ai adoré.

Ce livre est mon premier polar écrit par Jacques Saussey, mais cela ne sera sûrement pas le dernier. Et toi, tu as déjà lu un roman de Jacques Saussey ? Lequel me conseilles-tu ?

* Collaboration commerciale non rémunérée - Service presse *

Cet avis vous a-t-il été utile ?

Une chose à savoir sur moi avant de vous parler de ce roman : je déteste tout ce qui rampe, des escargots pleins de bave, aux serpents. Pas de chance, Ce qu’il faut de haine contient des bêbêtes qui grouillent. Enfin plutôt le cadavre qui sera découvert par la jeune Alice lors de son jogging matinal. Une description de l’horreur parfaitement dosée entre sordides détails et la place laissée à l’imagination du lecteur.

A la suite de cette macabre découverte la jeune femme est hantée par la victime : qui était-elle ? qui pouvait lui en vouloir à ce point ? Malgré elle, elle va mener l’enquête entre Paris et Pierre-Perthuis, dans l’Yonne. La police parisienne et la gendarmerie de province vont coopérer, éplucher des tonnes d’informations, de bandes vidéos, etc. Trouveront-ils le coupable de ces actes de torture ?

Ce qui est appréciable (et d’autant plus torturé) dans Ce qu’il faut de haine est qu’en plus de nous offrir une double enquête sur le crime perpétué, Jacques Saussey nous plonge aux côtés de l’assassin. Une tension supplémentaire, des rebondissements à foison, les chapitres de ce thriller se tournent à une vitesse folle. La plume de l’auteur est incroyablement fluide et agréable à lire et malgré les horreurs décrites, elle appelle à en lire toujours davantage. Ce qu’il faut de haine est un appel aux insomnies de lecteurs mais promet un roman noir des plus captivants.

Cet avis vous a-t-il été utile ?

Lors d'un footing matinal sur les bords de Cure près de chez parents, Alice va faire une macabre découverte. La victime habitant Paris, la commissaire Ferrand de la police criminelle et le commandant Montboissier de la gendarmerie locale vont mener l'enquête de manière conjointe. Cette histoire va obnubiler Alice qui aura aussi à cœur d'aider les enquêteurs cependant celui qui a fait cela habité par une haine intense a tout prévu pour effacer ses traces...

Un polar addictif et rythmé, en parallèle de l'enquête nous suivons dès le départ le responsable de cette atroce affaire. Nous plongeons dans les méandres de son esprit au plus près de la haine qui l'habite. L'alternance entre le travail des enquêteurs, Alice et le meurtrier est parfaitement maîtrisée et équilibrée. En toile de fond l'auteur nous offre une immersion dans le monde implacable des grands groupes où les salariés sont traités comme des mouchoirs jetables en ne pensant qu'au profit. Jacques Saussey dépeint cela avec justesse.

J'ai dévoré ce roman et il ne sera pas le dernier que je lirai de l'auteur! Une nouvelle fois, l'auteur soigne son récit et son décor avec de nombreuses descriptions qui nous permettent de nous immerger dans l'histoire. La fin m'a surprise, laissée un peu dubitative au départ car j'attendais autre chose et finalement avec le recul j'adore! Je regrette cependant que l'auteur est délaissé Alice sur les dernières pages.

Cet avis vous a-t-il été utile ?

Ah, la campagne ! Ses petits oiseaux, son air pur… L’endroit idéal pour faire son jogging et trouver des cadavres ! Pardon ? Oui, oui, vous avez bien lu, des cadavres. C’est ce qui arrive à Alice, jeune étudiante parisienne dont les parents habitent dans l’Yonne, près de Vézelay. Mais qui est donc la victime ? Alice aimerait bien comprendre, elle qui n’arrive plus à dormir après cette macabre découverte.

J’ai adoré ce roman ! En premier lieu parce qu’il se passe dans un lieu que je connais bien. Ensuite, parce qu’il y a u tel dynamisme que l’on en arrive presque à oublier de respirer ! En revanche, passez votre chemin si votre sensibilité est trop importante. Certaines scènes sont vraiment… comment dire ? Insoutenables. Mais quel dénouement ! J’aime ces polars qui nous mettent une grande claque !

