Le Volume du temps, tome 1
par Solvej Balle
Lu par Grétel Delattre
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Date de parution 6 mars 2024 | Archivage 21 avr. 2024
Audiolib | Imaginaire
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Résumé
Pour Tara Selter, le temps s’est arrêté un 18 novembre.
Premier épisode de cette saga, elle se réveille à Paris. Tara sort de sa chambre d’hôtel et découvre qu’autour d’elle tout se déroule comme la veille : les mêmes personnes se ruent vers la salle du petit déjeuner, la date du journal est identique. Et cela recommence le jour suivant, et le jour d’après. Lorsqu’elle quitte la capitale pour retourner chez elle, Tara comprend que son mari n’a pas conscience de cette journée sans fin. Alors, lassée de lui expliquer chaque matin sa situation, elle s’installe dans la chambre d’amis. Lui la croit encore à Paris, elle jouit d’une extraordinaire liberté. Mais à l’aube d’une 366e journée, le véritable 18 novembre de l’année suivante, tout pourrait-il enfin rentrer dans l’ordre ?
Pour Tara Selter, le temps s’est arrêté un 18 novembre.
Premier épisode de cette saga, elle se réveille à Paris. Tara sort de sa chambre d’hôtel et découvre qu’autour d’elle tout se déroule comme la...
Formats disponibles
FORMAT | Livre audio, Intégral |
ISBN | 9791035416355 |
PRIX | 21,95 € (EUR) |
DURÉE | 5 Heures, 25 Minutes |
Vos liens
Disponible sur NetGalley
Chroniques partagées sur la page du titre
Attirée par un pitch intriguant, le temps qui bégaye, je me suis lancée dans l'écoute de ce petit audio. Je dis petit car il ne fait que 5h 30. Habituellement, je n'aime pas les courts récits, les nouvelles, qui me laissent toujours un goût de trop peu, ou se finit en queue de poisson.
Lorsque nous faisons la connaissance de Tara Selter, elle nous décrit son 121ème 18 novembre... Elle est chez elle, à Clairon-sous-bois, et elle observe son mari Thomas effectuer pour la 121ème fois la même routine. Nous avons alors la description complète de cette journée, son réveil, ses déplacements, ses actions, tout cela par les bruits qu'il fait car Tara se terre dans la chambre d'ami où il ne mettra jamais les pieds, en tout cas, tant qu'on est le 18 novembre.
Comment et quand s'est-elle rendue compte de ce bug dans le temps ? Dès son second 18 novembre. Elle était à Paris en déplacement professionnel, à l'hôtel pour deux nuits. Au second petit-déjeuner, le journal présenté est le même que la veille. Mais surtout, la maladresse d'un autre pensionnaire de l'hôtel qui laisse échapper sa tartine qui fait un vol plané et tombe au sol se répète à l'identique. N'ayant plus rien à faire, ses actions du 18 effectuées et ne pouvant atteindre celles du 19, elle rentre chez elle.
Expliquer toute la situation à Thomas n'est pas aisé, mais il finit par la croire, elle a des arguments, des indices. Seulement, le lendemain au réveil, c'est la même mine surprise, la même réflexion, et Tara doit tout reprendre à zéro. Mais lorsqu'on vous décrit une succession d'une dizaine de jours à l'identique... cela devient lassant.
Ensuite, ensemble, ils vont essayer de déterminer le moment du passage à reculons du temps, afin de voir s'ils peuvent bloquer le processus. Après de multiples essais pour se transformer en oiseaux de nuit, mais avec toujours les mêmes explications sur sa présence alors qu'elle devrait être à Paris... rien n'y fait. Même sans s'endormir, Thomas a à un moment donné le regard vague quelques millisecondes et "Tara ? Qu'est-ce-que tu fais là ? Tu devrais être à Paris !"
Finalement Tara migre dans la chambre d'ami, et sans bruit, elle n'interfère plus dans les 18 novembre de son mari. On a alors toutes les descriptions de chaque averse, chaque chant d'oiseau, chaque voiture passante, du voisin qui rentre chez lui un peu avant Thomas... jour après jour, cela n'en finit pas. Ce n'est pas drôle pour Tara, ça l'est encore moins pour l'audiolecteur. Je me suis profondément ennuyée je vous avoue. C'est long, lent et il ne se passe strictement rien.
