Des vies volées

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Date de parution 7 oct. 2021 | Archivage 3 nov. 2021
Belfond | Belfond Noir

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Résumé

Un premier roman au suspense psychologique mordant, intense et noir, qui rouvre les plaies d’un épisode sensible et dramatique de l’histoire australienne récente : l’enlèvement, organisé par l’État, des enfants aborigènes. Une cascade d’émotions brutes pour un texte en lice pour les prestigieux Dagger Award 2021.

1997, Londres. Isla Green, trente-cinq ans, reçoit un appel de son père, l’informant d’une étrange nouvelle : la police de Sydney vient de le déclarer suspect potentiel dans une affaire vieille de trente ans. Le sexagénaire aurait été le dernier à avoir vu vivante leur voisine, et amie, Maddie, disparue brutalement en 1967 et dont la mort vient d’être établie.

Secouée par cette enquête qui ravive des souvenirs douloureux, Isla se sent obligée de rentrer chez elle, en Australie, pour aider ses parents dans cette période compliquée. Mais revenir après dix ans d’absence n’est pas simple pour la jeune femme, elle-même fragilisée. Car pour comprendre ce qui est réellement arrivé à Maddie, cette adorable voisine qui la gardait petite, Isla va devoir affronter les fantômes de son passé, ceux de ses parents. Mais aussi percer le silence de cette petite communauté de la banlieue de Sydney qui a traité en bon voisin, pendant de longues années, un ravisseur d’enfants aborigènes…

Qu’est-il arrivé à Maddie ? Et si le destin funeste de la jeune femme était étroitement lié aux drames du passé colonial australien ?


D’origine britannique, Susan Allott a vécu et travaillé en Australie, à la fin des années 1990. De cette expérience dans ce pays envoûtant, elle a conçu Des vies volées, son premier roman très remarqué lors de sa sortie anglo-saxonne. Elle vit dans le sud de Londres avec son mari australien et leurs enfants.

Un premier roman au suspense psychologique mordant, intense et noir, qui rouvre les plaies d’un épisode sensible et dramatique de l’histoire australienne récente : l’enlèvement, organisé par l’État...


Formats disponibles

FORMAT Grand Format
ISBN 9782714493774
PRIX 21,00 € (EUR)

Chroniques partagées sur la page du titre

Tombée sous le charme de la couverture aux motifs australien. Un titre et un résumé qui sonne comme une enquête. Me voila partie sur l'épaule d'Isla le personnage principale pour découvrir ce qu'il est advenu de Mandy sa voisine. Le présent (1997) s'entremèle avec la vie passer de Joe et Louisa (parents d'Isla) qui croisent le couple Mandy et Steeve (les voisins) en 1967. En trame de font les enlèvements d'enfants aborigènes par la police australienne. Une note en fin de livre nous permet de mieux comprendre ce contexte particulier.

L'enchainement des temps s'effectue sans poser de difficultées au lecteur, je n'ai pas vu passer les 700 pages de ce roman tellement l'histoire est prenante, immersive et bien menée.

Tous les personnages principaux ont leur "introspection" qui permet de comprendre leurs pensées et actions. Tour à tour on devient un petit peu de tous ces personnages !

Excellente découverte, j'espère recroiser le nom de Susan Allott sur une couverture !

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Un premier roman et une belle réussite pour cette auteure que j'ai découverte parce que je l'avais confondue avec une autre !
Je n'ai pas été déçu par ma méprise. L'histoire est prenante, le suspense est constant et comme promis dans le résumé de l'éditeur, des sentiments forts sont au rendez-vous.
Pourtant je m'attendais à autre chose eu égard à ce que supposait la couverture : une histoire dans laquelle le trafic d'enfants aborigènes aurait été le thème central. Ce n'est pas vraiment le cas mais je ne crie pas à la déception pour autant. L'intrigue familiale , le suspense haletant et le dénouement final m'ont comblé.
Et comme pour que je ne reste pas sur ma faim, Susan Abbott a ajouté une note finale dans laquelle elle s'étend plus largement sur le scandale des enfants aborigènes enlevés à leur famille. L'Angleterre, comme toute autre puissance colonialiste a du ménage a faire dans son histoire.

