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Le seul coupable
par Jacques Saussey
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Date de parution 10 oct. 2024 | Archivage Aucune
Fleuve éditions | Fleuve Noir
Vous parlez de ce livre ? N'oubliez pas d'utiliser #Leseulcoupable #NetGalleyFrance ! Cliquez ici pour plus de conseils
Résumé
Quand plane l'ombre d'une erreur judiciaire...
Septembre 2024. Un incendie se déclare à proximité de la maison de Paul Kessler, dans le Var. Au bout de quarante-huit heures, la piste criminelle est établie et les enquêteurs identifient la responsable : une certaine Laurence Dumas qui réside dans le Rhône, à plus de trois cents kilomètres de là.
Immédiatement, la mémoire de l’ancien commandant de police le ramène à une affaire qu’il a traitée dix ans plus tôt. En effet, cette femme est la mère de Margaux, une jeune fille retrouvée assassinée près de Lyon en 2014. À l’époque, les investigations de son équipe ont conduit à l’inculpation de l’ex-petit ami de la victime. Mais toutes les certitudes de Kessler vont voler en éclats face à la colère et aux doutes de Laurence Dumas. Une question lui glace alors le sang : a-t-il pu commettre une erreur ?
Quand plane l'ombre d'une erreur judiciaire...
Septembre 2024. Un incendie se déclare à proximité de la maison de Paul Kessler, dans le Var. Au bout de quarante-huit heures, la piste criminelle est...
Formats disponibles
FORMAT | Grand Format |
ISBN | 9782265158245 |
PRIX | 21,90 € (EUR) |
Disponible sur NetGalley
Chroniques partagées sur la page du titre
Dans Le Seul Coupable, Jacques Saussey nous plonge dans un roman policier remarquablement bien ficelé, où chaque détail compte... Comme un maître du suspense, l'auteur joue habilement avec ses lecteurs en semant des indices çà et là, tel un Petit Poucet moderne. C'est à nous, en tant que lecteurs, de ramasser les bons « cailloux » afin de démêler l'intrigue aux côtés de Paul Kessler et de ses anciens coéquipiers.
Ce qui fait la force de ce polar, c'est l'intensité narrative. On se retrouve rapidement happé par l'histoire, pris dans une course effrénée aux côtés des enquêteurs, comme si l'urgence et la tension du dénouement nous poussaient à lire sans pause.
En résumé, Le Seul Coupable est un excellent roman policier qui parvient à maintenir une tension constante tout en nous offrant la satisfaction de participer pleinement à l'enquête. Jacques Saussey signe ici un ouvrage à lire absolument pour tout amateur de thrillers bien construits. Un livre qui, une fois ouvert, se dévore d'une traite.
"Le seul coupable" de Jacques Saussey est un thriller captivant qui m'a agréablement surprise. L'intrigue tourne autour de la réouverture d'un vieux dossier, le meurtre non résolu d'une jeune femme survenu dix ans plus tôt, sur lequel Paul Kessler, le héros, avait enquêté. Ce flic à la retraite, toujours aussi pugnace et fidèle à ses habitudes, se retrouve plongé dans cette affaire complexe et pleine de rebondissements. En revanche, ses anciens collègues de la police sont assez antipathiques, en grande partie à cause de leur chef, dont l'attitude odieuse semble avoir gangréné l'équipe.
Je recommande ce roman à tous les amateurs de romans policier. Une réussite !
Une très belle découverte! Cet auteur français de polars nous transporte dans un univers digne du réalisateur Olivier Marchal. C'est noir et réaliste, sur le terrain français. Les héros ont une histoire personnelle qui plane sur l'enquête. Leurs échanges sont crédibles; Et Jacques Saussey nous donne envie de tourner la page à la fin de chaque chapitre; Réussi!
Paul Kessler, policier à la retraite, se voit dans l'obligation de rouvrir une enquête qu'il a lui-même menée il y a dix ans. En effet sa maison a été incendiée par la mère de la jeune victime qui lui certifie que l'homme emprisonné pour le meurtre de sa fille n'est pas le bon.
Paul décide d'en informer son ancienne équipe et mène de son côté sa propre enquête.
A quel moment, il y a dix ans, ont-ils raté un indice important, un témoignage, une mauvaise analyse des preuves.
Nous retrouvons le commandant Paul Kessler dont nous avions fait connaissance dans "L'aigle noir" à la retraite à la campagne.
Un roman bien ficelé avec des intrigues et des retournements de situations comme on les aime.
Un succès assuré.
