Les garçons qui brûlent

Un livre que j'ai lu très vite, car je voulais toujours en savoir la suite! Comme les deux livres précédents, celui-ci m'a autant captivée. Les personnages que l'on retrouve restent intéressants, et c'est avec plaisir que je les ai retrouvés. L'histoire est intrigante, seulement vers la fin j'ai compris qui était coupable. Une histoire sombre située en hiver aux couleurs obscures de l'Islande. J'ai adoré !
J'ai reçu une copie digitale de ce roman de NetGalley et c'est bénévolement que j'ai écrit une critique honnête.

Après "Elma" et "Les filles qui mentent", voici le troisième volume des aventures de la policière islandaise Elma. Si les deux premiers m'avaient laissé un goût d'inachevé, celui-ci est bien plus abouti et prenant, je l'ai d'ailleurs dévoré en une journée. Le cadavre d'un jeune homme est retrouvé dans sa maison incendiée; l'incendie est clairement criminel. Qui donc a pu causer cela et quel est le mobile ? De fausse piste en fausse piste, la police a bien du mal à y voir clair. La victime, un jeune homme qui semblait sans histoire, avait changé de comportement au cours des derniers jours qui précédaient son décès.
Elma, dont la vie privée s'intensifie quelque peu, s'approchera d'un peu trop près de la vérité pour sa propre sécurité. Ce qui permettra de comprendre les événements. Enfin ... presque !
Comme souvent, dans les polars islandais, une certaine lenteur caractérise le déroulement de l'intrigue, mais cela n'empêche aucunement, cette fois, la tension psychologique de bien s'installer; l'autrice maîtrise de mieux en mieux l'art d'accrocher les lecteurs.
Un bon roman, donc ...
Je remercie donc les Editions de La Martinière et NetGalley France de leur confiance pour chroniquer cet ouvrage qui paraîtra le 7 avril 2023.
#Lesgarçonsquibrûlent #NetGalleyFrance

3ème roman de l’auteure avec l’inspectrice Elma. Et c’est avec un très grand plaisir que je me suis plongée dans cette lecture pour retrouver le personnage d’Elma dans la ville d’Akranes en Islande. Même si pour moi il n’est pas nécessaire d’avoir lu les romans précédents pour comprendre l’histoire, je vous les recommande vivement car ils sont très bien. (Elma, les filles qui mentent)
Elma enquête, avec ses collègues, sur la mort d’un adolescent retrouvé dans sa maison incendiée. Est-ce un accident, un suicide, un meurtre ? Akranes est une petite ville en Islande où tout le monde se connaît, mais certains cachent bien leur secret.
En tant que lecteur, on suit l’enquête et sa progression à travers l’inspectrice Elma. Toutes les hypothèses sont étudiées. On se promène dans la ville. On découvre les habitants. Au fil des romans, je trouve les personnages de plus en plus approfondis. La description psychologique est bien abouti. Elma est toujours un personnage attachant, mais les personnages secondaires ne sont pas en reste. L’ambiance, le décor est bien retranscrit.
Le style d’écriture est clair et fluide. Les chapitres sont courts. L’auteure a su maintenir le suspense et donner du rythme à l’intrigue. Ici pas de violence, on retrouve une certaine lenteur si caractéristique des polars islandais. L’intrigue est bien construite, le suspense est maintenu jusqu’au dénouement final. Je me suis laissée emporter dans cette lecture au fil des pages. Cela a été une lecture très addictive.
Une lecture que je recommande vivement aux amateurs du genre.

Sortie le 7 avril ! Notez bien la date !

Aujourd'hui je vous partage mon avis sur LES GARÇONS QUI BRULENT de Eva Björg Eagisdittir .

Je n'ai pas lu les deux précédents livres de l'auteure en lien : Elma et Les filles qui mentent ,mais cela n'a pas du tout contrarié ma lecture .Maintenant, j'ai juste envie de les lire .
On y découvre une Elma enceinte . Qui se fait choyer par sa famille .
Hordur qui a perdu sa femme d'une longue maladie .

