Un Crocodile sur un banc de sable suivi de La Malédiction des pharaons

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Date de parution 8 juin 2022 | Archivage 11 janv. 2023

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Résumé

Fin du XIXe. La pétulante Amelia Peabody, accompagnée d’Evelyn, demoiselle en détresse devenue sa dévouée dame de compagnie, embarque pour l’Égypte afin de s’adonner à sa passion pour l’histoire antique. Au détour d’une réserve d’artéfacts, elles font la connaissance de Walter Emerson et de son frère Radcliffe, irascible et incivil mais dévoué corps et âme à l’archéologie. C’est en les retrouvant sur un chantier de fouilles dans le désert que les choses se corsent. Une épouvantable et insaisissable momie vient tous les soirs les hanter et sème la terreur autour d’eux. L’indomptable Mlle Peabody se laissera-t-elle abuser par les facéties d’une momie assassine ?

Dans La Malédiction des Pharaons, on retrouve Amelia Peabody et Emerson, de retour en Égypte après une longue absence. Ils arrivent à Louxor, où une sombre malédiction est en train de répandre la mort et la peur.

Les deux premiers volets d’une série où se mêlent de vraies références sur l’histoire de l’archéologie et tous les meilleurs ressorts du mystère et de l’humour, le tout porté par une héroïne au fort caractère, à la croisée d’un Sherlock Holmes et d’un Indiana Jones.

Traduit de l’anglais par Gérard de Chergé et Louis de Pierrefeu.

Fin du XIXe. La pétulante Amelia Peabody, accompagnée d’Evelyn, demoiselle en détresse devenue sa dévouée dame de compagnie, embarque pour l’Égypte afin de s’adonner à sa passion pour l’histoire...


Formats disponibles

FORMAT Ebook
ISBN 9782253938408
PRIX 10,99 € (EUR)

Chroniques partagées sur la page du titre

Un crocodile sur une banc de sable.
J'ai beaucoup aimé lire ce dynamique roman d'aventure, même si l'héroïne n'est pas particulièrement sympathique à mon goût. Mais quel caractère !!
Premier opus des aventures égyptiennes de Miss Amelia Peabody, 32 ans, à la fois très anglaise et totalement hors normes, raconté par elle-même.

Elle a les défauts de ses qualités : énergique et sans peur, mais elle décide sans se préoccuper des autres, et pense tout savoir, veut tout régenter. Pas facile d'être une anglaise "vieille fille" à la fin du 19e siècle, quand on a son franc-parler, et qu'on refuse de n'avoir droit qu'aux occupations "de dames".
Une rencontre avec une inconnue aux abois dans la capitale italienne, un départ pour l'Égypte et l'aventure arrive de tous côtés. Deux frères archéologues aussi différents que possible (ou pas ?), un ancien amant qui reparait malencontreusement, un cousin, lord so british, et une momie terrifiante, insaisissable, idéale pour effrayer ces demoiselles, mais surtout les autochtones qui les aident.

De l'humour, grâce à la fois aux deux personnages principaux, et au décalage entre les civilisations, même si on est dans les "défauts" de l'époque, racisme, mépris. Un rythme d'enfer, des personnages qu'on adore aimer ou détester. Mais aussi quelques explications sur les fouilles, sur les dégâts causés par les "creuseurs" sans scrupules, comme par les populations si pauvres.
L'autrice est diplômée en égyptologie et, en plus d'écrire des manuels universitaires de référence sur le sujet, nous permet à tous de découvrir ce monde via les romans policiers.
Je ne me suis pas ennuyée une seconde, et je suis heureuse de voir qu'il existe un tas d'autres tomes, et déjà trois dans ma "pal" numérique.

La Malédiction des pharaons
Agatha Raisin au pays d'Agatha Christie ?
Nous retrouvons Amelia et Emerson, mariés depuis cinq ans et sagement installés dans la campagne anglaise. Enfin presque, avec le regret de leurs moments égyptiens.
La naissance d'un fils ne calme pas leur envie de repartir à l'assaut des pyramides.
Elle révèle par contre qu'Amelia n'a pas trop la fibre maternelle !

Dès le début, le passage où "Ramsès" leur fils, déboule dans un thé très chic et très anglais pour montrer un "os de rhinocéros" sorti des ordures est un régal !!

Malgré sa passion précoce pour les fouilles, ils vont bientôt le laisser pour repartir en Égypte. Où encore une fois, aventure, mystère et morts violentes seront au rendez-vous.
Le couple s'adore, mais deux personnalités pareilles, c'est assez explosif.
Je me suis parfois un peu perdue dans les lieux et les personnages, mais ça ne m'a pas empêchée de retrouver avec grand plaisir le couple Peabody - Emerson.
Et de me réjouir à l'idée de les retrouver bientôt.
Il me semble qu'Amelia, malgré sa mauvaise foi persistante, s'améliore. Ou alors, c'est moi qui m'habitue à son caractère volcanique !

