La Vie en Ose
par Lisa Azuelos
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Date de parution 11 juin 2020 | Archivage 1 juil. 2020
Belfond | Roman français
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Résumé
Et si le « nid vide » était le meilleur endroit pour prendre son envol ?
Alice, 53 ans, fraîchement divorcée, vient de voir sa fille, la petite dernière, quitter la maison. Elle décide d’entamer un nouveau chapitre de sa vie. Elle doit se faire engager comme styliste d’intérieur, son rêve depuis toujours. Mais rien ne se déroule comme prévu, et elle se retrouve vendeuse dans une boutique de déco. Après un week-end de déprime passé à binger sur son canapé, le cheveu gras, elle décide qu’elle alignera sa nouvelle vie sur le mantra de Walter White, le héros de Breaking Bad : « L’ennemi, c’est la peur. » À partir de maintenant, elle sera celle qu’elle n’a jamais osé être : elle-même.
Avec tout l’humour et toute la modernité de son univers, Lisa Azuelos s’empare joliment d’un fait de société… Et si le « nid vide » était le meilleur endroit pour prendre son envol ?
Lisa Azuelos est réalisatrice (Comme t’y es belle, LOL, Dalida). Elle est déjà l’auteure de plusieurs romans, dont Le Bras blanc (JC Lattès, 2005) et Éloge du silence pendant l’amour (Plon, 2008), et d’un récit, Laissez-moi danser (Stock, 2017). Elle a dirigé l’ouvrage Ensemble contre la gynophobie (Stock, 2016). Elle a parcouru un long chemin de développement personnel qui lui permet aujourd’hui d’animer de nombreuses conférences.
Et si le « nid vide » était le meilleur endroit pour prendre son envol ?
Alice, 53 ans, fraîchement divorcée, vient de voir sa fille, la petite dernière, quitter la maison. Elle décide d’entamer un...
Formats disponibles
FORMAT | Grand Format |
ISBN | 9782714493132 |
PRIX | 19,00 € (EUR) |
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Chroniques partagées sur la page du titre
Alice a cinquante-trois ans. Fraîchement séparée, sa fille, Chloé vient de quitter le nid familial. Pour Alice qui a toujours vécu pour sa famille et surtout ses enfants, c'est un déchirement. Célibataire, seule, elle peine à retrouver un nouveau souffle. Pourtant, elle n'a pas le choix, la vie continue, elle ne peut pas décemment continuer à se traîner sans but.
Le boulot de ses rêves lui passe sous le nez, coup du sort ou de chance? Alice sort enfin de sa torpeur et s'accroche comme elle peut, se reprend, pas à pas, en main.
Alice redécouvre son "moi" et consigne dans un carnet ses avancées, ses doutes, sa nouvelle vie et les surprises qu'elle lui apporte.
Un roman résolument positif.
On n'a pas qu'une vie et notre vie n'appartient qu'à nous-même. Alice va arrêter d'être l'épouse et la "mère de" pour redevenir Alice la femme tout court. Celle qui a des envies, des besoins, des rêves et des désirs. Elle va se découvrir comme jamais, se poser les bonnes questions, s'autoriser à penser pour elle et non plus pour les autres.
C'est une femme ordinaire qui s'accorde le droit d'être extra-ordinaire. Une femme qui apprend à s'occuper d'elle, à s'écouter, à définir ses limites. Celle qui va faire du tri dans sa vie comme dans son appartement. Une femme qui s'affranchit de ses chaînes et qui vit tout simplement.
Je n'avais jamais lu de roman de ce genre. J'ai bien aimé l'aspect développement personnel que l'on peut s'appliquer également. C'est plein de bonnes ondes et de pensées positives, cela fait du bien.
Quel bon moment de lecture... Lisa Azuelos nous offre un roman tout en douceur qui nous décrit le long parcours vers la reconstruction et la connaissance de soi d'Alice. Notre héroïne, femme banale de cinquante ans, voit sa vie chamboulée au départ de son mari, parti conter fleurette à une jeunette , et celui de ses enfants qui vivent maintenant leur vie. Mais comment être soi même et suivre son intuition pour mieux se connecter aux êtres et aux choses. Tel sera le parcours initiatique d'Alice. Il ne s'agit en aucun cas d'un énième roman de développement personnel sensé vous proposer des formules magiques vers la connaissance de soi, mais le récit plein de sensibilité d'un tournant dans la vie d'une femme. J'ai aimé me plonger dans la lecture de ce roman totalement immersif.
