Le Chant des cavalières
par Jeanne Mariem Corrèze
Lu par Cécile Delacherie
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Date de parution 11 mars 2022 | Archivage 8 avr. 2022
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Résumé
Un royaume divisé, instable, des forces luttant pour le pouvoir. Un Ordre de femmes chevauchant des dragons. Des matriarches, des cavalières, des écuyères et, parmi elles, Sophie, l’élue, qui attend. Pour trouver sa place, elle devra louvoyer entre les intrigues de la cour et de son Ordre, affronter ses peurs et ses doutes, choisir son propre destin, devenir qui elle est vraiment.
Nouvelle venue dans le paysage de la fantasy francophone, Jeanne Mariem Corrèze livre ici un premier roman faussement classique, au style sensible et envoûtant.
Pépite de l'imaginaire 2020
Un royaume divisé, instable, des forces luttant pour le pouvoir. Un Ordre de femmes chevauchant des dragons. Des matriarches, des cavalières, des écuyères et, parmi elles, Sophie, l’élue, qui attend...
Formats disponibles
FORMAT | Livre audio, Intégral |
ISBN | 9782364069909 |
PRIX | 21,90 € (EUR) |
DURÉE | 13 Heures, 16 Minutes |
Chroniques partagées sur la page du titre
J'ai l'impression de me répéter critique après critique, mais aux éditions VOolume, c'est toujours un réel plaisir que de poser mes écouteurs dans mes oreilles, d'appuyer sur play et de me laisser guider par des voix envoutantes, toujours très bien sélectionnées pour les histoires qu'elles accompagnent. Cécile Delacherie, notre lectrice, ne déloge pas du tout à la règle, avec sa voix de conteuse aussi poignante que l'histoire qu'elle lit ici.
"Le Chant des cavalières" de Jeanne Mariem Corrèze est un très chouette roman de fantasy, pleine de poésie romanesque, avec de belles figures de style et très clairement un grand amour pour la langue française. La promesse d'enjeux dans ce monde matriarcal n'est pas tout à fait tenue; on s'attend probablement à plus de rebondissements avec tous ces dragons et leurs guerrières, ainsi qu'à une protagoniste plus déterminée. Le livre est principalement constitué de grandes descriptions et passe un bon bout de temps à étoffer ses personnages et ses lieux, peut-être parfois au détriment d'une vraie trame et d'enjeux.
Avec quelques longueurs en première partie et pas mal de précipitations vers la fin, le roman est agréable à écouter, malgré son changement de rythme (que j'aurais voulu plus soutenu sur toute sa longueur). Je pense qu'il s'adresse surtout pour un public qui aiment les histoires à ambiance lyrique (dont le style semble s'en inspirer certainement ici), et c'est on ne peut plus approprié sous sa forme narrée dans ce cas précis.
C’est la première fois que je découvrais ce type de livre. Je me suis toujours demandée si c’était bien et j’ai trouvé que c’était une bonne expérience d’écouter ce genre de roman. Je me suis mise à faire de la peinture en même temps que je l’écoutais car impossible pour moi de ne rien faire en même temps, je me serais endormie sinon. Et même sans ça, j’ai eu du mal à me concentrer sur mon écoute. J'ai moins bien réussi à imaginer les scènes ou les décors et les paysages. Je pense que c'est dû au fait que j'ai une facilité d’imagination lorsque je les vois ou lorsque je lis. Là, c'était beaucoup plus dur à imaginer, même si les descriptions étaient bien présentes et précises surtout.
Concernant la narration, c’est une voix rauque mais agréable que l’on entend. J’ai trouvé quelques défauts dans la lecture au moment des fins de phrases, ça m’a perturbé un peu. Je m'attendais surtout à ce que les phrases continuent ou qu'il y ait encore quelques mots ensuite, mais non. L'intonation était ascendante et non descendante comme lors des fins de phrases.
En revanche, l'histoire est très poétique. Il y a beaucoup de détails et de belles descriptions. J'ai retenu pas mal de passages rythmés, avec des rimes et des vers, comme dans un poème. C'était très beau et ça m’a permis de voyager dans un ailleurs lointain. Le langage est très soutenu dans ce roman, donc par moment c’est agréable mais à d’autres c’est trop pompeux et ennuyant. La plume est très fournie mais agréable. C’est pourquoi, je pense que c’était mieux que je l'entende plutôt que je le lise parce que ça m'aurait paru très long et ennuyant. J'aurais mis 500 ans avant de le terminer. Déjà qu’il faisait 13 h d'écoute environ, ça doit être une sacrée brique à lire.