En bonds de quelques successions de jours tous les "mois", enfin tous les 30 ou 60 jours, nous suivons Tara qui observe, philosophe, tente parfois une action et se rapproche du 365ème 18 novembre. Un espoir ? Une solution ?
Non, je ne vais pas vous le dire...
Ce roman est le premier tome alors qu'il y en a sept ! 😳 C'est une série qui a eu un succès phénoménal au Danemark. Je ne dois pas avoir le moindre gène danois. Autre chose, ce roman est classé dans l'imaginaire. Effectivement, la donne l'est, mais le traitement et ce que l'on parcourt dans ces lignes reste de la littérature blanche, classique... et vraiment pas ma came. Le choix de la narratrice, Grétel Delattre, est parfait. Calme, posée, pas un mot plus haut que l'autre, en parfaite harmonie avec la plume de Solvej Balle.
J'aime ce style de roman dans le genre du film un jour sans fin. Quand les protagonistes revivent perpétuellement une journée.
Dans ce récit, Tara vit en boucle sa journée du 18 novembre. Elle essaie jour après jour de modifier une habitude, une interaction humaine, bref de se libérer de cette journée.
J'ai aimé suivre Tara, découvrir comment elle allait se dépêtrer dans cette histoire.
J'ai écouté en audio, la version est très agréable et la narratrice rend hommage au texte. Comme l'histoire est à la première personne du singulier, l'immersion dans la vie de l'héroïne est d'autant plus facile.
Cette saga SF est en 7 volumes. Je suis curieuse de connaître qu'elles seront les prochaines aventures de Tara.
C'était ma toute première lecture audio et certainement pas la dernière. J'ai écouté ce titre dans ma voiture et j'ai beaucoup apprécié le ton de la narratrice, qui résonne d'ailleurs encore dans ma tête.
En revanche, j'ai été déçue par l'histoire. Car, soyons honnête, il ne se passe quasiment rien ! Tara se trouve bloquée dans une boucle temporelle, contrainte de revivre inlassablement la même journée de novembre, encore et encore. On attend des bribes d'explication, on attend que Tara tente des choses, mais non... elle se contente d'observer le temps qui passe, et cela m'a lassée.
Je sais pour autant que ce titre a connu un bel engouement au Danemark et je suis curieuse de savoir pourquoi. Peut-être se passe-t-il enfin quelque chose dans le tome 2 ? Si l'autrice cherche à nous montrer la monotonie de la vie, c'est en ce sens particulièrement réussi. Je reste donc sur ma faim...
Voici une histoire bien intrigante… Mais que se passe-t-il pour Tara Selter.
Pour elle, le temps s’est arrêté un 18 novembre.
Elle revient d’un voyage à Bordeaux où elle a déniché des livres anciens pour des clients. Elle se réveille dans sa chambre d’hôtel à Paris. Elle va pour prendre son petit déjeuner et là… l’impression d’assister au même spectacle que la veille. Un homme fait tomber sa tartine. La ramasse discrètement. Puis prend un croissant.
Une sensation étrange…
Elle va acheter le journal et on lui vend, pense-t-elle, celui de la veille. Celui du 18 novembre. mais tous les quotidiens sont datés du même jour.
Comprenant que quelque chose d’étrange est en train d’arriver, elle file chez elle rejoindre son mari, Tomas. Il est surpris de la voir puisqu’il ne l’attendait que le lendemain… le 19 novembre.
Alors elle lui explique ses découvertes. Il la croit. Le soir, elle se couche. Angoissée.
Et le matin, c’est de nouveau le 18 novembre…
Il va falloir réexpliquer à son mari.
Jour après jour, elle se réveille le 18 novembre.
Elle explique à son mari.
Elle finit par connaître par cœur les sons, les odeurs, les bruits de la maison, l’heure de l’averse à venir, les allers et venues des voisins.
Un jour sans fin.
Lasse, elle finit par se mettre en retrait. Elle vieillit. Pour elle, pour son corps, le temps passe même si elle reste bloquée sur une seule journée. Comme un bug informatique. Le temps est bloquée. Pas sa physiologie.
Lasse, elle en marre de raconter à son mari. Il la croit toujours. Ne la pense jamais folle. Il essaie de l’aider… mais elle se lasse de ne plus faire partie de sa vie qui elle continue au-delà du 18 novembre.
Avec ou sans son mari, elle essaie de comprendre. Analyse. Note des indices. Tente des expériences.