Le seul coupable de Jacques Saussey
J’ai commencé « Le seul coupable » dans le charivari d’une voiture de TGV, fréquentée par des passagers particulièrement turbulents. La lecture dans cette ambiance m’est généralement insupportable, et impossible. Le genre de situation qui me fait regretter de ne pas être un anachorète. Je ne sais pas si c’est l’euphorie de commencer un nouveau roman de Jacques, dont j’ai absolument tout lu, qui m’a permis de m’isoler de l’animadversion ambiante. Dès le début je me suis retrouvé dans une bulle, loin des fanfaronnades du barbacole qui était assis en-face de moi.
Il n’y a pas de temps morts, la lecture est fluide, l’intrigue se déroule, comme un rouleau de sopalin qui absorbe le lecteur pour ne plus le lâcher. Mon voyage se termine, j’ai enchainé plus d’une centaine de pages.
L’auteur explore l’âme humaine avec une précision qui fait frissonner. L’intrigue est sans faille, et on se laisse prendre la main jusqu’au final terrible. Terrible et inattendu, ce qui est encore meilleur. Jacques Saussey aime prendre soin de ses lecteurs, pour qu’ils referment leurs livres en lecteurs comblés.
L’auteur est aujourd’hui, à mon sens, devenu un incontournable pour un lecteur qui cherche un thriller qui sort de la masse.
Merci NetGalley Merci à Fleuve éditions
#Leseulcoupable #NetGalleyFrance
J'ai découvert Jacques Saussey avec le roman Ce qu'il faut de haine qui m'avait fortement marquée. Le titre était très bien choisi car le crime était atroce. Ici l'auteur nous ramène dans une enquête trop facilement résolue qui refait surface à la mort de son présumé coupable. J'avoue que la première partie du roman est très lente avec des moments d'ennui voire même de questionnement sur les évènements relatés qui semblent n'avoir aucun rapport avec l'intrigue. Certains lecteurs pourraient en abandonner la lecture mais je leur dirai de ne pas le faire car le dénouement est très bien amené et on comprend tous les éléments par la suite. Jacques Saussey sait nous amené là où il veut avec une maîtrise de l'intrigue dans un langage simple et familier.
Tout simplement vrai et haletant en même temps
Résumé 👉
Il n’y avait que @jacques_saussey pour me réconcilier avec les polars. Alors que dernièrement nous avions le droit qu’à des polars que je qualifie de Marvel (méchants toujours plus méchant, des gentils avec des dons divers et variés), voici enfin un polar où l’humain "normal" est mis au devant de la scène.
Même si les thèmes du harcèlement et du féminisme sont assez présents, merci à l’auteur de ne pas avoir fait dans le basique trop lu ces derniers temps. Là les femmes sont justes tout simplement normales en fait. Certes fortes, mais avec leurs faiblesses. Bref elles pourraient être vous et moi. Enfin nous pouvons nous identifier, enfin les femmes ne sont pas des super héroïnes de films, ou à l’inverse, des victimes. Et les hommes ne sont pas en reste. Ils sont aussi normaux, crédibles et humanisés. Et hommes et femmes cohabitent sans problème (comme pour de vrai en fait 🤭)
J’ai aussi aimé quelques dénonciations mais faites de façons discrètes, normales sans en faire des caisses. Peut-être (certainement) la meilleure façon de banaliser la différence, en la rendant juste normale tout simplement.
Côté intrigues, bon courage pour démêler les fils tellement l’auteur joue avec nous. On est sur de savoir, et puis non, et puis peut-être etc etc etc. On ne peut être sûr de rien jusqu’à cette fin, ou plutôt ces fins. J’ai adoré ce rythme crescendo qui finit en apothéose avec cet épilogue, qui est comme un sas de décompression avant de refermer le livre.
❤️En conclusion, un polar qui, à mes yeux, redonne toutes les lettres de noblesse à ce style. J’ai tout adoré dans ce livre, le rythme posé tout en étant haletant et addictif avec beaucoup de retournements de situations, les personnages profondément humains, le style toujours autant fluide, les intrigues qui ne peuvent que nous retourner le cerveau tout du long. Un polar tout simplement vrai en fait.
PS: 2nd tome avec Paul Kessler mais peut complètement se lire indépendamment (le premier étant #laiglenoir)
❓Qu’attendez vous pour le lire ?
Voilà le troisième thriller que je lis de cet auteur et je ne m'en lasse pas.
On retrouve l'ex-flic de la Criminelle de Lyon dont nous avions fait connaissance dans "L'aigle noir" (2022).
