La Colocataire
Un thriller palpitant et provocateur de l'autrice à succès de The Dark Lake, Into the Night et Where the Dead Go. Traduite en 15 langues
par Sarah Bailey
Ce titre a été archivé. Il est désormais indisponible sur NetGalley.
Commandez ou achetez ce livre dans votre point de vente préféré !
Envoyer des titres NetGalley directement à votre Kindle ou votre application Kindle.
1
Pour lire sur votre Kindle ou dans votre application Kindle, merci d'ajouter kindle@netgalley.com en tant qu'adresse e-mail approuvée pour recevoir des documents dans votre compte Amazon. Veuillez cliquer ici pour des instructions détaillées.
2
Ensuite, retrouvez votre adresse e-mail Kindle dans votre compte Amazon et ajoutez-la ici.
Date de parution 17 mai 2024 | Archivage 26 août 2024
Vous parlez de ce livre ? N'oubliez pas d'utiliser #LaColocataire #NetGalleyFrance ! Cliquez ici pour plus de conseils
Résumé
Trois colocataires, une est morte, une a disparu, et une est accusée de meurtre
Le nouveau polar de l'auteure primé de la trilogie à succès Gemma Woodstock, en cours d'adaptation audiovisuelle. Sarah Bailey est lauréate du prix Ned Kelly 2018 du meilleur premier roman, et traduite en 15 langues.
"Chaque nouveau rebondissement de l'histoire équilibre habilement les révélations fracassantes et la crédibilité, dans un crime qui semble douloureusement familier et choquant à la fois. Tout comme Oli, je n'ai pas pu m'arrêter avant de connaître moi aussi la vérité." - JACQUELINE BUBLITZ, autrice bestseller
Trois colocataires, une est morte, une a disparu, et une est accusée de meurtre
Surnommé par les médias « le meurtre de la colocataire », l’affaire trouble les Australiens depuis près d’une décennie. Olive Groves, journaliste au Melbourne Today, a couvert les faits à l’époque jusqu’à l’obsession. Neuf ans plus tard, lorsqu’une des colocataires est retrouvée morte dans une maison isolée. Oli est de nouveau chargée de l’affaire, mais cette fois, c’est à contrecœur qu’elle doit faire équipe avec Cooper, un jeune podcasteur. Tandis qu’Oli et Cooper exhument de nouveaux faits, de sombres secrets sont mis au jour. Les révélations propulseront Oli dans le passé, la contraignant à affronter ses propres démons.
Que s’est-il réellement passé entre les trois colocataires cette nuit-là ? La quête incessante d’Oli pour la vérité mettra-t-elle sa nouvelle famille en danger ? Et sa conviction que le meurtrier se trouve au plus près de chez elle pourrait-elle menacer son bonheur et même sa santé mentale ?
"Le meilleur du polar australien" - J.-P. POMARE, auteur bestseller
Trois colocataires, une est morte, une a disparu, et une est accusée de meurtre
Le nouveau polar de l'auteure primé de la trilogie à succès Gemma Woodstock, en cours d'adaptation audiovisuelle. Sarah...
Formats disponibles
FORMAT | Grand Format |
ISBN | 9782487149076 |
PRIX | 19,95 € (EUR) |
PAGES | 440 |
Disponible sur NetGalley
Chroniques partagées sur la page du titre
Ce récit se distingue par l'habileté narrative de Bailey, déjà récompensée pour son talent exceptionnel, notamment avec le prix Ned Kelly 2018 pour le meilleur premier roman. Sa capacité à traduire ses œuvres dans plus de quinze langues atteste de son succès international et de l'universalité de ses thèmes.
L'intrigue s'articule autour d'un mystère à la fois familier et déconcertant : le meurtre surnommé « le meurtre de la colocataire » qui a longtemps hanté l'Australie. Bailey explore les profondeurs de l'âme humaine à travers les yeux d'Olive Groves, une journaliste qui se retrouve inextricablement liée à l'affaire, non seulement par son travail mais aussi par une quête personnelle de vérité qui semble menacer sa propre stabilité.
La dynamique entre Oli et Cooper, un jeune podcasteur, introduit une dimension moderne à l'investigation, reflétant l'influence croissante des médias numériques sur le journalisme d'investigation. Leur collaboration forcée, teintée de réticences et de découvertes mutuelles, promet de révéler des secrets bien gardés, soulignant l'impact des révélations sur ceux qui cherchent la vérité et ceux qui préféreraient la laisser enfouie.
Ce polar semble aller au-delà du simple divertissement ; il interroge sur les conséquences de nos quêtes personnelles sur notre entourage, notre bonheur, et notre santé mentale. La quête d'Oli pour la vérité, tout en jonglant avec les responsabilités envers sa nouvelle famille, offre une réflexion sur le prix de la vérité et les sacrifices qu'elle exige.
Le nouveau polar de l'auteure primé de la trilogie à succès Gemma Woodstock : The Dark Lake, Into the Night et Where the Dead Go.
Olive Grooves et Cooper sont deux journalistes qui vont réactualiser " l'affaire de la colocataire " . Un fait divers qui date de plus de 10 ans et qui n'est toujours pas résolu : dans une coloc, trois jeunes femmes.
Une est morte, une autre a disparu, et la troisième est en prison.
Cooper ,journaliste junior ,persuadé que les podcasts sont l'avenir de l'information , tape un peu sur les nerfs des journalistes seniors qui ne jurent que par les articles papiers , et pourtant grâce à lui l'enquête va prendre un nouveau tournant.
🌼J'ai apprécié que cette intrigue soit vue du côté des journalistes et non pas de la police.
Oli ,actuellement fiancée , à l'homme qui était son amant pendant plus de 10 ans, et qui aujourd'hui se retrouve veuf et papa de deux petites jumelles , elle doute d'elle-même et de son futur mariage .