Le temps passe. On s’approche du 366ème 18 novembre. Un an… va-t-elle enfin sortir de cette journée sans fin ?
Il aura fallu une vingtaine d’année à Solvej Balle pour peaufiner son œuvre (Le Volume du temps comprend 7 tomes). Un phénomène littéraire au Danemark, et traduit dans plus de vingt pays déjà. Un phénomène qui perturbe. Et les avis sont souvent tranchés : soit on entre dans le roman, soit on s’ennuie. C’est l’impression que j’ai des quelques retours que j’ai vu depuis sa sortie française.
Pour ma part, l’écriture de Solvej Balle m’a totalement cueillie. Je suis rentrée dans son univers répétitif et énigmatique. Je me suis retrouvée bloquée ce 18 novembre en compagnie de Tara. essayant de comprendre à mon tour. Me demandant ce que je ferai dans une telle situation. Resterai-je bloquée chez moi, à vivre en recluse et en cachette ou en profiterai-je pour voyager, pour expérimenter ?
Lire ce roman est une expérience littéraire. On est ici dans un rythme lent, répétitif. Comme si Tara perdait pied dans cette journée cyclique. Comme si elle avait un besoin maladif de se rassurer sur ce qu’elle vit. Non elle n’est pas folle. Ce qu’elle vit est malheureusement bien réelle. Elle comble un vide. L’autrice en usant de cette narration itérative nous donne cette impression d’être nous aussi bloquée dans un cercle sans fin.
Alors se pose nécessairement la question de comment s’en sortir? Comment se libérer ? Quand est-ce que nous allons connaître enfin un 19 novembre ?
Ce premier roman est court (250 pages soit 5 h 30 d’écoute) et je n’ai pas vu le temps passer (sans mauvais jeu de mot). J’avais envie d’avancer, de savoir… je suis juste frustrée de la fin… car je n’ai pas encore la suite à ma disposition (il sort le 5 avril en audio) !
J’ai découvert ce roman par le biais de la lecture audio faite par Grétel Delattre qui a fait ici un travail incroyable pour s’accorder à la monotonie volontaire du texte ainsi qu’à sa part énigmatique. On sent la détresse du personnage, sa lassitude, son espoir pour un lendemain… normal !
Un roman à la fois angoissant, énigmatique et hypnotique… Etes-vous prêt à vivre un 18 novembre… sans fin ?
J'ai adoré. Du début à la fin j'ai été complètement embarquée par cette histoire. J'ai vécu chaque journée aux côtés de Tara, à essayer de trouver des solutions, à essayer de comprendre.
L' histoire est connue, vue, et lu plein de fois (le personnage qui revit toujours le même jours... Rien de nouveau sous le soleil !), et pourtant je l'ai trouvée très originale. Parce qu'outre ce jour qui recommence, c'est vraiment sur Tara qu'on se concentre, et sur sa façon d'aborder la chose.
Passé le moment de stupéfaction, elle active une sorte de mode survit. Elle se protège, de son mari à qui elle ne cesse de répéter ce qu'il se passe, jusqu'au jour où elle n' en peux plus et décide de s'exiler.
Elle doit continuer de se nourrir mais les vivres qu'elle utilise ne réapparaissent pas le lendemain.
Elle passe par plein de phases. La peur, la colère, la sideration... Un peu comme un deuil de son ancienne vie, mais sans jamais perdre espoir.
J'ai vraiment hâte de découvrir le second tome de cette histoire. Encore merci @netgalleyfrance pour cette découverte.
Pour Tara Selter le temps s'est arrêté un 18 novembre. Pas la vie. Elle a continué à vivre, bloquée dans cet espace temps, condamnée à revivre la même journée sans cesse. Au départ, elle explique à son mari, ensemble ils cherchent une solution, chaque jour elle recommence. Lassée de cette situation, elle s'installe dans la chambre d'amis qu'ils n'utilisent jamais, il ne la cherche pas car elle est censée être en voyage d'affaires. Elle disparaît hors du temps. Un an s'écoule et la voilà à l'aube du 366ème jour, tout pourrait-il rentrer dans l'ordre à ce moment-là ?