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Ce livre regroupe les 2 premiers romans de la série d'enquêtes d'Amelia Peabody, écrits par Elizabeth Peters dans les années 1970-1980.
Il s'agit pour moi de cosy mysteries "classiques" rappelant Agatha Christie ou Ngaio Marsh.

J'ai beaucoup aimé le personnage d'Amélia Peabody. C'est une femme très moderne pour la fin du 19e siècle: elle est très cultivée, prend des libertés avec les conventions, a un goût prononcé pour l'aventure et n'hésite pas à tenir tête aux hommes. Elle est la narratrice de ces 2 romans, ce qui permet de partager ses réflexions sur la société de cette époque.

Chaque roman parle d'une enquête, mais aussi des fouilles archéologiques, et de leurs enjeux : les rivalités entre égyptologues, les trafics d'objets antiques, les méthodes de fouilles parfois dommageables et l'attitude déplorable des Européens à l'égard des Egyptiens.

Les enquêtes sont assez similaires sur ces 2 histoires : des événements inexpliqués mettent en péril un chantier de fouille (accidents, morts suspectes, apparitions,..) et Amélia doit découvrir la vérité.

J'ai passé un bon moment de lecture, mais j'ai regretté d'avoir enchaîné les 2 histoires. Elles sont assez longues, et j'étais un peu lassée sur la fin.

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MERCI aux Editions livre de poche pour leur confiance,

Un, grand plaisir à la lecture de ce livre au charme un peu suranné dont l'écriture et l'enquête rappelle avec bonheur les écrits d'Agatha Christie.
Une ambiance début du siècle ou les recherches des archéologues passionnées l'Europe.
Un fourmillement d'idées et une enquête bien établie avec les codes du genre.
La façon dont l'auteur parle aux lecteurs sous forme d'aparté est très moderne et donne beaucoup d'humour à l'histoire.
Les personnages sont haut en couleur et participent grandement à l'intérêt de l'histoire et procurent beaucoup d'humour aux lecteurs.
Merci au livre de Poche d'avoir republier ces histoires passionnantes
Je recommande vivement pour un moment de lecture bien être !

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Je pensais relire les aventures d’Amelia Peabody mais il s’est avéré que je n’avais jamais lu un de ses romans car c’est un personnage difficile à oublier, d’autant plus que ses péripéties se déroulent à la fin du XIXème siècle !

Nous faisons sa connaissance dans Un crocodile sur un banc de sable où nous apprenons que son père lui a légué assez d’argent pour qu’elle puisse faire ce dont elle a envie. Jeune fille “ingrate”, toujours célibataire à 30 ans, elle entreprend d’aller visiter l’Egypte dont son père lui a communiqué la passion, non seulement du pays mais aussi de l’archéologie. Après divers petits événements, elle rencontre en Italie celle qui va devenir sa dame de compagnie : Evelyn.

Ce premier tome permet à Elizabeth Peters de mettre en place des personnages qui deviendront récurrents et surtout de nous dépeindre une Amelia dégourdie et indépendante qui n’a aucun désir de se mettre à la merci d’un mari, féministe avant l’heure mais généreuse et plutôt maline, pleine de sang-froid et de hardiesse !

C’est elle qui raconte ses aventures en rédigeant un roman. Elle s’adresse parfois à ses lecteurs et j’ai trouvé ça très amusant, car l’humour et l’auto-dérision sont largement présents même si ces apartés sont là, bien souvent, pour jurer de sa bonne foi !

C’est ainsi que dans cette histoire elle va découvrir l’archéologie de terrain, ses dangers, réels ou imaginés à partir de légendes de malédictions et nous découvrirons avec elle tout ce qu’elle est capable d’accomplir.

J’ai enchainé aussitôt avec le tome 2 présent dans ce recueil, La malédiction des Pharaons, car non seulement Amelia est une personne attach(i)ante mais aussi parce que tout ce qui a trait à l’archéologie égyptienne est authentique et très bien écrit par l’autrice, sans parler des intrigues que j’ai beaucoup aimé.

En dehors du fait qu’Elizabeth Peters a fait de son héroïne une femme indépendante et en avance sur son époque, elle-même n’était pas en reste de modernité pour décrire les sentiments et les mettre en scène. Sans jamais oublier l’humour !!