Merci à Netgalley et aux Éditions Fleuve noir pour cette découverte.

Cet avis vous a-t-il été utile ?

Alice, étudiante parisienne, est dans le Morvan chez ses parents. Elle va courir et son chien s’éloigne d’elle. Lorsqu’elle le retrouve, il est à côté d’un cadavre et c’est particulièrement sordide. Elle prévient son père qui s’occupe de la police et essaie de se remettre de ses émotions.
Il faut dire que la mise en scène de la personne décédée est horrible et laisse supposer un crime terrible ainsi qu’une vengeance soigneusement réfléchie. Lorsque les enquêteurs connaissent le nom de la victime, ils interrogent ceux qui l’ont côtoyée. Il s’avère qu’elle était détestée ! Nombreux sont ceux qui ont pu souhaiter l’exterminer… Les suspects vont être légion ! Mais avec une approche pareille de l’horreur, ça interroge.
D’abord, pourquoi la morte a-t-elle été déposée dans ce coin perdu, dans ce village où il ne se passe jamais rien et où tout le monde est en confiance ? Avait-elle un lien avec cet endroit ?
Les enquêteurs ont énormément de travail. Ils n’ont que peu d’indices et il faut compter sur une part d’intuition pour avancer. Tâtonnement, retours en arrière, suppositions….c’est leur lot quotidien… C’est difficile mais ils ne lâchent rien.
L’auteur a construit son roman avec des chapitres courts alternant le point de vue d’Alice, celui des enquêteurs et des gens du village et celui de l’assassin …. Petit à petit, les pièces d’un gigantesque puzzle se mettent en place.
Jacques Saussey égratigne les entreprises qui n’ont pour but que le rendement et qui finissent par licencier. Il montre combien cela peut être compliqué à vivre, déstabilisant et douloureux.
Son écriture fluide, très descriptive nous plonge dans l’intrigue dès les premières lignes. J’ai eu des frissons en lisant ce qu’il s’était passé mais je me suis accrochée à la résolution de l’affaire. J’ai beaucoup aimé les raisonnements des uns et des autres. L’analyse de l’attitude de chaque personnage pour comprendre le criminel, les enjeux de son geste et les répercussions sur les villageois est très bien pensée.
Plus j’avançais, plus je voulais savoir et je tournais les pages très vite. Une excellente lecture !

Cet avis vous a-t-il été utile ?

Ce thriller nous entraîne dans une enquête trépidante. Dès la découverte du corps de la victime, on comprend que le récit qui va se dérouler sous nos yeux sera particulier. La description de l'autopsie ,entre autre ,est particulièrement précise. Les différents points de vue qui narrent l'histoire permettent de suivre l'enquête de près. Mais, c'est lorsque la voix du tueur se fait entendre que le roman prend une tout autre tournure.
Habilement construit, le récit a su me passionner dès les premières pages. La tension dans les pages est palpable. C'est d'ailleurs ce que je préfère dans les thrillers, ce suspens ténu et prégnant.
De plus, le style de l'auteur est agréable. Les descriptions sont précises et l'on sent bien le travail de documentation en amont de la rédaction.
J'ai donc vraiment apprécié la lecture qui a été un réel plaisir.

Cet avis vous a-t-il été utile ?

Alice Pernelle, cette jeune parisienne aime retrouver ses parents dans le Morvan. Elle part faire son jogging dominical dans la campagne environnante, mais au détour d’un chemin, une vision d’horreur s’offre à elle, le cadavre d’une femme dans un état pitoyable, des vers se régalent dans ce corps écartelé…
Elle ne sort pas indemne de cette découverte macabre, les cauchemars animent ses nuits, il lui faut des réponses…

🪱Les enquêteurs trouvent en cette femme assassinée, des choses surprenantes, c’était une Responsable RH sans pitié pour ses collègues, et donc haïe de tout le monde…

Mais qui a pu commettre ce crime aussi odieux ?
Qui peut avoir une telle haine et pour quelle raison ?

