La Gosse

L'autrice dépeint avec sensibilité et authenticité le lien entre une mère célibataire et sa fille.

Son livre raconte leur histoire avec un style à la fois incisif, poétique et parfois brut, tout en gardant une certaine retenue.

Elle explore de nombreux sujets dans un roman court mais dense, tels que le deuil, la maternité, les relations mère-fille, les origines, la famille, le féminisme, l'éducation, la parentalité, les standards de beauté, les injonctions subies par les femmes ou encore les problèmes liés à l'alcool.
J'ai eu du mal à entrer dans ce livre malgré l'intérêt que je porte à ces thèmes. Frustrée, je l'ai écouté en livre audio, et la voix ainsi que le récit personnel de Nadia Daam m'ont immédiatement captivée.

Je suis heureuse de l'avoir redécouvert sous cette nouvelle forme et de l'avoir pleinement apprécié.

C'est une lecture féminine, sincère, parfois brute et touchante que je vous invite à découvrir.

Un joli moment en compagnie de Nadia Daam, une femme moderne et libre.

Je remercie #NetGalleyFrance et les Éditions Audiolib pour la découverte de #LaGosse en version audio.

Dans ce récit autobiographique, Nadia Daam nous raconte de sa plume et de sa voix sa vie de mère célibataire. "Monoparentale" par choix suite à une séparation, puis par obligation, au décès de son ex-compagnon, père de "La gosse". Sans jamais la prénommer, elle tente de dépeindre au mieux la chair de sa chair : sa fille tant aimée, mais pas toujours comprise... Elle décrit son quotidien à différentes époques, en comparant avec sa propre enfance et sa propre jeunesse, d'une autre époque justement.

A travers son expérience personnelle et particulière de mère célibataire, Nadia Daam extrapole vers des thèmes plus vastes : féminité, maternité, parentalité, adolescence, éducation, réseaux sociaux, famille, amitiés, et, en filigrane, le désœuvrement paradoxal dans la multitude d'activités à assurer et assumer au quotidien lorsqu'on est mère seule d'une enfant de 2 puis 4 puis 7 puis 11, ou 14 et enfin, 17 ans... Car c'est toute l'enfance de sa fille qui fait l'objet de ce récit, en même temps que le parcours de mère de Nadia Daam. J'ai été touchée par ses mots, en tant qu'enfant de divorcée en premier lieu (je réalise seulement les difficultés que cela représente...), puis en tant que maman de deux enfant, confortablement épaulée par un mari présent et impliqué (et là, je suis bien consciente de ma chance !).

J'ai eu un peu de peine à m'impliquer dans les premiers chapitres, puis, les mots et la voix de Nadia Daam m'ont emportée. Je suis vraiment ravie d'avoir pu découvrir l'ouvrage en version audio, lu par l'autrice. Car l'autrice-lectrice met autant de soin à choisir ses mots qu'à leur donner une impulsion vocale particulière (et particulièrement juste). Sa voix est douce, authentique, dynamique et aussi agréable que son écriture. Le style est fluide, travaillé, factuel et actuel, parfois très oral et d'autre fois, plus littéraire. Le vocabulaire et recherché et précis. Les chapitres, intitulés par un mot - point de mire des lignes qui suivront - sont plutôt courts, donnant un rythme assez soutenu à l'ouvrage.

Très chouette roman que je voulais découvrir.

J'aime beaucoup comment l'autrice parle de sa fille et la presente avec ses qualités et ses défauts. Leur vie n'est pas toujours facile mais l'amour qui les lie leur fait surmonter toutes les épreuves. C'est vraiment une très belle relation mère-fille.

Le récit est bien écrit et surtout très sincère. J'ai passé un super moment. De plus écouter cette histoire lue par l'autrice est un vrai plus.

Je remercie les éditions Audiolib et NetGalleyFrance pour cette lecture.

