Ce que les étoiles doivent à la nuit
par Anne-Gaëlle Huon
Lu par Florine Orphelin et Philippe Spiteri
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Date de parution 16 mars 2022 | Archivage 18 mai 2022
Audiolib | Littérature
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Résumé
Il n’y a pas de hasard, dit-on, seulement des rendez-vous.
C’est ce que va découvrir Liz, cheffe prodige et étoilée, en partant au Pays basque sur les traces de sa mère. Dans un petit village perdu, elle rencontre M. Etchegoyen, dandy insaisissable et plein de panache, qui lui confie les clés de son restaurant et un défi à relever : faire de sa gargote une adresse gastronomique. Mais Peyo, le chef, ne voit pas arriver cette étrangère d’un bon œil. L’un et l’autre vont devoir s’apprivoiser et affronter ensemble les fantômes de leur passé.
Dans ce roman enchanteur et savoureux, Anne-Gaëlle Huon nous entraîne dans un tourbillon d’émotions. Une histoire universelle qui nous parle d’espoir, d’amour, et nous redonne le goût de la vie. Par l'autrice des Demoiselles, Prix des Lecteurs Culture Presse.
Il n’y a pas de hasard, dit-on, seulement des rendez-vous.
C’est ce que va découvrir Liz, cheffe prodige et étoilée, en partant au Pays basque sur les traces de sa mère. Dans un petit village perdu...
Formats disponibles
FORMAT | Livre audio, Intégral |
ISBN | 9791035407230 |
PRIX | 20,45 € (EUR) |
DURÉE | 7 Heures, 16 Minutes |
Vos liens
Chroniques partagées sur la page du titre
Adepte de ce genre d'histoires et mariée à un chef, j'ai tout de suite pensé que ce roman était pour moi. J'écoute pas mal d'audio, que ce soit lors de certaines phases de mon travail, en cuisinant ou en conduisant. Ainsi, les personnages m'accompagnent dans mon quotidien le temps de quelques heures. Cette fois, ils ne m'auront pas tenu compagnie bien longtemps car j'ai dévoré ce livre audio en moins de deux jours ! Une fois lancée, impossible de m'arrêter ! J'ai retrouvé dans cet univers, un quelque chose des romans de Clarisse Sabard que j'affectionne particulièrement.
L'histoire commence avec une fuite en avant de l'héroïne. Sa vie part en morceaux. Dans la même soirée, elle a reçu le Michelin dans son restaurant, été au cœur d'un scandale pour intoxication alimentaire et surtout l'une de ses commis s'est gravement brûlée et porte plainte contre elle. Elle qui visait sa 1ere étoile et était jurée dans une émission culinaire de grande écoute se voit à la Une de la presse à scandale. Alors quand une lettre surgit au milieu de celles de ses fans - et détracteurs - d'une femme annonçant avoir connu sa mère, elle prend le large, quitte la région parisienne pour Biarritz afin de marcher dans les traces de sa génitrice, personnage aussi fantasque et coloré qu'assombrit par ses passages en eaux troubles.
On va donc suivre son histoire dans le présent alors qu'une opportunité s'offre à elle dans cette région qui lui était jusqu'alors inconnue et en parallèle nous suivons l'histoire de Balthazar, des années auparavant, un jeune homme passionné de tables de jeux et prêt à tout pour la fierté de son père. Aussi avait-il décidé de s'incruster à la fête de la Marquise pour en faire un papier. Cette décision va changer sa vie entière. Tout commence un soir de pluie avec un costume au rabais et un zèbre échappé.
Globalement, en dehors du tout début du roman qui m'a semblé un peu flou et rapide, j'ai été vite embarquée dans leurs histoires. Même si on devine assez rapidement de quelle manière ces deux chemins de vie vont se croiser, on prend plaisir à découvrir chaque évenement sur leur route. Comme on dit, ce n'est pas la destination qui compte, mais le chemin. Cela ne pourrait pas être plus vrai pour cette histoire qui dépeint des personnages tout en nuances, en failles, en doutes et en lumière. L'émotion est là, à chaque bout de phrase et nous emporte dans son sillage.
Un petit mot pour conclure sur les voix choisies pour ce roman. C'est la première fois que j'écoute un audio à deux narrateurs et je les ai trouvé parfaits. Chacun incarne une époque, des rêves, des doutes. L'alternance permet de s'y retrouver en un instant dans les lignes temporelles et j'ai beaucoup apprécié cette pluralité.
Si j’ai eu un petit air de déjà vu en découvrant l’histoire de Liz, cela ne m’a au final pas dérangée tant l’autrice nous entraîne dans son univers bien à elle, avec une plume pleine de poésie et de douceur. Le texte est vibrant et entraînant. On ne cesse de faire des bonds entre passé et présent afin d’apprendre à y connaître certaines figures de l’époque qui continuent à avoir un impact sur les personnages du présent. C’est une histoire d’âmes abîmées qui se recherchent et tentent de se réparer. C’était beau et magique, plein d’humanité. Un texte qui nous réchauffe et bien plus complexe qu’il peut laisser penser. Il m’a fait passer un bon moment de lecture, même si je ne pense pas qu’il me restera éternellement en mémoire.
Fabuleux voyage plein d’émotions. !
Ce roman est rempli de personnages attachants et authentiques.
On alterne entre 2 voix, 2 narrateurs.
Liz, cheffe étoilée et déchue qui vient se réfugier au Pays Basque à l’époque actuelle et Balthazar que l’on commence à suivre en 1951. …
Rencontres, défis, coups de gueule, gestes tendres …
Une lecture qui nous emporte dès le départ.
L’alternance des 2 voix est très réussie.
C’est enchanteur, savoureux et tourbillonnant !
Une très jolie histoire portée par la plume sensible de l’autrice et les voix parfaitement incarnées des narrateurs. Mention spéciale pour les petites musiques de transition.
Une belle petite histoire, j’ai beaucoup aimé l’histoire lue par 2 personnes différentes cela permet une meilleure immersion dans l’histoire.
J’ai bien aime j’ai eu pas mal de doutes et d’interrogation mais au final j’avais raison sur ce que je pensais. Des personnages intéressant, une histoire assez prenante, triste, douce. Belle histoire qui a un moment m’a rendu très émue.
Voici une très jolie écoute j'ai été très heureuse de retrouver les personnages de "Les demoiselles" que j'avais beaucoup aimé. Suivre leur évolution et retrouver cette ambiance m'a fait un bien fou. H'adore la plume de l'autrice que je trouve superbe et depaysante. Elle sait nous proposer des histoires touchantes avec des personnages très attachants et ce livre n'échappe pas à la règle. De plus, la voix de la narratrice est plaisante à écouter. Tout est réuni pour passerunexcellent moment.
C'est donc un livre que je conseille et je remercie NetGalleyFrance ai si que Audiolib pour cette lecture
J’ai mis un peu de temps avant de lire ce dernier, qui était dans ma Wishlist depuis sa sortie, car il y avait énormément de critiques dithyrambiques à son sujet lors de sa sortie.
