
L'énigme Modigliani
par Eric Mercier
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Date de parution 7 févr. 2025 | Archivage 8 mars 2025
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Résumé
Lorsqu’un tableau jusque-là inconnu de Modigliani est découvert, c’est une énigme vieille de plus d’un siècle qui ressurgit. Entre l’identité mystérieuse de la modèle qui a inspiré le peintre au début du XXe siècle et le cadavre d’un faussaire retrouvé de nos jours, un monde de dissimulations et de crimes se révèle.
Un célèbre faussaire, tout juste sorti de prison, est retrouvé pendu dans une décharge du Val de Marne. La victime a été ébouillantée, un châtiment réservé aux vendeurs de faux tableaux l’Ancien Régime. La Brigade criminelle de Paris, menée par le commandant Vicaux, est mise sur l’enquête.
En parallèle, Anne, une historienne de l’art spécialisée dans la restitution des œuvres spoliées par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale, découvre qu’un tableau jusqu’alors inconnu de Modigliani est sur le point de passer en salle des ventes. La toile représente une jeune femme, Aliza. Qui est-elle ? Dans quelles conditions ce tableau a-t-il été peint ? Ses recherches nous plongent des décennies en arrière, en 1918, quand le peintre italien écume les bistros de la bohème parisienne, en quête de nouveaux modèles…
Éric Mercier, docteur en histoire de l’art et commissaire d’exposition, manie érudition et suspense avec brio. Après Dans la peau de Buffet, Panique à Drouot, Fauves et Le Secret de Van Gogh, Éric Mercier s’attaque à deux pans majeurs de l’histoire de l’art : l’œuvre de Modigliani et le monde secret des faussaires.
Egalement publié en poche chez Harper Collins.
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Ils recommandent !
À propos du Secret de Van Gogh (paru mars 2024)
« La traque d’un criminel et d’un tableau qui fait fantasmer les amateurs de peinture »
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« L’écrivain réussit à nouveau le tour de force d’embarquer aussi bien les amateurs d’intrigue policière n’y connaissant rien en peinture que les amateurs d’art pas spécialement férus du genre. »
L’Est Républicain – Valérie Susset
« Au fil d’une enquête ardue, l’auteur nancéien Éric Mercier mixe habilement polar et monde de l’art en renouant avec les personnages de ses précédents romans. »
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À propos de Fauves et Panique à Drouot
« On craque pour l’enquêteur mais aussi pour son romancier qui vient de la finance, docteur en histoire de l’art, à la langue plus riche qu’un cruciverbiste. Mercier, adjugé, vendu. » Julie Malaure, Le Point
« Écrite par un commissaire d’expositions et historien de l’art, cette enquête, menée à un rythme effréné par un duo de policiers attachants, se dévore d’une traite » Télé Loisirs
« Éric Mercier, docteur en histoire de l’art, emmène son lecteur dans le milieu fermé des traqueurs de faussaires... Un polar accessible et haletant, pas trop noir, dans lequel on est embarqué par l’intrigue tout autant que par la découverte d’un univers élitiste mais fascinant. » Ouest France
« Bienvenue dans le monde impitoyable et dangereux du monde de l’art et des marchands de tableaux. Attention danger ! » Librairie La Griffe noire
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Formats disponibles
FORMAT | Grand Format |
ISBN | 9791040121909 |
PRIX | 21,00 € (EUR) |
PAGES | 400 |
Disponible sur NetGalley
Chroniques partagées sur la page du titre