Dans ce tome , Elma ,Hordur et Saevar sont confrontés à la mort d'un jeune homme.
Au premier abord on pourrait penser à un suicide. Puis survient un deuxième meurtre . Les parents sont atterrés. Chacun essaye de comprendre ce qui a bien pu se passer dans ce quartier tranquille et dans cette famille.

Plusieurs couples sont décrits ainsi que leurs enfants.L'un a embauché une fille au paire. L'autre a des jumeaux . Certains sont fêtards, d'autres sportifs .Un petit village où tout le monde connaît tout le monde. Où tout le monde s'épie et où les commérages vont bon train . On y découvre des personnages apparemment lambda, attachants par leurs failles et leurs fragilités.
L'intrigue est finement menée. Les paysages et l'ambiance sont sublimes .

Le résumé :
Le troisième volet époustouflant de l’étoile montante du polar islandais.

Après Elma, le polar aux 100 000 lecteurs en France, et Les Filles qui mentent, Eva Björg Ægisdottir revient.

Dans la petite communauté d’Akranes, où les secrets et les faux semblants sont de mise, l’inspectrice islandaise Elma se retrouve en danger de mort alors qu’elle enquête sur la disparition d’un homme dans un mystérieux incendie... Un roman d’atmosphère prenant et angoissant, qui a tout pour séduire les lecteurs du genre.

Née à Akranes en 1988, Eva Björg Ægisdóttir vit à Reykjavík avec son mari et ses trois enfants. Ses romans sont des best-sellers en Islande – et désormais en France. Son premier roman, Elma, a été récompensé du Blackbird Award de la révélation du roman policier islandais.
#NetGalleyFrance
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On retrouve l'inspectrice Elma dans la communauté d'Akranes, en Islande.
Le corps d'un adolescent a été découvert dans une maison incendiée.
Suicide? Assassinat?
Au sein de cette petite ville sans histoires, cette histoire désarçonne les policiers qui vont tenter de découvrir la vérité?
Quelles histoires se cachent derrière les murs de cette ville… quel serait le mobile du tueur…
Bientôt un autre corps est repéré, une jeune fille cette fois. Y aurait-il un lien entre ces deux corps?

On est dans un thriller nordique, un roman d'ambiance.
On retrouve avec plaisir les personnages des tomes précédents.
Le rythme est plutôt lent mêlant suspens et révelations. L'auteur aborde les thématiques des secrets familiaux, de l'adolescence et des relations interpersonnelles.
J'ai passé un agréable moment de lecture.

Merci à #netgalleyfrance pour cette découverte.

"Les garçons qui brûlent" est le troisième polar islandais de l'autrice Eva Bjorg Aegisdottir mettant en scène l'inspectrice Elma dans une nouvelle enquête. Après le premier tome intitulé "Elma" et le deuxième "Les filles qui mentent", ce troisième volet tient encore toutes ses promesses et il séduira tous les amateurs de ce genre de roman au suspense angoissant. Je remercie les éditions @lamartiniere.litterature de m'avoir permis de découvrir cette étoile montante du polar islandais.

La scène s'ouvre dans la petite communauté d'Akranes où un jeune homme de 20 ans, Marino Finnson, est retrouvé mort chez lui dans un mystérieux incendie, après avoir passé une soirée entre amis. L'inspectrice Elma ainsi que ses collègues Saevar et Horduro sont en charge de l'enquête qui penche pour un incendie criminel. Quel est donc le mobile de ce crime ?

La structure narrative est composée de deux parties : la première relate les évènements qui se sont déroulés avant la découverte du corps calciné de Marino le 14 septembre 2019 ; la seconde met en lumière les circonstances qui ont mené à ce crime grâce à de nombreux flashbacks à partir de février 2019.

Le suspense est bien maitrisé et la vérité se dévoile peu à peu grâce à de nombreux rebondissements, notamment à la fin de la première partie où le corps de Lise, la baby-sitter de la famille d'Unnar et Laufey, est retrouvé caché dans la cabanon de Marino .