N’ayant pas encore lu Les demoiselles, je ne savais à quoi m’attendre mais j’espérais un coup de coeur. En réalité je suis déçue. C’est un bon roman, mais je ne comprends pas l’engouement qu’il y a eu autour et je pense que ça l’a desservi à mes yeux.
La plume est très prometteuse (ce n’est pas un simple « je n’ai pas aimé », c’est bien plus nuancé et c’est pour ça que je suis déçue sinon j’aurai passé mon tour.
J’adore la manière dont les plats sont décrits. Là, il y a de la magie, de la poésie et une alchimie folle. Seulement, mise à part m’avoir donné l’eau à la bouche, je n’ai pas ressenti cette magie avec les personnages. Je ne me suis accrochée à aucun et j’avais l’impression que le lien était grossi, forcé entre eux. J’ai donc eu du mal à finir ma lecture.
Je pense retenter l’expérience avec Les demoiselles par la suite car j’ai vu que la plupart des critiques qui nuançaient leurs propos préféraient le précédent roman (des critiques partageant mon avis sur le point relevé plus haut, donc j’ai bon espoir). Mais dans un petit moment histoire de digérer Ce que les étoiles doivent à la nuit.
J’ai fini en début de semaine l’écoute de Ce que les étoiles doivent à la nuit de Anne-Gaëlle Huon lu par Florine Orphelin et Philippe Spiteri.
Une histoire à deux voix ou j’ai apprécié les deux narrateurs, qui je trouve incarne très bien les personnages. L’histoire est belle, il s’agit de la renaissance de Li à travers la découverte de ses origines et du pays basques. Entre passé et présent, entre Balthazar et Liz, deux destins qui vont se rencontrer. L’histoire est très belle et très bien écrite, le seul regret que j’ai c’est que la fin ne soit pas un peu plus développée.
Et comme beaucoup de livre que je découvre en version audio grâce à NetgalleyFrance et Audiolib, je ne sais pas si j’aurai lu ce livre en version papier, mais la version audio m’a permis de découvrir la très belle plume de l’autrice et je ne pense pas m’arrêter là dans la découverte de son œuvre.
Voici un roman plein de sensibilité, de chaleur, d’émotions et de gourmandises.
💝 Une nouvelle fois, Anne-Gaëlle Huon nous ravit, et nous enchante.
Quelle belle idée de nous raconter deux histoires en une. Celle de Balthazar et celle de Liz. Deux histoires, l’une dans le passé, l’autre dans le présent (se retrouveront-elles ? 🤫…) mais tout autant de plaisir pour les deux. Et puis, quelle joie de revivre un peu avec les héroines des Demoiselles…
🎧 Avec Audiolib, quel bonheur d’écouter ces deux acteurs, quelles voix, quels jeux… Comme dans un film, les personnages prennent vie et nous sommes sous le charme de leurs voix. Celle de Philippe Spiteri pour Balthazar est grave, chaude, puissante tel que nous imaginons le héros, celle de Florine Orphelin pour Liz est plus douce, une fragilité pointe parfois le bout de son nez… Quel beau casting de voix !
✍️ Le style de ce roman est différent des Demoiselles. J’avais adoré ce roman pour son dynamisme, ses couleurs, ses vibrations. Cette « suite », est plus douce, plus posée, moins virevoltante mais tout aussi attachante. La plume est toujours aussi délicate, douce, tendre.
On peut tout à fait la lire sans connaître Les Demoiselles, mais si ce n’est déjà fait, je vous invite à les découvrir (cf ma chronique d’il y a quelques mois)… Le plaisir de cette 2ème lecture n’en sera que plus grand.
👩🍳 En ouvrant ce roman vous ferez un beau voyage en pays basque, vous savourerez une pause culinaire gourmande, vous vivrez une parenthèse ressourçante et rencontrerez des personnages cabossés certes mais si généreux et tellement attachants. Vous ne regretterez pas ce moment de plaisir en lecture ou en écoute 😉
Tout d’abord nous suivons Liz, cheffe étoilée qui part au Pays Basque, suite à la débâcle de son restaurant.
De l’autre nous suivons Balthazar, qui va s’improviser journaliste pour interviewer la Marquise et va faire la rencontre de Romy.
Deux protagonistes et deux temporalités.
Les personnages que nous croisons ont tous leur lot de difficultés, que ce soit professionnel ou personnel, chacun est attachant à sa façon et nous n’avons pas envie de les quitter. C’est un livre pleins d’émotions, où nous voyons Liz se démener avec ses peurs et ses doutes, sa volonté de garder son statut de chef étoilé, mais aussi découvrir des personnes au passé difficile, aussi cabossée qu’elle, qui ont également leur lot de douleur et souffrance.
Je souhaitais découvrir cette autrice, et j’ai apprécie le ton donné à son récit, la sensibilité qu’elle a donné à chaque personnage. Avec cette double temporalité, nous nous doutons qu’un lien existe entre les deux protagonistes, et personnellement j’ai mis un peu de temps à comprendre, et ça m’a permis aussi de me tenir à l’histoire. Le dénouement est bien amené, et chaque petit détail à son importance dans les sens qui les unissent. Je trouve la plume de l’autrice très belle et j’ai hâte de la découvrir d’avantage.
Mon premier livre audio, j’appréhendais de ne pas savoir m’immerger dans l’histoire ou de ne pas être assez concentrée. Et finalement c’est tout le contraire qui s’est produit. Les voix de Florine Orphelin et Philippe Spiteri donnent une dimension supplémentaire à l’histoire. Le ton, le rythme, et l’alternance des voix, parfait pour bien suivre l’alternance de protagonistes, tout est fait pour se sentir captivé.
Quasi 7h30 de lecture, ça impressionne, mais au final j’ai écouté mon livre à des moments habituellement peu propice à la lecture, du genre pendant que je cuisine ou fait la vaisselle, ou tout autre tâche ménagère qui ne nécessite pas une réflexion intense. J’imagine qu’en voiture dans les transports ou en balade, c’est idéal. Je compte bien poursuivre ce genre de lecture.
J’ai passé un joli moment de lecture avec ce roman, qui m’a permis de découvrir l’univers d’Anne-Gaëlle Huon, que j’ai bien apprécié. Malgré des défauts incontestables, j’ai dévoré le roman, qui fut une lecture plaisante.
Après l’avoir terminé, j’ai découvert que ce roman était une suite indirecte des Demoiselles, précédent roman de l’autrice. Bon… Ne pas l’avoir lu ne m’a pas empêché d’apprécier ce roman-ci, qui se vaut largement lui-même. Toujours est-il que ces romans sont complémentaires, et lire l’un fait d’autant plus apprécier l’autre. Ce roman-ci a une portée bien plus contemporaine que les Demoiselles, car il se passe au XXIème siècle, alors que les Demoiselles démarre dans les années 1920.
Ce roman a beau être une bonne lecture, je suis restée loin du coup de coeur. J’ai eu un peu de mal avec la taille du roman, que j’ai trouvé bien trop court. J’ai besoin qu’un roman, au-delà d’une intrigue intéressante, possède un univers et des décors étoffés, et je n’ai malheureusement pas retrouvé cela dans ce roman. Ce roman fait écho à de nombreuses thématiques actuelles comme le poids et le danger de la célébrité et des réseaux sociaux, mais pas que… Une large partie du roman est consacrée au passé de l’héroïne, et j’ai trouvé que malheureusement, cet aspect-ci était sous-exploité.