😍 C’est du pur polar à la manière Jacques Saussey.
La structure du récit est bien pensée, car fondée sur l’alternance des chapitres entre l’avancée de l’enquête par la gendarmerie et les recherches effectuées par Alice., mais également la perception du meurtre par le principal intéressé, l’assassin…

L’auteur pointe également du doigt, les dérives de notre société actuelle où le monde du travail peut parfois être sans pitié et le harcèlement moral des supérieurs hiérarchiques ou des collègues peut pousser au geste fatal, le suicide…

Jacques Saussey a ce talent fou d’avoir une écriture très immersive, on plonge totalement dans cette région, il n’est pas avare de descriptions des paysages qui animent cette plénitude dans notre lecture.

D’un point de vue de l’intrigue, même si l’on connaît l’auteur du crime, longtemps avant la fin du livre, l’addiction à notre lecture se poursuit de manière intensive car de nouvelles révélations me laissent stupéfaite…

Cet auteur est vraiment un incontournable du thriller, du polar, du roman noir...

La fin de ses livres est en général toujours inattendue et c’est encore le cas ici. J’adore être surprise et je l’ai à nouveau été…

Je suis conquise...

Cet avis vous a-t-il été utile ?

J’ai lu tous les livres de Jacques Saussey, et chaque nouvelle sortie est l’annonce d’une lecture enthousiasmante. J’ai été fan dès les premiers romans, à chaque livre on sent la montée en puissance dans son écriture. Aujourd’hui il n’a plus rien à envier aux meilleurs, car il en fait parti à part entière.

« Ce qu’il faut de haine » est simplement un bijou pour fan de thriller bien tordu. Je ne vais pas m’étendre sur le synopsis de l’histoire, mais vous parler de la sève qui anime cette histoire.

L’auteur réussi à poser une ambiance qui dès les premières pages se fond dans le lecteur. La psychologie des personnages, les liens familiaux, l’amour des uns, la haine et la folie des autres.
Quand, dans certains chapitres on est dans la tête du meurtrier, la folie meurtrière est palpable, le mal être de cette personne transpire au travers des pages jusqu’à dégouliner du livre. La maitrise narrative permet une immersion totale.

J’ai particulièrement aimé la manière dont Jacques Saussey nous offre les clés de l’enquête, c’est maitrisé, élégant, et redoutablement efficace.

Merci MONSIEUR Saussey pour ce roman…vivement le prochain

Merci à NetGalley et aux éditions Fleuve de m’avoir accordé leur confiance pour la lecture de ce roman

#Cequilfautdehaine #NetGalleyFrance

Cet avis vous a-t-il été utile ?

Valérie Freysse, 53 ans, était DRH dans un monde aisé est vite identifiée comme la victime.
L'enquête débute et elle va révéler que madame Freysse est dotée d'un sacré parcours professionnel qui a déclenché bien des remous. Même sa fille Justine, 18 ans , à qui l'on annonce qu'elle a perdu sa maman dans d'horribles circonstances, sa réaction est plus qu'une surprise !

Marianne est la fille de l'ancien commandant, il est décédé il y a peu et c'est un peu compliqué pour elle de se retrouver face au successeur de son père qui se révèle être un snobinard de première.
Quoiqu'il en soit c'est elle qui est chargée de l'enquête et cela conjointement avec Montboisier, commandant à la gendarmerie.
Ce sera une mission difficile, l'assassin est un fameux tordu. Sa victime, il ne l'a guère épargnée devant avoir une sacré rage et motivation pour en arriver là.
Celle-ci à quand même été retrouvée, le corps rempli de vers et à moitié dévoré par un sanglier.

Vous l'aurez compris la lecture n'est pas de tout répit et j'ai beaucoup aimé ma première rencontre avec la plume de l'auteur qui ne nous épargne rien mais curieusement c'est tellement bien formulé que cela n'en est pas trop effrayant.

