Toute la ville en parle

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Date de parution 7 févr. 2019 | Archivage 4 mars 2019

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Résumé

L’auteur de Beignets de tomates vertes nous conte, dans ce roman choral, l’histoire d’un petit village du Missouri, Elmwood Springs, depuis sa fondation en 1889 jusqu’à nos jours. Les années passent, les bonheurs et les drames se succèdent, la société et le monde se transforment, mais les humains, avec leurs plaisirs, leurs peurs, leurs croyances, leurs amours, ne changent guère. Et c’est la même chose au cimetière puisque, loin de jouir d’un repos éternel, les défunts y continuent leurs existences, sous une forme particulière. Au fil des décès, ils voient ainsi arriver avec plaisir leurs proches et leurs descendants, qui leur donnent des nouvelles fraîches du village. Tout irait ainsi pour le mieux dans ce monde, et dans l’autre, si d’inexplicables disparitions ne venaient bouleverser la vie, et la mort, de cette paisible petite communauté. On retrouve dans ce roman revigorant en diable, peuplé de personnages plus attachants les uns que les autres, toute la tendresse, le charme fou et la philosophie heureuse de Fannie Flagg.

L’auteur de Beignets de tomates vertes nous conte, dans ce roman choral, l’histoire d’un petit village du Missouri, Elmwood Springs, depuis sa fondation en 1889 jusqu’à nos jours. Les années passent...


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782749157962
PRIX 21,00 € (EUR)

Chroniques partagées sur la page du titre

Le "Prequel" de " nous irons tous au Paradis" , deja un de mes gros coup de coeur.
Fannie Flag est formidable.
Elle fait vivre une ville entière par petites touches , à travers ses habitants et sur plusieurs generations...
Entre les vivants et les disparus , le monde se construit et change , mais l'amour, l'amitié, l'entraide , le bienveillance ainsi bien sûr que quelques autres defauts , occupent toujours les êtres humains qui l'habitent.
Un merveilleux "Feel Good Book" , à mettre entre toutes les mains
ils sont rares les auteurs de talent qui font du bien

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L’auteur de Beignets de tomates vertes nous propose ici l'histoire d'une petite ville du Missouri de 1889 à nos jours. A travers le prisme des habitants, originaires de Suède, c'est l'Histoire qui se dessine à travers les malheurs et bonheurs des uns et des autres.

Les conflits mondiaux, la récession américaine, l'émancipation des femmes, un récit qui fourmille de vie.

C'est simple, pas de monstres, d'assassinats mais c'est intense, ça sonne juste et c'est très agréable à lire. Un seul regret : avoir déjà fini le livre ! Une belle bulle de lecture à savourer.

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De sa fondation en 1889 à aujourd’hui, c’est toute l’histoire d’un village du Missouri qui prend place sous nos yeux. Elmwood Springs, c’est son nom et cette commune rurale, fondée de toutes pièces autour de sa laiterie connaitra son épanouissement au fil du temps. C’est pour moi le premier des personnages mais il y en a bien d’autres qui forment une communauté à part entière.

Le réel flirte allégrement avec le fantastique car ceux qui trépassent dans le monde matériel, ressuscitent immédiatement à Still Meadows. Il y a donc deux microcosmes parallèles et les morts ont tout pouvoir d’observer les vivants.

Il y a une joie de vivre communicative tout au long de l’intrigue. Dès l’incipit, deux personnages se rencontrent, à la faveur d’une petite annonce passée dans le journal. Ils fédèrent autour d’eux des amis, des collègues et toutes les générations s’activent pour faire prospérer le village.

J’ai aimé ces personnages fantasques, de l’emblématique tante Elner à la sourde Hanna Marie, de l’institutrice Lucille au timide Lordor ou au valeureux Gene. Vous ferez des allers-retours entre tombes et vivants et prendrez goût à ces pas de côté. C’est un vrai feel-good book dont tous les membres forment une famille pour le meilleur et pour le pire.

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J’ai passé un bon moment de lecture en compagnie de ce roman, qui malgré ses 512 pages, n’aura pas duré plus de trois jours entre mes mains ! Je lui ai trouvé quelques défauts, mais il est très agréable à lire !

Tous les ingrédients qui font le succès de Fannie Flagg sont présents dans ce roman, c’est ce qui le rend sympathique. Elle nous fait vivre la naissance d’une ville, et au-delà d’une vraie communauté, puis son déclin au fil des décennies et des changements sociétaux. La ville est clairement le personnage principal de cette histoire, comme une maison qui abrite une grande famille, qui se modernise avec les années, et finit par être délaissée par ses enfants car le voisin a de meilleurs équipements qu’elle… Elle est témoin d’histoires d’amour et d’amitié, de conflits, de victoires, et de morts, avec toutes les émotions et relations qui y sont liées.