J’ai eu un peu de mal avec le personnage de Liz, que j’ai trouvé très froide; même si elle essaie de sortir la tête de l’eau avec beaucoup de résilience, j’ai regretté le manque d’approfondissement de sa relation avec Rosa. Par contre, une large partie du livre fait écho aux Demoiselles en traitant du personnages de Romy, à travers un nouveau personnage : Balthazar. Et là, j’ai vraiment accroché ! J’ai trouvé ce personnage plein de fantaisie, de charme, de romantisme mais aussi de cynisme, et j’ai adoré les passages qui parlaient de lui. A partir du moment où les wagons entre Liz et Balthazar se raccrochent, je suis totalement entrée dans le livre et ai ressenti des émotions… mais j’ai dû attendre une bonne moitié. J’ai lu Les Demoiselles après celui-ci, et… je l’ai un peu plus aimé, il complète beaucoup de manques de ce roman (malheureusement) !
J’ai découvert ce roman au format audio, et je dois avouer que ce format m’a entièrement convaincue. Les deux narrateurs remplissent parfaitement leur tâche, et l’alternance d’un personnage à l’autre passe d’autant plus facilement grâce à l’alternance des narrateurs.
J’ai apprécié Ce que les étoiles doivent à la nuit, mais il fait partie de ce genre de roman qui manque un peu trop d’épaisseur à mon goût, malgré des personnages et une intrigue plein d’intérêt. Ce fut malgré tout un roman sympathique, une lecture détente qui passe très bien, et encore mieux après Les Demoiselles !
Les narrateurs ont été géniaux, ils ont réussi à mettre des émotions dans leurs lectures. Ils m'ont réellement transportée dans ce récit.
Une belle petite suite aux Demoiselles, même si ce n'est pas vraiment une suite. On retrouve certains des personnages.
J'ai apprécié ma lecture, mais sans plus. J'ai eu quelques difficultés à m'attacher à Lise en particulier. Je la trouvais un peu imbue de sa personne. Les autres personnages étaient sympa.
L'histoire était bien, gentillette.
La plume de l'autrice est très belle, poétique surtout pour les descriptions des plats. Elle nous donne l'eau à la bouche.
Mais comme toujours, je me suis laissée emporter par l'histoire.
Ce fut quand même un bon roman feel-good.
Depuis longtemps je me disais vouloir découvrir les livres d’Anne-Gaëlle Huon mais jamais je ne franchissais le pas par peur de, de, je ne sais pas...
Heureusement, Audiolib a juger bon de reprendre « Ce Que Les Étoiles Doivent A La Nuit » car c’est pour moi une très belle découverte.
Ce livre fut un véritable plaisir à écouter et à imaginer.
Cette autrice sait terriblement bien capturer les moments, les gens, les émotions avec ses mots.
Une histoire en deux temps, dans deux espaces, qui viennent se retrouver avec délicatesse.
C’est beau. C’est agréable. C’est plein de délicatesse (oui je radote).
D’ailleurs c’est le mot que je garderai : DÉLICATESSE.
L’écriture est délicate
L’histoire est délicate
Les interprétations, puisque j’ai écouté ce livre, sont aussi délicates
J’ai apprécié le temps donné aux personnages pour se présenter.
C’est espèce de résumé de leurs vies sans concession.
Car tout n’est pas toujours blanc ou noir.
Ils ne sont pas que bourreaux ou victimes tout comme chaque être humain.
Et ces personnages sont terriblement humain, ils le savent et ils nous le racontent simplement.
Je garderai donc une très bonne impression de cette auteure et de cette histoire.
Il semble que pour mieux comprendre l’histoire comme les personnages il me faudrait lire « Les Demoiselles ».
Qu’à cela ne tienne, c’est maintenant mon intension !
J'ai beaucoup apprécié retrouver les personnages de "Les demoiselles" dans cette histoire qui tourne autour de Lizz de ses difficultés de ses secrets, et de sa passion pour la cuisine. L'histoire m'a vraiment captivée (et même plus que "Les demoiselles"). J'ai vraiment adoré cette écoute à 2 voix! En effet, certains chapitres ont un narrateur féminin et d'autre un narrateur masculin dans le texte comme dans l'audiolivre et cela donne du rythme et permet de s'y retrouver plus facilement dans l'histoire donc c'est vraiment encore un livre audio de chez Audiolib qui est très réussi ! Je vous le conseille vivement !
Encore une fois, je suis complètement sous l'émotion de la plume de Anne-Gaëlle Huon... C'était trop beau, une fois encore ✨
Quel bonheur de retrouver un peu les Demoiselles dans ce roman, qui se passe bien des années plus tard. On découvre Liz, jeune cheffe dans un grand restaurant parisien, que est en plein déclin. Tous se liguent contre elle, décidés à la faire couler par vengeance. Alors Liz décide de suivre une lettre d'une certaine Rosa, qui dit avoir connu sa mère.
Nous suivons donc les aventures culinaires de Liz dans le pays basque, qui va tout faire pour restaurer l'éclat d'un restaurant - et en parallèle, nous suivons l'histoire d'amour de ses parents : Romy et Balthazar. Cette alternance de points de vue entre Liz et Balthazar rythme le récit, entre passé et présent.
J'ai adoré découvrir l'univers de la cuisine dans ce nouveau roman : les sens sont à l'honneur ! Mais surtout la réalité professionnelle est bien présente : c'est un monde majoritairement d'hommes, c'est un métier compliqué et qui prend du temps, c'est un métier de passion.
La narratrice avait une voix tellement comme Liz, c'est vraiment comme ça que je l'aurais imaginé donc ça lui allait comme un gant. Comme celle de Balthazar d'ailleurs ! Un très bon moment d'écoute.
Un roman plein d'émotions, plein de générosité, à l'image de la plume de Anne-Gaëlle Huon. Un vrai délice pour les sens - à découvrir de toute urgence ! C'est un coup de coeur.🤍✨
De retour au Pays Basque, du côté de chez les Demoiselles. Anne-Gaëlle n'en avait pas fini avec Rosa et ce village basque. Elle avait besoin d'y retourner...e t ça tombe bien moi aussi !
(Il s'agit ici d'une suite indirecte. L'un peut se lire sans l'autre, l'autre peut se lire avant l'un... mais un conseil : n'hésitez pas à les découvrir les deux!).
Liz jeune cheffe déjà étoilée vient de voir sa vie virer au cauchemar. Un problème d'intoxication alimentaire dans son restaurant conjugué à une plainte pour harcèlement moral... Son rêve, sa passion pour la cuisine... elle n'a plus rien. Alors, elle s'éloigne de ses problèmes. Dans ce village, il y a un restaurant qui vivote, d'autant que le chef en place, Peyo, est très caractériel. Le nouveau propriétaire, M. Etchegoyen, lui propose un défi : réhabiliter l'établissement et en faire un restaurant gastronomique. Démunie et ayant besoin d'argent, elle accepte. et c'est un sacré défi car le lieu est éloigné, donc il va falloir faire fort pour attirer les touristes. Mais Liz, même si elle est désespérée par ce qui lui arrive, y voit l'occasion de prouver ce qu'elle vaut vraiment, et ça lui permet surtout d'avoir une échappatoire, un défouloir, un objectif pour ne pas se laisser aller. Et quand elle a une idée en tête, elle ne lâche rien.