Malgré que l'on apprend l'identité de l'assassin assez rapidement cela n'appauvrit pas la lecture et fait intéressant cela lui donne du rythme.

Nous ne serons pas au bout de nos peines.
L'auteur vous fera fumer le cerveau plus d'une fois.

Une lecture qui amène à la réflexion, elle est rythmée, addictive. Je l'ai lu rapidement étant prise par le feu de l'action. Jacques Saussey fait en sorte de mettre le petit grain de sable là ou il faut et résultat, je veut savoir donc je continue 😂 jusqu'à cette finale 😱😱

Je ne peux que vous conseiller de le lire 👍bien entendu, je continuerai de suivre l'auteur et d'ailleurs, l'aigle noir est dans ma pal

Cet avis vous a-t-il été utile ?

Vous aimez la nature, vous êtes plutôt du style contemplatif ? Passez votre chemin car vous allez être dérangé par la vermine. C’est avec un raffinement certain pour ne pas dire un certain raffinement que Jacques Saussey vous happe avec un prologue prometteur.
Alice partage son temps entre des études à Paris et ses footings dans son Morvan natal et bucolique. Elle va se trouver happée par une enquête alors qu’elle n’est qu’un simple témoin, frappée par l’horreur de la scène de crime. Son village natal va sombrer dans une sordide mise en scène, porte ouverte à toutes les interprétations, quand le corps d’une femme est découvert sans possibilité d’identification en raison d’une putréfaction avancée.
Quand la fille de Valérie déclare sa disparition dans le XVIème à Paris, Marianne se voit confier l’enquête par une hiérarchie arriviste et peu scrupuleuse. Une fois le lien établi entre les deux affaires, elle devra joindre ses efforts à ceux de la Gendarmerie locale. Le choc des cultures et des mentalités devra se mettre au service de la vérité.
Ainsi immergée dans un microcosme rural de non-dits, les réalités urbaines du rendement feront voler en éclats les paysages enchanteurs et leurs habitants. La victime n’était pas recommandable, elle était haïe par tant de monde que la résolution de l’enquête se complexifie au fil des pages, grâce au style et à la minutie de l’auteur dont on n’en attendait pas moins.
Oui jacques Saussey nous a concocté une intrigue aux petits oignons, sur lie de larves, avec quelques clins d’œil à ses collègues de plumes comme il aime à en émailler ses récits. Nul temps mort, il fait mouche comme à son habitude, égratignant au passage ses contemporains pour leurs travers. Il m’a baladée et je me suis perdue. Il a joué et j’ai été surprise. Le titre se révèle bien à propos après ces 400 pages. Du bel ouvrage monsieur l’auteur à la moto !
Merci pour cette belle balade en Morvan, j’ai beaucoup aimé même si je confirme ma position : je ne suis pas prête à passer à la nourriture protéinée à base d’insectes ou de larves !

Je remercie #Cequilfautdehaine #NetGalleyFrance et les éditions Fleuve Noir pour avoir permis cette lecture en avant-première.
Lu en version numérique 7.99 €

Cet avis vous a-t-il été utile ?

Tous les week-end, Alice quitte Paris, pour rejoindre le cocon familial qui se situe dans le Morvan. Elle aime se retrouver dans cet environnement familial, partir de bon matin, courir avec son chien. Mais ce dimanche matin, elle fait une macabre découverte qui va la perturber longtemps. Le corps est mutilé, gorgé de larves, un spectacle qu'elle n'oubliera pas.
L'enquête s'avère difficile, un nom est émis sur l'identité de la victime. Finalement , elle n'est pas à plaindre , n'a -t- elle pas commis elle-aussi des actes répréhensibles ? Mais qui a pu lui en vouloir à ce point, et ici dans cette région qu'elle n'habitait pas, qu'elle ne semblait pas connaître ? La gendarmerie prend les affaires en main, plus tard rejointe par une officière de la Police Judiciaire parisienne, la capitaine Marianne Ferrand, le corps étant celle d'une femme habitant à Paris.
Le roman est très bien construit, alternance de plusieurs points de vue, celui d' Alice ( elle mène son enquête seule ), des enquêteurs , mais aussi du meurtrier qui explique comment il a procédé, du début à la fin.
Vous l'avez compris, quand vous prenez ce livre, vous ne pouvez plus le lâcher, je fus tenue en haleine jusqu'au bout. Les scènes sont parfois difficiles à supporter. .Un rythme crescendo, une intrigue d'une intensité extrême, tous les éléments pour nous tenir en haleine jusqu'au dénouement final. Les chapitres sont courts.
L'auteur nous entraîne aussi dans la région, nous parlant de son histoire, des coutumes, de la lumière dans la cathédrale du Puy en Velay. Ce fut pour moi, une bouffée d'oxygène dans ce monde d'angoisse.
Si vous aimez les thrillers psychologiques à multiples facettes, je vous le recommande.