J'ai trouvé le personnage de Oly complètement attachant. Autant ses qualités et sa pugnacité , que ses fragilités et son passé qui expliquent son présent .
Le livre est assez long mais les rebondissements sont nombreux. L'intrigue est bien ficelée et dévoile des secrets enfouis mais des associations malsaines.
Et sans vous dévoiler l'intrigue , j'ai énormément apprécié les thèmes abordés qui méritent vraiment d'être traités.
Tout d’abord je remercie Netgalley et Mera Editions pour ce SP.
Je ne connais pas du tout l’autrice et ce fut une énorme surprise.
Déjà lorsque vous voyez 3 colocataires, 1 morte, 1 coupable et 1 disparue, vous savez que vous allez être plongé dans l’intrigue. Enfin pour ma part je le fus.
Je me suis mise à la place de cette journaliste, Olive qui tient le scoop de l’année, surtout qu’à l’époque cette affaire fut très médiatisée. Pourquoi a-t-elle tué? Le mobile? oui il y a toujours un mobile. Ces 3 colocataires s’entendaient pourtant très bien et puis l’une d’elle est morte, une est envoyée en prison, fut libérée et la 3ème envolée. Mais voilà la mort rattrape toujours le passé. Alors pourquoi aurait-on tué à nouveau? Tout porte à croire que c’est la coloc disparue.
Ah ne vous fiez jamais à ce que vous pensez voir.
Olive lors de son investigation, va devoir faire équipe avec un jeune geek, qui adore les podcasts, qui veut faire ses preuves. Oui pour elle c’est plus une épine dans le pied. MAis il a de bons arguments, il voit les chose différemment, il sait que les gens veulent autre chose, on veut être mis en haleine et c’est là que les podcasts prennent leur essor.
On se place vraiment du côté des journalistes, Olive retrace toute cette histoire, pose des questions qui dérangent et oui on ne sera pas au bout de notre peine car cela va au delà de ce qu’on peut imaginer.
Mais en même temps, nous voyons notre journaliste qui vit dans l’ombre d’une morte, Elle est fiancée à celui qui fut son amant, mais qui fut le mari de celle qui a enquêté sur cette affaire. Oui une femme peut avoir des doutes sur sa vie, et on voit au fil des pages qu’elle se pose bcp de questions sur sa relation, sur son futur. Il est un peu étrange, non? Après on peut le comprendre mais ils sont dans une relation très étrange.
Alors ce qu’elle fait c’est de travailler sur cette affaire.
Une intrigue très bien ficelée, des rebondissements, des flash back importants, et surtout qui a fait le coup et pourquoi?
une autrice à suivre.
La colocataire est un roman que j'ai apprécié de plus en plus au fur et à mesure de la lecture. Passé la moitié du récit, il montait vraiment en puissance, gagnant page après page en force et en émotion. La construction de l'intrigue est véritablement très minutieuse : les indices qui nous mènent vers le dénouement sont là, pourtant, et nous ne les voyons pas nécessairement. L'autre point fort est que les personnages sont tous profondément humains, c'est à dire riches, complexes, nous ne sommes pas face à des caricatures ou à des êtres manichéens.
Prenons Oli, le personnage principal, celle à travers laquelle nous voyons tout ou presque. Elle a tout pour être heureuse. Sa carrière de journaliste est réussie, elle est en couple avec l'homme qu'elle aime, et c'est réciproque, elle a deux petites filles et ... Et rien n'est simple. Ses filles sont les filles nées du premier mariage de leur père, mariage qui s'est terminée par l'assassinat de sa première femme, Isabelle, enquêtrice charismatique, tuée par un homme qu'elle avait mis en prison et qui avait été libérée depuis. Isabelle était chargée de l'enquête sur "le meurtre de la colocataire", dont la mort n'a pas été totalement élucidée.
Et, aujourd'hui, un coup de théâtre se produit qui remet l'affaire sous les feux des projecteurs. Olive est à nouveau chargée de couvrir l'affaire, si ce n'est qu'en dix ans, elle n'est plus la jeune journaliste manquant d'expérience, et qu'elle se voit adjoindre Cooper, un jeune homme passablement agaçant, podcasteur de son état. Grâce à eux, nous suivrons pas à pas le métier de journaliste, les méthodes que certains emploient pour parvenir à avoir la primeur des informations, les bâtons dans les roues que l'on peut leur mettre aussi. Puis, être journaliste, c'est aussi être confronté à l'humain, certains n'ont pas envie de parler, n'ont plus envie de parler, de répéter, encore et encore, ce qu'ils ont vu, vécu, tout le monde n'as pas envie d'être sous le feu des projecteurs, alors que certains ne demandent que cela. L'on voit aussi les liens entre les journalistes et la police, liens qui peuvent être très forts, comme celui qui unit, dans le bon sens du terme, Oli et Rusty, peut-être aussi parce qu'ils partagent le même but : la quête de la vérité.
L'un des thèmes fort de ce roman est la dénonciation des violences faites aux femmes et aux enfants. C'est malheureusement un thème intemporel, tout comme il est intemporel de montrer que certain(e)s ne voient pas ce qui se passe sous leurs yeux, ce qui se passe tout près d'eux, et quand on a vécu cela, quand on a vécu cet aveuglement involontaire, l'on se rend compte que l'on se doit d'être véritablement vigilant face à ce qui vous entoure, face à ce que les autres disent, font, face à cette belle image qu'ils montrent d'eux. Non, je ne parle pas pour moi, je parle pour un des personnages du récit. Etre vigilant sauve des vies, ou tout du moins modifie leurs cours. C'est peut-être en cela que notre société évolue : dans les romans, on présente de moins en moins des personnages qui attendent, qui laissent les choses passer ou remettent à demain, ce qui, dans les récits romanesques, provoquent toujours des catastrophes. Ici, si catastrophes il y a (et il y a) ce n'est pas faute d'avoir agi, d'avoir tenté, ou d'être intervenu.