Modigliani, j’adore, le personnage, les peintures, la période à laquelle il a vécu et tous les personnages de ce début de XXeme siècle, artistes connus ou en devenir !
Un homme exubérant, qui brûle la vie par les deux bouts, fume, se drogue, vit à 100 à l’heure même à l’heure où les déplacements sont lents ! Peint comme il respire, s’offre ou se fait offrir ce qu’il veut, vend ses tableaux contre un logement, mais a le flair pour vivre à peu près correctement de ses ventes et de son art, touche à tout de génie et particulièrement touche aux femmes.. dont il réalise les portraits contre leurs « faveurs » comme on disait à l’époque !
Et il a eu raison.. ou tort, c’est selon.. puisqu’il est mort à 36 ans, laissant derrière lui une enfant, Jeanne, encore bébé !
Et pourtant, voilà que récemment, un tableau inconnu apparaît dans le catalogue des ventes : Aliza
et.. un homme est découvert pendu après avoir été ébouillanté dans un bois de la banlieue parisienne.
C’est tout ce que je vous dévoilerai, je vous laisse la joie et le plaisir de vous laisser mener par le bout du nez par des policiers et une enquêtrice travaillant à la récupération des biens juifs !
Un dédale dont vous ne sortirez qu’avec leur aide !
Un vrai plaisir de lecture, de connaissances et de découvertes, tant au niveau policier et techniques d’investigation, que de culture artistique mêlant peintres, sculpteurs, pauvres hères et riches galeristes, aux prises avec des faussaires de renommée internationale et tout un monde ignoré du commun des mortels !!
merci à netgalley et aux éditions de la Martinière pour cette avant première

L'Énigme Modigliani (Commandant Frédéric Vocaux, Tome 5) ~ Eric Mercier
Parution : 07.02.2025 _ 400p
Mon avis : Ce roman est le cinquième de l'auteur d'une série mêlant enquêtes policières et monde de l'art. Bien que je n'ai point lu les précédents romans, celà n'a pas entaché ma compréhension du récit et ne m'a pas empêché de prendre du plaisir à cette lecture. Pour ceux s'intéressent au monde de l'art et aiment les enquêtes policières de bonne facture , ce roman est fait pour vous.
L'enquête sur le meurtre d'un faussaire de Modigliani poussera le commandant et sa compagne Anne à s'intéresser à la vie d'Amedeo Modigliani et surtout à son modèle objet de la toile en question, la mystérieuse Aliza Lodève. Modigliani et son trait si reconnaissable que je qualifierais de naïf mais où le sens du détail ne manque pas sur ses toiles. Les fausses pistes sont présentes et crédibles, l'enquête policière est rondement menée.
J'ai appris quelques termes liés au monde de l'art et la plume d'Éric Mercier est agréable, les personnages plutôt bien développés. Nous ne sommes pas dans un véritable thriller mais une enquête policière dans le milieu de la peinture. Je n'hésiterai pas à découvrir de futurs romans ou certains de ses précédents.
⭐⭐⭐🌠
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Plongez dans L’énigme Modigliani, un roman policier où les destins se croisent entre les Années folles et aujourd’hui, sur fond de spoliation d’œuvres d’art et de meurtres à résoudre. Si les thèmes passionnants et l’intrigue multifacette séduisent, l’abondance de détails superflus et une conclusion un peu expéditive laissent une impression plus mitigée.
Le roman se déroule à Paris sur deux temporalités, l’une évoque les années qui suivent la Grande Guerre et l’enquête a lieu de nos jours.
Aliza Lodève, jeune journaliste stagiaire au journal l’Intransigeant, couvre l’enterrement de Guillaume Apollinaire. Le soir, elle va dîner avec sa voisine, Josette. Dans le même restaurant, deux peintres discutent bruyamment. L’un d’eux, un Italien la déshabille du regard.
La lieutenante Madleen Jaubert-Delarue intègre la Brigade criminelle de Paris. Un renfort qui n’est pas de refus alors qu’un homicide vient de tomber.
J’ai été souvent noyée dans des détails qui présentent peu d’intérêt, on perd de vue certains personnages, alors que de nouveaux arrivent. Dommage, l’intrigue est excellente. J’aurais aimé que le récit soit un peu plus ramassé, mais qu’en revanche la résolution de la dernière énigme (oui, il y en a plusieurs) prenne un peu plus de temps. Un policier a fait une enquête et son chef raconte le résultat.
J’ai adoré l’évocation d’Amédéo Modigliani, en apprendre plus sur lui. J’ai vraiment aimé les descriptions que fait l’auteur de ses peintures. Un vrai bonheur !