Une affaire de 2014 qui semblait avoir été résolue par le commandant Kessler et son équipe refait surface lorsque l'accusé du meurtre sordide de la jeune Margaux est égorgé en prison, peu de temps avant sa libération, lorsque la mère de Margaux demande la réouverture de l'enquête et lorsque d'autres meurtres apparemment en lien avec l'affaire se multiplient.
En parallèle, une autre enquête est menée par son ancienne équipe : la traque du Piqueur qui drogue ses victimes en boîtes de nuit, les viole et les tue. Déjà cinq cadavres et une jeune femme qui a réussi à s'en sortir et à donner des informations précieuses sur son agresseur.
Je suis, une fois de plus, admirative de la façon dont Jacques Saussey sait faire évoluer une intrigue complexe avec maestria, orienter vers de fausses pistes, balader le/la lecteur/trice selon son bon plaisir. Il n'y a aucun temps mort mais du rythme, de la tension, du suspense. Les personnages des policiers, hommes et femmes, ne sont pas des super-héros, ce qui nous les rend proches ; ce sont des êtres humains comme nous qui se trompent, craquent, dont la vie personnelle n'est pas un long fleuve tranquille et qui interfère avec la sphère professionnelle.
Un thriller comme je les aime, nerveux, addictifs, dont le final sait me surprendre. Il est fort probable que l'on retrouvera Paul Kessler dans un prochain opus et, il est entendu, que je ne raterai pas le rendez-vous.
A chaque mois d’octobre, j’attends avec impatience la sortie du nouveau roman de Jacques Saussey. Cette année, nous retrouvons le commandant Paul Kessler pour une nouvelle enquête dans Le seul coupable (Fleuve Editions).
Paul Kessler passe sa retraite paisiblement dans le Var dans sa maison familiale. Alors qu’il discute avec Gaétan, le patron du bar du village, de la fumée est aperçue à proximité de la maison de Paul. L’incendie, criminel, a été commis par Laurence Dumas, la mère d’une victime d’une ancienne affaire résolue par l’équipe de Paul, dix ans plus tôt. Laurence est convaincue que le petit-ami de l’époque n’est pas le véritable coupable du meurtre de sa fille et souhaite rouvrir l’enquête. Paul va reprendre contact avec son ancienne équipe mais est mal accueillie par la nouvelle commandante, Erika. Il va mener l’enquête de son côté alors que le groupe est sur la piste d’un tueur qui sévit à Lyon.
Jacques Saussey captive rapidement l’attention de son lecteur à l’aide de chapitres courts. A la fin de chacun d’entre eux, un suspens est laissé, donnant envie de toujours en lire davantage. Véritable page-turner, l’auteur nous embarque avec facilité dans une enquête complexe et tortueuse. Paul Kessler va devoir remonter le temps, se plonger dans le passé de la victime pour mieux la comprendre. Au fil de ses découvertes, les ficelles de l’intrigue se dénouent, rendant Le seul coupable passionnant et intense.
Les allers-retours entre le passé et le présent, l’enquête officieuse de Paul et l’officielle de la PJ de Lyon, ainsi que de la vie professionnelle et personnelle des policiers rendent le roman totalement addictif. Les personnes sont dépeints le plus humainement possible afin de les rendre attachants, réalistes.
Le dénouement final a de quoi surprendre car même si l’on découvre qui est Le seul coupable, nous ne sommes pas préparés à lire la scène poignante qui dénoue toute l’intrigue.
✔️Mon ressenti : J’ai retrouvé Paul Kessler dans cette enquête que j’avais déjà rencontré dans l’Aigle Noir. C’est un personnage cabossé par la vie, solitaire et retraité de la police. Quand la mère de la victime d’un homicide qu’il a résolu il y a 10 ans met le feu à sa maison, l’enquête ressurgi et ne demande qu’à être rouverte.
J’ai beaucoup aimé découvrir les personnages, notamment la victime au fil des pages. L’auteur sait donner beaucoup de relief à ses personnages. Le rythme est très soutenu et le livre difficile à lâcher. Une double enquête permet de reprendre un peu son souffle entre les pages.
Rien n’est bâclé, c’est un thriller très réussi, ce qui explique le coup de cœur !
🎯Mots Clefs : Passé / Incendie / Innocent / Équipe / Adolescents
🏆Ma note : 19/20
Le seul coupable de Jacques Saussey est un excellent polar, comme sait si bien le faire cet auteur dont j’ai lu tous les romans.
On va suivre Paul Kessler, ancien commandant de police à la retraite, qui va se replonger dans une enquête qu’il a mené 10 ans plus tôt mais où avec son équipe, ils ont peut être fait une erreur judiciaire.
