Les Grandes Jambes
par ADRIANSEN Sophie
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Date de parution 9 juin 2016 | Archivage 30 juin 2016
Résumé
Une histoire de collège et de complexes adolescents, d'amitié et d'amour, une histoire qui parle d'art, de Rembrandt, d'Anne Frank et d'un voyage inoubliable à Amsterdam...
Marion, collégienne en pleine croissance, est obsédée par la longueur de ses jambes qui n’en finissent pas de s’allonger, rendant la recherche d’un jean qui lui aille bien extrêmement délicate. A l’âge des complexes, des premiers émois amoureux et de la construction de l’image de soi, être hors cadre se révèle parfois difficile, voire douloureux. Comment attirer les regards de Grégory, dont elle est amoureuse, avec un pantalon qui lui découvre les chevilles ?
Mais alors que le collège part en voyage scolaire à Amsterdam, Marion profite de cette occasion pour élargir son horizon. Elle approfondit sa passion pour l’art, notamment en découvrant in situ le célèbre tableau La Ronde de nuit, et met en perspective ces contrariétés d’adolescente née après l’an 2000 en visitant la maison d’Anne Frank.
Une histoire de collège et de complexes adolescents, d'amitié et d'amour, une histoire qui parle d'art, de Rembrandt, d'Anne Frank et d'un voyage inoubliable à Amsterdam...
Marion, collégienne en...
Note de l'éditeur
À partir de 10 ans
Formats disponibles
FORMAT | Grand Format |
ISBN | 9782375540022 |
PRIX | 10,90 € (EUR) |
Chroniques partagées sur la page du titre
Marion est une collégienne en pleine croissance. Plus grande que la plupart de ses camarades, elle est obsédée par la longueur de ses jambes et n’aime pas les virées shopping que l’allongement sans fin de ces dernières impose. La recherche d’un jean suffisamment long est une tâche délicate et Marion désespère. En plus, l’adolescente est amoureuse et se demande comment elle pourrait attirer le regard du beau Gregory si ses pantalons laissent toujours apparaître ses chaussettes ! Heureusement, Marion n’est pas seule : elle peut compter sur sa meilleure amie, Charlotte, même si cette dernière ne se doute pas des contrariétés de l’adolescente.
Sophie Adriansen propose un roman pour les adolescents sur l’identité, à un âge où le corps change, mais aussi sur l’amitié et sur l’art. Marion est grande, son corps se développe et, en 5ème, elle subit les remarques et moqueries de ses camarades. Cependant, la jeune fille part en voyage scolaire à Amsterdam. Pour elle, c’est l’occasion de découvrir le célèbre tableau La Ronde de nuit qu’elle apprécie tant, de visiter la maison d’Anne Frank, mais aussi d’élargir ses horizons et de se défaire de ses complexes. Ce qu’elle vit comme une différence peut être une norme ailleurs.
Avec ce roman, il est évident que Sophie Adriansen cherche à passer à message. Marion se cherche, essaie de se connaître. Une chose m’a gênée : une parole de Marion, au début du livre, au sujet d’une vendeuse trop ronde à son goût. Cependant, cette petite réflexion montre bien que Marion est jeune et que, bien qu’elle-même subisse des moqueries, elle n’est pas encore assez mâture pour prendre vraiment conscience de l’impact d’un tel jugement. Elle a encore des choses à apprendre, elle est centrée sur elle-même, mais elle est ouverte d’esprit. Elle s’intéresse à l’art ce qui éveil la curiosité du lecteur pour les oeuvres et artiste cités.
Un bon roman sur le rapport à soi et aux autres. A faire découvrir aux adolescents !
Nous avions énormément aimé le précédent roman de Sophie Andriansen, "Max et les poissons", qui racontait les terribles heures du début de la rafle du Vel’d’hiv vues par un jeune garçon. Ici, changement d’époque, même si l’ombre de la Seconde Guerre Mondiale rôde toujours avec l’évocation d’Anne Frank.
Marion est grande, très grande, très très grande... A tel point qu’il est quasiment impossible de dénicher le moindre vêtement qui ne la fasse ressembler à un épouvantail. Du moins c’est comme cela qu’elle se voit. A un âge où il est facile d’être complexé pour un rien, Marion se sent hors normes. Heureusement que le garçon pour lequel bat son coeur est grand lui aussi, mais encore faudrait-il qu’il la remarque...