Un coup de coeur ? Oui, certainement.
C’est avec la série que j’ai beaucoup appréciée mettant en vedette le sergent-détective Gemma Woodstock que j’ai récemment découvert l’auteure australienne Sarah Bailey. C’est avec enthousiasme que j’ai sollicité NetGalley ainsi que Mera éditions, que je remercie pour l’envoi de ce livre au résumé des plus intrigants, lorsque je l’ai vu apparaître sur le site. Oli Groves, une jeune journaliste d’investigation à l’époque, avait écrit sur « le meurtre de la colocataire », un fait divers qui avait alors marqué les esprits: Evelyn Stanley, une jeune étudiante qui partageait un appartement avec deux amies, Nicole Horrowitz et Alex Riboni, avait été retrouvée morte au lendemain d’une fête donnée à leur appartement, un meurtre pour lequel Alex avait été peu après arrêtée. La réapparition soudaine de Nicole, qui avait alors disparu, relance l'enquête d’Oli, qui est demeurée hantée par cette affaire qui n’avait pas livré tous ses secrets. Contrainte par sa patronne, elle doit faire équipe avec Cooper Ng, un jeune journaliste qui travaille au département numérique et qui a obtenu un entretien avec Alex en vue de réaliser un podcast, alors qu’elle peine à gérer sa relation avec Dean, un homme intense et contrôlant avec elle. Abordant des thèmes tels que les traumatismes d’enfance, les relations toxiques et la crise des médias et ses répercussions sur le journalisme d’enquête, La colocataire présente une narration dynamique et agréable à lire, qui alterne efficacement le passé et le présent afin d’éclairer les événements ayant conduits au meurtre d’Evelyn. J’ai eu beaucoup de plaisir à suivre cette intrigue jusqu’à son dénouement, que j’étais bien loin d’avoir anticipé, et à voir se tisser la relation entre Oli et Cooper, des personnages que l’auteure a su rendre bien attachants.
✧ "Le meurtre de la colocataire" est un fait divers qui déconcerte les australiens depuis une décennie.
Trois colocataires : une assassinée, une disparue et une accusée.
Oli, journaliste d'investigation que cet homicide avait passionné au moment des faits, reprend l'enquête 9 ans plus tard quand "la disparue" réapparaît.
Les secrets remontent toujours à la surface, tôt ou tard ...
✧ Je ne connaissais pas cette auteure de bestsellers traduits en 15 langues, c est une découverte donc.
Ce fut une bonne lecture mais, quant à moi, qui a manqué de rythme et d'intensité. Certains passages étaient prenants, d'autres lents et longs.
Mon intérêt a donc été flottant au fil des chapitres.
Je n'ai pas été happée par cette histoire mais ma lecture a été malgré tout agréablement tranquille.
Lisez ce livre pour vous faire votre opinion, la mienne est peut être faussée parce que j'ai lu juste avant un thriller psychologique très intense.
✧ Merci à NetGalleyfrance et aux Editilns Mera pour m'avoir permis de lire ce roman en avant première.
#NetGalleyfrance #lacolocataire
👥La colocataire👥
Trois colocataires, une est morte, une a disparu, et une est accusée de meurtre
Sarah Bailey
Mera Editions
Date de sortie : 17/05/2024
Merci @netgalleyfrance et @meraeditions pour le SP numérique
Note : 4.5 / 5
Résumé :
Surnommé par les médias « le meurtre de la colocataire », l’affaire trouble les Australiens depuis près d’une décennie. Olive Groves, journaliste au Melbourne Today, a couvert les faits à l’époque jusqu’à l’obsession. Neuf ans plus tard, lorsqu’une des colocataires est retrouvée morte dans une maison isolée. Oli est de nouveau chargée de l’affaire, mais cette fois, c’est à contrecœur qu’elle doit faire équipe avec Cooper, un jeune podcasteur. Tandis qu’Oli et Cooper exhument de nouveaux faits, de sombres secrets sont mis au jour. Les révélations propulseront Oli dans le passé, la contraignant à affronter ses propres démons.
Que s’est-il réellement passé entre les trois colocataires cette nuit-là ? La quête incessante d’Oli pour la vérité mettra-t-elle sa nouvelle famille en danger ? Et sa conviction que le meurtrier se trouve au plus près de chez elle pourrait-elle menacer son bonheur et même sa santé mentale ?
Avis :
✒Une enquête palpitante qui se déroule doucement mais sûrement.
✒Des rebondissements, de l’adrénaline, ce thriller n’a pas fini de vous surprendre.
✒J’ai adoré ma lecture, pris le temps de tirer sur le fil d’Ariane pour arriver sur un final inattendu pour ma part.
✒L’auteur nous entraine dans une enquête de longue haleine, riche en détails mais justement dosés.
✒Mais je ne vous en dis pas plus 🤫, je vous laisse découvrir cette nouvelle merveille de chez @meraeditions.
Trois bonnes raisons de lire ce livre :
❣Un thriller passionnant.
❣Une enquête palpitante.
❣Rebondissements et adrénaline garantis.