Dans le même temps, on va suivre son ancienne équipe qui traque un violeur en série dans la région lyonnaise.
Il y avait de quoi, effectivement, se replier sur soi-même et se demander si l’existence n’était pas qu’une immense tartine de merde dont un dieu sadique vous obligeait à croquer un gros morceau chaque jour en observant si vous alliez juste dégueuler ou vous étouffer avec
Avec « Le seul coupable », on est baladé•es entre diverses enquêtes effectuées en parallèle par Kessler et son ancienne équipe, accumulant les indices, décryptant petit à petit les erreurs faites qui ont peut-être amené à mettre la mauvaise personne en prison.
Et puis, les personnages ne sont pas si blancs ou noirs que ça. La victime s’avère avoir une face cachée, l’accusé innocent peut-être pas si innocent… Dans un tel imbroglio, on comprend qu’il est difficile pour les enquêteurs d’y voir clair.
Les enquêteurs justement sont racontés par l’auteur à la fois dans leur vie professionnelle mais aussi dans leur vie personnelle. On comprend petit à petit que leur personnalité a aussi un intérêt dans l’enquête.
Mon avis :
Je n’iria spas jusqu’a dire que j’ai lu tout les ouvrages de l’auteur mais j’en ai lu quelques uns et je n’ai pour ainsi dire jamais été decu, l’histoire est fluide, sans tzmps mort et on suis l’histoire sans difficulté et on tourne les pages sans s’en rendre compte.
Vraiment un bon roman encore que l’auteur nous livre ici.
Zoom sur « Le seul coupable » de Jacques Saussey, paru chez Fleuve Éditions.
Un incendie ravage la maison de Paul Kessler, ancien commandant de police à la retraite. Lorsque les enquêteurs identifient une suspecte, Laurence Dumas, une vieille affaire refait surface. Dix ans plus tôt, Paul avait dirigé l’enquête sur le meurtre de Margaux, la fille de Laurence, pour lequel l’ex-petit ami de la victime avait été inculpé. Mais aujourd’hui, la colère de Laurence et les propres remises en question de Paul amènent ce dernier à douter : Et si cet homme avait été accusé à tort ?
Il ne m'a fallu que quelques pages pour être embarquée dans ce roman où l'auteur nous plonge au cœur d'une enquête haletante, dans laquelle je n'ai trouvé aucune longueur.
Je me suis rapidement attachée à certains personnages, surtout à Paul Kessler avec ses failles, ses doutes et ses erreurs. Je le découvrais ici, mais il me semble qu'il apparaît déjà dans un précédent roman, ce qui ne m'a en rien gênée pour comprendre l'intrigue. La psychologie des personnages est travaillée avec soin, et l’histoire aborde des thèmes forts comme la culpabilité, la rédemption et la quête de justice.
Comme toujours, la plume est fluide et percutante, et chaque chapitre donne envie de plonger dans le suivant. C'est donc un polar difficile à lâcher ! L'auteur réussit à maintenir parfaitement le suspense, et l’intrigue est si bien ficelée que chaque rebondissement m'ont fait changer d'avis quant à l'identité du coupable. Jusqu’au bout, j'ai douté, et le dénouement a été à la hauteur de mes attentes puisque l'auteur m'a complètement bluffée.
En résumé, c'est une excellente découverte ! Si ce n'est pas encore fait, je ne peux que vous conseiller de le découvrir.
Un très bon Saussey bien qu'un peu moins glauque que le précédent " Ce qu'il faut de haine" , quoi que...Nous suivons Kessler, toujours à la retraite, rappelé par son ancienne équipe, pour une affaire à laquelle il a participé et avait cru serrer le coupable mais l'âme d'une mère en pleurs est tenace et c'est elle qui va faire relancer l'enquête. Sur fond de harcèlement et de mal-être adolescent, Kessler va finalement réussir à clôre son enquête dans un feu d'artifice final, magistral!!!
Le seul coupable
Jacques Saussey
Fleuve noir
@netgalleyfrance

Paul Kessler commandant de police retraité revient sur un meurtre qu’il avait élucidé avec son équipe, 10 ans plutôt. Il a reçu des infos qui le font douter. Le meurtrier de Margot Dumas n’est pas son petit ami, bizarrements tué en prison peu de temps avant de sortir.Kessler rouvre cette enquête, ce cold case plutôt glauque et perturbant.
On remonte le passé de la victime jusqu’à ces années collèges, une victime au moeurs trouble, attirée par la mort, Pas si victime que cela.