Alors elle remonte ses manches. Décoration, restructuration, embauche, création d'une carte ambitieuse... Elle a la confiance totale du propriétaire. Mais pas du tout celle du chef Peyo. Dans un premier temps, c'est une rivalité constante entre les deux. et c'est assez comique !
Mais des événements dramatiques touchant la nouvelle famille en train de se créer autour de Liz vont faire qu'ils vont devoir s'apprivoiser, s'accepter et construire ensemble.
En parallèle de ce défi ambitieux, une autre histoire nous est raconté. Celle de Balthazar, un jeune homme débrouillard et un peu vantard. Surtout devant son père qu'il n'aime pas décevoir. Alors qu'il passe son temps à magouiller au Casino, il déclare un beau jour à son père qui adore lire le journal qu'il vient d'être embauché et qu'il va interviewer La Marquise, un personnage aussi emblématique que secret local. Alors, il n'a plus le choix. Il va sur place. Et découvre un lieu étrange, où un singe côtoie un zèbre, où il faut montrer patte blanche pour être invité. Mais il va y arriver, avec son bagou exceptionnel, et il va y faire une rencontre qui va changer sa vie.
Alors, Anne-Gaëlle avec toute la justesse émotionnelle et la poésie qu'elle maîtrise alterne ces deux histoires. Et très vite, on comprend le lien entre elles. Une jolie histoire, dans un beau cadre, avec des personnages charismatiques, forts et terriblement attachants. Un seul regret : vouloir y rester quand le dernier mot est posé.
Ce roman fait saliver! Je vous préviens (à part les recettes d'escargot qui ne me font pas rêver mais qui sont bien locaux!). J'ai vraiment apprécié le caractère des personnages et la façon dont ils interagissent. J'ai apprécié également la thématique des femmes en cuisine : jalousie, ambiance, pression... Mais pas seulement. Car au-delà de ce thème professionnel, il y a les parcours de vie et ses embûches. Chaque personnage croisé entre ses pages doit se reconstruire, pour diverses raisons. Le combat d'une femme pour son rêve, celui d'une mère pour sauver son enfant, celui d'un homme malheureux seul, celui d'un homme qui espère.
Dans ces combats solitaires, ils vont porter ensemble leur reconstruction. Se trouver pour aller mieux. Se trouver pour s'associer, s’entraider, se consolider...
Les mots d'Anne-Gaëlle Huon m'ont une nouvelle fois transporté au plus près de ses personnages. Et j'étais d'autant plus près de leurs émotions grâce à l'interprétation des deux lecteurs : Florine Orphelin (voix que j'ai apprécié de retrouver si tôt de la fin de mon écoute de la trilogie de Marie-Bernadette Dupuy, Le Mystère Soline) et Philippe Spiteri (une première audiolecture avec cette acteur : une voix grave et profonde qui incarne bien la personnalité fantasque du jeune Balthazar).
Liz, cheffe étoilée déchue à cause d'une sombre histoire de harcèlement, se retrouve propulsée au Pays basque, dans un petit village perdu, où M. Etchegoyen, personnage excentrique lui confie les clés de son restaurant pour en faire une adresse gastronomique.
Le chef en place, Peyo, ne voit l'entend pas de cette oreille....
Par des retours dans le passé où l'on découvre l'histoire de la mère de Liz, atteinte de bipolarité, son histoire d'amour avec le père de Liz, le lecteur peut reconstituer le puzzle de sa vie.
La passion pour la cuisine est dévorante chez Liz, à en oublier d'écouter ceux qui l'entourent, mais sa protégée Gwen et la fille de celle-ci vont lui ouvrir les yeux sur le vraie sens de l'amitié et l'écoute de l'autre.
Un roman très bien construit et écrit, truffé de rebondissement et laissant la part belle au mystère dévoilé peu à peu au gré des retours dans le passé.
Un roman feel good qui fait vraiment du bien, en effet, et les voix des lecteurs sont un vrai plus qui nous pousse à nous attacher aux personnage.
Un bon moment de lecture.
J'ai souhaité tester pour la première fois la lecture audio avec une auteure dont j'apprécie les écrits. Et malheureusement je n'ai pas adhéré. Les voix sonnent juste, le rythme est bon mais les livres audios ne sont je crois pas une expérience faîte pour moi. Je ne ressens pas les émotions de la même manière et ne vis pas du tout l'histoire de la même façon. Je vais me procurer le livre poche pour combiner écoute/lecture afin de voir si l'expérience est différente. J'ai réellement apprécié pouvoir découvrir les livres audios de cette manière, et cela n'empêche en rien d'avoir encore une fois de plus adoré les mots d'Anne-Gaëlle Huon.
eu un peu de mal à rentrer dedans. Peut-être parce que c’était en version audio et que du coup j’ai eu du mal à situer tout le monde au début. Mais une fois lancée dans cette histoire, je n’ai pas pu la quitter avant de fermer définitivement l’audio.
J’adore les personnages écorchés dont le passé est complexe. J’ai aimé découvrir le monde de la restauration à travers l'œil de l’autrice. Beaucoup de délicatesse dans ce monde qui au premier abord semble brut.
Anne-Gaëlle Huon nous emmène à travers ses mots sur des sujets délicats comme : la maladie, la vie professionnelle ou encore le passé douloureux … C’est fait avec beaucoup de brio et de bienveillance. Je me suis notamment attachée à la petite fille de Gwen.
J’ai également beaucoup apprécié le lien fait avec son livre précédent : les demoiselles.
C’est un très bon livre que je recommande. J’ai beaucoup aimé aussi comment cette autrice parle de sa fille à la fin du roman, moi-même étant devenue maman récemment.
Merci à NetGalley et à Audiolib pour la découverte de Ce que les étoiles doivent à la nuit d’Anne-Gaëlle Huon.
Ce roman est d’abord une plongée dans le milieu des chefs étoilés, non pas celui des chefs en vedette, sous les feux de la rampe, bien au contraire… Nous en saisirons, entre les lignes, l’envers du décor, entre misogynie et coups bas. J’ai immédiatement pensé au livre de Marie Ndiaye, La Cheffe, Roman d’une cuisinière que j’avais lu, à sa sortie, en 2016, et j’étais donc comblée de voir qu’Anne-Gaëlle Huon s’y réfère dans ses remerciements en fin de volume.
Lizz a connu la gloire à Paris, en tant que cheffe prodige et étoilée, puis a dû fermer son restaurant, meurtrie et cabossée par la charge de travail, les aléas du métier, des expériences douloureuses, des trahisons, une enquête sanitaire...