Ce roman mêle habilement enquête policière, histoire de l'art et grande Histoire. En effet, un homme est retrouvé pendu dans une décharge dans le Val de Marne, qui va amener les enquêteurs sur la piste de faussaires qui croisera celle de Modigliani. Comment ? Il faut s'immerger dans l'enquête pour comprendre le lien entre un tableau "Aliza" du célèbre peintre réapparu dans une vente aux enchères chez Drouot et le meurtre. Les personnages sont bien campés (j'adore l'utilisation de mots un peu démodés par l'enquêteur principal), l'intrigue très prenante et le fonds historique solidement documenté.
L'écriture est fluide, l'auteur expert et les rebondissements nombreux. Je recommande chaudement ce roman policier qui donnera sûrement envie de lire les autres titres de cet auteur.

C'est le titre qui m'a tout de suite intriguée. J'aime beaucoup les livres sur l'art, sur les peintres en général. J'aime lire leurs biographies ou des romans inspirés par leur vie. Je n'avais encore jamais lu de roman de Eric Mercier, même si je le connaissais pour avoir vu passer son précédent roman, "Le secret de Van Gogh", qui est le peintre sur lequel je crois avoir lu le plus de livres. Quand, après avoir lu le résumé, j'ai vu qu'il était également question d'une enquête policière, je me suis alors dit que tous les ingrédients étaient réunis pour passer un bon moment de lecture. Et ce fut le cas.
J'ai compris en commençant ce livre, que les personnages étaient déjà présents dans les romans précédents, et qu'il s'agissait d'une nouvelle enquête d'une équipe policière. Cela ne m'a pas dérangée du tout de ne pas avoir lu les enquêtes précédentes qui portent également sur l'art, j'ai tout de même pu suivre la vie des personnages. L'enquêteur principal est Frédéric Vicaux de la Criminelle. Il vit avec Anne, spécialisée en histoire de l'art et qui travaille pour un cabinet spécialisé dans la restitution des œuvres spoliées par les nazis.
L'histoire débute par un meurtre. Un ancien faussaire célèbre est retrouvé mort dans une décharge, pendu, mais surtout ébouillanté, comme l'étaient dans l'ancien temps les faussaires. Le commissaire Vicaux va donc mener l'enquête avec son équipe. Quelques jours plus tard, le corps d'une femme va être retrouvé noyé dans la Marne. Rien ne semble relier les deux victimes, sauf leur passion pour l'art, et pour le peintre Modigliani. Difficile pour l'équipe de Frédéric de trouver des points communs entre ces deux affaires.
Dans un second temps, à côté de l'enquête policière, nous suivons Anne, la compagne de Frédéric. Un tableau jusqu'alors inconnu du peintre Amedeo Modigliani, vient d'apparaitre lors d'une vente aux enchères. Qui est cette jeune femme représentée sur le tableau, l'œuvre revient alors aux descendants du peintre, Anne part alors à la recherche de l'identité de cette femme. On suit en parallèle justement, cette jeune femme, Aliza Lodève, qui a vécu un siècle plus tôt, et qui rencontra le peintre en 1918. Elle en tomba follement amoureuse, même s'ils ne vécurent jamais ensemble. Anne va chercher à savoir si Aliza a eu un enfant, qui serait alors le descendant du peintre.