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1997. Isla Green, Australienne de trente-cinq ans installée à Londres, est réveillée en pleine nuit par un appel de son père : ce dernier est suspecté dans une affaire de disparition vieille de trente ans. Il serait la dernière personne à avoir vu Mandy, leur voisine, ce jour de 1967.Secouée par cette annonce et par les souvenirs que celle-ci fait remonter, Isla se décide à rentrer en Australie. Mais revenir au pays n'est pas simple pour la jeune femme, elle-même très fragilisée. Car, pour comprendre ce qui est réellement arrivé à Mandy, Isla va devoir affronter les fantômes du passé familial. Et aussi percer l'épais silence dans lequel cette petite communauté de la banlieue de Sydney s'est murée depuis des décennies. Qu'est-il arrivé à Mandy ? Le père d'Isla a-t-il joué un rôle dans cette disparition ? À mesure qu'elle fouille le destin funeste de sa voisine, ce sont tous les tabous du passé colonial australien qui apparaissent aux yeux d'Isla...

Ce livre nous transporte entre l'Australie et
l'Angleterre en oscillant entre 2 époques espacées d'une trentaine d'années. Nous découvrirons un pan peu glorieux de l'histoire australienne, les côtés parfois bien sombres de certains personnages et surtout nous allons comprendre comment et pourquoi Mandy a disparu depuis 30 ans....
2 familles voisines dont les destins entremêlés vont rythmer ce roman assez sombre.

Un peu de longueurs parfois mais l'histoire n'en reste pas moins intéressante. On est tenu jusqu'à la fin par l'envie de savoir ce qui est arrivé à Mandy.

Il s'agit du 1er roman de l'auteure.

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Merci à Netgalley et aux éditions Belfond pour cette lecture. Ce premier roman est impressionnant de force et développe un suspense psychologique dense. 

On fait la connaissance d'Isla, expatriée australienne vivant en Angleterre. Elle doit au plus vite regagner son pays natal pour soutenir son père suspecté du meurtre de leur ancienne voisine. Mais Isla ne s'attend pas à ce qui l'attend. Car en reposant le pied en Australie, elle va découvrir des secrets qu'elle n'est pas prête à  accepter. 

Ce roman s'attaque à un pan de l'histoire australienne , peu évoqué en littérature surtout policière: l'enlévement des enfants aborigènes par les autorités, sous des prétextes de protection. Et l'héroïne va se trouver plongé dans cette histoire, quand elle découvre qu'un des personnages dont elle est proche, faisait partie de cette horreur. 

Alternant le passé et le présent, l'auteure maintient un suspense haletant, en nous donnant l'envie d'en découvrir plus. Pages après pages, on se retrouve attiré par la plume et le récit. Fluide, efficace, et très bien construit, le récit se veut Histoire. Pas de policiers au flair infaillible, ou de technologies type séries américaines, c'est l'histoire d'une fille qui veut innocenter son père. Surmontant les secrets de famille, les personnages sont authentiques, forts et fragiles à la fois. On arrive à s'identifier à eux sans trop de difficultés. 

Un premier roman réussi qui en appellera d'autres je l'espère.

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Premier polar pour Susan Allott avec Des vies volées, roman noir à suspens qui réunit deux cultures, l’Australie et l’Angleterre, deux périodes 1966/1967 et 1997 et fait émerger des vies brisées au nom d’un colonialisme dont on pensait qu’il n’existait plus !

Londres en 1997, Isla Green, un peu dans les vapes reçoit un appel téléphonique de son père. Il l’informe que la police s’intéresse à lui suite de la disparition trente ans plus tôt de la voisine, Maddy. Il lui demande de revenir en Australie dès que possible. Isla doit mener l’enquête et déterrer des secrets pour tenter de disculper son père.

