Pourquoi il ne faut pas tuer (tout de suite) son voisin
par Laure Allard-d'Adesky; Fanny Bernard
Ce titre a été archivé. Il est désormais indisponible sur NetGalley.
Commandez ou achetez ce livre dans votre point de vente préféré !
Envoyer des titres NetGalley directement à votre Kindle ou votre application Kindle.
1
Pour lire sur votre Kindle ou dans votre application Kindle, merci d'ajouter kindle@netgalley.com en tant qu'adresse e-mail approuvée pour recevoir des documents dans votre compte Amazon. Veuillez cliquer ici pour des instructions détaillées.
2
Ensuite, retrouvez votre adresse e-mail Kindle dans votre compte Amazon et ajoutez-la ici.
Date de parution 16 janv. 2019 | Archivage 19 févr. 2019
HQN | Harlequin
Vous parlez de ce livre ? N'oubliez pas d'utiliser #PourquoiIlNeFautPasTuerToutDeSuiteSonVoisin #NetGalleyFrance ! Cliquez ici pour plus de conseils
Résumé
Le voisin est un être râleur, intolérant et, dans le pire des cas, aigri : c’est un fait avéré et bien connu de tous. Le nouveau voisin de Sylvie, lui, est un spécimen particulièrement désagréable. Resté à l’état sauvage, cet individu n’a visiblement jamais appris les bases élémentaires de tout être civilisé. Déjà, il communique avec elle par lettres alors qu’un seul étage les sépare. Ensuite, il la traite de pachyderme et propose de lui offrir en cadeau de bienvenue… une paire de charentaises. Ça tombe bien, car Sylvie n’est pas vraiment une voisine comme les autres elle non plus…
À propos des auteures :
Fanny Bernard et Laure Allard-d’Adesky se sont retrouvées grâce à leur passion commune pour l'écriture. Laure est la pro de la repartie qui fait mouche et Fanny aime creuser la psychologie des personnages. Elles partagent un sens de l'humour unique et un goût immodéré pour les romances sensuelles et originales.
Le voisin est un être râleur, intolérant et, dans le pire des cas, aigri : c’est un fait avéré et bien connu de tous. Le...
Formats disponibles
FORMAT | Ebook |
ISBN | 9782280422697 |
PRIX | 4,99 € (EUR) |
PAGES | 177 |
Chroniques partagées sur la page du titre
Merci aux éditions Harlequin pour leur confiance et ce service presse.
Quand j’ai aperçu la couverture, je me suis dit, « oui une romance contemporaine, qui doit être assez dynamique ». Je dois dire que sur le coup, je me suis légèrement plantée. Ce n’est pas la romance contemporaine comme je l’entendais. Il y a même un côté classique dans certains dialogues ou échanges. Je pense que l’utilisation de la troisième personne a fait aussi que je ne me plonge pas entièrement dans ce roman. J’ai toujours du mal avec ce mode d’écriture.
J’ai beaucoup aimé que le fil conducteur de ce roman est l’échange de lettre entre les deux protagonistes. Cela permet de donner du rythme à l’histoire et de découvrir des facettes des personnages qu’ils ne soupçonnaient pas eux même.
Tout commence par une lettre qu’un jeune quadra écrit à sa voisine du dessus car elle abuse des talons hauts et de la sono par laquelle Luis Mariano s’exprime. Une simple lettre qui va entrainer une correspondance pleine d’humour, sarcasme, piques et ainsi de suite. Lui c’est Henri, auteur à succès, qui passe le plus clair de son temps entre ses manuscrits, ses conquêtes et ses amis. C’est un artiste à l’esprit fou, qui n’aime pas les cases et les codes. Quand sa nouvelle voisine qu’il n’a jamais vu aménage un étage au dessus de lui, il ne peut s’empêcher de la contacter par le biais d’un courrier pour lui souhaiter la bienvenue à sa façon. Elle c’est Sylvie, jeune quiqua qui vit sa vie pleinement. Enfin c’est ce qu’elle pense. Car si son voisin lui permet de pimenter son quotidien à travers des lettres piquantes, voire vexantes, il lui fait aussi prendre conscience que la vie qu’elle mène n’est pas forcément la meilleure pour elle.
Si au départ tout oppose Henri et Sylvie, au fil des pages on se rend compte qu’ils fuient tous les deux une blessure du passé et qu’ils oublient dans les bras de leurs amants d’une nuit ce qui les blessent. Dans ces rencontres éclaires, c’est un appel au secours, un désir de plus sans jamais l’avouer.
Et c’est grâce à cet échange épistolaire que ces deux écorchés vont se rendre compte que leur relation est hors norme. Eux qui sont habitués à séduire par leur physique, de charmer par leur geste, ils vont se rendre compte que leur histoire est plus profonde qu’ils ne le pensaient.
Entre quiproquos, malveillance, curiosité et vérité, rien ne dit qu’ils arriveront enfin à se rencontrer et s’entendre.
Le titre m'a tout de suite attirée. J'avais envie d'une comédie romantique donc je me suis laissé convaincre.