J'ai beaucoup aimé la construction de ce roman, qui alterne entre des chapitres consacrés à l'enquête de Frédéric, avec ceux consacrés à Anne, puis d'autres, écrits en italique où l'on fait un retour dans le passé d'un siècle pour suivre Aliza. Cette construction donne beaucoup de rythme à la lecture, j'aime ce procédé, car je ne m'ennuie jamais, et cela crée également beaucoup de suspense. Quand je quitte un chapitre et des personnages, j'ai très envie de revenir vite vers eux pour savoir ce qu'il se passe, et cela donne envie de lire encore plus vite.
L'enquête est très bien menée, c'est par moment un sac de nœuds inextricable, et le suspense reste entier jusqu'au bout. J'ai trouvé les personnages attachants, que ce soient Frédéric et Anne ou ceux du passé, j'ai beaucoup aimé Aliza. On sent que l'auteur connait son sujet, il est docteur en histoire de l'art et commissaire d'exposition, ceci explique cela. J'ai surtout apprécié qu'il rende l'art si accessible et à la portée de tous. Je trouve alors que la lecture allie avec brio le divertissement et l'enrichissement culturel. J'ai eu envie de découvrir un peu plus Modigliani, et j'ai fait quelques recherches sur lui sur le net, j'ai regardé quelques unes de ses œuvres. J'aime vraiment quand un livre me pousse à faire cela, c'est tellement enrichissant. L'auteur parle aussi du trafic d'œuvres d'art, de la spoliation des nazis au moment de la seconde guerre mondiale, de techniques d'investigation policière, c'est vraiment un livre très complet et très instructif.
Je découvre Eric Mercier, et je vais continuer à le découvrir. J'ai beaucoup aimé son style, la fluidité de sa plume, sa façon de raconter une histoire. Il sait mener le suspense, avec des rebondissements savamment dosés, avec des informations qui bouleversent tout ce qui a été dit, c'est vraiment très bien écrit. Je me suis attachée aux personnages, aussi à cause de la narration à la première personne. C'est Frédéric le narrateur, et pendant tout le récit, je suis vraiment entrée dans sa tête, suivant la moindre de ses idées ou intuitions, et ressentant la moindre de ses émotions. L'auteur décrit également très bien les scènes, il a une écriture très visuelle, j'arrivais parfaitement à visualiser les lieux ou les personnes. C'est un récit vraiment très immersif où je n'ai relevé la tête qu'à la toute fin. Fin que je n'avais pas vu arriver, et qui jusqu'au bout aura su me tenir en haleine.
Comme je le disais plus haut, commencer par ce livre ne m'a pas dérangée. Par contre, maintenant, j'ai très envie de lire les autres livres, et retrouver Frédéric et Anne dans d'autres enquêtes et avec d'autres artistes célèbres. Bien sûr, je pense que je commencerai par celui sur Van Gogh, étant mon artiste chouchou, puis ensuite celui sur Buffet. Je vous rassure, il n'y a pas besoin d'aimer l'art ou ces peintres pour lire ce livre. C'est aussi et avant tout une très bonne enquête policière et un suspense très addictif. L'art et l'Histoire avec un grand H est un plus qui est, pour moi, très appréciable.
Si vous ne connaissez pas encore Eric Mercier, je ne peux que vous encourager à le faire, en lisant ce livre ou un autre, peu importe. Je suis très contente de cette découverte, je vais noter cet auteur dans ma liste d'auteurs à suivre.
Il ne me reste plus qu'à remercier Eric Mercier pour ce très bon moment de lecture. Et je remercie également les éditions de La Martinière de m'avoir confié ce livre par l'intermédiaire de NetGalley.