Alors qu'on lui a répété qu'avoir une fille serait plus facile, l'autrice de ce roman à vite déchanter. Ne chercher pas de débat ici, il n'y en n'a pas. Élever un enfant, seul ou non, fille ou garçon, est difficile. Mais élever une future femme, devoir la mettre en garde, la laisser grandir et s'épanouir en guettant dans l'ombre les potentiels prédateurs, ça, c'est un sacré exercice.
J'ai adoré ce roman, il est plein de tendresse et d'amour. Plein de rage et d'espoir. Il est aussi drôle que dramatique, sans jamais chercher à donner des leçons ou à tomber dans le pathos.
Je n'ai ni l'âge de @nadia_daam_ ni celui de sa fille et pourtant, peu importe la génération, le passage de "fille" à "femme" est toujours le même. Cet étrange sensation de chercher les bras de sa mère, d'avoir envie d'être complètement assistée, et en même temps ne pas supporter ses conseils, et vouloir fuir à tout prix pour être indépendante.
J'ai été très touchée par cette mise à nue. Le lecteur assiste sans filtre au quotidien parfois haut en couleur, d'une mère et de sa fille, avec ce que cela implique de bonheur, de douceur, et d'emmerdement.
C'est une histoire racontée sans aucun jugement ni aucune prétention. C'est une déclaration d'amour d'une mère à sa fille, pour toutes les mères et toutes les filles.
J'adorerai savoir ce qu'a pensé "la gosse" de ce roman, et qui sait, voir paraître dans quelques années "la mère".

J'ai adoré ce livre audio !
Le fait que ce soit l'autrice elle même qui lise est vraiment un plus dans la découverte de son roman.

Un roman poétique, touchant et écrit avec beaucoup d'amour et d'humour !

A travers ce roman autobiographique Nadia Daam nous livre son intimité et ses réflexions sur des thèmes extrêmement variés dont tous ont pour point de mire sa fille : "sa gosse". Terme familier, ici utilisé avec beaucoup d'amour, pour tout parent élevant un ou une ou des enfants adolescents, il est facile de se retrouver dans le discours. Des anecdotes et des circonspections intelligentes tantôt drôles tantôt approfondies mais toujours justes et sincères.

Oui Nadia Daam l'aime "sa gosse", "sa belle gosse" mais jamais "sa sale gosse" car jamais elle ne se "gausse" d'elle. Je me suis donc intéressée à ce nom de "gosse" et aussi à ce verbe "gosser". Et j'ai trouvé plusieurs définitions parfaitement adaptées à mon ressenti concernant cet ouvrage.

"Gosser" : Fabriquer un objet par des moyens artisanaux ou trouver une solution à un problème. En tant que mères, ne sommes-nous pas des artisans qui fabriquent non pas un objet, je ne pourrai jamais envisager le fait qu'un enfant le soit, mais une éducation, un savoir-vivre, une manière de se prémunir du monde ? Ne sommes-nous pas prédestinées à trouver une solution à un problème, à partager, à instruire, à les faire grandir ou à les protéger ? L'autrice pose ici les bases de ses nombreuses interrogations et nous livre avec une sincérité incroyable non pas des solutions, mais de nombreuses pistes de réflexions. Tout y passe, l'alcool, la balance, la famille, les origines, ...

"Gosser" : Tripoter, manipuler avec plus ou moins de difficulté, parfois dans un but plus ou moins défini et avec des résultats plus ou moins probants. Et oui et c'est aussi ça d'être mère d'une "gosse", c'est tâtonner avec le fait que cette "gosse" grandit dans un monde différent de celui qu'il était lorsque nous avions son âge, ce sont ces difficultés de leur faire comprendre certaines choses, c'est de comprendre nous-même leurs difficultés et comme le dit cette définition avec un résultat plus qu'incertain. Nadia Daam réussi à nous transmettre ses doutes, ses regrets, c'est et si... mais surtout réussi à nous livrer ses "peu importe". L'autrice regarde toujours devant, loin et va aider sa "gosse" à grandir tout en préservant le libre-arbitre de "sa gosse".