Bonne intrigue avec des rebondissements surprenants;
L'histoire est très passionnante et la perspective narrative du journaliste Olive Groves, qui a couvert l'affaire il y a dix ans et qui en parle à nouveau, est bien réalisée. Cependant, au début, tout est un peu trop long pour moi et la vie privée d'Olive est trop détaillée, même si elle est en partie pertinente pour l'intrigue. Pour moi, le livre aurait pu prendre de la vitesse plus rapidement. Mais au milieu, cela devient intéressant et très excitant et le fait que le journaliste de la presse écrite doive ensuite travailler avec un jeune collègue spécialisé dans les podcasts donne à l'ensemble un peu de piquant et de variété. Le mélange d'affaires non résolues et d'événements actuels est vraiment crédible et le développement de l'histoire est décrit d'une manière très compréhensible. La fin est bien résolue, mais là aussi l'auteur aurait pu rassembler les fils un peu plus vite. Pour moi, il y avait toujours des passages trop longs. Le style d’écriture en lui-même est agréable et se lit bien et couramment. J'ai vraiment aimé que l'auteur fasse des notes de bas de page sur des sujets et des lieux australiens que vous ne connaissez peut-être pas, mais que vous pouvez ensuite facilement classer.
Après un début un peu long , je m’embrouillais un peu les pinceaux dans la temporalité. la seconde partie prend de la vitesse et l’intrigue devient plus intéressante.
Un thriller journalistique aux multiples rebondissements. Un côté psychologique étonnant et captivant
Au fil de la lecture, l’ambiance devient glaciale et la fin incroyable
Merci à #netgalley pour ce moment de lecture #lacolocataire
J’ai eu la chance de lire en avant première, une semaine avant sa sortie officielle en France, le nouveau roman de l’autrice australienne Sarah Bailey, et je peux déjà vous dire que j’ai adoré !! Ce polar est sorti le 17 mai dernier aux éditions MERA.
Dans ce roman nous suivons Oli Groves, une journaliste de presse écrite vivant à Melbourne, qui a couvert en 2005 la fameuse affaire des Colocataires : trois étudiantes vivant ensemble dans une petite maison d’un quartier plutôt de Melbourne, font une petite fête, l’une des étudiantes Evelyn est retrouvée morte en fin de soirée, poignardée de plusieurs coups de couteaux, l’une de ses colocataires Alex est soupconnée du meurtre, tandis que la troisième fille Nicole a disparu….Oli est alors appelée par sa chef pour suivre l’affaire, qui semble très vite conclue par l’inspecteur Bowman ainsi que la jeune détective Isabelle Yardley avec l’arrestation puis le procès d’Alex, qui passera 6 années en prison.
10 ans plus tard, une jeune femme est retrouvée pendue dans une ferme dans une petite ville à une trentaine de km de Melbourne, il semblerait que ce soit la fameuse Nicole : Oli
se replonge alors dans l’enquête. Alors que les nouveaux médias telles que les chaînes d’info en continu, les contenus disponibles en permanence sur internet, semblent venir sonner le glas de la presse écrite, la nouvelle patronne d’Oli lui demande de faire équipe avec un jeune journaliste Cooper Ng, afin de créer un podcast sur cette célèbre affaire ainsi que ses nouveaux rebondissements…Mais la tâche ne va pas être si facile, car Oli doit aussi jongler avec une vie privée compliquée.
J’ai découvert cette autrice grâce à ce roman dont le pitch présenté sur les réseaux m’a beaucoup intéressée, et je dois dire que je ne suis vraiment pas déçue. J’ai bien aimé le fait que le personnage principal soit une journaliste, c’est assez original pour un roman policier, nous sommes plongés dans un monde assez cruel, dans lequel l’audience devient malheureusement plus importante que la vraie raison d’être du journalisme, à savoir transmettre des informations précises et vérifiées. Si le début nous semble assez facile, une dispute entre étudiantes qui tourne mal, ça arrive...au fur et à mesure de la lecture nous nous rendons compte que beaucoup de choses ont été cachées et continuent de l’être….qui est donc réellement derrière tout ça et pourquoi ? J’ai été bluffée par les révélations des derniers chapitres, un vrai page turner qui accroche le lecteur jusqu’au bout !
J’ai déjà très envie de découvrir les premiers romans de l’autrice !!
Je valide aussi avec cette lecture l’Australie pour pour le challenge #polarautourdumonde
Je remercie vivement les éditions Mera ainsi que NetGalley pour ce SP numérique gratuit, je précise que je ne suis pas rémunérée pour en parler.
Aujourd’hui je viens vous parler de mon premier service de presse ! Merci à Netgalley et Mera Editions pour leur confiance !
Dans ce polar, nous suivons Oli, une journaliste qui a couvert l’affaire de la colocataire en 2005. Une fête dans la maison de trois colocataires, une morte, une coupable, une disparue. Dix ans après celle qui est disparue est retrouvée morte, et Oli se remet sur l’affaire avec un nouveau journaliste, Cooper.
Au début, il n’était pas aisé de suivre tous les personnages qui ont été introduits, avec une alternance passé/présent. Ce qui rend l’histoire assez lente à démarrer, mais nécessaire pour la suite qui promet plein de surprises.
Une fois que j’ai pris mes repères, j’ai dévoré la suite ! Le fait de suivre une journaliste au lieu d’un policier est très intéressant et parfois frustrant : il est plus difficile pour Oli d’avoir des éléments de l’enquête, elle ne peut pas aller sur les scènes de crimes, avoir accès aux analyses, aux preuves. Elle ne peut compter que sur les informations qu’elle récolte auprès des témoins et des inspecteurs s’ils veulent bien parler, c’est tout un parcours du combattant pour s’appuyer sur des choses concrètes, et ça m’a tenu en haleine tout le long de ma lecture !
J’ai apprécié la construction des personnages d’Oli et Cooper, très humains, qui essayent de composer avec leur caractères et leurs aspirations, entre le côté journaliste classique d’Oli et la nouvelle génération qu’incarne Cooper avec ses idées de Podcasts. J’ai trouvé ce côté très original, on n’est pas que dans un polar, on parle aussi journalisme et traitement médiatique !