1918. Rencontre de Modigliani et d'Aliza dans un café parisien. De nos jours, une double enquête autour d'un tableau inconnu de Modigliani. Une enquête policière sur la mort d'un faussaire par le commandant Vicaud et sa brigade. La seconde enquête, historique, est menée par Anne, la compagne de Vicaud, historienne de l'art, spécialiste de la restitution des œuvres spoliées par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle va remonter le temps à la recherche du contexte de la création de l'oeuvre et de son mystérieux modèle, Aliza.
Voilà donc l'intrigue de départ de ce roman policier qui respecte les codes du genre et y ajoute une dimension d'histoire de l'art. On apprend beaucoup de choses, sur le châtiment par ébouillantage des faussaires d'art, en Europe depuis le XIIe siècle. Sur les archives de la Shoah et sur la spoliation des oeuvres d'art par les nazis. Et sur l'histoire de l'art en général. Il est vrai que l'auteur est critique d'art.

Un mystérieux tableau de Modigliani, un faussaire assassiné, une experte retrouvé noyé..Tout pour une enquête passionnante dans le monde de l'art.
Un bon roman si un petit détail ne m'avait pas fait tiqué, mais ce n'est qu'un détail et pour le reste le suspens est parfait!

Voici une nouvelle enquête du groupe du commandant Vicaux qui nous plonge une fois encore dans l’histoire de l’art. C’est Modigliani qui sera cette fois le fil rouge de ce roman policier, le cinquième d’une série.
L’enquête est construite selon le même schéma que les précédentes : Vicaux doit élucider un premier meurtre qui a un rapport direct avec l’art pictural, cette fois celui d’un faussaire condamné et sorti de prison, et sa compagne Anne travaille sur l’histoire d’une toile, ici un tableau de Modigliani spolié par les nazis. Entre une intrigue qui ménage le suspens et les détails de la biographie du peintre et de son modèle, le lecteur n’a pas le temps de s’ennuyer et complète sa culture sur l’art du début du XXème siècle.
Il n’est pas nécessaire d’avoir lu les enquêtes précédentes pour en profiter, même si quelques détails sur la vie privée des personnages sont révélés. La multiplication des points de vue permet de bien distinguer les intrigues (qui se rejoignent bien évidemment à la fin) et de ne pas se perdre entre les époques et les personnages.
Je remercie vivement les éditions de la Martinière et NetGalley pour cette lecture.

J’avais découvert par hasard, l’année dernière, Le secret de Van Gogh, dont j’avais apprécié l’enquête autour de l’histoire de l’art.
C’est avec plaisir, que je retrouve donc les héros le commandant de police Vicaux et sa compagne Anne, spécialisée dans les tableaux spoliés pendant la guerre.
C’est le cinquième tome, ce que je ne savais pas, mais qui se lit sans aucun problème, sans les repères précédents.
Il y a plusieurs histoires, de nouveau, dans ce roman, l’enquête sur le meurtre d’un faussaire, l’apparition d’une toile inédite de Modigliani, et la jeune femme qui a inspiré le peintre.
Comment ces trois éléments sont-ils reliés ? C’est très divertissant, très prenant, la grande histoire côtoie de façon intelligente celle de héros ordinaires.
Une jolie façon de découvrir un peintre, des circonstances historiques, et qui donneront, je l’espère, envie de creuser ces différents sujets.
Il ne me reste plus qu’à me procurer les trois tomes manquants !!!

C’est avec ce roman, mon premier lu de l’auteur, que je découvre cette série policière qui mêle polar et art.
Moi qui apprécie beaucoup la série télévisée « L’art du crime », j’ai apprécié également cette plongée dans le monde de l’art et ses coulisses…
Le commandant Frédéric Vicaux, de la Brigade criminelle, et Anne, sa compagne historienne de l’art, en sont ici à leur 5 ème enquête!
Tandis que l’un enquête sur la mort, particulièrement cruelle, d’un célèbre faussaire, tout juste sorti de prison, l’autre, spécialisée dans la restitution des œuvres spoliées par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale, découvre qu’un tableau jusqu’alors inconnu de Modigliani est sur le point de passer en salle des ventes. La toile représente une mystérieuse jeune femme, Aliza… Une troisième partie en alternance relate la vie de cette jeune femme et le contexte de sa rencontre avec le peintre.
Les trois parties du puzzle vont bien évidement se rejoindre et forment un triptyque réussi qui me donne envie de reprendre la série à son début et de découvrir les premières aventures du duo ! J’aime ces enquêtes qui ouvrent vers d’autres horizons, artistiques et historiques, tout en ménageant un bon suspens !

De nos jours, un célèbre ancien faussaire est retrouvé mort dans une décharge, ébouillanté comme le sort qui leur était réservé dans l’Ancien Régime. La mort a-t-elle vraiment un rapport avec son passé ou est-ce un étrange hasard ?
L’enquête va être confiée à Frédéric Vicaux de la Crim et à son équipe, et ils vont avoir du travail,car après une petite période de flottement, les nombreuses pistes (bonnes ou mauvaises ?) vont se multiplier rapidement.
D’autant plus qu’il va y avoir une autre victime qui, à première vue, n’a aucun rapport avec le faussaire, si ce n’est leur passion pour le peintre Modigliani. Mais est-ce un point suffisant pour établir un lien entre les deux morts ?
En même temps que l’enquête, nous suivons Anne, qui travaille pour un cabinet spécialisé dans la restitution des œuvres spoliées par les nazis, qui fait des recherches approfondies sur un tableau inconnu qui vient d’apparaitre dans un catalogue d’enchères. Il s’agit là aussi d’une œuvre d’Amedeo Modigliani.
On voyage beaucoup avec ce livre. Dans le temps, en premier, entre la fin de la Seconde Guerre Mondiale, lorsque le peintre peint son œuvre et rencontre son modèle dans un bistrot, et l’affaire qui occupe la Crim à notre époque, et en Europe, en allant de l’Allemagne à la France en passant par la Suisse. Cela fait pas mal de suspens, de suspects et de mobiles idéaux, et d’informations, mais je n’ai été perdu à aucun moment.
Au contraire, entre les rebondissements, le style d’écriture, le choix des mots, et les différences de narrations, j’ai été absorbé du début à la fin et j’ai même été jaloux de l’auteur, car j’aimerais avoir cette patte dans mon écriture.
Pas besoin d’aimer spécialement l’art ou ce peintre pour se plonger dans ce très bon polar sans temps mort. Car, lorsque l’auteur évoque le peintre, tout est bien clair, et comme j’aime apprendre des choses en lisant, j’ai été servi pour ma part. Ce livre est donc un combo parfait et je l’ai dévoré en seulement deux fois.