#UnCrocodilesurunbancdesablesuivideLaMalédictiondespharaons #NetGalleyFrance

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Amelia Peabody est une anglaise de caractère. Quand son père décède en lui laissant tout son argent, elle décide de ne pas s'encombrer d'un mari et de parcourir le monde. Alors qu'elle est à Rome, elle rencontre Evelyne, jeune anglaise dévoyée qu'elle décide d'emmener avec elle comme dame de compagnie. Direction l'Egypte.
Ce volume regroupe les deux premières aventures d'Amelia Peabody. Entre roman policier et d'aventures, mâtiné d'une touche de romance, sans oublier un humour bien présent, ces deux histoires offrent un excellent divertissement aux lecteurs. Avec ses personnages attachants, dotés d'un caractère volcanique, ces aventures enchainent joutes verbales vachardes, rebondissements pleins de superstitions et évidemment, meurtres en série.
Les intrigues sont dans la plus pure tradition des cosy mysteries. Il y a en effet un fond d'enquête policière et le récit s'appuie également beaucoup sur l'Egypte ancienne et les superstitions qui perdurent en cette fin du 19ème siècle. On peut assez facilement deviner les tenants et aboutissants de l'enquête, mais le plaisir reste entier tant l'autrice parvient à développer les à-côté et étoffer ses histoires.
J'ai beaucoup aimé le relation entre les personnages. Le couple formé par Amelia et Emerson est aux centres des romans. Et même si j'aurais aimé plus que croiser Evelyn et Walter ans le deuxième tome, j'ai hâte de faire plus ample connaissance avec Ramsès, jeune garçon qui promet de belles réparties par la suite.
Je suis maintenant vraiment curieuse de la suite de cette série de romans qui se dégustent comme des bonbons.

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La couverture a été déterminante dans la lecture de ces deux romans. Je ne connaissais ni l’autrice, Elizabeth Peters, ni ses romans. Aussitôt reçus, aussitôt lus. Pas de regret, ce fut un très bon moment de lecture.

Dans le premier tome, « un crocodile sur un banc de sable », on fait la connaissance d’Amélia Peabody, anglaise et vieille fille de 32 ans, qui vient d’hériter d’une belle fortune. Elle décide d’assouvir sa passion pour les voyages et part pour Rome puis l’Egypte. Au cours de son périple, elle fera la connaissance d’Evelyn, jeune fille abandonnée par son amant qui deviendra sa dame de compagnie, et des frères Emerson, Walter et Radcliffe deux archéologues passionnés. L’équipe est au complet, l’aventure peut commencer ! Ils ne seront pas trop de quatre pour arriver à bout d’une momie qui vient semer la terreur sur le chantier des fouilles.
Dans le deuxième tome « La malédiction des pharaons », on retrouve nos héros, cinq ans plus tard. De retour en Egypte, suite au décès mystérieux de Lord Baskerville, Amelia et Radcliffe entendent bien déjouer les plans des pilleurs de tombe et découvrir ce qui s’est passé.

Dans ces deux romans, l’autrice a su recréer le charme désuet des romans anglais du XIXème siècle où l’aristocratie se prend de passion pour l’Egypte et ses découvertes.
Deux personnages emportent tout sur leur passage : Amélia et Radcliffe, avec leur fichu caractère, rivalisent dans des joutes verbales savoureuses. Ces deux-là se sont bien trouvés et à aucun moment, on ne s’ennuie. Le récit est enlevé d’autant qu’il est raconté à la première personne avec beaucoup d’humour. Une héroïne tonitruante qui s’offre le beau rôle !
De l’aventure, de l’amour, des malédictions, des momies, des rebondissements en pagaille, des traitres, des coups de poing… tous les ingrédients d’un bon roman d’aventure sont présents. Ajoutez-y un soupçon de mystère et quelques meurtres. Vous aurez un roman so british qu’on savoure pendant près de 600 pages.

Toutefois, une légère préférence pour le premier tome ; le deuxième opus est moins porté sur les recherches archéologiques, Amélia s’attachant surtout à la résolution du meurtre.
Merci à NetGalley et aux éditions du livre de poche pour cette lecture dépaysante.

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J'ai beaucoup aimé cette histoire. Au début le style d'écriture m'a un peu déstabilisé mais très vite, j'ai apprécié la façon dont l'autrice a écrit ce roman. J'avais l'impression de lire des lettres reçus d'une amie, dans lesquelles elle me racontait ses aventures en Égypte. J'ai aimé le caractère affirmé d'Amelia, cette indépendance qui est en avance sur son temps, j'ai hâte d'en découvrir plus sur elle. Alors que le passé d'Évelyn est développé, j'ai trouvé que son caractère manquait un peu de profondeur. Elles rencontrent deux frères, Walter, doux comme un agneau qui a le coup de foudre pour Évelyn et Radcliffe avec qui Amelia n'arrête pas de se disputer. J'ai adoré les confrontations de ses deux fortes têtes. On voit les romances se développer doucement mais cela ne prend pas le pas sur le mystère de la momie qui vient terroriser leur camp. Alors que le suspense est bien fait, j'aurais aimé une autre fin car j'avais compris qui était responsable dès les premières pages. Cependant cela n'a pas gâcher m'a lecture et je lirais le second tome avec plaisir.


