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La bande de l'abribus
- Du rififi en psychiatrie
par Luce Michel
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Date de parution 17 janv. 2024 | Archivage Aucune
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Résumé
« La vie même est dangereuse. Aucun de nous n’en sortira vivant. »
Une clinique psychiatrique aux confins de trois villages du Sud de la France, un abribus où les patients prennent l’habitude de se retrouver pour fumer et pour discuter lorsqu’il pleut : Valérie, Viviane, Yves, Aurore forment ainsi une sympathique petite bande de dépressifs…
La clinique a bien du mal à survivre car - paradoxe - elle a besoin de malades pour tourner mais ceux-ci partent dès qu’ils sont guéris ! La psychiatre Amélie Bescotte va trouver la solution pour « fidéliser les patients » : et si, au lieu de les soigner, on créait ou on prolongeait leurs addictions… Au Diable le serment d’Hippocrate ! Céline, une des femmes de chambre, se rend compte que quelque chose ne tourne pas rond et commence à mener l’enquête. Lorsque, cerise sur le gâteau, un cadavre est découvert dans l’enceinte de la clinique, les esprits s’échauffent …
A paraître au second semestre 2024 : La Bande de l’Abribus – Sale temps pour les faisans
« La vie même est dangereuse. Aucun de nous n’en sortira vivant. »
Une clinique psychiatrique aux confins de trois villages du Sud de la France, un abribus où les patients prennent l’habitude de...
Formats disponibles
FORMAT | Grand Format |
ISBN | 9782501171809 |
PRIX | 15,90 € (EUR) |
PAGES | 272 |
Disponible sur NetGalley
Chroniques partagées sur la page du titre
"La bande de l'abribus : du rififi en psychiatrie" est le premier tome d'une série de polars déjantés à l'humour décalé !
« La vie même est dangereuse. Aucun de nous n’en sortira vivant. »
Une clinique psychiatrique aux confins de trois villages du Sud de la France, un abribus où les patients prennent l’habitude de se retrouver pour fumer et pour discuter lorsqu’il pleut : Valérie, Viviane, Yves, Aurore forment ainsi une sympathique petite bande de dépressifs…
La clinique a bien du mal à survivre car - paradoxe - elle a besoin de malades pour tourner mais ceux-ci partent dès qu’ils sont guéris ! La psychiatre Amélie Bescotte va trouver la solution pour « fidéliser les patients » : et si, au lieu de les soigner, on créait ou on prolongeait leurs addictions…
Au Diable le serment d’Hippocrate ! Céline, une des femmes de chambre, se rend compte que quelque chose ne tourne pas rond et commence à mener l’enquête. Lorsque, cerise sur le gâteau, un cadavre est découvert dans l’enceinte de la clinique, les esprits s’échauffent …
Je remercie @BlackLab et @NetGalleyFrance de m'avoir permis de découvrir ce premier tome.
Ce cosy mystery qui ressemble à un polar noir à l'humour déjanté dresse un constat révoltant du système de soins psychiatrique sur un ton léger qui rend la lecture agréable. La bande de l'abribus, composés d'anciens de l’Éducation Nationale, dévoile les liens d'amitiés entre les patients qui partagent la même pathologie dans la clinique des Trois Saintes au sud de la France.
Cette bande de dépressifs est composée de : Valérie, prof d'anglais alcoolique ; Viviane, prof de compta, addict aux sucreries et Yves, agent d'entretien, adepte des grands philosophes. L'arrivée d'Aurore, documentaliste, coïncide avec le décès non naturel et donc peu banal d'une laie enceinte retrouvée dans le parc... et ce n'est que le début ! A suivre avec le tome 2 : "Sale temps pour les faisans !"
Le titre avait de quoi titiller ma curiosité d'autant plus qu'il était associé à une accroche très bien faite « du rififi en psychiatrie ». La quatrième de couverture est alléchante bien qu'elle en dise un peu trop mais c'est dans l'air du temps car les gens n'aiment plus avoir de surprise.
La clinique « les Trois Saintes » dite des « Trois N'y Touchent », car située aux confins de trois villages du sud de la France portant des noms de Saintes, accueille les malades de la vie, ceux qu'elle malmène, broie avant de les mettre au rebut. Il y a les cas graves, au second, et les autres, plus légers, en bas. Ceux de l'Abribus font partie de la seconde catégorie malgré leur mal-être, leurs souffrances ou leurs addictions. Ils logent dans l'aile surnommée « Aile Jules Ferry » car Viviane, Valérie, Yves et la nouvelle venue, Aurore, travaillent dans l'Education Nationale, profs, documentaliste ou agent d'entretien qui ne parviennent plus à assumer leur vie. Chaque jour ils se retrouvent à l'Abribus pour échanger, passer le temps ou fumer une cigarette. Le jour où entre Aurore à la clinique pour se reposer, un événement vient perturber la « Bande » : un cadavre a été découvert, le matin même, dans l'enceinte de la clinique. Chacun expose sa théorie et les esprits bouillonnent. Qui a bien pu perpétrer une telle horreur ? D'autant plus que cela ne s'arrêtera pas là. Quelques jours plus tard, un deuxième puis un troisième cadavre seront retrouvés …. de plus en plus proche du bâtiment. Sans compter les événements étranges au sein de l'établissement. Les hypothèses vont bon train, des soupçons naissent, la bande de l'abribus se pique d'enquêter afin de trouver le ou les coupables.