Ce roman nous plonge dans l’univers fascinant du marché de l’art à la façon d’une enquête policière… Une toile mystérieusement retrouvée, dite attribuée au peintre Amedo Modigliani. Quelle est la vérité sur cette œuvre ? Quel est le lien avec le meurtre ? Entre faussaires, collectionneurs avides et experts en quête de vérité, l’histoire s’érige comme un thriller élégant, nourri par une profonde connaissance de l’histoire de l’art et des intrigues qui l’entourent.
J’ai bien aimé ce roman, tant par ses connaissances dans l’Histoire de l’Art, que par son intrigue et son enquête. L’auteur dresse un portrait réaliste et nuancé des rouages secret du marché de l’art : ses scandales, ses ambitions démesurées, mais également sa beauté intemporelle. L’intrigue est très bien maîtrisée, le suspense est savamment dosé et le lecteur est entraîné dans une quête effrénée pour démêler les fils de cette énigme. Seul petit bémol pour moi, c’est l’aspect très technique du marché de l’art qui peut parfois laisser certains lecteurs moins sensibles se perdre dans des termes spécifiques. Néanmoins, l’auteur compense par des efforts d’accessibilité et surtout par son intrigue alléchante.
Je remercie la plateforme NetGalley et les éditions La Martinière pour son envoi du Service Presse, je me suis régalée !

L’énigme Modigliani de Eric Mercier est un polar qui mêle trois histoires dans le monde de l’art. Un premier meurtre assez sordide d’un faussaire, puis un deuxième meurtre. Sont ils liés ? L’enquête est confiée à l’inspecteur Frédéric Vicaux et son équipe.
Une enquête sur un tableau de Modigliani inconnu mais qui se révèle avoir été spolié pendant la Seconde Guerre mondiale. Celle-ci est confiée à Anne, la compagne de Frédéric, qui travaille dans un cabinet qui recherche les œuvres spoliés par les nazis.
Et la 3e histoire est celle de ce tableau et de son modèle juste après la Première Guerre mondiale.
On est trop vite entraîné dans ce roman qui se lit avec plaisir. Les chapitres alternent les histoires et donnent du rythme à l’ensemble. L’écriture est agréable et les personnages principaux sont assez sympathiques. J’ai très vite compris que Frédéric et Anne n’en étaient pas à leur première enquête dans le domaine de l’art et en me renseignant je me suis aperçue que ce roman arrive après d’autres de Eric Mercier. Cela n’est pas gênant pour lire celui-ci même si certains éléments sur la vie personnelle de Anne et Frédéric sont mentionnés .
J’ai surtout apprécié l’enquête menée par Anne et ses recherches pour découvrir la vérité sur ce tableau. Je ne connaissais pas beaucoup les œuvres de Modigliani et ce roman m’a apporté pas mal d’infos sur le peintre et son œuvre car Eric Mercier est un spécialiste de l’art et cela se ressent dans son roman.
Je ne vais sans doute pas m’arrêter là. J’ai très envie maintenant de découvrir les autres romans de cet auteur que je ne connaissais pas. Je remercie les éditions de La Martiniere et NetGalley pour cette découverte.

Un policier mêlant meurtres et arts, petite et grande Histoire. J'ai totalement plongé dans cette histoire que je n'arrivais plus à lâcher. On y croise un Modigliani jeune et séducteur, on y parle déportation mais l'essentiel du récit se passe de nos jours lorsqu'un faussaire est assassiné de façon particulièrement cruelle venue des siècles passés. Au fil de l'enquête d'autres crimes et délits surviennent et l'enquêteur, aidé de sa compagne spécialiste de l'art, suit plusieurs pistes. l'auteur réussit à nous mener là où il veut et on se surprend à découvrir la solution finale.
Un très bon moment de lecture.