Les personnages sont sympathiques à suivre mais j’ai eu beaucoup de mal à m’attacher à eux. La manière dont le récit est raconté à fait que j’étais détachée d’eux, je n’ai pas ressenti d’émotions pour eux comme j’ai pu en ressentir pour d’autres dans d’autres romans. Tout semblait froid et détaché.
Je trouve que l’intrigue ressemble énormément à celle du Prieuré de l’oranger de Samantha Shannon, notamment le monde dans lequel les personnages évoluent, les créatures ainsi que le groupement religieux avec des femmes. Mais j’ai largement préféré le roman de Samantha Shannon.
Conclusion : Une bonne expérience de lecture même si je préfère mille fois lire un bon vieux livre papier qu’écouter un audible. C’est inimitable. Quant à l’intrigue, c’était sympa mais pas inoubliable.
La première chose qui m'a attirée dans ce roman, c'est sa couverture, sobre mais pourtant très tentatrice ! Le titre et le résumé ont ensuite fini de me convaincre à me lancer dans cette histoire, emportée par une narratrice aux voix multiples qui a une élocution très douce qui colle parfaitement avec un style travaillé, poétique, voire onirique par moments.
Tout d'abord, il faut parler de l'univers ! Nous sommes dans une cité matriarcale où les femmes, pour certaines, passent de novices à écuyères puis cavalières, le tout chapeauté par une matriarche qui circule de cité en cité, rencontre princes et autres matriarches dont les opinions et orientations politiques divergent parfois des siennes. On retrouve également des herboristes, des aînées... Bref, tout ce petit monde est organisé comme une vraie société. C'est dans celle de Nordo (orthographe à vérifier puisque livre découvert en audio) que nous faisons la connaissance de ce système. C'est un roman qu'on peut qualifier de choral car de chapitre en chapitre il nous permet de suivre différents personnages, avec pour fil rouge le destin de Sophie, l'écuyère de cendres de la nouvelle matriarche, mais aussi son amie d'enfance ou encore Eliane, la cavalière qui va succéder à Aquilon. Chaque femme a un rôle, un statut, mais aussi un caractère bien dépeint et différent de ses comparses.
Au-delà des originalités du monde créé par l'autrice, il y a des thèmes forts et des sujets souvent tus qui sont mis sur le devant de la scène. On parlera ici sans ambages de règles qui régissent la vie des novices (on ne peut avoir de dragons tant que le 1er sang n'a pas coulé par exemple) ou de relations saphiques. Les dragons ont également mes faveurs et ont été un avantage non-négligeable dans cette histoire où je me suis prise à rêver que moi aussi je survolais le monde sur leur dos.
Le bémol ? Eh bien là où le bat blesse c'est dans le rythme. Le récit est très lent, tellement que parfois on en perd le fil rouge. Même dans les passages d'action, la tension n'est pas suffisante pour nous emporter et nous faire trembler pour les personnages. Si le style très poétique évoqué plus tôt est un point positif pour moi, il convient malgré tout de mieux doser les phases actions / descriptions pour une meilleure dynamique du récit.
En conclusion, le chant des cavalières et un récit de fantasy assez contemplatif, mêlant politique et apprentissage. L'univers est riche et les personnages bien différenciés, manque juste de dynamisme pour vraiment nous emporter.
Dans ce récit, nous allons suivre Sophie, une jeune novice de l'ordre des cavalières. Une novice pas tout à fait comme les autres et qui va se sentir délaissée tout au long de son apprentissage. D'autant plus délaissée que sa meilleure amie, elle, va progresser et gravir tous les échelons les uns après les autres sans aucun problème.
En toile de fond on sent qu'il se passe bien des choses et Sophie est bien trop jeune et inexpérimentée pour comprendre et réagir. Elle est ballottée de tous les côtés sans qu'elle ne puisse rien y faire. Et c'est finalement l'impuissance de Sophie qui nous est contée. Presque jusqu'au bout ... Presque seulement puisque justement ce sont les dernières pages qui vont voir Sophie réagir !
Ici c'est Cécile Delacherie qui nous narre ce récit. Quelle voix ! Profonde, vibrante, pleine de passion, de tristesse ou de désespoir, Cécile Delacherie est la conteuse parfaite pour un tel récit. Bien qu'ayant écouté de nombreux romans audio, je ne peux maintenant imaginer une autre voix pour ce récit. Elle est absolument parfaite ! Elle murmure à vos oreilles tous les secrets de ces cavalières.
Le chant des cavalières ne conviendra pas à tous. De la même façon que pour le roman, le rythme extrêmement lent pourra en décourager certains. Ce qui est sûr néanmoins c'est que la qualité de l'audio est vraiment époustouflante et que si ce genre de récit vous plait, n'hésitez pas, foncez !