Cet avis vous a-t-il été utile ?

Novembre 2022 dans le Morvan. Un cadavre à moitié dévoré, grouillant de vers, est découvert par Alice, une jeune étudiante en médecine dont les parents habitent aux alentours. Un duo d'enquêteurs, gendarmerie et police, comprend vite que le lieu choisi et la mise en scène ne sont pas anodins et qu'il va leur falloir fouiller dans la vie de la victime,une femme dure, insensible, particulièrement détestée pour trouver le meurtrier qui est certainement animé d'une haine inextinguible pour avoir donné la mort de cette façon.
Le roman est très habilement construit car il alterne le point de vue d'Alice, des enquêteurs et plus surprenant, du meurtrier qui explique comment il a tué sa victime mais bien sûr pas pourquoi et dont on sent la tension au fur et à mesure que le filet se resserre sur lui.
Vous me direz que l'intervention du meurtrier dans l'intrigue a dû en réduire l'intérêt et adoucir le suspense. Pas du tout, bien au contraire et c'est en cela que je trouve l'auteur particulièrement machiavélique. Le premier chapitre est mystérieux, intrigant et la fin est totalement inattendue; au milieu, une intrigue impossible à lâcher.
Alors bien sûr, il faut avoir le cœur bien accroché avec un crime hyper-gore, abominable et qui est une horreur lorsqu'on le visualise mais qui trouvera son explication au cours du roman.
Au passage, l'auteur nous livre une critique non déguisée des RH des entreprises, insensibles machines à licencier et à broyer les destins individuels au profit de la rentabilité.
J'avais découvert et apprécié Jacques Saussey avec son précédent thriller "L'Aigle noir" et j'avais décidé de le suivre; la sortie de de ce roman m'en a donné une belle occasion; il fait dorénavant partie des auteurs de thrillers que je juge incontournables.

Cet avis vous a-t-il été utile ?

Jusqu'où peut aller la soif de vengeance?
Un matin, une joggeuse, Alice, découvre un corps dans la campagne, au bord d'une rivière. Mais lorsque elle s'approche, c'est une scène atroce qui l'attend… ce corps de femme grouille de vers…
Immédiatement, les forces de l'ordre s'emparent de l'enquête et identifie la victime, une femme au passé trouble dont les assassins potentiels ne manquent pas tellement elle suscitait de haine.
Qui sera le coupable? Et quelles vont être ses motivations?

Un roman noir qui est teinté de découvertes macabres.
J'aime beaucoup la plume de l'auteur mais ce roman n'est pas mon préféré… j'ai trouvé que la psychologie des personnages n'était pas aussi creusée que dans d'autres romans. Certaines scènes étaient également simplement écoeurantes.
Une enquête toutefois haletante et qui prend aux tripes.
J'ai passé un très bon moment de lecture.
Merci à #netgalleyfrance et #editionsfleuve pour cette découverte.

Cet avis vous a-t-il été utile ?

le scénario alterne avec intelligence entre le témoignage du meurtrier qui rejoue le «film» pour nous et dévoile peu à peu toute l'organisation mise en place pour obtenir le crime parfait et les différentes enquêtes publiques ou privées.