Henri est un écrivain dont la popularité ne cesse de croître. Il aime manier les mots et le fait avec beaucoup de talent. Il décide donc d'utiliser ce mode de communication écrite pour "souhaiter la malvenue" à sa nouvelle voisine du dessus : Sylvie.
S'en suit une étrange correspondance entre deux êtres assez singuliers qui va, sans le savoir, changer la face de leurs mondes respectifs.
Il s'agit d'un roman épistolaire et je reconnais avoir ressenti cette attente entre deux de leurs lettres. La narration est omnisciente et à la troisième personne mais je pense que c'était le choix le plus judicieux puisque nos deux protagonistes ont droit à la parole à chaque lettre et cette narration m'a semblé renforcer le pouvoir de leurs courriers.
C'est un livre emprunt de maturité de par l'âge de nos héros mais également dans leur relation.
J'ai bien aimé cette romance même si elle n'est pas ce à quoi je m'attendais. Je m'imaginais plus de situations ou d'échanges rocambolesques. Pas d'humour potache ici, ni de blagues graveleuses. Seulement des imbroglios et des parcours de vie, bien que bien engagés, qui prennent un nouveau tournant. Ce n'est finalement pas une chose négative. Cette lecture m'a permise de sortir des sentiers battus par rapport aux histoires que je lis habituellement. Je n'en deviendrai pas friande mais c'est toujours agréable de quitter son petit confort de temps à autre.
La finalité du roman est belle et rappelle que l'être humain, bien qu'imparfait, a toujours eu en lui cette capacité d'évoluer et son libre arbitre.
Le titre est une vraie trouvaille et il est en total adéquation avec le contenu du livre : drôle, complètement loufoque et finalement assez émouvant. Les auteurs nous livrent un texte sur le voisinage et les rencontres surprenantes que l’on peut faire à tout âge et tous étages. Un récit court moins léger qu’il n’y paraît.
C’est une histoire finalement bouleversante. Derrière le ton sarcastique de la liaison épistolaire, les auteurs soulignent la solitude dans laquelle vivent la plupart des citadins. Sylvie et Henri ont dépassé la quarantaine. Ils vivent seuls et n’ont aucune envie de voir leur quotidien chambouler. Pourtant leur correspondance va servir de catalyseur et leur faire prendre conscience chacun dans leur coin que leur vie ne leur convient pas. Ils ont chacun un passé plus ou moins douloureux et un présent qui en découle. Ils n’avaient jusque-là jamais pris le temps de se poser les vrais questions : qu’ai-je envie de faire de ma vie ? Suis-je heureux ? Cette relation à distance va leur permettre d’ouvrir les yeux sur eux. C’est ce que j’appellerai une comédie dramatique. Sous couvert de courriers légers et drôles, les sujets de fond sont graves. Pourtant la lecture reste agréable, on s’attache à ces deux personnages finalement grincheux et aigris. Si le style épistolaire et les personnages peuvent sembler désuets, il n’en est rien de la construction du récit et de sa profondeur. Les problématiques abordées devraient résonner en chacun de nous. A la lecture de ce récit, on pourrait regarder différemment ses voisins…
Un titre accrocheur ainsi qu’un résumé fort attrayant qui ont de quoi piquer à vif ma curiosité. Deux plumes que je ne connaissais pas. Et pour une première rencontre, je ressors de ma lecture plus que séduite !
Moi qui m’attendait à une pétillante et rafraîchissante lecture avec une bonne dose de prises de bec, de coups fourrés ou encore de situations cocasses. Quelle ne fut pas ma surprise en constant que c’était toute autre chose…
La particularité de ce livre c’est que nous avons affaire à deux protagonistes beaucoup plus matures. Je dois vous avouer qu’il est rare que l’on trouve cette tranche d’âge dans ce genre de romance. Mais je vous rassure de suite, on ne s’ennuie pas un seul instant avec Henri et Sylvie. Bien au contraire. On s’attache facilement à ces deux forces de caractères qui vont vous prouver de la meilleure façon qui soit que l’amour n’a pas d’âge.
En bref… Une lecture unique dans son genre où je me suis littéralement régalée ! Laure Allard-d’Adesky et Fanny Bernard ont su faire preuve d’originalité en nous offrant une romance aux allures épistolaires. Mais en réalité c’est bien plus que cela. C’est une comédie romantique de seconde chance bien singulière qui vous fera passer par une palette d’émotions. Une très belle leçon de la vie qui vous donnera à réflexion et qui est bien évidemment à découvrir ! C’est mon premier roman de duo d’auteurs et cela ne sera pas mon dernier…
Une histoire qui aide à passer un moment plaisant. Je n’ai pas été transporté mais je ne me suis pas ennuyé.
Les principaux personnages ont du caractère et peuvent étonner par moments, par ce qu’ils sont et ce qu’ils expriment. On voyage avec ce roman, on se rend compte qu’on peut oser malgré tout : ce qu’on est, ce qu’on vit. J’ai eu un peu plus de mal avec la romance entre les protagonistes. Il m’a été plus facile de me projeter avec chacun des personnages séparément.
Une histoire qui parle de connaissance de soi et de nouveau départ.