Un voyage scolaire à Amsterdam va finalement se révéler plein de surprises. En terre étrangère, on ose parfois faire des choses que l’on n’aurait pas le courage de faire dans notre environnement quotidien. Pour Marion, c’est tout simplement d’adresser la parole à celui qui lui met le rouge aux joues. La visite de la maison d’Anne Frank, la beauté d’un tableau de Rembrandt, et tous les repères apparaissent différemment.
Un très joli livre sur l’adolescence et le manque de confiance en soi, qui nous entraîne avec bonheur à Amsterdam sur les traces d’Anne Frank et de Rembrandt.
Je remercie les éditions Slalom pour m'avoir permis de découvrir ce texte en avant première via la plateforme NetGalley.
Ce court roman m'a beaucoup plu. J'ai beaucoup aimé la sensibilité de l'auteure qui rend le personnage de Marion très attachant. J'ai également trouvé que ce personnage de jeune adolescente sonnait "juste", ce qui n'est pas toujours le cas dans les romans pour et sur les ados. Sa façon de voir le monde, qui au début du récit se réduit à la cours du collège puis s'élargit au fil des pages et du voyage scolaire est très juste et très subtil. Ses complexes d'adolescente (taille, vêtement, popularité, garçon) sont subtilement traité et mélangé à des réflexions plus profonde sur l'art et la vie en général qui "élève" le lecteur. Car cette jeune Marion va grandir devant nos yeux. Et, au delà du "happy end", un peu convenu (mais il s'agit d'un roman pour de jeunes lecteurs, donc indispensable), on réfléchis avec elle sur le sens de la vie et sur ces moments qui nous on fait grandir.
Le style est fluide et net mais pas enfantin. Le récit est bien rythmé, on ne s'ennuie pas et les évènements ne se précipitent pas.
J'ai adoré des descriptions d'Amsterdam. On retrouve tout a fait l'atmosphère de cette ville. Quant à la description de la Ronde de Nuit de Rembrandt : je n'aurais qu'un mot : superbe. Cette scène est vraiment prenante. Je suis rentrée, avec Marion, dans ce tableau que j'aime tant. Et j'ai retrouvé le choc de sa découverte dans le musée.
Bref, un livre pour jeunes lecteurs (à partir de 10 ans, mais peut se lire beaucoup plus tard également) qui fait voyager, réfléchir, grandir... Une belle découverte.
Un livre sur l'identité, l'amitié, et l'art. Tout cela écrit avec simplicité par une auteur nous parlant de sa propre expérience. A offrir à tout adolescent !!
Ce petit roman ado se lit vite et est très agréable. Il est bien documenté sur l’art et la ville d’Amsterdam et on se balade avec plaisir avec les personnages. Un bon roman sur la confiance en soi, sur l’acceptation de son apparence et sur l’amour et l’amitié.
C'est frais, c'est léger et ça sent bon l'adolescence.
Marion est une jeune collégienne normale enfin excepté que depuis quelques mois la croissance l'a rattrapée. Ça ne serait pas si grave si elle n'avait cette impression que seules ses jambes ont décidé de pousser.
La voici donc affublée régulièrement de pantalons trop courts et de chaussettes qui dépassent. La honte pour une ado mal dans sa peau.
Heureusement l'arrivée de Jim va tout changer !!!
Et quand vous saurez qui est Jim, ami lecteur je pense que vous comprendrez les sentiments profonds qui l'unissent à notre héroïne.
Bon il y a aussi Gregory. Ce beau gosse pour lequel elle craque depuis la sixième. Mais justement! Elle le sent ! Jim est sa solution miracle pour l'aider à vaincre sa timidité, à défier le sort et qui sait à tenter une approche un peu moins basique que "pardon" quand elle le bouscule. Ahhhh entamer enfin une vraie conversation avec Gregory !!!
Mais en fait ce ne sera pas Jim son sauveur mais bel et bien Rembrandt. Car notre jeune ado et sa binôme de choc Charlotte ainsi que toute leur e vont partir en voyage scolaire à Amsterdam pour trois jours.
Trois jours qui vont changer leur façon de voir les choses au travers des toiles de Rembrandt mais plus particulièrement de celle intitulée "Ronde de nuit" mais aussi de la visite de la maison où a vécu Anne Franck, cachée.
L'adolescente va ainsi utiliser ses perceptions de cette œuvre mais aussi des différences et points communs de sa vie avec celle de la jeune Anne pour grandir cette fois encore. Mais grandir intérieurement, évoluer et se rendre compte surtout que certaines choses ne sont pas si importantes que ça dans la vie.