Susan Allott dévoile petit à petit la vie du couple, Maddy et Steeve. Lui veut un enfant. Mais, elle prend toujours la pilule, en cachette. Lui veut qu’elle arrête de fumer. Elle lui promet mais ne le fait pas. Lui, lui offre en cadeau, une Timex. Elle le remercie poliment.

Elle aime garder Isla, l’enfant des voisins, pour occuper ses après-midi. Elle l’emmène souvent à la plage. Une fois elle disparait, mais Maddy la retrouve rapidement avant le retour de Louisa, sa mère.

Maddy a visiblement besoin de l’alcool pour vivre et affronter les pleurs de Steeve lorsqu’il revient de ses escapades de plusieurs jours. Policier, une de ses missions est d’aller chercher des enfants des aborigènes pour mieux les intégrer dans la société australienne.

Susan Allott révèle ainsi le scandale connu sous le nom de « génération volée ». Mais, c’est à partir du couple Maddy et Steeve et de leurs voisins qu’évolue le cœur de l’intrigue.

Une nouvelle plume à suivre, assurément !
Remerciements
à @belfond_noir et @NetGallaeyFrance pour #Desviesvolees par @SusanAllott

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Merci aux éditions Belfond noir et à Netgalleyfrance de m'avoir permis de lire ce livre magnifique basé sur un fait historique réel.
Londres 1997, Isla Green reçoit un appel téléphonique inquiétant de son père : il est suspect dans la disparition de Mandy et est le dernier à l'avoir vu vivante, il y a trente ans.
Mandy est recherchée par son frère et par la police car son père vient de mourir.
Isla part an Australie pour soutenir son père.
Isla va remonter le temps et s'interroger sur le passé où elle était proche de Mandy, qui la gardait régulièrement et sur son mari Steve, policier dont la mission principale était de prendre des enfants aborigènes pour les placer en institution ou dans des familles blanches.
Ses recherches et ses interrogations vont lui faire découvrir de lourds secrets de famille.

Thriller psychologique où le suspens nous tient en haleine jusqu'à la fin.
La plume de l'auteure est fluide et efficace.
L'émotion, l'atmosphère australienne parfaitement rendue et les faits historiques en font un livre impossible à lâcher.
Bon moment de lecture..

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~ L’histoire se déroule en Australie, et à cheval sur deux époques : la fin des années des années 60 et la fin des années 90. Outre l’aspect thriller dont je parlerai un peu plus bas, j’ai beaucoup aimé l’atmosphère ensoleillée et indolente qui se dégage de ce livre. Avant de faire des recherches, je pensais que l’auteure était australienne (et non pas britannique, bien qu’elle ait longtemps vécu sur place) tant les décors, les ambiances, les petits détails sont réalistes et immersifs. Certains passages m’ont rappelé Les sœurs Van Apfel ont disparu, que j’avais également beaucoup aimé.

~ L’intrigue, à base d'inquiétante disparition et de secrets de famille, est somme toute assez basique, mais fait le job. Les personnages attachants, aux problématiques complexes, loin des clichés manichéens que l’on rencontre parfois, donnent envie au lecteur de creuser et d’élucider le mystère. J’avoue avoir éprouvé une petite déception au moment de la révélation finale. Je m’attendais peut-être à une autre fin, je ne sais pas…

~ Le gros point fort de ce roman, pour moi, réside dans le fait que l’auteure mette en lumière les “Générations volées”. Durant des décennies, et ce en toute légalité, de nombreux enfants aborigènes ont été enlevés à leurs familles et envoyés dans des pensionnats ou des familles d’accueil. Même si certains ont été plutôt bien lotis, beaucoup d’entre eux ont subi de terribles sévices. J’aurais d’ailleurs apprécié que Susan Allott explore le thème un peu plus en profondeur, car c’est un sujet poignant qu’il est important de faire connaître.

~ Pas un coup de cœur, donc, mais une jolie découverte ! Un grand merci à Net Galley, à Susan Allott et aux éditions Belfond Noir !

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