Dans un petit village perdu du Pays Basque, Lizz rencontre M. Etchegoyen qui lui confie les clés de son restaurant et un défi à relever en faisant de sa gargote une adresse gastronomique ; c’est l’occasion inespérée de se remettre en selle même si Peyo, le chef actuel, ne voit pas arriver cette étrangère d’un bon œil. L’un et l’autre vont devoir s’apprivoiser et affronter ensemble les fantômes de leur passé.
Ce récit au titre évocateur est aussi et surtout une histoire foisonnante faite de rencontres, pas vraiment fortuites… Il n’y a pas de hasard, annonce la quatrième de couverture, seulement des rendez-vous.
La narration à deux niveaux avec le parcours de Lizz et celui d’un homme qui a été éperdument amoureux de sa mère m’a fait penser à Boris Vian (L’Écume des jours) et à Olivier Bourdeau (En attendant Bojangles) avec une histoire d’amour pleine de rêve et de fantaisie, le fantôme de la mère et de la femme aimée qui apparaît de temps en temps pour donner son propre ressenti, des personnages attachants et/ou farfelus : une petite fille malade, des vieilles dames dynamiques, un singe, des escargots, un pâtissier timide et secret, un dandy insaisissable et plein de panache, des joueurs de poker…
Un roman savoureux au sens propre, car on y cuisine beaucoup, et figuré car l’histoire est pleine d’émotions, d’humour et de fantaisie.
Les étoiles du titre ne sont pas seulement celles décernées aux chefs cuisiniers : ici aussi, il y a le sens propre et les métaphores à filer tout au long de l’intrigue : la plupart des personnages ont connu des périodes difficiles avant de retrouver la santé, l’espoir, l’amour et de reprendre goût à la vie.
La version audio suit la narration avec l’alternance des points de vue à deux voix, celles de Florine Orphelin et Philippe Spiteri. En règle générale, je préfère les lectures épurées, sans fioritures et sans excès d’interprétation… Je dois cependant reconnaître qu’ici, le mélange des voix passe bien.
Une réussite sur tous les plans.
#Cequelesétoilesdoiventàlanuit #NetGalleyFrance
J'avais eu un vrai coup de coeur pour "Les Demoiselles", le roman précédent d'Anne Gaëlle Huon et n'ai pas résisté à l'envie de découvrir ce nouveau roman dont j'ai lu rapidement le résumé sans réaliser que l'héroïne était Liz, la petite fille quî disparait de la vie de Rosa à la fin du roman précédent.
Liz arrive au Pays Basque paumée, elle a perdu pied depuis qu'un accident dans les cuisines de son restaurant gastronomique parisien a brisé la brillante carrière qu'elle menait... mais en fait, ce voyage va lui permettre de retrouver ses racines et de se relever.
J'ai plongé dans cette histoire avec délice transportée par la voix des deux narrateurs, celle de Baltazar en particulier, riche et vibrante, dont les souvenirs s'egrainnaient peu à peu comme un écho dont je ne saisissais pas clairement le fil... puis les chapitres se sont rapidement enchaînés, me laissant une sensation incroyable : celle que je retrouvais des personnes chères dont l'histoire me semblait tellement limpide désormais et qui me touchaient terriblement. Liz, Rommy, Rosa... la Marquise ou Lupin son majordome noir, tous ils étaient revenus et cette histoire prenait sens comme si tout était écrit et naturel et que certains destins sont scellés depuis le début et que quelque soit le temps qui passe, un jour les choses s'accomplissent tout simplement parce que c'est enfin le moment.
Un merveilleux moment... Une sensation incroyable ! Je ne peux que vous conseiller cette lecture à votre tour.
Celle des "Demoiselles" n'est pas indispensable pour comprendre "Ce que les étoiles doivent à la nuit" mais c'est un tel bonheur que je ne peux que vous recommander les deux !
Beaucoup d'émotions à l'écoute de ce roman. Des personnages attachants, blessés par la vie et qui ensemble vont se reconstruire. L'alternance des récits de Liz et de Balthazar, même si le lien est rapidement évident, forment une très jolie histoire. Je n'ai pas lu Les demoiselles et j'ai très envie de le découvrir.
En cuisine, les liens se tissent...
C'est après un évènement douloureux que Liz quitte son restaurant et fuit le scandale qui la poursuit. Elle pose ses valises au Pays basque, région chère au coeur de sa mère. Lorsqu'on lui remet les clés d'un restaurant qui ronronne afin d'en faire un lieu gastronomique, elle hésite puis se lance dans l'aventure. De nouveaux défis s'offrent à elle.
Quel bonheur de retrouver l'écriture d'Anne-Gaëlle Huon ! Une écriture aussi pétillante et virevoltante que l'autrice. L'histoire est prenante, les personnages sont touchants et attachants. La double narration entraine le lecteur dans l'intimité familiale de Liz : l'histoire du passé trouve des échos dans le présent.
Un pur moment de bonheur ! On en redemande.
L’année dernière, j’avais déjà lu Ce que les étoiles doivent à la nuit d’Anne-Gaëlle Huon. Mais en voyant qu’il allait sortir en audio, j’étais curieuse de redécouvrir ce roman avec les voix de Florine Orphelin et Philippe Spiteri.
Dans Ce que les étoiles doivent à la nuit, nous découvrons Liz, une cheffe étoilée, talentueuse. Son restaurant et sa carrière décollent et elle devient une pointure dans la restauration. Jusqu’au soir où tout bascule. Intoxication alimentaire, commis blessée, bafouée et procès intenté. Si Liz a rapidement gravi les échelons, elle les dégringole encore plus prestement ! Se souvenant de la lettre de Rosa, reçue quelques temps plus tôt, Liz part dans le Pays Basque, loin de l’agitation parisienne, avec sa fidèle Nana qui veille sur elle depuis son enfance. Une fois sur place, elle rencontre M. Etchgoyen qui lui propose de transformer son petit bouiboui en restaurant étoilé en trois mois. Liz a carte blanche, sauf pour le chef de cuisine : elle doit garder Peyo, alors que ce dernier ne semble pas emballé par les changements à venir.
La lecture de Ce que les étoiles doivent à la nuit est simple, agréable et fluide. Les chapitres alternent le point de vue de Balthazar, un jeune homme dont l’histoire commence dans les années 50 avec sa rencontre avec un zèbre et Romy ; avec le point de vue de Liz, la fille de Romy à l’époque contemporaine. Ces deux personnages ont tous deux connus Romy à des époques différentes. Cela fait vingt ans que cette dernière est décédée.
J’ai beaucoup apprécié le parcours de Liz au Pays Basque. En revenant sur la terre de son passé, la jeune femme va se découvrir, retrouver des bribes de passé qu’elle avait oublié. Au fil des chapitres sa vision se transforme et elle modifie son rythme de vie. Liz s’ouvre aux gens et au monde.
Ce que les étoiles doivent à la nuit est un roman feel-good, d’apprentissage. Anne-Gaëlle Huon y mêle avec talent le passé et le présent. Les deux fils temporels se suivent en parallèle puis se mêlent pour conclure le roman avec brio.