On suit alors plusieurs personnages dans les différents chapitres, l'enquêtrice, Alice, son père, et le tueur qui donne des détails bien morbides.
C'est une enquête dans laquelle on ne s'ennuie pas, et et plus on avance dans le roman plus on apprend des elements qui ont de quoi surprendre.

On voit venir le déroulement des faits, mais il y a des rebondissements inattendus, un crescendo sur la fin, et une chute que j'ai appréciée, car moins conventionnelle que prévue.

Cet avis vous a-t-il été utile ?

Voici mon retour de « Ce qu’il faut de haine » de Jacques Saussey chez Fleuve Editions , que j’ai eu la chance de découvrir avant sa sortie le 12 octobre grâce à NetGalley que je remercie pour cet envoi
Alice, jeune étudiante à Paris, rejoint son village natal et ses parents le week-end. Ce matin-là, elle part courir avec son chien. Mais celui-ci piste, et l’amène vers un tableau macabre.
Le corps d’une femme, grouillant de vers gît sur la rive.
Son père vient à son secours, et lui demande de rentrer le temps qu’il attend la gendarmerie.
Le commandant De Montboissier et son équipe seront associé sur une enquête mixte gendarmerie-police, afin d’essayer de remonter l’histoire de cette femme, et de comprendre l’acharnement qu’elle a subi.
Qui peut être ce meurtrier, et pourquoi ?
J’ai eu un petit de mal au début avec cette équipe et la mise à disposition de Marianne, capitaine de police à la criminelle de Paris. Je ne ressentais pas le fond des personnages
Au contraire d’Alice qui m’a paru tout de suite très vraie, vivante, obsédée par ce meurtre, au point de fragiliser sa vie étudiante. Elle a besoin de comprendre, de réponse, pour pouvoir tourner la page. Au point de prendre des risques, et de finalement m’emporter avec elle dans sa quête.
Et puis les personnages prennent forme, le père d’Alice, attachant, Marianne et son équipe, les habitants de ce petit village….L’intrigue se met en place.
L’auteur nous dévoile des petits points d’indices au travers une histoire parallèle, et le récit du tueur qui nous dévoile comme il a appâté sa victime. Et c’est là que l’intrigue prend forme, pour mieux nous prendre dans les mailles du filet, et nous amener vers la vérité.
Vérité qui vous fera tomber des nues une fois révélé, avec ce qu’il faut de haine pour ne pas oublier que l’amour est plus fort que tout.
Je vous le conseille fortement
Résumé :
La mort ne frappe pas toujours au hasard...
Ce matin-là, comme tous les dimanches, Alice Pernelle s'éclipse de la maison de ses parents pour aller courir avec son chien. Mais en arrivant au bord de la Cure, cette rivière qui traverse son village natal, un tableau macabre lui coupe les jambes et lui soulève l'estomac. Un corps écartelé et grouillant de vers gît sur la rive.
Alors que les enquêteurs en charge de l'affaire font de glaçantes découvertes et se confrontent à des témoignages décrivant la victime comme une femme impitoyable, les habitants de Pierre-Perthuis, petit hameau du Morvan, sont ébranlés. Les visages se ferment. Les confidences se tarissent. Hantée par les images de ce cadavre, Alice a pourtant besoin de réponses pour renouer avec l'insouciance de sa vie d'étudiante. Au risque d'attirer l'attention de l'assassin sur elle...
#cequilfautdehaine #NetGalleyFrance
#jacquessaussey

Cet avis vous a-t-il été utile ?

(Chronique à paraître pour la sortie du roman)

Ce roman m’a sortie de ma zone de confort: j’ai été spectatrice de scènes digne d’un bon polar. J’en ai encore les poils hérissés. J’ai été happée par l’histoire, transportée à travers l’enquête.
Bien que j’ai eu raison sur certains points, je me suis également fait berner. Et j’ai adoré ce rebondissement !!!
Attention âmes sensibles, certains passages sont difficiles.
Je ne peux que vous conseillez ce polar extrêmement bien mené.

Cet avis vous a-t-il été utile ?