Me voici dans une position que je n’aime pas du tout : devoir rendre compte aussi objectivement que possible d’un livre que j’ai totalement détesté. Comme c’est un SP, je n’ai pas trop le choix. Je lis peu de fantasy et dans ce style-là j’apprécie particulièrement peu l’héroïc fantasy, justement le genre de ce roman. Je l’ai choisi par curiosité et surtout parce que j’aime les livres audio, qui me permettent de découvrir des romans que je ne lirais sans doute pas en version papier, je les écoute à d’autres moments où je ne peux pas « lire » en vrai. J’aime aussi beaucoup les Editions Voolume qui éditent des textes inhabituels ou méconnus, donc je me suis lancée dans l’écoute de celui-ci malgré un léger doute dès le départ. Il est lu par Cécile Delacherie de manière brillante et appropriée au texte.
Nous suivons la jeune Sophie Pendragon, une jeune novice de l’ordre des cavalières du royaume de Sarda, une société matriarcale où les hommes jouent un rôle secondaire. Les petites filles recueillies par l’ordre y sont élevées, après leur noviciat, elles deviennent écuyères, puis cavalières. Chaque citadelle est gouvernée par une matriarche. Sophie est une enfant qui cherche toujours l’attention des aînées qui les gardent. La matriarche Aquilon est tuée au combat, c’est son élève Eliane qui lui succède. Sophie est désignée par la Dame (déesse locale) pour devenir son écuyère de cendre et par là même lui succéder quand le temps sera venu. Eliane n’a aucune envie de s’occuper de son éducation et la délaisse totalement, c’est l’herboriste Frêne qui s’en chargera. Le fantôme d’Aquilon appelle l’enfant et lui propose d’unir leurs deux âmes pour qu’elle ne se sente jamais seul, ce que Sophie accepte naïvement. Elle grandit au sein de la forteresse du Nord, au sein d’intrigues politiques qui la dépassent. Aquilon lui dit de s’emparer du fourreau de l’épée de la reine Maude pour être acceptée par Eliane, ce qu’elle arrive à faire. Elle devient sans le savoir un enjeu important dans la lutte pour le pouvoir qui déchire le royaume et se fait manipuler durant de longues années, le réveil sera douloureux. Après diverses péripéties peu intéressantes, la guerre est déclarée, le clan d’Eliane semble prendre le pouvoir mais les combats ravagent le royaume.
Le texte se veut une chanson de geste et comprend de nombreux passages voulus poétiques et lyriques, mais que j’ai juste trouvé pédants et rébarbatifs, avec une inversion des adjectifs et des nom, des répétitions. Ce style grandiloquent m’a fortement déplu. Les personnages ne sont pas attachants le moins du monde, en dehors de Penderynn, l’amie de Sophie. Cette dernière oscille entre son côté odieux et colérique et son attribut principal d’être la reine des cruches. Elle se croit héroïne, mais n’est qu’une gamine manipulée et avide d’attention, ce dont Aquilon et Frêne profitent des années durant. Elle a besoin de l’attention des autres et agit sans réfléchir pour l’obtenir. Lorsqu’elle s’empare de l’épée de Maude, le gardien lui ouvre les yeux et le réveil sera brutal. Les autres femmes sont des intrigantes aveuglées par le goût du pouvoir. Le nom de Sophie Pendragon comme celui de Myrdinn l’enchanteur renvoient tout droit à la saga arthurienne, mais on a de la peine à voir dans cette fille stupide l’héritière de ce grand roi de légende, c’est plutôt une triste parodie. Il y a beaucoup de longueurs et l’action n’a rien de fulgurant.
Même si je n’ai pas aimé du tout ce livre, il faut reconnaître qu’il est étonnant pour un premier roman. La plume de l’auteur est sûre et son vocabulaire riche et complexe, aimer son style est une autre affaire. Elle a créé un univers très détaillé, avec une géographie, une architecture, des pouvoirs politiques. Plusieurs visons s’affrontent, faut-il maintenir la paix avec les Sabès que ceux-ci ont obtenu en écrasant le royaume autrefois ? La vision féodale est contestée par un tout petit nombre de démocrates, mais finalement les agissements d’Eliane entraîneront la ruine du pays. L’auteure met en garde contre les ambitieux qui font passer leurs intérêts personnels avant ceux de la collectivité.
Le fait qu’il s’agisse d’une société matriarcale est aussi original, mais ce n’est pas à l’honneur des femmes, car celles-ci se comportent exactement comme les hommes, elles dirigent l’armée, la politique et complotent. Seul le magicien joue un rôle important dans l’histoire, les autres hommes font de la figuration. L’univers de la nature, en particulier la forêt et les plantes jouent un rôle important dans l’histoire et sont décrits de manière minutieuse. A part la présence de dragons en guise de montures et du magicien, on a un univers assez réaliste, classique de la fantasy de type médiéval.