J’ai beaucoup aimé redécouvrir cette histoire. Les chapitres alternant le récit de Liz au présent et de Balthazar dans les années 50, les voix de Florine Orphelin et Philippe Spiteri sont donc en alternance pour nous compter leurs histoires qui finissent par se rejoindre. Les deux narrateurs correspondent et donnent vie de manière surprenante à ces deux personnages qui n’ont pas été épargnés par la vie. Si j’avais aimé ma lecture de Ce que les étoiles doivent à la nuit, j’ai adoré la redécouvrir sous ce second format.
Depuis la parution de son livre Le bonheur n'a pas de rides, j'ai eu l'occasion de voir pas mal de publications sur les réseaux sociaux autour des livres d'Anne-Gaëlle Huon. Pourtant, je n'avais pas encore eu l'occasion de lire l'un de ses récits. Mais comme dit l'adage, mieux vaut tard que jamais.
Je suis donc partie à la découverte de l'autrice grâce à sa dernière parution Ce que les étoiles doivent à la nuit.
Après avoir terminer le livre, j'ai appris que le récit faisait écho à une précédente parution (Les demoiselles). Même si je ne l'avais pas lu, cela ne m'a aucunement dérangé dans ma lecture.
Je me suis laissée bercer par la plume d'Anne-Gaëlle Huon mais aussi par les voix de Florine Orphelin et Philippe Spiteri.
J'ai trouvé le choix de la double narration fort judicieux et plus agréable pour découvrir ce roman sous la forme audio. Surtout qu'à travers le récit, nous découvrons deux histoires.
La première se passe de nos jours. On y suit Liz, une jeune cheffe parisienne, qui, après avoir dû endurer la fermeture de son restaurant, arrive au pays Basque dans le but de remonter la pente mais aussi de partir sur les traces du passé de sa mère.
Le second récit est un flash-back où on découvre la relation des parents de Liz.
Que ce soit les personnages principaux ou les personnages secondaires, je les ai tous trouvé attachants. J'en ai d'autant plus apprécié la découverte de leur passé et de les voir évoluer.
Ce que les étoiles doivent à la nuit aura été pour moi une plaisante découverte.
Passé et présent s'entremêlent dans ce roman qui fait suite au livre "Les demoiselles" que j'ai lu l'an dernier !
Une partie de l'histoire se passe de nos jours, l'autre débute dans les années 50.
J'ai pris plaisir à retrouver certains personnages et à apprendre à en connaître de nouveaux... De jolis paysages, l'univers de la gastronomie, des histoires de famille et de belles amitiés ! 🥰
Ce nouvel opus m'a moins emballée que le précédent mais cela reste néanmoins une bonne lecture, surtout dans le format audio : pas de temps mort et une narration à deux voix très entraînante !
Bref, une lecture sympatique 😊
Je pense que j'avais mis la barre beaucoup trop haute avant de lire ce roman. J'avais tellement entendu du bien de la plume de cette autrice que j'ai été déçue.
J'ai trouvé ce livre "léger". J'ai eu beaucoup de mal à apprécier et à m'attacher aux personnages. De plus, on est dans le monde de la restauration et même des restaurants étoilés. Et c'est une thématique qui ne m'intéresse pas plus que ça.
Je ne sais pas si je lirai d'autres livres de cette autrice à l'avenir. Je le conseille aux personnes qui aiment les romans "feel good" avec une plume agréable mais pas assez de profondeur dans l'intrigue comme dans les personnages. Pour ceux qui aiment les romans d'Aurélie Valogne, je pense que vous pouvez beaucoup aimé.
Lise, sous ses airs de dur à cuire qui a vécu des choses horribles dans le domaine de la restauration, se trouve être une femme apeurée, coupable (indirectement) d'un geste impardonnable et qui essaie de tout donner pour se relever. C'est sans compter ce village perdu dans lequel elle a passé les quatre premières années de sa vie et de tous les secrets qu'il recèle...
J'ai beaucoup aimé ma lecture, aussi auditive soit-elle. La dualité des interprètes donne au livre et à l'intrigue tout son sens. On fait encore plus la séparation entre les deux histoires, entre les deux époques. Entre les deux vies qui, finalement, sont plus rapprochées qu'elles ne le pensent.
D'ailleurs, petit bémol, le dénouement se révèle assez rapidement à qui prête attention aux petits détails. Comme si le but du récit n'était pas de créer une fin surprenante mais plutôt d'attiser le lecteur à savoir comment tout cela va se révéler au grand jour.
Enfin, l'auteure a un don pour retranscrire les sens, surtout le goût. Le thème de la cuisine se prête à merveille à son style et c'est à travers des textures, des odeurs, des goûts ou des ambiances qu'Anne-Gaëlle Huon nous donne l'eau à la bouche - ce qui était problématique quand j'écoutais le livre tout en cuisinant !
En d'autres termes, je dirais que j'ai passé un excellent moment en compagnie de Balthazar, Peyot, Lise, Gwen ou même Rosa et les jumelles. L'histoire m'a attendrie, bien qu'elle ne resta pas un mystère longtemps. Une belle découverte et une grande envie de découvrir les autres romans de l'auteure !
Un très beau roman entre passé et présent pour suivre l’histoire de Lise et Balthazar. Lise, star de la cuisine au cœur d’un scandale qui rejoint un petit village du Pays Basque. Balthazar qui a vécu l’histoire d’amour de sa vie un été de sa jeunesse et ne parvient pas à l’oublier. Leurs destins sont liés d’une manière surprenante. C’est un récit touchant, de reconstruction et d’amour familial que j’ai adoré écouter !
C’est une première avec un livre audio et j’ai trouvé ça super de pouvoir l’écouter en faisant d’autres activités ! La narratrice et le narrateur étaient justes. Expérience très agréable !
Chronique de Prisci
Ce que les étoiles doivent à la nuit
De Anne Gaëlle Huon
Sur Audiolib
Résumé:
Il n'y a pas de hasard, dit-on, seulement des rendez-vous. C'est ce que va découvrir Liz, cheffe prodige et étoilée, en partant au Pays basque sur les traces de sa mère. Dans un petit village perdu, elle rencontre M. Etchegoyen, dandy insaisissable et plein de panache, qui lui confie les clés de son restaurant et un défi à relever : faire de sa gargote une adresse gastronomique. Mais Peyo, le chef, ne voit pas arriver cette étrangère d'un bon oeil. L'un et l'autre vont devoir s'apprivoiser et affronter ensemble les fantômes de leur passé.
Merci à Netgalley et à Audiolib pour ce service presse
https://plumeely.wixsite.com/monsite/post/prisci-ce-que-les-étoiles-doivent-à-la-nuit-anne-gaëlle-huon
~~~~~~~~Mon avis~~~~~~~~
Une histoire bouleversante qui m’a transportée au delà de tout ce que j’imaginais…
Deux histoires qui se rencontrent entre passé et présent, les liens ont été tissés.
J’ai adoré cette fraîcheur et cette profondeur dans ces personnages. Il y a des remises en questions, des défis que la vie placent sur notre chemin.
Des sujets forts et d’autres légers, le pouvoir des acteurs lors de l’écoute y est pour beaucoup. On s’attache à tous les personnages que ce soit les principaux comme les secondaires et même p’tit gris 😉
L’auteure a réussi à me faire perdre quelques larmes et puis ma poitrine s’est serrée. Le mot fin est arrivé et j’ai été soulagée.