C'est un texte court puisqu'il ne fait qu'un peu plus de cent pages mais qui concentre en peu de mots beaucoup des problèmes adolescents. L'acceptation de soi, le regard des autres, les préjugés souvent faux, tous sont mis en lumière et décortiqués au travers des yeux de notre adolescente dégingandée.
On apprécie la plume de l'auteure et cette impression, confirmée par l'auteure elle-même, de vécu.
Le récit est clair, limpide et entrainant. On suit sans difficulté la vie de Marion, ses petits déboires et ses doutes. Elle est fraîche, sensible et très portée sur l'art ce qui nous offre un passage particulièrement magnifique sur sa vision de l'œuvre de Rembrandt.
J'ai tout aimé de ce roman ... sauf sa longueur, j'en aurais souhaité plus. Mais il se suffit à lui-même et nous enchante tout en nous ouvrant les yeux. Seul petit reproche cependant, concernant le prix, que je trouve un peu élevé pour un roman de si petit calibre, et ce malgré la qualité de celui-ci.
C'est un joli coup de cœur jeunesse pour lequel je remercie les éditions Slalom.
J'avais très envie de découvrir ce nouveau roman de Sophie Adriansen, et je ne suis pas déçue.
Difficile de trouver son bonheur quand on a l'impression de vivre sur des échasses. Marion a des jambes longues. Trop longues. Un problème qui me semblait insignifiant mais qui se relève beaucoup plus compliqué qu'on pourrait l'imaginer. Trouver un pantalon à sa taille est devenu une véritable chasse au trésor alors quand elle en trouve un, il devient presque son ami.
Heureusement, elle a une passion pour la distraire : l'art.
Au détour d'un voyage par Amsterdam, elle se rendra compte que les longues jambes ne sont pas une espèce rare, et que même les grandes filles peuvent trouver l'amour...
Rares sont les jeunes (ou les adultes !) à ne jamais être complexés : trop grand, trop petit, trop mince, trop rond... Ici Sophie Adriansen montre aux jeunes qu'ils ne sont certainement pas les seuls à vivre avec leur "différence", et que cette dernière n'empêche en rien de mener une vie comme tous les autres...
Un roman qui paraît aujourd'hui aux éditions Slalom !
L'adolescence cette période délicate que tout le monde traverse. Adulte, nous la casons souvent dans un coin profond de notre mémoire. Les Grandes Jambes de Sophie Adriansen permet de replonger dans cette tranche d'âge ingrat.
Les Grandes Jambes permettent de rencontrer Marion, adolescente, grande, très grande, trop à son goût. Ses jambes semblent dignes de celles des girafes. Difficile de s'habiller, de trouver des vêtements à sa taille qui ne dévoile pas ses chaussettes. Car, non, les camarades ne laissent pas passer les moindres détails. Les moqueries fusent. Impossible d'échapper aux petits mots méchants. La quête du bon pantalon est digne d'une chasse au trésor. Quelque part, Marion a su me toucher, énormément pour de multiples raisons. Elle a parlé à l'adolescente mal dans sa peau qui a grandi, elle a montré du doigt mon Prem qui du haut de ses 1m50 a un gabarit tout fin et des soucis pour avoir un bon pantalon. J'ai souri du rapprochement. Et j'ai eu une énorme bouffée de tendresse pour son personnage. Car je vois dans le regard de mon grand ce qui pourrait sembler anodin, bête et stupide pour nous adulte, cette petite boule pour un simple détail. Un pantalon qui fait pas premier de la classe, tu vois mes chaussettes.
Charlotte sa confidente est une petite pépite comme tous les enfants devraient avoir dans leur entourage. Comment réussir à s'approprier son corps quand les autres nous en empêchent? Difficile de changer, de faire face aux modifications hormonales et intellectuelles. Difficile de passer le cap.
Marion trouve sa bouée d'air frais dans l'art. Pour une fois, la peinture a la part belle. C'est rare, souvent c'est les jeux vidéos, les séries ou le cinéma. Ici, l'échappatoire se pose dans un écrin de la culture qui donne la possibilité de chercher, de titiller la curiosité pour ceux qui ne connaissent pas. Son collège organise un voyage de trois jours à Amsterdam l'occasion d'admirer l'oeuvre de Rembrandt dont elle a parlé en long en large en travers lors d'un exposé: La ronde de nuit. Le séjour sera l'occasion de plusieurs découvertes. De rapprochements. Les chapitres entraînent dans l'aventure avec une fluidité très agréable.