Qu’est-ce demande de l’aide à son ancienne équipe occupé par l’affaire du piker sur Lyon et sa banlieue( Flippant quand tu vois le nom du lieu de de travail de ta fille) OK parfois je transpose ce qui n’est pas forcément une bonne idée
Je digresse…
Avec la réouverture de l’affaire Margot Dumas, plus celle du piqueur, violeur et tueur insaisissables, nos flics n’ont plus de temps pour leur vie personnelle.
Kessler mène l’enquête, avec un commandant de gendarmerie qui connaissait bien les Dumas. Au fil de l’enquête Kessler laisse derrière lui des morts. Le meurtrier semble bien renseigné. Il fait le vide autour des anciens amis de Margaux pour éviter que la police ne remonte jusqu’à lui.
En même temps tu es englué dans les vies de nos policiers, peut-être trop au détriment de l’enquête. Juste un ressenti perso.
Le livre reste un roman sordide, tu entres dans la noirceur humaine et elle n’est pas belle à voir. Une enquête rondement menée au cordeau, des indices finement distillés. Tu enchaînes les chapitres. Unlivre a l’intrigue complexe que tu déroules comme une pelote de laine.
Un bon roman
Alors qu’il mène une retraite tranquille, la maison familiale de Paul Kessler part en fumée lors d’un incendie criminel. Le coupable est vite appréhendé et il s’avère que c’est la mère de Margaux Dumas, une jeune fille retrouvée assassinée dont l’enquête a été confiée au groupe de Paul à l’époque. Voulant comprendre l’origine de son geste, Paul lui rend visite en prison. Laurence Dumas lui affirme que l’homme condamné pour le meurtre de sa fille 10 ans plus tôt est innocent, que Paul s’est trompé et que le coupable court toujours.
Ebranlé dans ces certitudes, Paul décide de mener une contre-enquête de son côté. Mais son ancien groupe va bientôt rouvrir l’affaire suite à l’apparition d’une nouvelle information.
Jacques Saussey nous offre une intrigue particulièrement bien ficelée où rien ne semble être ce qu’il est. C’est tordu, très tordu. J’ai deviné une partie de l’intrigue mais pas la totalité et franchement je dois dire que Jacques Saussey m’a bien eu. Il a bien exploité les tréfonds de l’âme humaine et ses sombres secrets.
Les chapitres sont courts et les rebondissements sont bien dosés.
On retrouve Paul Kessler que l’on a déjà croisé dans l’Aigle Noir mais vous pouvez lire les deux romans indépendamment.
Voici un excellent roman qui vous tiendra éveillé jusqu’au bout de la nuit.
Dans la pléthore des sorties de romans et des polars en particulier, il est important pour beaucoup de lecteurs d’être embarqués dès les premières pages. À ce petit jeu-là Jacques Saussey est devenu l’un des maîtres incontestés.
Aucune surprise donc qu’avec ce nouveau roman , l’auteur nous plonge au bout de seulement quelques lignes dans un récit passionnant et haletant ( je sais je suis rarement objectif et parfois excessif quand il s’agit de Jacques) .
En voici le pitch :
L’ancien commandant de police Paul Kessler coule des jours paisibles de retraité dans le Var malgré les malheurs qui l’ont touchés dans sa vie privée avec la mort de son fils unique et le suicide de son ex épouse. Mais c’est son ancienne vie professionnelle qui le rappelle bientôt à son mauvais souvenir. Sa maison est incendiée et celle qui a commis cet acte insensé est la mère d’une jeune fille assassinée dix ans plus tôt à Lyon, Margaux Dumas. Sa mère Laurence est persuadée, que le coupable- un certain Julien Maubert- envoyé en prison par Paul et son équipe de la brigade criminelle lyonnaise, n’est pas l’auteur du crime. Les preuves qu’elle va lui montrer comme sa force de persuasion vont le convaincre qu’il a peut être commis une erreur même si le meurtrier présumé a avoué son crime. Il décide alors de reprendre l’enquête à son compte sans savoir si son ancienne équipe, préoccupée par la poursuite d’un meurtrier en série surnommé le Piqueur , sera prête à lui prêter main forte. Si ses doutes se confirment, le meurtrier de Margaux court toujours et pourrait repasser à l’acte sans crier gare.
Un récit mené tambour battant. Deux enquêtes concurrentes conduites en parallèle par Paul ( cf L’Aigle Noir) et son ancienne équipe dirigée d’une main de fer par la commandante Erika Schaeffer et dont la benjamine la brigadière Zoé Flamant dotée d’une belle intuition, joue un jeu trouble avec l’ennemi.
Comme souvent dans les scénarios de l’auteur, on pénètre également dans la vie privée des principaux protagonistes afin de donner du corps à la trame du récit mais aussi expliquer leurs agissements dans le déroulement du scénario.