Ce roman est une ode à la vie. Le quand on veut, on peu résume parfaitement cette histoire. A force de conviction et de persévérance nos protagonistes arrivent au bout du chemin et tout ce finit bien.
Cette histoire m’a parlé et touché. Elle a été un coup à l’âme.
Un grand merci à l’auteure pour ses mots au fil des pages.
#prisci
Une fois de plus j’ai eu un immense plaisir à écouter ce livre audio, sa particularité est d’avoir deux lecteurs, Florine Orphelin qui interprète Liz et Philippe Spitéri pour Balthazar. Je trouve ce choix très réussi. Il donne plus de profondeur à ce très beau roman choral. Tous les deux ont le ton juste et donnent vie avec brio à leurs personnages. Ils nous entraînent à travers deux époques, avec des points de vue différents et complémentaires.
Ce roman est une suite indirecte des Demoiselles que j’avais découvert avec grand plaisir l’an dernier. Il n’est pas nécessaire d’avoir lu le premier pour comprendre l’histoire, même si c’est toujours plus agréable de commencer une saga par le début. De toute façon j’encourage les lecteurs qui ne l’ont pas encore lu à le découvrir, vous ne serez pas déçus.
Liz est au sommet de la vague, cheffe d’un restaurant gastronomique sur le point de décrocher sa première étoile et jurée d’une célèbre émission culinaire. Malheureusement une soirée tourne au désastre lorsque que les membres du Michelin sont présents, en même temps que les pompiers suite à l’intoxication alimentaire d’une cliente, et ensuite une employée se brûle puis dépose plainte pour harcèlement. Liz se trouve prise dans un scandale et son restaurant est fermé. Déboussolée, elle retrouve grâce à son amie Nana une lettre de Rosa, une vieille dame qui lui dit qu’elle a bien connu sa mère et l’invite à Moléon au Pays basque, les deux femmes s’y rendent. Liz n’a pas réussi à faire le deuil de sa mère Romy, qui s’est suicidée alors qu’elle avait dix-huit, soit vingt ans plus tôt. L’enfance de Liz a été marquée par la maladie de sa mère bipolaire, elles ont alterné les fêtes merveilleuses et les jours sombres. Liz sent encore sa présence et la voit souvent. A Moléon, elle rencontre M. Etchegoyen, un riche homme d’affaire qui possède entre autre le petit restaurant du village, qui vivote sous la férule de Péyo, le chef caractériel et lunatique. Le vieil homme lui propose de faire de son établissement un restaurant gastronomique en trois mois, il croit en elle et elle aura carte blanche sauf en ce qui concerne Péyo qui doit garder son poste. N’ayant rien à perdre, elle relève le défi.
En alternance, Balthazar raconte son histoire qui débute en 1951. Il est fils de paysan, se désintéresse de ses études et se passionne pour le poker, tout comme son frère. Ils sont surtout des tricheurs à la petite semaine qui dévalisent des joueurs bien plus naïfs qu’eux. Ils se font surprendre un jour par des amis de leur père au casino de Biarritz et improvisent une excuse : Balthazar veut interviewer la Marquise, une célébrité qui donne des fêtes courues par le gratin local et parisien. Le père n’est pas dupe, mais le jeune homme veut donner vie à son mensonge et se rend à la villa de la Marquise. Le gardien ne le laisse pas entrer, il contourne alors la propriété et entre en escaladant une falaise. Sous l’orage il voit un zèbre qui court dans le jardin, mais surtout Romy, une éblouissante jeune fille, c’est le coup de foudre immédiat et réciproque.
Ainsi le récit alterne entre présent et passé. Tous les personnages sont attachants, Liz est au centre du roman. Sa rencontre avec Péyo fait des étincelles et donne lieu à quelques scènes cocasses où leurs conceptions différentes de la cuisine s’affrontent. Elle fait tout pour le faire partir, mais en vain. Elle trouve qu’il manque de créativité et de modernité et ne comprend pas pourquoi le patron lui impose sa présence. Elle s’est liée avec Gwen, une jeune Bretonne venue avec Nine sa fillette au coeur malade, car le spécialiste qui la soigne a pris sa retraite dans la région. Gwen rejoint la maison des Demoiselles, puis l’équipe du restaurant. Les deux chefs sont très attachés à la petite, ce qui les rapprochera. Un beau jour Liz oubliera ses à-priori et reconnaîtra Péyo, qui se révèlera un ami et un fidèle soutien pour le nouveau projet de restaurant. Elle révisera ses préjugés et ils pourront enfin former une vraie équipe qui relèvera brillamment le défi un soir de tempête où l’électricité est en panne. Face à la maladie de Nine, elle retrouvera enfin le sens des priorités.
La plume de l’auteure est toujours aussi fluide et agréable, j’ai écouté ce roman d’une traite. J’ai beaucoup aimé cet hymne au terroir qui donne envie de découvrir le pays basque, mais aussi sa propre région en disant l’importance du terroir et de nos racines, du lien avec la terre et la nature. On parle beaucoup de cuisine, un sujet qui ne m’intéresse pas particulièrement. Liz nous présente l’envers du décor de la grande cuisine faite de machisme et de violence, un monde où tout est permis pour se faire une place au soleil, mais où on la perd plus vite qu’on ne l’a gagnée. Liz en fera l’amère expérience et elle n’est pas loin de pratiquer les mêmes méthodes pour évincer Péyo au début, mais grâce à ses amis, elle saura retrouver le sens de sa passion pour la cuisine, sa créativité sera décuplée loin des conflits parisiens. Ce livre met à l’honneur les femmes qui réussissent malgré les embûches. Il y a toutefois un problème de chronologie interne dans le roman à mon avis.
J’ai beaucoup aimé ce livre plein d’espoir, de résilience et de tendresse, le tout dans de très beaux paysages. C’est une lecture qui fait du bien. Un grand merci à Netgalley et Audiolib pour cette belle découverte.
#Cequelesétoilesdoiventàlanuit #NetGalleyFrance !
Ce fût une lecture très agréable. Je l'ai proposée en lecture partagée. Nous étions 11 à le lire en même temps. Nous avons eu du mal parfois à nous repérer dans la chronologie. La fin laisse à penser qu'il y aurait certainement une suite.
L'an dernier je découvrais la plume d'Anne-Gaëlle Huon, cette année je retrouve quelques personnages dans cette suite... de toute évidence, c'est un succès renouvelé !
L'histoire est touchante, parfois prévisible mais surtout pleine d'humanité et de sincérité, sans jamais tomber dans la mièvrerie d'une romance aussi impromptue qu'inutile. Rien que pour ça, merci !
Les personnages eux sont d'autant plus attachants qu'ils ne sont ni irréprochables ni infaillible. En un mot, ils sont réalistes. C'était vraiment une belle lecture !
Pour ce qui est du livre audio en lui-même, la narration à deux voix était très agréable, et les chapitres pas trop longs, ce que j'apprécie beaucoup - j'ai horreur de devoir couper au milieu d'un chapitre !
Merci a netgalley pour m'avoir permis d'écouter ce livre en audio.