Un grand merci à Netgalley et Voolume pour ce livre, même si la rencontre magique n’a pas eu lieu.
#LeChantdescavalières #NetGalleyFrance !
J’ai découvert ce roman grâce à NetGalley et je suis ravie. Je ne connaissais pas l’autrice, je n’avais pas entendu parler du roman, mais comme il y a des dragons, forcement, j’étais intriguée. J’ai découvert un roman bien différent de mes lectures habituelles.
J’ai beaucoup aimé ce roman, mais je vais avoir du mal à en parler. D’une part parce que je l’ai découvert en audio et que j’ai pris un certain temps pour l’écouter et comme il y a énormément de personnages, je n’ai pas retenu un seul nom. D’autre part ce roman est assez différent de ce que j’ai l’habitude de lire, notamment dans sa structure narrative et c’est d’ailleurs la façon dont l’histoire est racontée, plus que l’histoire elle-même qui m’a marqué.
Dans un univers alternatif, il y a un pays où les cavalières occupent une place très importante dans le pouvoir politique. Sociétés entièrement féminines et militaires, les cavalières sont des combattantes qui chevauchent des dragons. Le royaume était jadis gouverné par une reine devenue mythique. Depuis la disparition de la reine, le pays a été soumis à un voisin plus puissant. Parmi les chevalières il en est certaines qui rêvent de retrouver la gloire d’en temps. Entre manipulation géopolitique et ambitions personnelles on va suivre plusieurs cavalières sur une période de plusieurs années, avec elle nous allons surtout suivre les enjeux politiques et la guerre qui se profile.
Un pays avec des dragons, des jeux de pouvoir et des guerres, rien de bien original en fantasy me dirais-vous. Et vous n’aurez pas tort, même si moi je lis assez peu d’héroïc fantasy, ce qui ma surpris ici ce n’est pas le fond de l’histoire qui effectivement n’est pas original en soit. Ce que j’ai beaucoup aimé c’est la façon dont le récit se construit. Chaque chapitre commence par ce qui semble être des archives et qui nous révèlent des événements qui ne sont pas encore advenus. On sait donc ce qui va arriver, ou plutôt on devine, mais on ne sait pas comment. J’ai trouvé cette façon de faire assez originale et ça m’a beaucoup plus. Ainsi on fait que l’héroïne va avoir un rôle important, mais on ne sait pas comment elle en arrive là ni pourquoi. On va le découvrir au fur et à mesure.
Ce que j’ai aimé aussi c’est toute l’intrigue est basé sur un jeu politique entre les différents protagonistes, plusieurs conspiration sont à l’oeuvre et le destin du pays tout entier est en jeu. On a plus de complots que d’action à proprement parler. Si l’héroïne a différentes épreuves à surmonter, ce n’est pas tant ce qu’elle fait qui est important, mais comment ce qu’elle fait est utilisé par les autres pour servir leur cause.
J’ai aussi aimé trouver ici une société où les femmes occupent une place de pouvoir forte, l’héroïne est une apprentie cavalière, elle évolue donc dans un milieu exclusivement féminin, mais dans lequel se joue le sort d’un pays tout entier. C’est elles qui détiennent le pouvoir militaire.
Une très belle découverte, qui m’a embarqué dans un univers riche et intéressant. Un style et une narration à laquelle j’ai pleinement adhéré, servis par une lecture très vivante. Cécile Delacherie interprète ce roman non pas comme une lecture, mais comme une pièce de théâtre, changeant d’intonation et d’accent à chaque personnage. J’ai beaucoup aimé, j’avais l’impression d’y être.
La fin m’a un peu déstabilisé parce que j’avais l’impression d’avoir lu un premier tome ou plutôt un prequel d’une histoire que je ne connaissais pas. C’est un peu comme si le roman s’achève au moment où l’histoire commence. C’est troublant, mais c’est très bien mené. Cela laisse libre cours à l’imagination, on n’en a pas fini avec cette histoire, elle continue de vivre, au-delà du livre. Il n’est que le commencement.
Un roman résolument féminin ! Avec le chant des cavalières, l'autrice nous plonge dans un univers d'une extrême richesse en compagnie de Cavalières et de Dragons. Sous le point de vue de Sophie, le lecteur découvre le fonctionnement de cette société matriarcale où les femmes vivent en équilibre avec la Nature. Sophie se retrouve au cœur d'une histoire pleine de secrets et de savantes manipulations. Pleine de ressources, avec un fort caractère, la jeune fille puis la jeune femme saura surprendre. Le récit possède un rythme en dents de scie : des moments de douceur, d'échange et de découverte se mêlent au scène périlleuses ! C'est une belle découverte !
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