J’ai été estomaquée par les rebondissements proposés par l’autrice, j’ai eu beaucoup d’émotions à certains passages, et j’étais impressionnée par la tournure des évènements et les révélations finales, je n’ai rien vu venir, et c’est rare que je sois aussi baladée dans un roman policier.
Je ne peux vous parler de tout ce que j’ai aimé, tellement ce livre est dense et aborde plein de choses, mais je ne peux que vous recommander de le lire et plonger dans cette histoire bien plus profonde et haletante qu’il n’y paraît aux premiers abords.
J’ai vraiment pris plaisir à lire cette histoire, à suivre l’enquête et à essayer de démêler le vrai du faux aux côtés d’Oli.
Le fait de découvrir cette affaire vieille de 10 ans et d’apprendre à connaître Oli dans son intimité, avec son passé et son présent m’a un peu perdue au début, mais c’est justement ce mélange qui m’a fait rentrer dans le récit. Plus ça allait, plus ça me plaisait !
Là où Sarah Bailey m’a eue, c’est quand, à plusieurs reprises, j’ai cru avoir deviner quelques bouts de dénouement. J’ai donc été surprise que les choses se déroulent différemment. Je n’ai pas eu de gros choc malgré tout lors du dénouement mais je l’ai trouvé intéressant.
L’écriture de l’autrice m’a convaincue, elle est fluide, on va droit au but et on se croirait en plein cœur de l’enquête et de l’action. J’ai beaucoup aimé la construction de l’intrigue, mais aussi celle des personnages.
Au début Oli est un peu froide et difficile à cerner. J’étais loin de la détester mais je ne savais pas quoi penser d’elle et ça me frustrait. Et puis, au fur et à mesure, on apprend à la connaître, on la comprend de mieux en mieux et surtout on la voit évoluer énormément.
À ses côtés, Cooper, que j’ai adoré, est un grain de légèreté dans un océan d’angoisse. Il est très touchant par son ambition, sa motivation et même par sa gentillesse, au milieu de cette agitation constante et face à ces rebondissements capables de faire ressortir le pire en chacun des personnages. Lui garde la face et fait toujours de son mieux.
De manière générale, les personnages sont très nuancés et j’ai trouvé leur écriture très intéressante.
Ce que j’ai le plus apprécié, au-delà de l’enquête et de ses mystères, c’était peut-être ça justement : la complexité de chacun de ces personnages, la complexité de leurs décisions, de leurs pensées, de leurs relations aussi. On se demande ce qui mène un jour à un meurtre, bien sûr, mais on se demande aussi ce qui mène aux mensonges, à l’éloignement et bien d’autres choses encore…
Et mine de rien, j’ai un peu envie de le relire un de ces jours, pour voir s’il y avait des indices que j’aurais raté à la première lecture !
"La Colocataire" de Sarah Bailey est un thriller captivant qui m'a tenu en haleine du début à la fin. L'intrigue est magistralement tissée, avec des rebondissements inattendus qui maintiennent le suspense jusqu'au dénouement final, véritablement surprenant. Le livre plonge profondément dans un mystère qui a longtemps intrigué les Australiens : le meurtre de la colocataire. La découverte du corps d'une autre colocataire, neuf ans après les faits, relance l'enquête et Oli se retrouve à travailler avec Cooper un jeune podcasteur.
L'un des éléments que j'ai particulièrement apprécié est le personnage de Cooper Ng, le podcasteur plein de fraîcheur et d'humour. Son rôle aux côtés de l'héroïne, Olive Groves, apporte une dynamique vivifiante à l'histoire. En revanche, j'ai moins apprécié voir pas du tout aimé le personnage d'Oli Groves, la journaliste. Son attitude hautaine et son opinion élevée d'elle-même m'ont souvent agacé, notamment dans sa façon méprisante de traiter Cooper. Cette opposition entre les deux personnages principaux apporte une dimension supplémentaire à l'enquête.
Ensemble, ils dévoilent un réseau complexe et des secrets enfouis. Sarah Bailey réussit avec brio à entrelacer les révélations du passé et du présent, créant une œuvre riche en suspense.
Tout débute avec un crime qu’Olive Groves doit couvrir, celui d’une jeune femme dans une collocation de 3 personnes. L’une des autres colocataires a disparu, et la dernière est à côté de la victime pleine de sang avec l’arme du crime dans les mains. Une enquête au final rapide.
Mais Olive n’a jamais vraiment cru à la culpabilité de la jeune femme, et lorsque 9 ans après, la disparue refait surface au bout d’une corde dans une maison isolée, c’est l’occasion pour la journaliste de reprendre les investigations sous l’impulsion de sa rédactrice en chef.
On va la forcer à travailler avec un jeune podcasteur, avec qui elle ne partage rien, et pourtant, ces deux-là vont trouver une foule d’informations et mettre à jour beaucoup de révélations. Mais à force de creuser, Olive risque aussi de trouver des choses sur ses proches qui vont mettre son esprit à dure épreuve.
Alors, mon avis est un peu mitigé sur ce roman et je m’explique. L’histoire est très bien et pleine de suspens, plusieurs fois j’étais persuadé de connaître la fin, et pourtant j’en étais loin, l’autrice a fait ce qu’elle voulait avec moi, et le personnage d’Olive Groves est très attachant. On doute avec elle, on a peur pour elle, on aime détester son caractère parfois et l’autrice ne va pas lui mener une vie simple.
Mais alors, car il y a un mais, j’ai trouvé l’écriture beaucoup trop lourde. Certes, beaucoup de ce que j’ai pris pour des digressions s’avèrent utiles à la fin du livre, mais j’aurais apprécié une version tout de même un peu plus courte et resserrée.