Quel dommage qu'il soit déjà terminé.
« Derrière chaque femme qui réussi, il y a une femme qui a osé »
La vie en ose de Lisa Azuelos :
Cette première phrase du livre m’a tout de suite parlé. Tellement simple mais tellement bien sûr, ça m’a encore plus donné envie de lire ce livre.
Et il était largement à la hauteur de mes attentes. Alice se retrouve seule sans s’être préparée, avec le départ de sa fille et la séparation avec son mari, les débuts sont durs mais elle prend des risques pour se sortir de tout ça. De fil en aiguille, elle se rends compte qu’elle a un talent particulier et qu’elle peut être utile aux personnes.
Le livre donne de l’espoir, il est beau, émouvant et se lit d’une traître.
Le roman s'ouvre sur une question déterminante : " Qui est-on, à qui sert-on quand on n'est plus la femme ou la mère de quelqu'un ? "
Alice 53 ans vit des jours compliqués face à elle même, son mari Laurent vient de la quitter pour une jeune femme, ses deux enfants, viennent de quitter la maison pour suivre leur destinée, leurs études supérieures. Alice se retrouve seule face à elle-même, ce qui ne lui est jamais arrivé depuis qu’elle vit avec Laurent.
Pour poursuivre sa vie, elle sait qu’elle doit faire face à des peurs, sortir de son confort pour de nouveau exister autrement qu'à travers le regard d'un mari comme le regard des enfants.
Ainsi elle se décide à prendre son destin en main en bousculant ses habitudes, en trouvant de nouveau confiance en elle pour oser aller vers ce qu'elle est réellement.
Elle est très touchante cette femme, cette mère qui a tout donné à son mari comme à ses deux enfants mais à un moment, on dit bien que les enfants doivent couper le cordon, eh bien la maman aussi doit couper des fils pour avancer, cesser de tout leur donner quand ils sont capables eux même de réaliser. Alice le comprend au fil des mois qui passent sans eux, quand son fils au retour pour un week-end, chargé de son linge sale, pensait lui faire plaisir en le lui laissant, tous ces gestes, ces habitudes données, elles s'en défait pour construire une vie à elle.
La vie en ose est une lecture savoureuse, on dévore le livre rapidement car l'écriture est fluide et vivante !
Une découverte pour moi de Lisa Azuelos, un nom que je retiens précieusement.
Au début, je n’avais retenu ce livre sur NetGalley car il me faisait penser à un feel-good, (un de plus dans cette époque bénie du développement personnel), et il y a quelques jours Lisa Azuelos était l’invitée de Claire Chazal dans son émission « Passage des arts » et cette femme m’a plu alors j’ai « osé ».
Alice se retrouve seule à 53 ans : sa fille Chloé vient de partir pour ses études, son fils est très loin lui aussi, et son mari s’est fait la malle pour une femme qui a vingt ans de moins. Elle ne sait plus trop quoi faire de sa vie, se sent inutile, affronte le syndrome du nid vide sous fond de blues.
Son mari, très classe, vient de décider qu’il versera désormais l’argent directement aux enfants et qu’elle devra se contenter des 500 euros que dans grande mansuétude, il veut bien continuer à lui verser. (Sans commentaires !) elle doit donc trouver un travail, se présente pour un emploi de styliste et reçoit deux jours plus tard un courriel lui disant que finalement on n’utilisera pas de styliste, trop cher, mais qu’on lui propose à la place un poste de vendeuse…
Elle décide de ne plus se laisser faire, son amie Mathilde, toxique, égocentrique ne lui étant d’aucun réconfort et décide de se confier à son journal (les vertus de l’écriture thérapeutique ne sont plus à prouver pour tout le monde d’ailleurs, c’est un outil précieux !) avec une idée sympathique parler à son moi : « mon cher moi… ». On va la voir se reconstruire (se construire ?) et trouver sa voie via ses collages.
J’ose faire éclore celle qui s’est tue pendant des années. Je vais OSER dans ce cahier rose. D’ailleurs, oser n’est-il pas l’anagramme de ROSE ?