J'ai apprécié de retrouver Amelia et Emerson dans ce tome 2. On retourne en Égypte pour des fouilles maudites. Alors que dans le tome un, l'axe principal était les recherches dans le tombeau avec en fond, le mystère de la momie, dans ce tome c'est plutôt l'inverse. Les fouilles sont plutôt en arrière-plan et l'autrice c'est plutôt concentré sur la recherche du coupable de tous ces meurtres. Un peu normal pour un cosy mystery mais j'ai un peu moins apprécié ce tome que le premier. Alors que l'enquête prend le pas, le caractère d'Amelia est approfondi et malheureusement, je trouve que c'est l'un de ses défauts qui a été mis en avant et parfois à l'excès. Alors que dans le tome 1, j'appréciais sa forte personnalité et sa confiance en soi, dans ce tome, j'ai trouvé Amélia plutôt arrogante et de mauvaise foi. Il n'y a pas un chapitre dans lequel, elle ne s'envoie des fleurs (je me demande comment sa tête passe les portes), je veux bien qu'elle soit intelligente et confiante mais parfois ça en devenait exaspérant. J'espère que dans les prochaines histoires se trait de sa personnalité ne sera pas aussi mis en avant, car malgré tout j'ai passé un bon moment de lecture les descriptions et l'ambiance sont aussi bien que dans le premier tome et la relation d'Amelia et d'Emerson est toujours aussi drôle. De plus les premiers chapitres dans lesquelles apparaît le petit Ramsès présage des futurs tomes très intéressants que je lirais avec plaisir.

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A la mort de son père, un riche historien, Amélia Peabody, trente-deux ans, célibataire, hérite d'une belle fortune. En cette fin de XIXe siècle, cette "vieille fille " anglaise, bien décidée à ne pas se marier, souhaite vivre sa vie en partant à la découverte du monde. Amélia choisit L'Egypte comme première destination. Coincée à Rome, elle fera la connaissance d'Evelyn Barton-Forbes, une jeune femme en détresse, éconduite par un vaurien. Douée d'un grand cœur, elle prend Evelyn sous aile et l'embarque avec elle, en tant que dame de compagnie.
Lors de leur séjour au Caire, elles font la connaissance de Walter Emerson et de son frère Radcliffe, deux archéologues anglais. Amélia et Evelyn les suivent jusqu'à leur chantier de fouilles. Mais à la nuit tombée, une momie viendra les hanter ...

Envoutante de A à Z, cette lecture est une bien agréable surprise ! Une intrigue très bien construite et plein de rebondissements. Le décor est parfaitement planté. On s'y croirait.
Les dialogues entre le rebelle Amélia et l'irascible Radcliffe sont savoureux et bourrés d'humour. Un tandem haut en couleurs qui fonctionne à merveille !

Elizabeth Peters, titulaire d'un doctorat en égyptologie nous laisse partager sa passion pour l'archéologie. Une réussite ! J'en redemande !

"— J'exige de participer personnellement aux fouilles. Après tout, il n'y a aucune raison pour que les hommes aient tout le plaisir.
— Le plaisir ? répéta-t-il. Avoir la peau brûlée par le soleil et mise à vif par le sable ? Manger des rations dont un mendiant ne voudrait pas — quand on n'est pas dévoré par les moustiques ou mordu par des serpents ? Votre conception du plaisir est assez spéciale, chère amie.
— Spéciale ou pas, c'est la mienne. Pourquoi donc mèneriez-vous cette vie, si vous n'y trouviez aucune satisfaction ? Et ne venez pas me parler de devoir ou d'esprit de sacrifice ! Les hommes ont toujours des excuses pompeuses pour aller courir le monde, escalader l'Himalaya ou partir à la recherche des sources du Nil. Pendant ce temps, leurs femmes restent à broder au coin du feu. Je n'ai jamais su broder convenablement, mais, par contre, je suis sûre de pouvoir me rendre utile sur un chantier de fouilles. Si vous le désirez, je vous énumèrerai mes compétences, aussi bien dans le domaine pratique que...
— Non, non, ce n'est pas nécessaire, m'interrompit-il d'une voie étranglée. Je ne suis que trop conscient de vos qualités. "

"Un Anglais doit toujours savoir garder son flegme et son humour, même lorsqu'il est attaché à un arbre et qu'une bande de cannibales s'affairent autour du chaudron dans lequel ils envisagent de le cuire."

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