Cela n’enlève rien au fait que j’ai beaucoup aimé ce livre et son final haletant grâce auquel on comprend bien le succès de l’autrice en Australie et à travers le monde avec ses 15 traductions.
Cette histoire est très embarquante . On est aux côtés d'Oli , journaliste de presse écrite spécialiste des faits divers. Elle est en couple avec celui qui fut son amant 10 ans plus tôt pendant son mariage avec une détective qu'Oli croisait dans les affaires qu'elle couvrait pour son journal.
Il est question d'un fait divers qui fit la une des journaux australiens. 3 jeunes femmes colocataires : à l'issue d'une fête, une est retrouvée morte poignarder, la seconde est à ses côtés avec l'arme et baignée de son sang et la troisième a disparu.
La 2nde fut logiquement désignée coupable après ses aveux et les preuves accumulées mais quid de la 3ème ? Et si l'affaire avait été correctement jugée?
10 ans après l'affaire refait la Une des journaux, Oli reprend elle aussi le fil de l'enquête entre recherche de vérité et du scoop pour son journal.
L'histoire est plutôt bonne, on est dans un récit très cinématographique et la fin est hélas un peu accélérée sans qu'on en soit époustouflé.
Hello #booksta ! 😊
Aujourd'hui, et pour la première fois en post sur ce compte, je vous parle d'un thriller !
J'ai en effet reçu en service de presse, de la part des éditions Mera et via la plateforme NetGalley, La Colocataire, écrit par Sarah Bailey.
Je dois avouer que c'est Shirley, du compte @bibli0geek qui m'a donné envie de lire ce livre, avec la chronique qu'elle en a fait.
Et... Je n'ai pas été déçue. L'histoire se déroule en Australie, ce que j'ai trouvé assez original et raffraichissant ! La maison d'édition m'avait avertie que l'intrigue prenait du temps à se mettre en place, je m'attendais donc à être un peu perdue au début, ou à quelques longueurs, mais pas du tout, j'ai directement été embarquée dans cette enquête ! Nous suivons les raisonnements des journalistes, et personnellement, l'autrice m'a totalement baladée, du début à la fin, je n'ai pas vu venir le dénouement, ce que j'ai trouvé génial.
L'ambiance est plutôt pesante, mais pas autant que dans certains autres thrillers, ce qui le rend plus "léger" à lire.
L'intrigue est bien construite, et l'autrice nous amène à être méfiant envers tous les protagonistes de cette histoire, pour nous surprendre finalement avec les dernières révélations.
Seul point négatif pour moi : je n'ai pas toujours compris les schémas de raisonnement de la protagoniste principale, je trouvais qu'elle avait parfois des réactions étranges, que je n'ai pas réussi à m'expliquer. 😅
En bref, un très bon moment de lecture, plein de suspense et de révélations. Ma note : ❤️❤️❤️❤️ / 5.
Vous l'avez lu ? Il vous tente ? 😁
❤️❤️❤️❤️🤍
Voilà un thriller très bien ficelé mettant en scène une journaliste qui enquête sur un cold case mystérieux qui va se révéler bien plus dangereux que ce que l’on pouvait imaginer.
L’intrigue et les personnages sont minutieusement construits et détaillés, le rythme est assez lent dans la première moitié, tout se met en place et on découvre les liens complexes qui relient les protagonistes.
La seconde partie devient plus intense, toutes les pièces du puzzle s’assemblent et dévoilent aux lecteurs une vérité monstrueuse d’une ampleur insoupçonnée.
J’ai adoré le personnage d’Oli, une personnalité qui s’érige de chapitre en chapitre et rend ce roman encore plus passionnant.
Dans une atmosphère de plus en plus haletante, le final arrive comme une bombe surgie de nulle part.
Une très belle découverte donc, pour laquelle je remercie NetGalley.
"La Colocataire" est un thriller psychologique assez original puisque l'enquête est journalistique plutôt que policière !
Le nouveau polar de l'auteure primé de la trilogie à succès Gemma Woodstock, en cours d'adaptation audiovisuelle. Sarah Bailey est lauréate du prix Ned Kelly 2018 du meilleur premier roman, et traduite en 15 langues.
"Chaque nouveau rebondissement de l'histoire équilibre habilement les révélations fracassantes et la crédibilité, dans un crime qui semble douloureusement familier et choquant à la fois. Tout comme Oli, je n'ai pas pu m'arrêter avant de connaître moi aussi la vérité." - JACQUELINE BUBLITZ, autrice bestseller
Trois colocataires, une est morte, une a disparu, et une est accusée de meurtre...
Surnommé par les médias « le meurtre de la colocataire », l’affaire trouble les Australiens depuis près d’une décennie. Olive Groves, journaliste au Melbourne Today, a couvert les faits à l’époque jusqu’à l’obsession. Neuf ans plus tard, lorsqu’une des colocataires est retrouvée morte dans une maison isolée. Oli est de nouveau chargée de l’affaire, mais cette fois, c’est à contrecœur qu’elle doit faire équipe avec Cooper, un jeune podcasteur. Tandis qu’Oli et Cooper exhument de nouveaux faits, de sombres secrets sont mis au jour. Les révélations propulseront Oli dans le passé, la contraignant à affronter ses propres démons.
Que s’est-il réellement passé entre les trois colocataires cette nuit-là ? La quête incessante d’Oli pour la vérité mettra-t-elle sa nouvelle famille en danger ? Et sa conviction que le meurtrier se trouve au plus près de chez elle pourrait-elle menacer son bonheur et même sa santé mentale ?
Je remercie @Meraéditions et @NetGalleyFrance de m'avoir permis de découvrir cette autrice que je ne connaissais pas.