Jamais Nadia Daam n'est une "gosseuse" : Personne qui perd son temps par un excès de minutie ou en se consacrant à une activité futile. Non, je trouve que l'autrice agit non pas en super maman, ou en super woman, seulement avec les moyens que nous avons toutes en tant que mère, et lorsqu'il s'agit de protéger, de faire grandir, de développer l'esprit critique de nos enfants, une mère ne perd pas son temps et ce n'est surtout pas une activité futile, au contraire. J'ai aimé les nombreux échanges présentés dans ce textes. D'ailleurs j'en profite pour rebondir sur l'écriture irréprochable de l'autrice. Ce texte est extrêmement bien écrit, l'écriture érudite mais fluide que je n'ai trouvé aucune longueur à ce court roman. Non pas de "gossage" (palabre), je n'en ai pas perdu une miette.

J'ai découvert la voix de Nadia Daam dans sa version audio est quoi de mieux pour écouter un livre lorsqu'il est lu par son auteur.

Pour terminer, j'ai volontairement décidé de vous révéler uniquement mon ressenti suite à cette lecture-écoute, je vous laisse maintenant découvrir son contenu, mais rasurez-vous il est simple et au final, je me suis sentie rassurée d'être une mère normale, mère de deux adolescents que j'essaie d'aider sans rien attendre en retour et sans prétention. Ce livre parle tout simplement qu'être mère est normal, que de douter est normal, que d'inculquer des valeurs est normal, que de protéger est normal, que de voir grandir son ou sa "gosse" est normal, que de créer un rapport de confiance est normal, et au final c'est peut-être le monde dans lequel nous faisons tout cela qui n'est pas normal.

Un roman tout simple et tout simplement éloquent sur les rapports d'une mère et de sa "gosse", tout autant (ou presque) transposable à son "gosse". Un roman qui fait réfléchir et qui rassure sur son rôle de mère, puisqu'il ne s'agit au final que de bienveillance et d'un incommensurable amour pour sa/son "gosse".

Merci à #NetGalleyFrance et #Audiolib pour #LaGosse.

Nadai Daam mère célibataire doit élever sa fille adolescente. Elle raconte alors ses choix pour l’éducation de sa fille parfois très éloignés de sa propre enfance, ses doutes et les répliques que l’on se promet de ne jamais dire et qui finalement sortent de notre bouche !
C’est amusant, on sourit , on se dit qu’on n’est pas la seule à avoir été dans cette situation, ça rassure !
Elle voit grandir sa gosse et se voit par la même occasion changer, d’infirmière pour l’enfant qui est petit à maton pour l’adolescente qu’il faut surveiller.
L’autrice lit son propre roman et donne un ton amusant au récit. C’est agréable à écouter, relativement court, c’est tendre parfois triste mais souvent drôle.
Merci à Netgalley et audiolib pour cette écoute.

Ce roman parle de maternité. L'autrice nous décrit sa vie de maman de la naissance de sa fille à ses 17 ans.
Le lecteur n'y apprend pas grand-chose, mais certaines réflexions sont intéressantes. J'ai écouté ce livre en version audio et je regrette de n'avoir pu souligner certains passages.
J'ai aimé le style d'écriture un peu brut mais parfois littéraire. Les mots sont justes et l'humour est quelquefois présent.
Le livre est lu par l'autrice, ce que j'ai trouvé appréciable.
Les chapitres sont courts et se lisent (ou s'écoutent) tout seul.
L'autrice nous rappelle à quel point il est difficile d'être mère d'une fille. Que parfois, nous ne la comprenons pas, que nous avons peur pour elle, peur du regard des hommes sur elle.
La fin m'a touchée car elle souligne si bien le fait que nous nous plaignons souvent de ne pas avoir assez la paix. Cependant, ces instants avec nos enfants sont courts dans une vie et il faut en profiter tant qu'ils sont auprès de nous.