Alice Pernelle jeune étudiante en médecine, passe le week-end chez ses parents dans le Morvan, près de Pierre Perthuis. Lors de son jogging matinal, elle découvre un cadavre dans un état épouvantable. Il s’avère rapidement que la victime, a priori sans lien avec la région, était une Parisienne détestable et impitoyable sur le plan professionnel, guère meilleure dans la sphère privée, ayant conduit plusieurs personnes au suicide…
Alors que la police locale enquête, renforcée par l’équipe de Marianne Ferrand, capitaine de police à Paris, Alice ne peut se détacher de l’horreur rencontrée et décide d’enquêter de son côté…

J’ai découvert Jacques Saussey tardivement, à la sortie de l’Aigle Noir l’année dernière. Le livre m’ayant époustouflée, j’ai noté Jacques Saussey dans la liste des auteurs à suivre.
C’est avec jubilation que je me suis laissée embarquer. Dès le début, j’ai plongé, titillée par le prologue que je n’arrivais pas à mettre de côté, ni à le relier aux événements qui démarrent.

Autant vous dire : j’ai adoré ce livre. C’est un polar choral qui mêle plusieurs points de vue. Souvent, je reproche à ce procédé de hâcher artificiellement le récit pour créer du suspense, mais ici, c’est très fluide, et apporte de la profondeur à l’ensemble. Je retrouve ce qui m’avait plu également dans l’Aigle noir : une vraie structure narrative à la construction originale. Ici, on effeuille petit à petit, plutôt qu’on lève le voile à grands coups de révélations finales… J'aime les deux procédés, mais celui-ci colle parfaitement au rythme du récit.
Je me suis attachée aux personnages et j’ai été complètement captivée par l’enquête et ses multiples rebondissements : j’ai lu ce livre d’une traite, ou presque (en ne le lâchant qu’à contre cœur quand je ne pouvais pas faire autrement !)

Jacques Saussey joue à l’ascenseur émotionnel : il juxtapose des scènes de vie les plus ordinaires et les plus rassurantes qui soient à d’autres, d’une violence inouïe, nourries par des sentiments de haine incommensurable. Alors forcément, le reflet des dernières dans les premières en est d’autant plus aveuglant. Il mêle ombre et lumière, secrets et révélations, douceur et douleur, dans un équilibre parfait. D'un bon thriller, je sors d'ordinaire groggy. J'ai refermée celui-ci groggy et chamboulée.
En bref : un grand cru !

Cet avis vous a-t-il été utile ?

Alice Pernelle est une jeune étudiante en médecine à Paris. Lors d'un week-end chez ses parents à Pierre-Perthuis dans l'Yonne, elle découvre le corps d'une femme complètement rongé par la vermine et écartelé entre des souches d'arbres. Le commandant de gendarmerie Gontran de Montboissier est chargé de l'enquête et, puisque la victime est originaire de Paris, il est épaulé par la capitaine de police Marianne Ferrand. La victime était apparemment une femme détestée de son vivant mais une haine profonde devait ronger le criminel pour lui infliger une telle souffrance et mort. De son côté Alice hantée par sa découverte cherche à comprendre...
Un livre que j'aurais lu d'une seule traite si j'avais pu ! Comme à chaque fois j'ai apprécié la plume de Jacques Saussey. Il a su m'entraîner dans cette intrigue habile avec une surprise que je n'ai pas anticipée à la moitié du livre... En résumé je pourrais dire sans divulgacher que si l'on dit que l'Amour est aveugle, il ne faut pas oublier que la Haine rend aveugle... Le livre paraît le 12 octobre prochain et je vous en conseille plus que vivement sa lecture. Parmi les clins d'œil de l'auteur dans ce livre, j'ai beaucoup aimé celui à Stanislas Petrosky et à Léo-Maël Delplanque 😉.

Cet avis vous a-t-il été utile ?