J'aime beaucoup le côté un peu contemplatif de l'histoire et toutes les phases par lesquelles Tara passe. Le roman est très lent, je vois beaucoup d'avis négatifs de gens qui je pense en attendaient autre chose. On est presque dans du nature-writting, elle regarde le temps qui s'écoule mais que pour elle. Personnellement j'ai été bercée par la plume de l'autrice que j'ai trouvée très belle et par la voix de Gretel Delattre parfaite pour Tara et cette journée qui n'en finit pas. J'avoue que je préférais rester bloqué dans une belle journée de printemps ou d'automne plutôt qu'en novembre.
Tara est un personnage pragmatique quoiqu'un peu fantasque dans lequel je me suis un peu reconnue. Le roman s'arrête à l'aube d'un nouveau jour mais est-ce le 18 ou le 19 novembre ? Il faudra lire la suite pour le savoir (heureusement elle sort bientôt). C'était très frustrant d'arriver là et de ne pas savoir mais j'aurais dû m'en douter sachant qu'il y a sept tomes !
Ce roman me fait beaucoup penser à "Replay" de Ken Grimwood si vous l'avez lu.
Lecture qui m'a happé très vite, malgré une voix de la narratrice un peu trop monotone à mon goût.
L'héroine, Tara, revit sans cesse la même journée du 18 novembre, jour après jour, sans explication.
Elle est la seule à s'en rendre compte, son conjoint, Thomas, et tout son entourage revit aussi la même journée mais sans en avoir conscience,
Elle tente de trouver un échappatoire, elle raconte chaque jour cette réalité à son compagnon qui la croit, essaie de l'aider mais chaque matin, se réveille et a tout oublié.
Au fil des jours, on suit les interrogations et le désespoir de Tara. Elle s'isole, se cache dans sa propre maison. Devient une étrangère chez elle.
Je me suis demandée si c'était du fantastique ou si elle était folle, et que tout cela n'était que dans sa tête.
Il s'agit du tome 1, et je suppose que les réponses arriveront dans le tome 2 et/ou les suivants , ...je l'espère ^^
Le pitch de Le volume du temps fait forcément écho au célèbre Jour sans fin. Dans ce premier volume écrit par Solvej Balle, nous suivons Tara qui revit inlassablement le jour du 18 novembre et elle semble être la seule à s’en apercevoir. A chaque renouvellement de la journée, la jeune femme modifie une interaction humaine ou matérielle et observe si sa journée commence à l’identique ou non. Parfois des choses disparaissent, parfois elles restent. Tara tente d’expliquer la situation à son compagnon, qui, s’il n’est pas fermé à l’idée d’un souci temporel, oublie dès le prochain jour.
Solvej Balle a écrit son roman à la première personne du singulier, ce qui nous permet d’entrer dans la tête de tara, d’avoir accès à ses pensées, ses réflexions. D’autant plus que le roman est écrit sous forme du journal de bord de la jeune femme qui note scrupuleusement ses observations, les modifications par rapport aux précédents 18 novembre.
Au fil des chapitres nous suivons l’évolution de Tara sur une année. Une année à revivre le même jour et pourtant la protagoniste prend de plus en plus d’initiatives pour vivre chaque jour comme un jour différent alors qu’il est supposé être le même.
J’ai trouvé ce premier tome intéressant et j’ai beaucoup aimé le personnage de Tara. Néanmoins, le rythme est lent, parfois je me demande comment l’autrice danoise peut tenir l’intérêt de son lecteur sur sept tomes. S’agissant du premier tome, peut-être que les suivants contiennent un peu plus d’actions, de rebondissements ?
En revanche, j’ai beaucoup apprécié la voix de Grétel Delattre. Dès les premières minutes, la voix de la comédienne m’a emmené aux côtés de Tara dans son étrange aventure.
Tara est coincée dans la journée du 18 novembre. Elle se réveille un matin, vit sa journée du 18 novembre, mais le lendemain reste le 18.
J'aime bien les histoires de jours sans fin et la couverture m'a intriguée. Aussi, lorsque j'ai vu que je pouvais l'écouter en livre audio grâce à Netgalley, j'ai sauté sur l'occasion.
Mais... heureusement que c'était court, parce que ça m'a semblé très long. A priori, ça ira mieux dans le deuxième tome, mais si je ne le trouve pas en livre audio, je ne pense pas que je le lirai. Le roman est très contemplatif, très répétitif. Normal, vu le sujet, mais c'est vraiment extrême. En plus, Tara est vraiment très "sage", n'importe qui enfermé dans un jour sans fin en profiterait pour faire des trucs qu'il n'oserait jamais dans la réalité, car il n'y a nulle conséquence. Non, Tara passe les 3/4 du romans enfermée chez elle à refaire les mêmes gestes tous les jours.