Je ne crois pas avoir lu d'ouvrage écrit par Eric Mercier auparavant et c'est une jolie découverte. L'auteur mêle de façon intéressante le monde du thriller à celui de l'art et on en apprend un peu au détour de son roman.
J'ai apprécié dans ce livre son tempo fluide et rapide. D'ailleurs, les quelques interruptions pour faire des petits sauts dans le passé m'ont un peu ennuyée par leur côté un peu lent. Les personnages sont sympathiques mais un peu trop superficiels, probablement parce qu'il s'agit d'une série. Je crois que j'aimerais à les découvrir au travers des différents opus.
J'ai un peu regretté le ton parfois désuet, qui semble trancher sur un commissaire de la cinquantaine, mais il s'agit après tout d'un ouvrage littéraire. Certaines chronologies ne sont pas non plus tout à fait évidentes (je n'avais pas compris que le deuxième décès mentionné était antérieur au premier décrit).
Dans l'ensemble, j'ai trouvé du plaisir à lire cet ouvrage et je garderai l'oeil ouvert sur les autres romans de cet auteur.

** Mon ressenti : **
Quand le polar se mélange avec l’art. Cela est forcément une réussite.
Entre enquête et immersion dans la vie du peintre Modigliani et de ses œuvres, vous allez passer un excellent moment.
Nous serons baladés dans les années 20 parisienne, au cœur de paris pendant la seconde guerre et de nos jours. Un roman à triple temporalité. Quelle lecture !!
Éric Mercier est passionnant quand il nous parle d’art. J’ai vu qu’il avait écrit d’autres polar de ce genre que je vais découvrir avec grand plaisir.
Quel régal cette lecture, quel enrichissement !!
Merci aux éditions la Martinière pour sa confiance et l’envoi du service de presse via la plateforme NETGALLEY.

Éric Mercier plonge dans son cinquième tome, L’énigme Modigliani, au cœur de la spoliation des biens juifs pendant la seconde guerre mondiale en nous racontant le parcours du tableau Aliza de Modigliani.
Au départ, un meurtre : celui de Karl Liebknecht au « look de beatnik attardé », trouvé pendu et ébouillanté dans une décharge. L’enquête est confiée à l’équipe de Frédéric Vicaux aidée par la lieutenante Madleen Jaubert-Delarue nouvelle OPJ, qui intègre son service. Sa brigade criminelle est composée de huit policiers dont le Capitaine Laetitia Roux, originaire du nord, assez futée !
Ce processus d’assassinat évoque le traitement, au Moyen-Âge, de l’ébouillantage pour les faux-monnayeurs. Et en effet, leurs investigations les conduiront sur la vie de ce faussaire, jadis condamné à une peine de prison, plutôt tres connu.
Parallèlement, une avocate associée du cabinet Lantzman, Anne, poursuit une investigation. Celui-ci est spécialiste de la restitution des biens spoliés par le 3ème Reich. Ses études d’histoire de l’art lui ont permis de devenir spécialiste de l’Art de la seconde moitié du XIXè siècle. D’ailleurs, ses études lui ont fait connaître Coralie Beaune, professeur de l’art spécialiste de Modigliani.
Le tableau Alizia, dont le prénom signifie en Hébreu joyeux, raconte l’histoire de ce peintre maudit, mort de maladie incurable, passionné de peintures et de femmes, sacrifiant son talent, peu reconnu, avec des « dessins à boire dans les brasseries de Montparnasse, le Dôme et la Rotonde, souvent « .
Quel plaisir de découvrir cet écrivain, lui-même historien de l’art ! Son intrigue ne cède rien à la complexité du genre avec ses meurtres et ses fausses pistes qui mettront à jour la vérité absolument pas envisageable. Évidemment la documentation est fouillée, manière de renouer avec un peintre si talentueux que découvrir à chaque fois ses portraits, est un sortilège à chaque fois renouvelé.
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