L’histoire du livre est simple : l’histoire des habitants de la ville d’Elmwood Springs, de la création de la ville à nos jours. Plus d’un siècle de vie, de descendance, de mariages, de querelles, de secrets, d’espoirs, de déceptions, de changements, d’évolution, de progrès. Pendant ma lecture, je n’ai pu m’empêcher de comparer ce roman à la série La petite maison dans la prairie, non seulement parce que l’époque s’y prêtait, mais aussi par tout le côté communautaire. J’ai adoré suivre cette galerie de personnages attendrissants, leur descendance, puis la descendance de leur descendance, le tout au travers des changements en ville. Et j’ai été très touchée par les retrouvailles de certains personnages dans « l’au-delà ».

Toutefois, en lisant ce livre, il est difficile de nier que Fannie Flagg est une auteure qui vieillit… Car forcément, ce roman prône les bonnes vieilles valeurs américano-chrétiennes, qui périclitent avec le temps… Et forcément, si on a un esprit progressiste, voir que le progrès n’amène rien de bon peut faire tiquer. Le discours « C’était mieux avant » est tellement prévisible et évident, qu’il m’a personnellement ennuyée voire irritée. Mais c’est franchement le seul bémol à cette lecture.

Si vous avez envie de dévorer un pavé, et de rencontrer une communauté sympathique, foncez sur ce roman !

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Un livre charmant. Le genre de livre que tu imagines avec des fleurs partout, une tasse de thé dans un mug tout aussi fleuri, à discuter avec tes voisines sur ton porche. J’ai passé un excellent moment. Parfois oui je me suis demandé l’intérêt, mais vraiment fugacement. Parce que le seul intérêt, c’est d’être le petit oiseau curieux qui survole cette ville et qui voit évoluer ses habitants, avec ses petits drames, ces moments heureux, et son évolution à l’image de milliers de villes américaines, et pas seulement.
Et ces personnages sont tellement sympathiques. Il y en a des moins bien que d’autres, mais on sent que l’autrice a tellement de sentiments pour eux qu’ils deviennent pour nous aussi comme des amis. Ça pose tout de même un problème énorme cette profusion de personnages sur plus d’un siècle : à partir d’un moment, j’ai totalement décrochée à propos de qui était qui, et de leur arbre généalogique. Surtout qu’ils ont des noms suédois, j’avais l’impression de me promener à IKEA un samedi après midi. (Soyons honnête : en fait ils se seraient appelé Pierre ou Jean, ça n’aurait pas changé grand chose, il manque un arbre généalogique auquel se référencer…)
Quoi qu’il en soit, j’ai vraiment apprécié ce livre, charmant, reposant après toutes les horreurs que j’ai pu lire ces derniers temps. À intercaler entre deux thrillers ou « littérature réaliste dans laquelle on tue des gosses »…

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Missouri 1889, Elmwood Springs, une ville en devenir par la volonté d’un homme Lordor Nodstrom qui vient de quitter sa Suède natale pour fuir la misère.
Il ne manque ni de courage ni d’imagination pour mériter le rêve américain.
A peine arrivé, il achète une terre en espérant y bâtir une ferme qui abritera quelques vaches, puis passe une annonce dans l’espoir de fonder une communauté de fermiers.
Peu à peu la vie s’organise au fil des arrivées, les maisons forment bientôt des îlots de vie qui deviennent témoins de bonheur, de drames, de mariages, de naissance, d’amour d’amitiés.

Il n’y a pas beaucoup d’action dans ce livre et c’est ce qui fait son charme.
L’auteure y décrit la vie quotidienne, le temps qui passe, les personnages qui vieillissent, meurent et se retrouvent dans l’au-delà où une autre forme de « vie » remplace la précédente.

C’est drôle, c’est émouvant, c’est un réel plaisir de partager ces destins et une belle façon de découvrir la plume de Fannie Flagg.

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Elmwood Springs est un petit village du Missouri en 1889. Son fondateur cherche d’ailleurs une épouse pour continuer à faire vivre et prospérer le village. Qui devient bientôt une ville, attire du monde, on suit rapidement les vies des descendants des premiers colons, puis de leurs descendants également. Mais sans pour autant cesser d’accompagner au fil du roman, les morts qui occupent désormais le cimetière et discutent, rattrapent le temps parfois mal occupé, regardent d’un air bienveillant les vies et évolutions de leur descendance !

Comme dans son précédent roman Nous irons tous au paradis, Fannie Flagg a mis au cœur de son roman des relations humaines, et même au-delà de la vie terrestre.

Ce livre a vraiment une structure intéressante et inédite. Si on a déjà vu et revu des sagas familiales, jamais de cette manière, avec la ville au cœur du roman, les morts qui restent pas loin et un humour et une fraîcheur inhérente au récit ! Bien sûr, on s’attache vite aux premiers personnages, Lordor et Katrina, mais le temps file à tout allure et avec lui défilent les noms. S’il est parfois difficile de se souvenir de qui est le petit-fils ou l’arrière cousine germaine de qui, finalement peu importe. Certains personnages ont plus d’épaisseur que d’autres et on profite simplement de voir leur vie. Les grands événements historiques sont assez lointains et peu approfondis, ça représente bien, je trouve, la vie au jour le jour, où la création des avions, du cinéma, du féminisme est plus proche des gens que la politique du pays.

Le roman va de 1889 à nos jours, ça donne donc un bon pavé de 500 pages et si par moment, on pourrait trouver quelques longueurs, chaque période va en fait très vite.