Sophie Adriansen parvient à capter à merveille cette délicate période de l'adolescence. Le corps subit des multiples modifications. Grand, maigre, petit, gros. Chacun devient une autre version de lui, l'enfant laisse place à un être pas encore adulte. A plusieurs niveaux, les changements bouleversent tout sur leur passage. Les complexes existent à des degrés moindres. Des petits morceaux parfois infimes qui nous chamboulent, et qui deviennent insignifiants parfois après un événement: une rencontre, un mot...
Au détour d'une excursion scolaire, l'héroïne découvre que non, elle n'est pas un cas. Non, les grandes jambes ne sont pas forcément négatives. Alors, oui, Marion a la dent dure, oui, elle critique, mais elle est le parfait visage de cet âge entre deux qui ne sait pas encore quand il blesse, tout en appréciant pas les mots des autres. La quête de soi est au centre du roman. Apprendre à s'aimer, à se connaître, à se comprendre, à s'apprivoiser, à vivre avec ce nouveau soi est très bien narré. Le style le touche du doigt sans peser, sans appuyer ou se faire moralisateur. Non, il annonce juste les difficultés de l'adolescence avec ses travers et ses bons côtés.
Au final, c'est un roman frais, doux amer, parfois mordant, plein de surprises comme l'adolescence. Une lecture à glisser dans les mains de ceux qui la traversent en ce moment, et dans celles des plus grands pour se souvenir avec un sourire à travers un style agréable de c'était nos propres années de quête identitaire. Sophie Adriansen pose magnifiquement tout en simplicité des thèmes comme l'amitié. A offrir sans hésiter aux 10/13 ans.
Un roman pour jeunes adolescents (12-13 ans) que j'ai beaucoup apprécié et avec lequel j'ai passé un très bon moment!
On s'attache beaucoup à l'héroïne, qui est au début assez mal dans sa peau car beaucoup trop grande pour son âge (l'épisode de l'essayage de jean est très drôle). Marion va ensuite découvrir avec un cours au collège les peintres flamands. Elle va grandir et relativiser les choses, notamment avec la visite de l'appartement de Anne Frank. Marion va également découvrir l'amour...
Derrière ce roman a l'apparence légère, se cache un beau message sur l'acceptation de soi...
Je remercie les éditions Slalom pour l'envoi de ce Service Presse via Net Galley.
Ayant une ado de dix ans à la maison, le résumé m'a attirée, j’espère que cela sera aussi son cas.
Marion est facilement identifiable par n'importe quelle ado. Même si toutes ne sont pas des "géantes", tout les autres "problèmes" sont ceux d'une ado classique : amour, amitié, hobby, méchanceté au collège.... et aussi le fait que souvent les gens se basent sur les apparences.
En plus de tout ça, on apprend quelques trucs sur l'histoire, la peinture et la Hollande, ce que j'ai personnellement trouver trés sympa. J’espère que cela sera aussi le cas d'Alyssia.
Un petit bonus pour la maman, par contre le papa, pff il comprend rien....
[...]J'ai beaucoup aimé ce roman, pour son regard juste sur l'adolescence, pour des passages émouvants quand Marion s'identifie à Anne Frank ou quand elle est scotchée par ce tableau qu'elle voit "en vrai". L'écriture est agréable et intelligente. Petite identification personnelle: j'ai très bien connu ce sentiment d'avoir grandi plus vite que les autres et de n'avoir aucun pantalon assez long, c'était donc facile pour moi de comprendre Marion. [...]
Marion a de très grandes jambes et pour elle c'est le calvaire quotidien. Elle a 12 ans et mesure 1m70, elle ne trouve pas de pantalon à sa longueur et ne supporte plus d'être prise pour une extraterrestre. Mais il y a Grégory, il est dans une autre 5ème et il lui plait. Un voyage à Amsterdam, le pays des grands, s'organise, quel changement ceci va opérer?
Qui n'a pas vécu pareil soucis à un moment de sa jeunesse? Pour ma part c'était d'autre soucis (quoique étant une fille on est toujours trop grandes en 6ème, 5ème, même par rapport au profs, mais on ne grandit plus après, du moins 5 cm et hop terminé...), mais les moqueries on en a quasi tous subit, et on arrive tous à se retrouver en Marion (que l'on 10 ou 50 ans). Oui c'est un livre jeunesse, mais avec de belles leçons de vie et d'espoir. L'espoir que l'on trouve tous, un jour ou l'autre, le truc qui changera, dirigera notre vie sur une voie.
Merci à l'auteur pour ce roman (autobiographique, et sur l'amour de ce tableau, que je ne connaissais que de nom et dont la passion de Marion m'a donné envie de mieux connaitre, merci).
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