« La bande de l'abribus » est un roman policier sans inspecteur et pourtant il n'a rien qu'un cosy mystery car le cadre n'est pas idyllique, loin s'en faut : la vie n'est pas rose pour les malades comme pour les soignants : entre les traumatismes, les idées suicidaires, le mal-être des patients et les impératifs économiques assenés, la clinique a du mal à survivre, par la direction auprès des médecins, à savoir la nécessité d'avoir des malades pour faire tourner la boutique, il n'y a pas de quoi rire. Et pourtant... On rit parce que l'autrice, Luce Michel, raconte le quotidien de ses personnages sans aucun pathos et, ce qui est appréciable également, sans occulter leurs pathologies ou leurs travers.
Luce Michel, avec un humour parfois très grinçant, une écriture rythmée et incisive, relate comment un établissement dédié aux soins apportés aux patients devient une machine à générer du profit. Au point qu'Amélie Bescotte, une des psychiatres pense avoir trouvé la solution au problème : fidéliser les malades en retardant leur guérison. Une idée non seulement cruelle mais dangereuse, pouvant déraper à tout moment.
Elle met en place plusieurs intrigues qui, au fil du roman, se croisent puis se tissent pour mettre un point final à l'enquête. Luce Michel a eu l'excellente idée de commencer chaque chapitre fort de l'intrigue par une sorte de comptine qui apporte un élément important à la dramaturgie romanesque en distillant des indices au lecteur.
Les personnages sont très attachants, et ne sont pas caricaturés bien au contraire. Ils sont incarnés grâce à leurs défaillances face à la vie, à leur empathie envers leurs compagnons de misère, leur détresse qu'ils n'osent exprimer en dehors des cours de relaxation. Ils sont fragiles, pudiques et touchants dans leur soif d'amour et d'amitié.
« La bande de l'abribus » est une comédie douce-amère avec ce qu'il faut de noirceur et de luminosité pour ne pas sombrer dans la tragédie. Une lecture que j'ai beaucoup aimée par la tendresse et la douceur envers les principaux personnages. Une réussite.
Ce n’est pas tout à fait un cosy mystery malgré ses airs parce qu’il n’y a pas vraiment d’enquête et qu’il n’est pas cosy du tout ! Et ce ne sont pas les pensionnaires qui vont me contredire ! Ni même le personnel !
La bande de l’abribus est composée de membres de l’Educ Nat dans l’incapacité d’assumer leur vie, qui viennent s’y mettre à l’abri de la pluie et des autres, pour fumer, parler ou fuir ! Aurore, hospitalisée volontaire est intégrée au cercle. Des événements étranges et dramatiques accentuent les difficultés que tous éprouvent dans leur recherche d’eux-mêmes !
D’une écriture vive et concise Luce Michel parle du quotidien, des petites choses qui émeuvent ou remuent, des travers et des rêves ; de la transformation d’un établissement de soins en machine à fric comme but premier, le tout avec un humour et une dérision qui savent rendre légères des situations pesantes mêmes si parfois loufoques !
Plusieurs intrigues se côtoient puis se croisent et s’entretissent enfin pour un final que j’ai trouvé un peu rapide, tant j’ai apprécié la plume de l’autrice ! L’insécurité est en voie de développement et l'agitation se répand à tous les niveaux !
Elle décrit très bien les faiblesses qui ont amené chacun des personnages, dans ce lieu, sans en faire des caricatures et avec justesse, elle les rend attachants car on peut tous reconnaître quelqu’un ou se reconnaître soi-même à travers eux !
Vivement la suite !
#Labandedelabribus #NetGalleyFrance
#Labandedelabribus #NetGalleyFrance
Merci avant tout à NetGalley France et aux Editions Hachette, collection Blacklab pour m'avoir permis de lire ce livre.
Ce livre se veut un cosy mystery, original.
L'humour et la dérision sont poussés assez loin, mais l'histoire garde tout de même une part de sensibilité, d'émotion.