Il y a quelques épisodes savoureux : son fils Lucas qui vient la voir un week-end en traînant sans sac de linge sale ! non seulement elle n’a rien dit, mais elle a encaissé sans rien dire que les petits plats qu’elle avait mis du temps à lui mitonner, elle devrait les manger toutes seule, monsieur n’est en fait venu chez elle que parce qu’il avait rendez-vous avec des copains !
Un autre savoureux aussi : son mari lui annonce qu’il demande le divorce parce qu’en fait il a une copine, et qu’elle est enceinte et lui demande : « toi qui gardes tout, tu as bien dû garder les vêtements les jouets, poussettes etc. des enfants alors comme ça coûte cher, tu pourrais me les donner », pas mufle du tout ce brave homme.
J’ai bien aimé la manière dont elle oppose le mental qui la pousse à l’auto-sabotage, elle décide de l’appeler Fourcha, en opposition à la petite voix positive qu’elle nomme Raiponce !
L’histoire est sympathique, autant qu’Alice car on peut facilement se reconnaître dans son mode de fonctionnement ou de pensée : qui n’a jamais eu une estime de soi dans les chaussettes me jette la première pierre ! de temps en temps, on a quand même droit à des clichés, mais c’est bien écrit, plaisant à lire.
En fait, la culpabilité que nos parents nous mettent sur le dos, inconsciemment, nous empêche de vivre notre vie.
Je connais Lisa Azuelos, via certains de ses films, notamment « LOL » qui m’avait amusée à l’époque, mais c’est la première fois que je lis un de ses livres, j’ai appris au passage au cours de « Passage des arts » qu’elle était la fille de Marie Laforêt et qu’elle n’avait pas eu une enfance chaleureuse, ce qui explique la lucidité de la réflexion sur le rôle des parents dans la construction de l’estime de soi. Ce roman sent le vécu, l’autoanalyse peut-être…
Un grand merci à NetGalley et aux éditions Belfond qui m’ont permis de découvrir ce roman qui fait du bien au moral dans cette période stressante de confinement, déconfinement, re-confinement et son auteure à la plume alerte, d’où la note….
#LaVieenOse #NetGalleyFrance
Décidément, j'ai de la chance avec mes lectures Netgalley en ce moment !
La vie en ose fut une très belle lecture, j'ai vraiment passé un bon moment avec Alice.
L'autrice a une très belle plume.
A lire !
Un sujet intéressant "le nid vide" auquel je ne suis pas encore confronté mais qui est plaisant à lire.
Un peu développement personnel par moment mais léger, ça ne m'a pas gênée.
L'écriture est facile, les chapitres courts. Le livre se lit rapidement. J'ai aimé l'évolution du personnage d'Alice qui se donne corps et âme aux autres et qui s'oublie dans le début du livre puis qui apprend à s'écouter et à se faire plaisir ensuite.
Alice, 53 ans, voit son quotidien totalement bouleversé suite à son divorce et au départ de ses deux enfants du domicile familial afin de poursuivre leurs études. Pour cette femme qui a consacré ses journées à sa famille et qui se retrouve soudainement seule, c’est un véritable chamboulement. Va-t-elle réussir à reprendre confiance en elle-même et a enfin oser tout ce qu’elle s’est refusé jusque là ? La couverture pastel donne déjà la tonalité tout en douceur de ce roman feel good. C’est un très beau roman qui parle de reconstruction nous est proposé ici. Ce récit a presque des allures de développement personnel. Lisa va rendre un bel hommage à toutes ces femmes qui ont consacré leur vie à leurs familles, et qui se sont retrouvées désœuvrées lorsque tout s’arrête. Au travers d’Alice, le lecteur suivra la reconstruction d’une femme dans une toute nouvelle étape de sa vie, où elle va devoir apprendre à se rénover et à laisser de côté tout ce qu’elle s’est empêchée de faire, sous prétexte de temps. Lisa propose une analyse fine tout au fil des pages et donne matière à la réflexion. Cela débute ne serait-ce qu’avec le titre du livre. Alice va enfin oser s’assumer et se donner les moyens de s’épanouir à nouveau. Surtout, Alice va enfin se consacrer du temps à elle-même. La plume de l’auteure est d’une grande douceur. Sous forme de petits chapitres abordant le quotidien d’Alice et terminant par un petit passage de son journal, la lecture est très abordable et peu se lire de manière segmentée sans gêne.