L'intrigue est prenante et l'atmosphère est angoissante avec des non-dits et des faux-semblants qui sont très nombreux, en particulier dans la seconde partie que j'ai trouvé très réussie. Cependant, dans la première partie, j'ai eu un peu de mal à me repérer au niveau des nombreux personnages et je trouve qu'il serait judicieux de proposer la liste des personnages au début du roman pour faciliter la compréhension.

Un thriller captivant du début à la fin où les rebondissements emmènent le lectorat sur les chemins tortueux de l'esprit humain.
Toujours difficile de présenter un roman policier sans trop dévoiler l'intrigue; un jeune homme, Marino, meurt chez lui alors qu'il est seul, lors d'un incendie, Elma, inspectrice et Saevar, son binôme, enquêtent sur cette mort qui a tout d'un crime. On les suit dans les fils de l'intrigue, découvrant au fur et à mesure les différentes familles et amis de la victime et les non-dits envahissants qui les entourent.
Depuis quelque temps je me suis découvert une passion pour les romans policiers nordiques, islandais notamment, celui-ci n'a fait que renforcer mon intérêt. J'ai apprécié les personnages du récit, d'abord les deux inspecteurs qui tout en enquêtant mènent leur vie personnelle en dehors de leurs recherches. puis les autres personnages, plutôt insondables, victimes et criminels potentiels, chacun ayant un secret à cacher. Malgré un début qui peut paraître déroutant, en effet, les premiers chapitres présentent les différentes familles, les analepses aussi, plus tard dans l'intrigue, les éléments du récit se mettent en place et vont aller en se précisant jusqu'au dénouement inattendu. L'écriture est fluide, les points de vue internes d'un narrateur de troisième personne rendent aussi le récit plus intense. J'ai complètement adhéré à ce roman prenant et j'ai maintenant envie de lire les deux précédents écrits par l'autrice. A lire.

Merci aux éditions de la Martinière et à Netgalley pour ce partenariat.
Je découvre ce livre, je découvre cette autrice, et grâce à elle, je retourne en Islande, pays où une de mes incursions récentes m’avait déçue (non, je ne parle pas d’une lecture d’un roman d’Arnaldur Indridason !). Je découvre des enquêteurs, Elma, Saevar et Hordur qui me plaisent, parce qu’ils s’entendent tous bien. Attention ! Cela ne veut pas dire que je suis tombée dans un groupe d’enquêteurs Bisounours. Ils ont tous des personnalités différentes, un vécu, une histoire, mais ils respectent les personnalités, les avis des uns et des autres, ils travaillent ensemble en étant le plus professionnel possible : rester neutre, se préoccuper des faits, des preuves, même si ce n’est pas du tout ce à quoi ils s’attendaient.
Il faut dire aussi que, dans cette petite communauté, tout est assez paisible, les meurtres sont rares. Je ne dirai pas que tout le monde se connaît, ou que tout se sait, ce qui sonnerait comme un peu péjoratif, je dirai simplement que des personnes sont prêtes à soutenir les autres quand une tragédie survient. Et c’est le cas ici. Le jeune Marino est retrouvé mort dans son lit, après un incendie. Oui, il est mort, mais les voisins ont réagi tout de suite, le premier quand il a entendu l’alarme et tenté de rentrer dans la maison, le second en appelant les secours, qui sont arrivés à fond de train. Il apparaît très vite que l’incendie a une origine criminelle. A qui en voulait-on ? A ce jeune homme ? A sa famille ?