Saviez-vous que plusieurs séquences du film « La grande vadrouille» ont été tournées dans l’Yonne, à proximité de Vézelay ? Je l’ai découvert, mais à la lecture du dernier roman de Jacques Saussey, il n’est pas impossible que vous alliez y faire un saut , pour d’autres raisons moins cinématographiques.
L’ami Jacques, icaunais également, cache en effet bien son jeu. A le voir comme ça sur les salons, toujours courtois et gentil , l’allure bonhomme, on n’imaginerait pas un seul instant qu’il puisse inventer des crimes aussi abjects.

Car c’est bien un meutre à la mise en scène épouvantable que va découvrir la jeune Alice Pernelle , 19 ans, en cette fin de mois de novembre, sur la rive de la Cure, à proximité du village de Pierre-Perthuis. Alertée par le père d’Alice la gendarmerie prend les affaires en main, plus tard rejointe par une officière de la Police Judiciaire parisienne, la capitaine Marianne Ferrand, le corps étant celle d’une femme habitant à Paris. Une femme à la réputation redoutable de cost-killer, prête à sacrifier le job de femmes et d’hommes sur l’autel de la rentabilité, sans montrer la moindre émotion et quitte à avoir quelques suicides sur la conscience. Même si personne ne semble regretter sa disparition, qui peut avoir autant de haine pour commettre un crime si odieux ?

L’auteur fait mouche dans ce polar très noir non loin de la colline éternelle de Vezelay.
Comme la plupart des livres de Jacques Saussey, il est parfaitement impossible de lâcher le roman tant le récit vous prend par les tripes. Les personnages sont parfaitement léchées comme le récit qui ne faiblit pas un seul instant et nous embarque dans ces multiples enquêtes - l’officielle de police mais aussi celle d’Alice qui souhaite découvrir la vérité sur sa macabre découverte - Le scénario alterne avec intelligence entre le témoignage du meurtrier qui rejoue le «film» pour nous et dévoile peu à peu toute l’organisation mise en place pour obtenir le crime parfait et les différentes enquêtes publiques ou privées. L’auteur est également passé maître dans le brouillage de piste comme dans la mise en haleine, les rebondissements ne manquant pas.
En bonus, il nous offre une petite visite de la région qui ne manque pas d’attraits pour les amateurs d’air pur et de nature préservée.
Je recommande fortement.

Cet avis vous a-t-il été utile ?

Fan de Jacques Saussey, j'ai été contente de pouvoir lire, ce qu'il faut de haine, qui sort le 12 octobre, en avant première grâce à Neg Galley #Cequilfautdehaine #NetGalleyFrance .
Ce roman nous emmène dans le Morvan où Alice, une étudiante de retour pour le week end chez ses parents, lors de son jogging matinal, tombe sur le reste d'un corps.
On suit alors plusieurs personnages dans les différents chapitres, l'enquêtrice, Alice, son père, et le tueur qui donne des détails bien gores.
C'est une enquête sans temps mort, et petit à petit des éléments sont dévoilés pour nous surprendre.
Jacques Saussey est vraiment un incontournable du polar français comme indiqué sur la banderole et se renouvelle à chaque roman. Vivement le prochain !

Cet avis vous a-t-il été utile ?

Alice, une étudiante à Paris est de passage chez ses parents dans le Morvan. Elle trouve un cadavre lors de son jogging. Que dis-je un cadavre, plutôt ce qu'il en reste. Une enquête est lancée poussant la police locale à collaborer avec la police parisienne. Alice n'arrive pas à oublier l'image de ce corps à tel point qu'elle mène son enquête en parallèle.
Les chapitres s'enchainent alternant les narrateurs entre une enquêtrice et ses collègues, Alice et son père ainsi que l'assassin. Cet assassin qui a commis un crime horrible et les descriptions sont parfois dures à lire.
Comment peut-on arriver à un tel degré de haine pour commettre un tel crime ? Jacques Saussey nous emmène dans les abysses d'un personnage que la haine a poussé à une inimaginable vengeance.
C'est un thriller qui se lit très vite et le suspense est très bien mené car le dénouement se fait par bribes tout le long du roman jusqu'à la dernière page.

Cet avis vous a-t-il été utile ?

Les lecteurs qui ont aimé ce livre ont aussi aimé :