Même si j'ai trouvé qu'il y avait quelques longueurs dans la première moitié du roman, la seconde est plus rythmé et plus riche en rebondissements, ce qui rend la lecture de plus en plus addictive. L'intrigue est bien ficelée car les indices nous mènent peu à peu vers le dénouement inattendu, même si nous ne le remarquons pas tout de suite, ce qui permet de préserver le suspense efficacement, tout comme l'alternance entre deux temporalités.
La psychologie des personnages est assez complexe, ce qui les rend profondément humains, donc attachants. Le personnage d'Oli est le point fort de ce récit raconté à partir de son point de vue à la troisième personne. Le lecteur suit son parcours mental en même temps qu'elle et il découvre ses failles, ce qui la rend émouvante.
L'un des thèmes majeurs abordé est intemporel : la dénonciation des violences à l'encontre des femmes et des enfants. Ce roman aborde aussi les relations toxiques, les traumatismes d'enfance, mais encore la crise des médias et ses répercussions sur le journalisme d'enquête. Malgré un rythme en dents de scie, l'impression générale relative à ce roman est positive grâce à l'aspect journalistique original.
En 2005, Olivia, journaliste, a couvert l'affaire appelée "Le meurtre de la colocataire". En 2015, alors que sa vie a complétement changé, elle est à nouveau chargée de couvrir l'affaire suite à la découverte du corps d'une des colocataires encore en vie. Elle doit faire équipe avec le jeune Cooper qui met en place un podcast pour le journal. (D'ailleurs, pour être honnête, je n'ai pas tout saisi sur ces passages là. )
Olivia doit aussi jongler avec sa vie personnelle. Elle est maintenant en couple avec Dean, papa de deux jumelles qu'il a eu avec Isabelle, l'inspectrice chargée de l'enquête en 2005 et aujourd'hui décédée. Oui, c'est compliqué ! Surtout quand on sait qu'Oli et lui avait déjà une liaison en 2005 !
Ce sont, ici, les personnages dont on parle le plus dans ce roman écrit à la troisième personne, du point de vue d'Oli. Il y a de nombreux personnages secondaires : les journalistes, les enquêteurs, ceux qui ont un lien avec les colocataires, ... J'ai eu un peu de mal à assimiler tout le monde ! Il faut comprendre leurs rôles en 2015 et en 2005 ! Pas forcément évident, surtout quand ils ont évolués ! J'ai eu un peu de mal avec le tempérament d'Oli, au début mais finalement j'ai réussi à m'attacher à elle, même si je n'aurai pas forcément réagi comme elle. J'ai eu quelques difficultés avec Dean le mari d'Oli. Par contre, j'ai bien apprécié Cooper, le jeune geek, un peu foufou et très enthousiaste. Et j'ai apprécié le duo qu'il forme avec Oli. Elle qui représente le journalisme un peu à l'ancienne, même si ce n'est pas le bon terme, et lui qui représente la modernité, les réseaux sociaux. J'ai aimé comprendre les dessous du journalisme entre le vrai travail de fond, d'enquête, d'investigation qui prend du temps et, au contraire, l'instantanéité, la rapidité des réseaux sociaux.
J'ai d'ailleurs apprécié que ce soit un thriller du point de vue des journalistes et pas de la police. Les outils sont différents et donc forcément l'enquête a été un peu plus longue à démarrer. C'est compréhensible mais ça donne une impression de lenteur. Heureusement, la suite de l'intrigue sera plus rythmée. L'intrigue est très bien ficelée entre fausses pistes et rebondissements. J'étais vraiment partie sur autre chose et j'ai tardée à déméler le vrai du faux. C'est vraiment top ! On ne s'attend pas du tout à ça au départ !
Conclusion :
Très bon thriller.
« Trois colocataires, une est morte, une a disparu, et une est accusée de meurtre. »
Les faits remontent à une dizaine d’années et l’affaire avait été couverte par la journaliste Olive Groove (Olly). Alors pas étonnant que son journal la remette sur l’affaire lorsque le corps d’une autre colocataire est découvert 9 ans plus tard. A ceci près qu’on lui adjoint Cooper, un jeune podcaster afin de présenter l’affaire aux auditeurs sous un format audio/video innovant, ce qui ne la réjouit pas. Pourtant leur collaboration va s’étoffer, lorsqu’ils vont exhumer de nouveaux faits…
Malgré quelques longueurs dans la première partie du récit, la suite monte en puissance et j’ai trouvé la lecture addictive grâce aux nombreux dialogues qui donnent vie et rythme à chaque étape de leur enquête, et d’autre part grâce au parcours mental d’Olly qui révèle son point de vue sur l’affaire en même temps qu’il dévoile son passé, la vie qu’elle s’est construite, ses failles et … ses doutes.
L’intrigue est bien ficelée, le suspense constant, et les indices comme les rebondissements sèment insidieusement le doute dans notre esprit … comme dans celui d’Olly.
Côté personnages, pas de caricature ni de héros, mais des humains, complexes, et faillibles, dont la personnalité se précise à force d’aller/retour entre présent et passé. Mention spéciale bien sûr à Olly à laquelle on s’attache malgré ses petits « loupés » et à Cooper, un jeune vraiment sympathique qui dévoile l’étendue de ses talents.
A travers le prisme des médias et du journalisme d’enquête, cette intrigue captivante nous plonge dans des thèmes tels la violence envers les femmes et les enfants, les relations toxiques, la manipulation et les traumatismes de l’enfance.
Pour moi un thriller réussi et captivant malgré un démarrage hasardeux, et la découverte d’une auteure vers laquelle je reviendrai.
J’ai adoré la plume de ce roman, qui était fluide et pas trop compliquée à comprendre. C’est en général ce qui me perd dans les thrillers/polars: une plume trop lourde avec beaucoup de détails. Ici non, la plume est simple, hyper addictive et accessible.