Elma, Saevar et Hordur enquêtent de manière minutieuse, et tant pis si certains se retrouvent un peu choqués parce qu’ils enquêtent justement. Les premières heures sont cruciales, et l’on ne peut ménager les proches, ni négliger aucun d’entre eux. Ce n’est pas nié leur chagrin, c’est aussi se dire que ne pas savoir, ne jamais savoir est bien pire que les questions qui ont pu être posées.
J’ai eu l’impression que nous n’étions pas face à des individus, mais face à des familles dont le fonctionnement est plus ou moins aisé. L’on peut trouver des jeunes parents, qui n’ont plus vraiment l’impression d’être en couple, alors qu’un mari se demande, après tant d’années de vie commune, s’il reste encore quelque chose entre lui et sa femme. De mon point de vue de lectrice, il est fascinant de voir à quel point ce personnage en particulier peut se leurrer, ne comprendre absolument pas en quoi lui aussi peut être responsable de l’éloignement qui s’est produit entre lui et sa femme. Anecdotique ? Pas tant que cela. Jusqu’à quel point les non-dits dans un couple peuvent se transformer en secret ?
L’intrigue est intéressante parce que sa construction souffle le chaud et le froid, entre fausses pistes bien conçues, exploitations complètes des indices et rebondissements. Maintenant que j’ai découvert cette autrice, j’ai très envie de lire les deux premiers tomes mettant en scène ses enquêteurs.

L'histoire se passent dans la petite ville paisible de Akranes (comme le livre les filles qui mentent).
Enfin pas si paisible que ça car un corps est retrouvé lors d'un incendie qui serait à priori criminel.
Elma, l'inspectrice de la ville va donc se retrousser les manches pour comprendre ce qui a pu se passer, surtout qu'après quelques jours d'enquete, un deuxième corps est retrouvé mort.
En qui peut-elle faire confiance, qui dit réellement la vérité?
Je n'en dis pas plus et je vous laisse découvrir ce
roman.
J'ai eu un peu de mal à me mettre dedans, beaucoup de personnages, de noms difficiles à retenir mais j'ai fini par me mettre dedans et j'ai eu du mal à le lacher.
On va de surprise en surprise et le suspense est à son comble jusqu'à la fin.

Un incendie s'est produit à Akranes, petite ville d'Islande, détruisant partiellement une maison. Malheureusement le corps de Marinó, jeune homme de 20 ans, est retrouvé dans sa chambre. L'enquête est confiée à l'équipe de police locale. Elma et Sævar sont chargés de comprendre ce qui est arrivé car très vite l'accident est écarté pour un meurtre...
Cette première rencontre avec cette autrice est un succès. J'y ai retrouvé ce que j'aime dans le polar nordique, une certaine lenteur dans l'enquête et en filigrane une critique sociale. Par contre ne cherchez pas la neige dans ce livre. Elle est un peu présente mais pas au point de devenir un véritable personnage comme dans d'autres ouvrages. L'enquête est habilement menée par l'héroïne tout en essayant de régler ses problèmes personnels. Ces derniers ne sont pas des problèmes lourds, alcoolisme, violence ou solitude mais des difficultés classiques du quotidien. C'est sans doute pour cette raison que l'on est en empathie avec les différents personnages. On se sent proche d'eux et c'est finalement plus terrible car on se dit que l'histoire pourrait être la notre. L'autrice a ainsi façonné des personnages à plusieurs facettes avec des aspects psychologiques travaillés. L'intrigue est elle aussi soignée. J'ai compris la solution de l'énigme finalement en même temps que la policière tout en étant surpris jusqu'au dernier chapitre.
J'ai toujours été attiré par l'exotisme nordique des prénoms des personnages. Ici j'ai été servi car il y a pléthore de prénoms dont j'ai été incapable d'identifier le sexe au premier abord. Mais que cela ne vous fasse pas peur, j'ai très vite intégré les différents interlocuteurs pour mon plus grand plaisir.