Malgré tout, il y a quelques originalités, le fait que tout ne repart pas complètement de zéro (elle peut changer de lieu, elle ne se réveille pas toujours au même endroit; certaines denrées alimentaires disparaissent pour de bon si elle les mange...). ça intrigue, mais de là à écrire 7 tomes...
En tout cas, si vous cherchez un livre de fantasy SF, bourré d'actions, qui tient en haleine... passez votre chemin, vous n trouverez pas ici votre compte !
Un livre et une écoute que j’ai adorés et pourtant on est plutôt dans le contemplatif. Pas de suspens à l’horizon mais beaucoup de mystère. Tout est dans l’art de nous intéresser avec minutie à l’histoire et à l’isolement de la narratrice.
La narratrice vit la journée du 18 novembre. Elle est bloquée dans cette journée. Elle en a conscience mais pas le reste du monde, pas son compagnon auquel elle tente tous les matins d’expliquer la situation. On est alors dans une sorte de monologue où elle décortique ses journées, cherche des réponses. Son corps, ce qu’elle déplace, évoluent et changent mais pas les objets ni le corps des autres.
La lectrice porte formidablement le texte. J’ai beaucoup aimé sa voix. Le défi de lire un texte qui peut paraître contemplatif en nous captivant est réussi !!
📚 Le résumé m'a interpellée sur @netgalleyfrance. Grâce à mon accès privilège (merci Hermine) j'ai immédiatement cliqué pour l'ajouter à ma bibliothèque.
Tara Sleter, le personnage principal vit depuis plus de 100 jours la même journée du 18 novembre et elle est la seule à s'en rendre compte. Petit retour en arrière, on découvre comment elle s'est réveillée à Paris lors d'un voyage professionnel un 18 novembre, pour la deuxième fois, puis comment elle a évolué pendant cette centaine de 18 novembre.
On découvre un texte fantastique une vie qui bascule, proche de la folie. Chaque jour Tara écrit, enquête, parfois elle met son mari Thomas dans la confidence parfois elle s'isole. Passe ainsi une année, à revivre la journée maussade de novembre dans le nord de la France.
Réflexions philosophiques sur la routine, l'enfermement, le rapport à l'autre, la distorsion du temps et l'envie de vivre.
J'ai, après mon impression étrange, totalement accroché avec ce récit fantastique, découvrir avec le personnage les limites de la répétition, les changements étranges, son rapport aux rituels quotidiens, sa volonté de sortir de cet enfermement et de le comprendre.
🗣️La voix de la lectrice rythme ce texte qui met le lecteur dans un état d'épuisement tellement le personnage est poussé au bord du précipice de la folie.
2️⃣ Je suis impatiente d'écouter la suite. (Spoiler) Après un an, ce 18 novembre n'a toujours pas pris fin et Tara décide de ne plus lutter mais de vivre.
🫣Et toi, ça ne te rendrait pas dingue de revivre la même journée sans fin ? Novembre de plus. Temps pourri, jours qui diminuent,l'hiver qui approche...
#litteraturedanoise #fantastique #boucletemporelle #introspection #tome1 #levolumedutemps #instaaudiobook #livreaudio #audiobook #livreaddict #netgalleyfrance
Un roman de science-fiction très énigmatique non sans rappeler le principe de l'excellent film avec Bill Murray : "Un jour sans fin" ♾️
On découvre ici un récit très contemplatif et intrigant avec pas mal de descriptions pour un rythme assez lent... Une boucle temporelle sans fin avec un personnage principal tout en introspection...
L'héroïne, seule impactée, essaie de trouver des solutions tant bien que mal pour se sortir de ce cauchemar. On ressent sa détresse mais aussi l'espoir de retrouver une vie normale !
Une lecture audio étrange et originale.
Et même si ce 1er tome est assez monotone et introductif, curieuse de voir où les tomes suivants vont nous mener 🤔
Tara vit en boucle sa journée du 18 novembre à Clairon-sous-Bois avec son compagnon Thomas. Une vie routinière assez banale autour de leur amours des livres anciens. Tara coincée seule dans cette éternel recommencement.