Les personnages bénéficient d'une mise en avant de leurs faiblesses, cela aide à l'empathie et à l'identification, sans jamais atteindre la caricature..
Une clinique psychiatrique à la constante recherche de patients pour survivre, dans le sud de la France, en bordure de 3 villages, et au centre un abribus, sorte d'ilot où chacun tente de se reprendre des forces.
Comment faire pour garder les patients dans l'hôpital plus longtemps, voilà la question que se pose l'équipe soignante.
Le groupe de l'abribus, un groupe de dépressifs de l'éducation nationale lui se retrouve à faire corps contre cette machine du profit, lorsque soudain on déplore une mort, et une enquête va en découler.
Une plume fluide et drôle, un joli roman.
Voici mon retour de lecture sur La bande de l'abribus : Du rififi en psychiatrie de Luce Michel.
Direction une clinique psychiatrique aux confins de trois villages du Sud de la France. Il y a un abribus où les patients prennent l’habitude de se retrouver pour fumer et pour discuter lorsqu’il pleut : Valérie, Viviane, Yves, Aurore forment ainsi une sympathique petite bande de dépressifs…
La clinique a bien du mal à survivre car - paradoxe - elle a besoin de malades pour tourner mais ceux-ci partent dès qu’ils sont guéris ! La psychiatre Amélie Bescotte va trouver la solution pour « fidéliser les patients » : et si, au lieu de les soigner, on créait ou on prolongeait leurs addictions… Au Diable le serment d’Hippocrate !
Céline, une des femmes de chambre, se rend compte que quelque chose ne tourne pas rond et commence à mener l’enquête. Lorsque, cerise sur le gâteau, un cadavre est découvert dans l’enceinte de la clinique, les esprits s’échauffent ..
La bande de l'abribus : Du rififi en psychiatrie est un roman surprenant qui m'a fait passer un bon moment de lecture.
Direction donc une clinique psychiatrique où il est décidé de tout faire pour garder les patients, pour éviter de perdre trop d'argent. L'idée m'a évidemment fait sourire surtout que ce roman est très bien mené.
Il n'y a pas vraiment d'enquête mais je ne peux pas vous expliquer pourquoi étant donné qu'il y a un cadavre..
En fait, je m'attendait à un cosy mystery mais ce n'en n'est pas réellement un. C'est plus un policier à l'humour noir.. très noir :)
Les patients de la clinique sont des anciens de l'éducation nationale. De là à dire que ça rend fou d'y travailler.. Non, évidemment, je n'oserais pas dire ça ;)
J'ai aimé les personnages, l'histoire, l'humour. Tout m'a plu dans ce roman qui m'a changé les idées et m'a beaucoup amusé.
Je ne peux pas vous en dévoiler plus, mise à part que je vous le recommande chaudement :)
Luce Michel a une écriture incisive, qui fait mouche, et qui m'a ravie.
La bande de l'abribus : Du rififi en psychiatrie est une petite pépite que je note cinq étoiles :)
Aurore perd pied, n'arrive plus à faire face, se laisse submerger par le quotidien et sa violence. Elle décide donc de s'accorder du repos et tenter de se reconstruire dans une clinique psychiatrique.
Elle y rencontre la bande de l'abribus, d'autres abîmés de l'Educ Nat comme elle, addicts, dependants, dépressifs, qui se retrouvent tous les jours sur ce banc et discutent de tout et de rien, fument, laissent filer le temps.
Leur relative tranquillité et le peu de stabilité offerts par ces journées très encadrées volent en éclats quand un cadavre est découvert dans le parc de la clinique, exacerbant psychoses et paranoïa.
Je pensais lire un polar cosy mystery aux situations cocasses et à l'humour léger mais pas du tout !
Même si les personnages sont tendres et attachants, que certaines répliques bien senties font sourire, le fond du roman est tout de même assez tragique et il est émouvant de partager un petit moment avec ces personnes cabossées par la vie, peu épargnées par le destin.
Je prendrai plaisir à avoir de leurs nouvelles dans un nouvel opus.
On dit que les apparences sont souvent trompeuses. Cet adage s’applique parfaitement ici. En effet, au vu du titre, du sous-titre et de la couverture, je m'attendais à une lecture légère. La 4ème de couverture n’est pas en reste : à sa lecture, je me suis dit « tiens, un cosy-mystery qui m’a l’air bien sympa ». Et bien, pas du tout ! On est bien loin de la lecture divertissante à consommer sans modération au bord de la piscine. Et vous savez quoi ? Tant mieux ! D’une part, parce qu’il est interdit de manger et de boire dans l’enceinte de la piscine et, d’autre part, parce que je n’en ai pas !