Incendie nocturne
Akranes. L’été s’étire, il fait encore assez doux pour organiser des soirées entre amis autour d’un barbecue et d’un (ou plusieurs) verres. L’occasion de s’amuser avant que l’hiver s’installe, et personne, les parents comme les jeunes, ne veut s’en priver. Mais il arrive que la fête tourne au drame… Un incendie par exemple, au cours duquel un jeune homme de 20 ans, Marino, trouve la mort. Un regrettable accident ? Malheureusement la police découvre rapidement qu’il s’agit d’un incendie criminel. Qui pouvait vouloir la mort de ce garçon sans histoire ?
Comme dans les deux premiers volets mettant en scène l’inspectrice Elma, l’auteure entraine le lecteur dans le labyrinthe des faux semblants de la famille et plus généralement, de la société islandaise. On retrouve dans ce polar les thèmes chers à Eva Björg Ægisdottir : la famille, le deuil, le mensonge. L’intrigue est intelligente, le style est fluide et le suspens est présent jusqu’à la dernière page. On suit également l’évolution du personnage principal, Elma, découverte l’année dernière avec les deux premiers opus (Elma & Les filles qui mentent). Un personnage très attachant, que j’espère retrouver dans un quatrième tome !
Une lecture que je recommande (de préférence, avant, lire les deux premiers) : un grand merci à NetGalley et aux Editions de la Martinière pour me l’avoir fait découvrir en avant première (il paraîtra le 7 avril).
#Lesgarçonsquibrûlent #NetGalleyFrance

J'ai adoré retrouver Elma que j'avais découvert dans Les filles qui mentent, c'était avec plaisir que j'ai pu la voir évoluer dans ce tome même si ça reste assez léger comparé à d'autres saga où l'on est plus impliqué dans la vie de l'enquêteur principal. J'ai apprécié l'intrigue qui bien qu'assez classique fonctionne parfaitement grâce à un bel équilibre entre retournement de situation, suspense et twist. Comme à chaque fois que je lis un polar nordique, j'adore être immergé dans cette ambiance particulière, ici nous sommes dans une petite ville d'Islande où l'on trouve des bains chauds naturels (ce détail m'a beaucoup plu et m'a donné envie de découvrir ce pays).

L'an passé avec Elma on avait découvert Eva Björg Aegisdóttir, une jeune auteure qui fait partie de la relève du polar islandais après le phénomène Indridason.
Voici Les garçons qui brûlent, le troisième épisode des aventures d'Elma.

On aime :
❤️ La description de la vie ordinaire des islandais d'aujourd'hui.
❤️ Une écriture fluide et agréable, une fliquette attachante, une intrigue solide et sans violence : un polar classique qui ne bouleverse pas le genre mais qui devrait plaire au plus grand nombre.
❤️ Un montage captivant qui sème les doutes par petites touches, de ce côté-ci, de ce côté-là, si bien que peu à peu les différents personnages perdent leur vernis initial.
[...] Quelqu’un leur avait menti.
Et sans doute plus d'un ...

Le contexte :
Une petite bourgade au nord de Reykjavik : le charme provincial d'une Islande paisible ... jusqu'à ce que les polars d'Eva Björg Aegisdóttir viennent troubler la petite cité d'Akranes.
Après Elma, c'est le troisième épisode des enquêtes de la jeune fliquette Elma dans sa petite ville d'Akranes (où est née l'auteure) puisqu'on a zappé le second tome : Les filles qui mentent.

L'intrigue :
Un jeune ado meurent dans l'incendie de la maison (les parents étaient absents) : accident, suicide, incendie criminel, ...
[...] – Est‑ce qu’il pourrait s’agir d’un accident, voire d’une mort naturelle ? suggéra Elma. Puisqu’il n’y a pas de traces de blessure.
Bientôt une disparition mystérieuse et un autre cadavre.
[...] – Deux cadavres en une semaine, c’est pas croyable. Qu’est‑ce qui vous arrive à Akranes, en ce moment ?
Il n'en fallait pas tant pour chambouler la communauté jusqu'ici paisible de la petite bourgade où officient Elma et ses collègues. Ils vont devoir remuer le passé et dévoiler quelques secrets qui sommeillaient enfouis sous les non-dits : histoires de famille, rancœurs de couple, intrigues de voisinage, ...
[...] À vrai dire, Elma était à peu près certaine qu’ils avaient déjà croisé ce garçon mystère au cours de leur enquête. Et que quelqu’un leur avait menti.
Une auteure attachante dont l'écriture gagne en maturité au fil des épisodes.
Pour celles et ceux qui aiment les gens du nord.