En parlant de scénario, celui-ci laisse une belle place aux rebondissements comme aux fausses pistes afin de tenir en haleine ses lecteurs et les laisser s’égarer dans différentes conjectures.
On aura aucun mal à s’attacher (ou à détester) à certains personnages comme Paul qui démontre une capacité certaine à faire parler les témoins l’air de rien en jouant la carte du charisme et de l’amitié.
Côté rythme vous l’aurez compris on ne s’ennuie pas une seconde dans ce polar de belle facture.
Je recommande sans modération.
De façon très brutale, Paul Kessler, retraité depuis 6 ans, est rattrapé par son passé de commandant à la police criminelle de Lyon. Laurence Dumas, dont la fille Margaux a été assassinée dix ans plus tôt, l’accuse de s’être trompé de coupable. Ce dernier, Julien Maubert, a pourtant avoué le meurtre de la jeune femme.
Ebranlé par les informations que lui a données Laurence Dumas, Paul reprend l’enquête à zéro. Il essaie de collaborer avec son ancienne équipe, mais se heurte à l’hostilité du nouveau chef de groupe, Erika Schaeffer, et à la surcharge de travail des policiers, à la recherche d’un serial killer surnommé « Le Piqueur ».
Paul parviendra t’il à faire la lumière sur cette ténébreuse affaire ?
Lire Jacques SAUSSEY est toujours un grand plaisir. Ses intrigues sont bien construites et le suspens demeure entier jusqu’à la dernière page. En cela, le roman est tout à fait comparable à « Ce qu’il faut de haine » et à « L’aigle noir » que j’ai lus il y a quelques mois.
J’apprécie tout particulièrement l’art avec lequel l’auteur guide le lecteur sans jamais le perdre, quelle que soit la complexité de l’intrigue. Là, ce sont trois enquêtes parallèles qui sont menées simultanément sans qu’il ne soit un seul instant dérouté.
De plus, les indices sont semés de telle sorte que l’on s’efforce de reconstituer le puzzle menant aux coupables en même temps que les enquêteurs, nous donnant l’impression d’être comme intégrés à leur équipe. Avec eux, on s’interroge, on formule des hypothèses…et on se trompe bien sûr souvent, si bien que le dénouement est plutôt inattendu.
Merci à Jacques SAUSSEY pour ce nouvel opus palpitant, et la porte étant entrouverte à la fin du livre, à quand une suite aux aventures de l’ex commandant Kessler, personnage tourmenté et si attachant ?
Je remercie les Editions Fleuve Noir et Netgalley pour l’envoi de ce polar que je recommande vivement aux amateurs.
J'ai passé un très bon moment avec ce roman que j'ai découvert grâce à la chroniqueuse Ilestbiencelivre. C'est du bon Suassey avec un retour aux sources de son écriture.
Ancien commandant de la crime à Lyon, Paul tente de reconstruire sa vie dans le Var quand un incendie criminel l’oblige à remonter dans le temps de dix années. Il part, convaincu brusquement que Laurence, la pyromane de sa nouvelle demeure, tente de l’alerter sur une possible erreur judiciaire. Il va alors se mettre à disposition de son ancienne équipe d’enquêteurs et de leur cheffe bien décidée à ne lui faire aucun cadeau. Il aura à résoudre un cold case mais pas que car… parallèlement, un « piqueur en série » s’attaque à des jeunes femmes. Se pourrait-il qu’il ait un lien avec la disparition de la fille de Laurence en 2014 ?
C’est bien une intrigue « à la Saussey » que nous livre l’auteur, imbriquant le passé au présent dans la vie de gens qui auraient pu dérouler leur destin sans accrocs. Mais l’ami Jacques veille au grain et, fidèle à sa réputation, nous distille le doute, au cœur d’une palette de fausses pistes bien crédibles.
J’ai aimé les personnages avec une mention particulière pour Zoé. Même les méchants -et là je devrais dire « les méchantes » à ne pas confondre avec les coupables - méritent qu’on s’attarde sur leur psychologie.
Jacques Saussey semble entamer une série en reprenant ici le personnage de son flic retraité dont nous avions fait connaissance à la Réunion avec L’aigle noir. Le cru 2024 est toutefois indépendant.
Moins sanglant que Ce qu’il faut de haine, un bon suspense, une belle histoire, des personnages bien campés … un bon moment de lecture pour vous, les amis !
Je remercie #Leseulcoupable #NetGalleyFrance et jacques Saussey qui réserve toujours un très bon accueil à ses lecteurs en salon !