J'ai beaucoup aimé ce livre audio et ce, pour bien des raisons.
J'ai d'abord aimé la variété des thèmes abordés, liés à la parentalité : le deuil, l'amour, l'éducation, les difficultés à "refaire sa vie", la dissonance entre discours féministes et réalité de mère solo d'une ado, les racines, faire famille. C'est cash, parfois cru, souvent drôle, teinté d'humour et d'autodérision : presque un one woman show. On sent une mère qui essaie de faire de son mieux et une fille très attachante. Leur relation est belle, tendre, pas parfaite mais c'est ce qui fait son charme.

La narration par l'autrice est parfaite : elle incarne très bien son récit. Sa voix, son rythme et sa diction sont très agréables. Je n'ai pas vu le temps passer, les chapitres sont courts et s'enchaînent avec fluidité.
Une très belle découverte, merci Audiolib !

Nadia Daam tisse avec poésie ce roman sur le regard porté par une mère sur sa fille au travers d'une épreuve difficile - la perte de son père.

Nadia Dam nous raconte sa relation avec sa fille, qu’elle surnomme « La gosse », en accord avec elle. Elle nous fait entrer dans les coulisses de son foyer monoparental. Le lecteur suit l’évolution de leur relation dans le temps, jusqu’à l’état ultime de l’adolescence. Alors, les certitudes de l’enfance sont ébranlées et elle va devoir jouer avec le comportement particulier de cette période sensible. Avec tout l’amour dont elle dispose, elle va essayer de s’adapter aux remous occasionnés par ce choc de générations.

A travers la relation avec son enfant, elle en profite pour parler aussi de sa propre existence. De ses origines à son travail en passant par ses relations amoureuses, elle partage des parties de ce qu’a été sa vie jusque-là.

Alors que je connaissais Nadia Daam en journaliste sérieuse et grave à la télévision, j’ai eu le plaisir de rencontrer Nadia Daam, la femme libre et pétillante. Elle partage son récit en toute liberté, n’éludant aucun sujet, même les plus intimes. Cette honnêteté donne d’ailleurs lieu à des scènes cocasses et surprenantes. J’ai, plus d’une fois, éclaté de rire devant le côté comique des situations et les réparties bien senties. Il faut dire que l’autrice fait preuve de beaucoup d’esprit et d’espièglerie dans sa manière de raconter. La lecture devient alors un bon moment de convivialité, comme avec une copine.

Nadia Daam lit elle-même son texte, ce qui lui permet d’y mettre parfaitement les formes. Sa personnalité lumineuse prend les rênes du récit. Elle nous offre ainsi un mélange de thèmes sérieux et d’humour qui en dit long sur les difficultés que peuvent rencontrer les mères de famille. Grâce à ce livre sans concession, les mamans lectrices vont pouvoir déculpabiliser et les autres prendre beaucoup de plaisir dans ses pages facétieuses !

Intriguée par le résumé, j'avais d'abord tourné autour du livre. J'ai donc sauté sur l'occasion de le découvrir en préécoute de sa sortie en version Audio.
Aucun regret, puisque ce texte rythmé, piquant, m'a semblé encore plus vivant lu par Nadia Daam. J'ai adoré sa narration, naturelle et fluide, le découpage et le propos.
Le récit-témoignage mêle avec intelligence quotidien, anecdotes, réflexion et questionnements d'une mère solo, en étant cash, teinté d'humour, de tendresse, et, déjà empreint de nostalgie.

#PAL estivale.
''La gosse'' de Nadia Daam. En livre audio : comme ça, pas de problème de valise ;)

De quoi ça parle ?
Être mère (solo), être une femme (féministe)... ''Tu sais c'est pas si facile '' comme dirait un certain chanteur.
J'ai beaucoup aimé, on sent l'amour de Nadia Daam pour sa fille... les dernières phrases sont particulièrement touchantes !
J'apprécie en effet la sincérité et le ton employé dans le livre. Il y a de l'humour dans ce texte ( principalement de l'autodérision). Les références culturelles, générationnelles et les réflexions sur la parentalité me 'parlent'.
Bonus : la voix de Nadia Daam est agréable. Elle dit son texte sans donner l’impression de le lire. Et ce n'est pas évident même si on a écrit le texte en question. Bravo Madame Daam.
Bref, c'est une lecture que je recommande.
Merci à Audiolib pour cette découverte.