J'avais déjà lu, les demoiselles de cette auteur reçu dans une Kube quelques mois plus tot. Et j'ai souris en reconnaissant certains personnages dans ce roman.
On suit Liz, cheffe étoilée, qui part sur les traces de sa mère dans un village au Pays Basque après avoir quitté son restaurant parisien dans des conditions tres difficiles. Sous un scandale. Et cette 'histoire s'entremêlent entre passé et présent, de nos jours a l'histoire de Balthazar qui démarre dans les années 50.
Des le début, je me suis dis, il y a un forcement un lien entre nos deux temporalité, nos deux personnages mais lequel? J'étais à l'écoute de chaque indice, de chaque souvenir, de chaque prénom pour tenter de déceler le lien.... Et quand j'ai compris :o !
On savoure ce roman en cuisine, a travers des recettes et le questionnement de soi. Liz se sent incomplète et ne comprend pas ce qui a pu si mal se dérouler pour que tout l'empire qu'elle était entrain de bâtir a Paris a pu s'effondrer ainsi. Peyo va l'aider sans réellement le vouloir car au départ les deux personnages ne peuvent pas vraiment se voir. Mais il va lui montrer ce qu'est la vrai cuisine selon lui... Pour qu'elle retrouve sa cuisine et pas ce que les gens attendent d'elle.
J'ai beaucoup aimé le personnage de Balthazar c'est d'ailleurs lui qui m'a plus plu que Liz. J'aimais beaucoup de garçon, cette époque et ce qu'il a traversé pour retrouver une partie de lui... C'est vraiment mes passages préféres.
C'est donc une lecture en demi teinte mais j'ai passé un très bon moment tout de meme! Et je suis sur que beaucoup d'autres ont apprécié.
Quel plaisir de retrouver la plume de l'autrice et les personnages du roman Les demoiselles que j'avais tant aimés.
J'ai adoré découvrir l'histoire de Liz, cheffe cuistot et fille de Romy. Elle m'a touchée et émue. Elle essaye de se reconstruire suite à un drame qui a bouleversé sa vie. Elle va à la rencontre de Rosa.
Les chapitres sont très courts et s'enchaînent.
L'histoire est addictive et prenante. Ce fut un réel plaisir de lire ce roman.
Je vais continuer à découvrir les romans de l'autrice. J'ai eu un coup de cœur pour sa plume. Elle arrive à transmettre des émotions. Elle a un réel talent.
J'ai écouté le roman. Il y a 2 voix : un narrateur et une narratrice. Ils interprètent parfaitement l'histoire. Dès les premières minutes d'écoute, je me suis vue au Pays basque en compagnie des personnages.
Une histoire riche en émotions, des personnages attachants, Un vraiment de détente! Une lecture que je recommande vivement
Cette histoire est plus ou moins la suite du roman "Les demoiselles" de la même autrice.
Nous allons rencontrer Liz, une cheffe de cuisine qui va voir sa carrière voler en éclat suite à un énorme scandale. Elle trouve une lettre l'invitant au Pays Basque. Des rencontres qui vont changer toute sa vie.
Autant nous sommes plongés directement dans l'histoire, autant je trouve que c'est parfois très longuet dans la construction du récit.
Par contre, si j'ai un point positif à relever, c'est l'écriture de l'autrice qui est très belle.
Ce que les étoiles doivent à la nuit
Anne-Gaëlle Huon
Lu par Florine Orphelin et Philippe Spiteri
Résumé :
Il n’y a pas de hasard, dit-on, seulement des rendez-vous.
C’est ce que va découvrir Liz, cheffe prodige et étoilée, en partant au Pays basque sur les traces de sa mère. Dans un petit village perdu, elle rencontre M. Etchegoyen, dandy insaisissable et plein de panache, qui lui confie les clés de son restaurant et un défi à relever : faire de sa gargote une adresse gastronomique. Mais Peyo, le chef, ne voit pas arriver cette étrangère d’un bon œil. L’un et l’autre vont devoir s’apprivoiser et affronter ensemble les fantômes de leur passé.
Mon avis :
C’est l’histoire d’un coup de foudre. C’est l’histoire d’une cheffe gastronome qui a tout perdu, le goût des autres et l’envie. C’est l’histoire d’un deuil impossible à faire. C’est l’histoire d’une vie. Retrouvez avec délices la suite des Demoiselles.
Dans ce roman enchanteur et savoureux, Anne-Gaëlle Huon nous entraîne dans un tourbillon d’émotions. Une histoire universelle qui nous parle d’espoir, d’amour, et nous redonne le goût de la vie.
Une histoire magnifique que j’ai vraiment pris plaisir à écouter et qui ne m’a pas laissée indifférente.
La narratrice nous aide pleinement à entrer dans l’histoire grâce à son récit et sa voix qui est juste parfaite pour la raconter.
Je ne peux que vous recommander la lecture ou l’écoute de ce livre !
Merci à audiolib pour votre confiance. Je vous présente mes excuses pour le retard de mon retour à travers cette chronique.
Séverine @eliorajoub
@lireetsortir
Audiolib, 16 mars 2022, 20,45 € en numérique 7h16
#cequelesétoilesdoiventàlanuit #AnneGaëlleHuon #FlorineOrphelin #PhilippeSpiteri #audiolib #romance
Apres m'avoir éblouie avec son magnifique #lesdemoiselles, #annegaellehuon m'a totalement envoûtée avec #cequelesetoilesdoiventalanuit
C'est avec beaucoup d'émotions que je referme ce livre. La construction du roman est majestueuse, les émotions sont intense, les personnages entiers, bref c'est un de ses romans qu'on voudrait pouvoir relire pour la première fois ad vitam æternam.
Dans les demoiselles, Rosa peint son histoire à liz, dans Ce que les étoiles doivent à la nuit, c'est Liz que nous suivons. J'ai adoré retrouver Rosa et les références aux demoiselles tout au long de ma lecture.
Liz cette femme meurtrie, perdue, ébranlée par la vie se voit l'opportunité de faire renaître un restaurant "Chez Germaine". Elle doit faire équipe avec Peyo, le chef du restaurant. de nature bourru, froid et entêté, on peut dire que la rencontre entre ces deux la fait des étincelles. Mais c'est sans compter sur la petite Nine, cet enfant tendre et douce qui fait fondre le coeur de ces deux là.
Chacun faisant un pas vers l'autre, les barrières s'effondrent, les coeurs s'ouvrent et les non dits n'en sont plus pour laisser place à une belle complicité.
Nous alternons ce recit entre le personnage de Liz et Balthazar (je vous laisse découvrir qui il est). On part dans le passé, on découvre chez cet homme l'amour inconditionnel qu'il portera à une femme. Cet homme brisé par l'amour se relèvera devant chaque obstacle.
C'est l'histoire de trois vies reliées par le fil du destin où chacun à sa manière va permettre à l'autre de refaire surface.
Ce roman c'est l'authenticité de la vie, les petits plaisirs, les grands bonheurs mais aussi les doutes, les peurs, les regrets.
C'est la vie, la vraie, avec ses failles mais surtout avec ses valeurs.
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