Paul Kessler, policier à la retraite, doit se replonger dans une affaire vieille de 10 ans , poussé par l'incendie volontaire qui a dévasté sa maison et tous ses souvenirs. L'incendiaire le ramène vers le passé, vers une enquête qu'il a dirigée et qui pourrait bien être une erreur judiciaire.
J'ai découvert il y a seulement quelques mois les écrits de Jacques Saussay et suis immédiatement devenue fan. Dans ce roman noir, il déploie avec l'art qui fait son succès, son style fluide qui, dès les premières pages, capte l'attention du lecteur pour ne plus le lâcher.
Les chapitres courts et leur fin en point de suspension donnent au roman son rythme intense. le récit est passionnant : l'ex-commissaire renoue avec son ancienne équipe, mais se retrouve en compétition avec elle. Deux enquêtes parallèles tissent les fils de cette toile complexe. L'auteur déroule par petits bouts, dans un crescendo magistralement construit, une histoire tortueuse.
Pour autant, il construit ses personnages avec beaucoup d'humanité, les rendant très attachants, que ce soit ce vieux commissaire brisé par la vie, ou ses ex-coéquipiers qui ont chacun une vie sentimentale, des fêlures, des motivations propres. La psychologie des autres protagonistes est tout aussi bien développée, avec des caractères ambigus, tourmentés, ravagés, traumatisés.
Cette fois encore Jacques Saussey fait mouche. Ce second opus des enquêtes de Paul Kessler, qui peut se lire indépendamment du premier (L'aigle noir), est une réussite.
Merci à NetGalley et aux Editions Fleuve Noir.
Le seul coupable est le dernier roman de Jacques Saussey, dont l’illustration sobre et efficace m’a invité à découvrir son contenu et…j’adore !
Paul Kessler, commandant de police à la retraite, est amené à se pencher sur une de ses anciennes enquêtes, dont la résolution est remise en question par la mère de la victime.
En commençant la lecture, je ne savais pas qu’il s’agissait d’un tome 2. Cela ne gêne en rien. Le passé et les liens entre les personnages sont clairement exposés.
Très bien construit, ce roman pourrait paraître simple du fait de sa narration classique. En réalité, il est plutôt complexe. C’est là tout le génie de l’auteur ! Chaque élément a son importance, rien n’est écrit au hasard et la maîtrise des flash-back est à souligner. Pas de descriptions inutiles, tout est axé sur l’intrigue à tiroirs.
Deux enquêtes parallèles, plusieurs équipes, officielles ou officieuses, des rebondissements et des fausses pistes pour nous balader jusqu’au final. Les chapitres courts et l’écriture précise rendent la lecture palpitante et le livre difficile à lâcher.
Un vrai bon polar de qualité.
Je remercie #netgalleyfrance, les éditions #fleuvenoir et l’auteur pour l’envoi du roman et attends avec impatience de retrouver Paul dans de nouvelles aventures.
Début septembre 2024 dans le Var, Paul Kessler, un commandant de police à la retraite depuis six ans, est attablé à une terrasse lorsqu'il aperçoit un important panache de fumée s'élever au-dessus de sa maison... Il a tout perdu, les souvenirs de ses parents, son fils, son ex-femme tous décédés. La gendarmerie retrouve très rapidement la coupable qui habite près de Lyon. Paul Kessler la connaît puisqu'il s'agit de la mère d'une victime dont le meurtrier a été appréhendé par son équipe dix ans auparavant. La mère lui apprend qu'ils se sont trompés et que le criminel emprisonné et décédé dans des conditions étranges est en réalité innocent. Elle souhaite que l'enquête soit réouverte par Paul, la commandante actuelle ayant refusé de le faire. Intrigué et plein de doutes, Paul cherche à comprendre et se rend compte que quelque chose cloche...
Voilà un bon roman policier où les surprises surviennent régulièrement. Je me suis complètement identifié à Paul Kessler alors que je n'ai rien en commun avec ce personnage, déjà apparu dans le livre "L'aigle noir". J'ai aimé son opiniâtreté, ses facultés à se remettre en question tout en ayant une approche très humaine. L'histoire se développe avec deux enquêtes en parallèle, la première est menée par l'ancien commandant et la seconde par son son ancienne équipe de Lyon. Un homme qui drogue des femmes en utilisant une seringue la tient en échec et elle doit reprendre la vieille affaire... J'aime toujours les livres de Jacques Saussey car il développe toujours la psychologie de ses personnages, rien n'est blanc ou noir, c'est un mélange bien dosé. Les attitudes parfois sévères des personnages ont souvent une raison. Un livre à placer dans toutes les mains 😉
Jacques Saussey nous plonge dans une double enquête complexe qui va secouer Paul Kessler, ancien commandant de police, et faire vaciller toutes ses certitudes. Alors qu’un événement dramatique ravive une affaire vieille de dix ans, celle d’une jeune fille retrouvée assassinée, Kessler est brutalement confronté à la possibilité troublante d’une erreur judiciaire.