Quel étrange écoute. Lente, contemplative parfois même ennuyante. On vagabonde sur notre vie, introspectif ce récit nous amène à une réflexion sur nos habitudes, sur le fait de laisser couler le temps dabs une routine. On ne peut s'empêcher de faire un parallèle avec nos vies.
Tara attend passivement en regardant la pluie tomber, en espionnant la routine de Thomas,... Elle contemple sa vie en attendant d'être libérée de sa prison temporelle.
Un roman atypique, Une lecture assez plate. On se laisse porter par la voix de la narratrice et souvent j'ai senti mon esprit décrocher et partir dans ses propres réflexions sans parvenir à rester concentrer.
J'ai manqué d'attachement envers les personnages, comme un drone qui filme la scène d'en haut. J'ai cependant envie de continuer le second tome, histoire de voir si ça bouge et comment elle va évoluer...
Bref, atypique, original mais particulier à tel point que je ne sais pas quoi en penser. Cela dit, c'est vite lu et je me demande à présent comment elle va nous tenir sur le fil pendant sept volumes.
Tara Selter vit à Clairon-sous-bois avec son compagnon, Thomas et elle est coincée. Non pas dans chez elle mais dans un jour particulier, le 18 novembre. Pourtant, il ne lui semble pas qu'il se soit passé quelque chose de particulier ce jour-là, à part peut-être une brûlure. Quoi qu'elle fasse ce jour-là, les 18 novembre s'enchainent. Mais ils laissent quelques traces, la nourriture consommée, les objets déplacés, rendant ce phénomène plus que mystérieux. Tara Selter passe par plusieurs phases : la combativité, l'envie de comprendre cette répétition, le découragement... Au début, elle met Thomas dans la confidence mais bientôt, elle se demande dans quel but puisque ce dernier oublie tout. J'ai un peu pensé au film Le jour de la marmotte avec Bill Murray avec une dimension sentimentale en moins (Aussi à Replay de Ken Grimwood mais plus vaguement). Malgré le côté répétitif de cette journée, j'ai beaucoup aimé ce roman. Elle essaye de trouver une solution et décrit avec beaucoup de détails sa relation avec Thomas : d'abord proches comme des âmes soeurs puis elle se rend compte de la solitude qui lui pèse. Elle les compare à des fantôme et monstre sur cette journée, sur ce fil de temps étrange...
La voix de Grétel Delattre se prête parfaitement aux pensées de Tara Selter, elle a une voix posée et calme donnant aux réflexions parfois un caractère poétique.
Ce roman de Solvej Balle, une auteure danoise se poursuit dans une série avec pas moins de 7 romans au total. Curieuse de lire la suite de ce 18 novembre, Tara Selter trouvera-t-elle une solution ?
Alors que Tara se réveille dans son hôtel parisien, elle a une impression de déjà-vu. A la fin de la journée elle en est sure, elle revit la même journée, bloquée dans une boucle temporelle.
J'ai beaucoup aimé la narration de Grétel Delattre qui fait de son mieux pour apporter du relief à cette histoire d'une platitude affligeante. Elle offre son timbre calme et doux à cette narration et est très agréable à écouter. Et heureusement !
Car soyons honnête, il ne se passe absolument rien dans ce roman. Tara enchaine les journées identiques. Elle essaie bien un moment de trouver une solution, mais elle finit par s'enfermer dans la chambre d'amis de sa maison pour éviter son mari, puisqu'elle n'est pas censée être chez elle. Je crois que si je devais écrire un compte rendu de mes journées, çà serait plus intéressant. Quand elle part à Lille pour faire ses courses, je me suis dit qu'il allait enfin arriver quelque chose, mais non, rien.
Et vous savez le pire ? Il y a six autres tomes derrière celui-ci. Six ! Non mais franchement six autres tomes de journées identiques de réflexion sur pas grand-chose, même si j'ai bien compris à la lecture du résumé que le deuxième tome va voir Tara voyager. Ce sera sans moi.
Je vous fais la revue d’un service presse que la maison d’édition AUDIOLIB m’a accordé.