L’histoire est super dynamique, dès le départ on est à fond dedans. Elle tient en haleine, et chaque nouvelle information sur l’enquête nous retourne le cerveau. J’ai beaucoup aimé cette dimension.
Les personnages étaient également attachants. J’ai adoré Cooper qui apportait le pétillant à l’histoire et à la personnalité morose de Olive.
On suit également la vie personnelle d’Olive, qui doit s’habituer à sa vie de couple, dont la confiance est difficile à instaurer. Le tout en étant une grande partie à travailler, le journalisme et cette enquête lui prenant beaucoup de temps.
J’ai trouvé quelques longueurs au roman, ce qui m’a fait mettre 4/5, mais je ne regrette pas de l’avoir lu et j’ai apprécié la fin à laquelle je ne m’attendais pas
Merci à Netgalley et aux éditions Mera pour cette lecture. L'occasion pour moi de lire un polar venant d'Australie, un pays que j'apprécie particulièrement pour ses thrillers durs, à l'image d'une nature sans pitié. Nous voici donc reparti avec La Colocataire.
Trois amis partagent une maison lorsqu'une d'entre elles meurt, une autre disparaît, la 3eme est arrêtée.
Quand 9 ans plus tard, un corps retrouvé sur une propriété s'avère être celui d'une des colocataires, l'enquête est relancée pour essayer d'expliquer ce qu'il a pu se passer une décennie plus tôt. Olive, journaliste prête à tout pour décrocher le scoop de sa vie, et obsédée par cette affaire , va tenter de découvrir la vérité...
J'avais adoré ce résumé, et ayant un à priori très positif sur les polars australiens, je me suis lancée avec enthousiasme. Toutefois je dois bien avouer que j'ai eu du mal au début. J'ai trouvé l'intrigue difficile à se lancer, tout comme certains personnages difficiles à cerner ou situations confuses. Mais je me suis accrochée et j'ai bien fait, car peu à peu, je suis entrée dans cette intrigue complexe, qui a des ramifications très entendues.
La sauce prend, et j'ai beaucoup aimé le twist final et la résolution finale.
Mais je dois avouer que certains personnages ne m'ont pas convaincus, mais que l'ensemble reste un bon thriller à découvrir.
C'était un policier efficace mais parfois un peu long.
Je me suis moins attaché aux personnages alors c'était difficile d'être empathique avec ce qui leur arrivait.
Mais les twists étaient surprenants
▫️La colocataire
▪️Sarah Bailey
▫️Mera Éditions
▪️▪️▪️
C'est la première fois que je lis un roman de Sarah Bailey, et je n'en avais attendu que du bien. Alors j'ai été ravie de pouvoir faire ce service presse.
Le style d'écriture est plutôt fluide, mais les descriptions sont beaucoup trop longues. La première partie du roman est interminable, je me suis forcée à continuer le livre jusqu'au bout.
Finalement l'histoire a commencé à se réveiller vers la moitié et la fin était plutôt bien tournée. Malheureusement mon avis reste mitigé sur l'ouvrage.
Ce que j'ai beaucoup aimé cependant c'est que pour une fois le triller soit écrit du côté journalistes, plutôt que du côté des policiers. C'est super intéressant et ça amène une autre manière d'enquêter et d'autres objectifs, tout aussi intéressant.
Une lecture en demi teinte, mais je vous laisse vous faire votre propre avis en tentant l'aventure !
▫️▫️▫️
Merci à Mera Éditions pour leur confiance et pour cette découverte ! Merci aussi à NetGalley France.
Un polar qui m'a bien intrigué dès le départ et pourtant j'ai mis du temps a entrer dans l'histoire. J'ai eu un peu de mal à situer les personnages (qui est qui) et je n'arrêtais de revenir en arrière pour comprendre les liens entre certains personnages. Puis il y a le rythme assez lent qui m'a fait décrocher une ou deux fois le roman avant de finalement le reprendre.
Pourtant une fois passée tout cela, (en gros après avoir dépassé la moitié du livre), j'ai bien aimé ce polar. L'enquête progresse, des révélations apparaissent et ça prend enfin le lecteur dans l'intrigue, sans compter que le dénouement surprend (dans le bon sens).
Au final une lecture plutôt agréable où j'ai bien aimé le côté journalistique de l'enquête.
Je remercie NetGalley et Mera Éditions pour la découverte de La colocataire, un thriller captivant qui m’a tenue en haleine du début à la fin. L’histoire commence avec trois colocataires, dont l’une est morte et l’autre a disparu, plongeant l’intrigue dans une atmosphère de mystère et de tension. Accusée de meurtre, Oli, une journaliste déterminée, s'immerge dans cette affaire non résolue, mais neuf ans plus tard, la colocataire disparue est retrouvée morte dans une maison abandonnée.
Désormais fiancée à Dean, Oli se retrouve à replonger dans une enquête qui remet en question tout ce qu'elle croyait savoir. Elle fait équipe avec Cooper, un jeune podcaster, et ensemble, ils vont découvrir que l’affaire est bien plus complexe et terrible qu’il n’y paraît. Ce duo, avec leurs compétences complémentaires, apporte une dynamique intéressante à l’intrigue.
J'ai beaucoup aimé le rythme de ce roman, qui est très bien ficelé. Les rebondissements sont nombreux, et l’action ne faiblit jamais. L’auteur parvient à créer une tension palpable, où chaque personnage devient suspect, et j'ai soupçonné tout le monde sans jamais vraiment savoir qui était le coupable. La conclusion m’a véritablement surprise, apportant une note finale qui clôt le récit avec brio.
La colocataire est un thriller intelligent et bien construit, à la fois palpitant et émotionnel. Une lecture que je recommande chaudement aux amateurs de mystères et d’intrigues.