L’intrigue se déroule dans un lieu assez particulier : une clinique psychiatrique. On y retrouve des laissés-pour-compte, des dépressifs suicidaires, des alcooliques assoiffés, des fatigués de la vie. Parmi eux, se distingue un petit groupe de personnages hétérogènes, qui ont pourtant un point commun : ils travaillent tous pour le mammouth – pour les plus jeunes et/ou les néophytes, cette expression, que l’on doit à Claude Allègre, fait référence à l’Éducation nationale. Aurore, Valérie, Viviane et Yves ont pris l’habitude de se retrouver à l’abri d’un abribus pour y fumer et discuter. Cet abribus va très vite se transformer en QG après la découverte d’un cadavre dans le périmètre de la clinique : une laie enceinte a été empoisonnée. Les esprits s’échauffent, des théories s’échafaudent. D’autant plus que Céline, une des femmes de chambre, s’aperçoit que quelque chose ne tourne pas rond : les laissés-pour compte se laissent aller, les dépressifs ont l’air plus neurasthéniques que d’habitude, les suicidaires ne pensent plus à se suicider, les alcooliques ont l’air d’avoir bu jusqu' à plus soif, les fatigués de la vie semblent épuisés d’être las.
Avec un style incisif, empreint d’ironie, voire même de sarcasme, Luce Michel nous livre ici une histoire rocambolesque, et à la fois émouvante et pleine de tendresse, tout en décrivant au scalpel les dérives de ce genre d’établissements qui privilégient la rentabilité et les bénéfices au détriment de la santé des patients.
Malgré les histoires de vie qui ont poussé les personnages à fuir la vraie vie pour se réfugier dans un clapier médicalisé, j’ai souri. Pis, j’ai ri ! Je m’en serais presque voulue mais l’autrice distille à l’envi de l’humour noir pour mieux décrire une société déjà bien sombre.
Bref, je ne peux que vous conseiller ce roman qui a été pour moi un coup de cœur. Et, la bonne nouvelle, c’est qu’en septembre paraîtra le deuxième tome.
"La bande de l'abribus" ou l'histoire de patients d'une clinique psychiatrique pas comme les autres...
Du côté patients, Viviane, Yves, Valérie et Aurore ont pris l'habitude de partager leur temps libre sous l'abribus jouxtant l'établissement. Ils ont pour point commun leur expérience au sein de l'éducation nationale mais chacun d'entre eux renferme sa part obscure, ses douleurs, ses inquiétudes...
Du côté des professionnels, la vie n'est pas simple non plus. Céline, Axel, Bescotte et les autres luttent contre leur propres démons.
Mais le coeur du sujet du livre porte sur les difficultés que rencontre la clinique. En effet, les services ne sont pas complets. Comment faire pour "fidéliser" les patients... Jusqu'où cela va-t-il mener tous ces protagonistes ?
Le ton est léger, les personnages attachants, L'intrigue bien présente (un meurtre au sein même de la clinique). Au fil des pages, les liens se créent entre les personnages et leurs secrets se dévoilent.
De légers rebondissements tout au long de l'histoire.
Une lecture fluide que j'ai appréciée. Ceci est le premier tome de la série "Du rififi en psychiatrie"
Merci à NetGalley et à Marabooks pour cette lecture !
Des sujets durs traités avec beaucoup de légèreté et d’humour. J’ai passé un agréable moment avec la bande de l’abribus. Je me suis attachée à tous les personnages, et leurs problématiques. J’ai hâte de découvrir le tome 2 pour connaître la suite de leurs aventures !
Dès les premières pages, j’ai été séduite par le style d’écriture et l’humour décalé de l’auteure.
Les chapitres, qui s’enchainent de manière fluide, alternent d’un personnage à un autre, donnant du rythme au récit.
Bien que, en surface, les situations soient cocasses et que les répliques des patients et du personnel prêtent à sourire, voire à rire, le fond du roman est tragique. Les douleurs et blessures de chacun se dévoilent progressivement, révélant des êtres cabossés par la vie.
Plusieurs intrigues se croisent et se rejoignent jusqu’à n’en faire plus qu’une.
Même si l’identité du coupable était assez facile à deviner, ainsi que son lien avec la clinique, le message final est percutant.
Cependant, après un début très dynamique, j’ai trouvé que le soufflet est retombé vers la moitié du livre. Heureusement, la conclusion est arrivée au bon moment, juste avant que je ne me lasse.
"Everyone you meet is fighting a battle you know nothing about. Be kind. Always." – Robin Williams
⭐️⭐️⭐️⭐️ Pour son style d’écriture original et sa capacité à aborder des sujets sérieux, souvent tabous, avec humour et bienveillance.
Merci NetGalleyFrance et Blacklabeditions pour cette belle découverte !
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Fiction (Adulte), Littérature générale, Science-Fiction & Fantasy