Voir les morts s’attarder et avoir un regard affectueux sur leur ville et leur progéniture donne un autre aspect au roman, à priori cher à Fannie Flagg, et humanise la mort tout en rajoutant douceur, tendresse et humour !

Bref, j’ai beaucoup aimé ce roman, il est plein de fraîcheur et de vie, à lire !

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Elmwood Springs dans le Missouri est un petit village créé en 1889. Depuis sa création les bonheurs, les rencontres, mais aussi les drames, l'ont façonné. La population d'Elmwood Springs a fait évoluer ce village au fil du temps jusqu'à nos jours. Et alors qu'on pense qu'au cimetière tout y est terminé, et bien là-bas l'histoire continue puisque les défunts s'y retrouvent et continuent leur existence d'une façon bien particulière...

Toute la ville en parle est le dernier roman paru de Fannie Flagg. J'ai déjà lu quelques titres de l'auteure, appréciant à chaque fois en général ses histoires, voyons donc si ce fut de nouveau la même chose avec ce titre...

Toute la ville en parle est un roman chorale. Dans ce roman, nous découvrons toute la vie d'une petite ville depuis sa création à travers de multiples personnages. Ces personnages y vivent ou y ont vécu, y sont depuis le début ou s'y sont installés au fil des ans, et chacun apporte alors son propre regard sur la ville, sa communauté.

La première chose qu'on peut retenir de ce titre, ce sont les multiples personnages. Autant vous le dire, j'ai mis un peu de temps à réussir à re situer chacun et à bien cerner les liens qui unissent les uns aux autres. Peut-être même y en a-t-il trop, parce que plus d'une fois, j'ai perdu pied. Après, c'est aussi ce qui apporte une richesse à ce titre, c'est diversifié, et c'est même amusant quand ceux-ci passent du côté du cimetière.

Roman amusant et tendre, Toute la ville en parle est un roman divertissant. L'histoire est originale et quelque peu passionnante même. Suivre la création d'un village à travers le temps et les siècles et particulièrement intéressant. J'ai beaucoup aimé suivre cela, suivre les évolutions jusqu'à nos jours et constater qu'au fil du temps, Elmwood Springs garde son âme.

Fannie Flagg comme toujours, livre une histoire pleine de bons sentiments, une histoire portée par une écriture douce et tendre. J'ai vraiment eu l'impression ici qu'elle nous livrait comme des amis et qu'elle nous confiait la tâche d'en prendre soin, ce qu'on fait finalement en les découvrant, les appréciant et les accompagnant au fil des pages.

Toute la ville en parle est un roman que j'ai apprécié, même s'il n'est pas mon préféré de l'auteure à ce jour. J'ai vraiment beaucoup apprécié passer du temps à Elmwood Springs avec ses habitants. Alors à vous maintenant d'aller y faire un tour et d'y poser vos bagages pour quelques heures...

Toute la ville en parle de Fannie Flagg est disponible aux Éditions Le Cherche Midi.

5 mots en bref pour décrire ce livre :
village
Missouri
habitants
histoire
cimetière.

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Première lecture de #MarsAuFeminin, ce livre était l’occasion pour moi de découvrir la plume de Fannie Flagg dont j’avais entendu beaucoup de bien. Bon, il ne me reste plus qu’à lire les autres de l’auteure car ce livre a été un beau coup de cœur!

Ce livre est l’histoire d’une ville, depuis sa création à la fin du XIXème siècle, jusqu’à nos jours. Elmwood Springs est un personnage à part entière et suivre ses habitants est un vrai délice.

J’ai adoré ce roman. Dès les premières pages, nous sommes dans une ambiance très apaisée et apaisante, j’ai eu l’impression d’habiter cette ville et de connaître tous ses habitants.

Nous suivons donc l’évolution d’Elmwood Springs, avec tous les évènements que nous connaissons, la guerre, la crise économique, la naissance du rock’n’roll, le disco… Bref, tout ce qui rythme une ville. Ses habitants sont tous très attachants, et bien qu’il y en ai beaucoup, l’auteure passe du temps avec chacun pour que le lecteur comprenne bien qui il est, qui sont ses parents, ses grand-parents.

Le gros plus de ce roman également, c’est que même si le temps passe, les habitants décédés se retrouvent au cimetière de la ville, mais ils s’y retrouvent vraiment! À Elmwood Springs, il y a une vie après la mort, et si nous nous sommes attachés aux personnages pionniers de la ville, nous les retrouvons ensuite, morts, et suivant les évolutions de leur ville tant aimée.

Si j’avais juste une petite remarque négative à faire, ce serait que la fin du roman, disons les cent dernières pages, passent un peu vite sur les évènements. J’aurais aimé passer encore plus de temps dans cette ville.

La plume de Fannie Flagg est très agréable à lire. On pourrait passer des heures à la lire nous conter des dizaines d’anecdotes sur cette ville sans se lasser. J’ai eu un petit pincement au cœur lorsque j’ai refermé ce livre, mais l’auteure clôt très bien son livre, et on ressort de cette lecture avec un grand sourire accroché aux lèvres!

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