Ce roman, ce sont les mots d'une maman qui raconte sa vie avec sa gosse, dont on ne connaît d'ailleurs pas le prénom (enfin presque...). Elle raconte ce qu'elle a vécu, ses sentiments, les difficultés et les bonheurs de la vie, de l'éducation d'un enfant, le tout avec simplicité, force et humour. Cela ressemble à une lettre ouverte pour sa fille, les relations mère-fille y sont décrites. Je l'ai écouté en audio et j'ai vraiment apprécié que cela soit l'autrice qui prononce les mots qu'elle a écrits. Alors oui, cette famille monoparentale n'est pas parfaite mais elle est parfaitement gérée par cette mère qui a plus d'un mot dans son sac et qui a une vraie belle répartie. Elle se donne corps et âme pour cette vie qu'elle a créée.

"Je n’ai pas plus d’admiration pour les femmes prétendument puissantes et indociles que je n’ai de commisération pour les suiveuses, les alignées."

📖 Retour quelques années en arrière, 2 semaines après la mort du père de la gosse. Elle a 11 ans. Elle n'a pas versé une larme. La narratrice et elle ont construit une cabane de couettes dans le salon. Il va bien falloir s'en extraire. Reprendre le cours de la vie. Et penser à ce à quoi cela renvoie, cette mort. La rencontre avec P. la grossesse, la séparation, élever sa fille seule, avec pour seuls bagages son passé pas très reluisant, les difficultés et les obsessions. Etre mère chamboule tout : nos représentations, nos idéaux, notre place dans la famille et dans la société, nos convictions les plus profondes.
Être mère, nous dit Nadia Daam, c'est engendrer un être et accepter de passer après, avoir 2 fois plus peur, perdre la tête et s'attendrir (ou s'énerver) pour un rien. C'est s'interroger aussi sur la fille que l'on a été, essayer de ne pas reproduire les erreurs de nos parents en se disant qu'on sera beaucoup plus cool alors qu'en fait, non.

💌 Je ne chronique pas souvent de livre audio, mais celui-ci a tellement résonné en moi que je ne pouvais pas faire autrement. Ma fille de 14 ans bientôt, c'est une gosse comme celle de l'auteure. C'est un émerveillement, parfois un boulet aussi. C'est se demander comment on va s'en sortir avec, puis sans.
Ce récit est fort, émouvant, vrai. Et déculpabilisant. Drôle et grave, invitant les femmes à accepter qu'être mère, d'une fille qui plus est, nous pousse à mettre de l'eau dans le vin de notre féminisme pour la protéger. En parlant ce qu'elle vit avec sa fille, elle réfléchit également à son propre parcours, à ce qui a été pour elle des épreuves et des réussites. Elle met les points sur les i et les barres aux t concernant là d'où elle vient, ce qu'elle est devenue et refuse le sentimentalisme. Elle a sa vie et sa fille. Ses victoires.
Un grand moment que la découverte de ce livre, qui m'a autant fait rire qu'émue et que je ne manquerai sans doute pas de réécouter (ou lire) lorsque ma fille aura elle aussi 17 ans...

🖊 "Et puis, la gosse est née, et j'ai découvert qu'il y a bien pire, bien plus encombrant que de vivre dans l'anticipation de sa propre mort lente ou brutale, il y a cohabiter avec la peur qu'il "arrive quelque chose "à son enfant."

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Une mère qui raconte les joies et les difficultés de ses rapports avec sa fille. La lecture par l'auteure end ce témoignage encore plus fort;