Saussey, véritable maître de la manipulation narrative, nous mène habilement d’un indice à l’autre, distillant savamment les rebondissements dans une enquête qui s’assombrit et s’épaissit au fil des pages. L’intrigue est peaufinée dans les moindres détails et parfaitement maîtrisée. La tension ne cesse de monter, culminant dans un dénouement aussi surprenant que satisfaisant. J’ai apprécié la manière dont l’auteur entremêle deux enquêtes, sans jamais perdre le fil de l’intrigue principale, chaque élément s’emboîte naturellement, sans jamais diluer l’intensité.
Les personnages sont travaillés avec profondeur, et l’on sent que l’auteur prend soin de trouver un équilibre parfait entre l’intrigue policière et la vie privée des protagonistes. Kessler, avec ses doutes et ses failles, nous apparaît profondément humain, c’est un personnage à la fois attachant et imparfait. Les autres personnages enrichissent cette tension dramatique avec une présence marquante.
Le rythme est soutenu, et l’histoire ne laisse aucun répit. Les rebondissements, nombreux mais bien dosés, servent véritablement l’intrigue, ajoutant de l’ampleur et de la profondeur au récit. L’auteur sait nous balader, ébranlant constamment nos certitudes tout en nous tenant en haleine du début à la fin.
Avec Le Seul Coupable, Jacques Saussey prouve une fois encore qu’il est un maître du genre. Alliant une intrigue captivante, des personnages nuancés et une écriture incisive, ce roman est un très bon polar et un très bon Saussey. Je vous le recommande vivement.
Un polar intéressant avec une intrigue solide et une enquête bien menée.
L'intérêt principal de ce polar tient au charisme de son personnage central Paul Kessler et de l'intrigue, l'auteur nous "balade" d'un événement à un autre, sans lien apparent, avec une résolution inattendue. Et un épilogue plus que surprenant.
ça aurait pu être une bonne lecture s’il n’y avait pas eu des “propos” qui m’ont profondément dérangés, mais c’est un sentiment très personnel.
Donc, lisez-le pour vous faire votre propre opinion.
Paul Kessler, ancien commandant de police, fraîchement à la retraite, voit sa maison fondre sous les flammes.
Cet acte criminel le propulse dans une de ses enquête passée.
En parallèle, son ancienne équipe, dirigée maintenant par Ericka, est sur une autre affaire de crimes sordides dont l’auteur est « le piqueur »
Il drogue, viole et tue ses victimes
J’apprécie beaucoup Paul, après l’avoir découvert dans « l’aigle noir », je le cerne un peu plus ici, sa vie passée n’est pas des plus envieuses, il vit avec des ecchymoses dont il essaye de faire abstraction
Il n’a de cesse d’aider son prochain et souhaite ici découvrir pourquoi il a peut-être fait emprisonner une personne par erreur, quelle faute a-t-il pu faire à l’époque ?
Qu’est-ce qui lui a échappé dans son enquête ?
Zoé, petite nouvelle policière recrutée par Ericka, sera présente aux côtés de Paul.
Elle est très attachante et je suis d’autant plus ravie de ce qu’elle devient au cours de ce récit
Derrière la plume de Jacques Saussey, je reste toujours très sereine. Jamais de déceptions
Ici il nous régale avec un polar dont le rythme s’adapte à la situation, juste la bonne dose, posé puis ça s’accélère si besoin
il nous amène dignement vers une intrigue savamment cousue, avec des mises en situations toujours bien décrites.
Les femmes sont autant de la partie que les hommes dans ce polar. Que ce soit d’un point de vue des policiers, meurtriers ou victimes.
Un bon puzzle de vies humaines, qui se construit, mais reste fragile, pas d’écart, ni de déviance…
Aucune surenchère, pas de super-héros.
Un récit qui ouvre nos horizons vers plusieurs possibilités, toutes aussi plausibles les unes que les autres et j’aime cette fin qui jusqu’à la dernière ligne nous fait entrevoir des vérités insoupçonnées. La dernière pièce du puzzle posée et tout s’éclaire.
Faites comme moi…
Plongez dans ce polar qui ne peut que vous plaire
J’ai adoré me faire balader