Je vous chronique le premier tome du roman LE VOLUME DU TEMPS de Solvej Balle dont voici le résumé :
« Pour Tara Selter, le temps s’est arrêté un 18 novembre. Premier épisode de cette saga, elle se réveille à Paris. Tara sort de sa chambre d’hôtel et découvre qu’autour d’elle tout se déroule comme la veille : les mêmes personnes se ruent vers la salle du petit déjeuner, la date du journal est identique. »
J’ai assez aimé ce roman qui explore la valeur et ce qu’est le temps.
Tara vit la même journée mais elle seule change dans cette boucle temporelle.
J’ai trouvé la plume de l’autrice tellement belle et si intrusive tant et si bien que j’ai eu l’impression d’être moi-même enfermée et emprisonnée dans cet univers d’incessantes répétitions.
J’ai beaucoup aimé l’interprétation de Gretel Delattre qui m’a permis d’être immergée dans LE VOLUME DU TEMPS.
Je remercie infiniment AUDIOLIB pour ce Service Presse.
J'avoue être passée à côté de ce premier tome. On sait que Tara Selter va passer une journée sans fin, mais j'ai trouvé la manière de tourner le sujet de ce premier tome confus et on se perd vite pendant la lecture ou l'écoute pour moi.
Vivre 366 jours avec le même personnage, c'est lassant et j'ai pas accroché à elle. Et plus encore, quand on rajoute des moments ou des choses bizarres voir délirantes pendant certains jours.
Honnêtement, cela ne me donne pas du tout envie de découvrir la suite en plus la fin se finit sans aucune réponse à nos questions.
J'ai tenté ce roman car j'étais curieuse et ça ne l'a vraiment pas fait.
La seule chose que j'ai apprécié c'est la lecture de Grétel Delattre .
Après, comme je le dis toujours. C'est MON avis , MON ressenti et d'autres ont apprécié cette lecture donc si elle vous tente lisez le. On n'a pas tous les mêmes envies, attentes et ressentis.
Le Volume du temps est un roman de science-fiction qui possède une ambiance bien à lui. Contemplatif et introspectif, il prend son temps, vit ces journées les unes après les autres et nous laisse dans une atmosphère quelque peu apathique. Cette lecture audio en compagnie de Grétel Delattre a été bénéfique pour moi, car je ne sais pas si, au format papier, je serais aller jusqu’au bout.
Ce n’est pas ce à quoi je m’attendais et surtout, ce que je cherchais à ce moment-là. Mais je n’en oublie pas l’écriture de Solvej Balle qui reste prenante malgré la répétition des jours et des sensations ressentis par son personnage central. En effet, le personnage en vient rapidement à se flageller de la situation et à revenir sur les mêmes raisonnements. Même si je n’ai pas eu forcément ce que je m’attendais à recevoir, je suis curieuse de lire le deuxième tome récemment sorti chez Grasset.
Un roman étrangement addictives, on revit toujours ce 18 novembre, et pourtant on ne sent lasse pas. Comment va-t-elle s'en sortir? C'est ce qu'on cesse de se demander ..
A la suite d'un 18 novembre tout ce qu'il y a de plus banal, Tara se réveille un beau matin à nouveau le 18 novembre. Tout se passe de la même façon que le premier 18 novembre. Tara veut tout faire pour sortir de cette boucle, elle demande l'aide de son mari Thomas, quitte à lui répéter tous les jours ce qui lui arrive. Arrivera-t-elle à voir le 19 novembre ?
Voilà pour le résumé du premier tome du « Volume du temps » de Solvej Balle, que j'ai lu en audiobook grâce à Netgalley et Audiolib.
Je n'ai pas aimé. Voilà. Fin de la chronique !
Nonnnn ! Je blague. Enfin pas sur le fait que c'était vraiment pas génial.
L'histoire est ennuyeuse. Il ne se passe rien.
L'écriture est pleine de mots. Vous sentez mon enthousiasme, là ? L'autrice a ce style d'écriture que je n'aime pas : elle fait des listes, tout le temps des listes, tout le temps les mêmes listes. C'était indigeste, même à écouter.
La narratrice relève le niveau, même si je la plains d'avoir dû lire ce roman. Elle a dû s'ennuyer la pauvre, autant que moi qui ai mis la vitesse de lecture à X2 pour que ça se finisse plus vite. Bref, la lectrice a bien fait son travail, elle n'est pas responsable du contenu de ce roman.
Vous le devinerez à mon enthousiasme débordant que je ne recommande pas ce livre. Mais bon, si vous avez des insomnies et une aversion pour les livres intéressants, lancez vous !
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